Je n’ai pas le pognon pour boire de l’eau de source…
… alors je me suis rabattu sur le pinard ou sur la
bibine depuis de nombreuses années !
C’est au moins aussi onéreux, mais c’est meilleur. Et puis, je ne te vous raconte pas la signature carbone pour t’amener une bouteille sur la table depuis sa source.
Même si ce n’est pas mon intention première…
Sauf que la faculté des sciences, entre-temps, m’a intimé l’ordre d’urgence vitale d’éviter de boire de l’eau à 55 %, à 82 %, à 90 % ou à 95 %, mais direct à 100 % !
Impératif absolu…
Je ne te raconte pas l’angoisse : Mon foie
va-t-il supporter cet ignoble sevrage ?
C’est que c’est du poison pour mon pôv’ neurone, l’eau pure !
Mais c’est ça, ou je bouche mes artères et leurs Stents tout-neufs en deux trois battements de palpitant et que je vous assure… mourir noyé dans sa propre flotte, c’est une assez curieuse expérience, finalement…
Alors, je me suis renseigné.
Comment traite-t-on l’eau pour la rendre buvable ?
En « Corsica-Bella-Tchi-tchi », on a un truc
pour savoir si l’eau de source n’est pas trop polluée au pipi de mouflons :
On crache dedans et si le mollard ne se dissout pas rapidement, l’eau est réputée
imbuvable.
En Gauloisie-polluée, ils ne font pas comme ça, parce que les deux tiers de l’eau potable produite sont captés dans les eaux souterraines, aussi appelées de nappes phréatiques.
En principe, elle est déjà « prête à usage » pour avoir été filtrée.
Mais il faut la pomper, alors que celle qui descend des montagnes arrive toute seule en son lieu de captage sans user d’autre chose que de la gravitation : Moins onéreux…
Et justement, seulement le tiers restant provient des eaux superficielles (rivières, fleuves, lacs, barrages), aussi appelées « eaux de surface ».
Une fois captée, l’eau est ensuite acheminée jusqu’à
une usine de potabilisation pour être traitée.
Et en fait, le traitement appliqué dépend de la qualité initiale de l’eau captée, qui dépend généralement elle-même de la localisation du captage. À noter ainsi que les eaux de surface nécessitent habituellement des traitements plus poussés que les eaux souterraines.
Car, jusqu’à présent, pour les eaux souterraines, un traitement physique simple (de filtration et de décantation) et une désinfection suffisaient dans la majorité des cas.
En revanche, pour les eaux de surface, un processus
plus poussé est nécessaire, associant un traitement physique et chimique, une
désinfection et, dans 25 % des cas, un traitement dit d’affinage (avec des
charbons actifs ou des membranes) permettant d’éliminer les matières organiques
résiduelles et d’améliorer les qualités organoleptiques de l’eau (sa saveur,
son odeur, sa limpidité).
Car les eaux brutes contiennent en effet divers éléments polluants qu’il est nécessaire d’éliminer.
La matière organique, provenant de la décomposition des matières vivantes (déjections animales, animaux morts ou fragments de végétaux se décomposant…), constitue la principale pollution présente dans l’eau. C’est justement ce qu’on cherche à l’éliminer avant des pollutions plus spécifiques, comme celles aux pesticides ou à des pathogènes.
L’eau passe tout d’abord à travers des grilles (on
parle de « dégrillage ») afin d’enlever les plus gros déchets. Elle subit
ensuite un tamisage permettant d’éliminer les déchets plus petits, comme le
sable.
Puis, une étape de coagulation/floculation a lieu, permettant grâce à l’ajout d’un produit coagulant de créer des « flocs », c’est-à-dire des regroupements de matière en suspension qui vont ensuite chuter grâce à leur poids et être éliminés dans les boues.
Ces boues, qui correspondent à la partie solide produite lors du traitement, sont principalement utilisées en agriculture comme amendement agricole par épandage.
C’est ça, « l’économie circulaire » : Ça repart polluer les sols et les eaux de ruissellement voire les nappes phréatiques…
Ou alors, ça « eutrophise » les marées et les algues marines s’en nourrissent.
Une filtration sur charbon actif ou sur sable a ensuite
lieu afin de supprimer les particules invisibles à l’œil nu pouvant encore être
présentes. Dans certains cas, des membranes, agissant comme un filtre
spécifique laissant passer l’eau et retenant les solides en suspension et
autres substances, peuvent être utilisées en remplacement du charbon actif.
Seules les membranes conformes à l’arrêté du 22 juin 2012 (ah !… de la grande sagesse des « sachants » !), qui garantit leur innocuité et notamment la conformité du matériau, peuvent être utilisées dans le cadre de la production d’eau destinée à la consommation humaine.
Les bestiaux, on s’en fout…
Une étape de désinfection a ensuite lieu afin
d’éliminer les micro-organismes pathogènes, souvent via l’ajout d’ozone.
Un traitement d’affinage (adsorption sur charbon actif) peut ensuite être présent afin d’éliminer la matière organique résiduelle (parce qu’il reste de la m…) et d’améliorer la qualité organoleptique de l’eau.
Pour finir, du chlore est ajouté pour son effet rémanent, celui-ci ayant un effet désinfectant qui dure dans le temps, permettant le maintien d’une eau d’excellente qualité lors de son stockage dans des réservoirs (châteaux d’eau, les tuyaux des réseaux de distribution) et jusqu’à mon robinet.
Concernant cette étape de chloration, utilisée en « Gauloisie-chlorée » depuis plus d’un siècle pour son effet désinfectant et rémanent, elle a vu depuis 2003 son utilisation étendue à la majorité des réseaux d’eau du territoire. Cela fait suite à une demande des autorités pour protéger ces réseaux de potentielles attaques terroristes : En cas de pollution intentionnelle, l’agent toxique ou biologique introduit serait ainsi détruit par l’action du chlore.
Charmante attention…
Simultanément, une baisse anormale et rapide du niveau de chlore résultant d’une action malveillante dans le réseau d’eau permettrait à l’exploitant de détecter cette éventuelle intrusion.
(Je vous le dis : Les « sachants » pensent à tout à votre place !)
Des sels d’aluminium, parmi lesquels le sulfate
d’alumine, sont parfois utilisés dans le traitement des eaux de surface comme
agent floculant et clarifiant pour éliminer la matière organique dissoute et
les particules en suspension.
Il arrive occasionnellement que le pH de l’eau soit mal maîtrisé pendant cette étape et conduise à des fuites d’aluminium dans l’eau du robinet.
Déjà avec le plomb de mes tuyaux qui vont finir par me rendre cinglé, alors le sulfate d’alumine, je ne vous dis pas…
Car, quand je vous dis que l’eau est un poison (pour
alcoolique invétéré) des études chez les humains ont mis en évidence des liens
possibles entre l’ingestion d’aluminium et des maladies du système nerveux.
Mais dans un rapport de 2003, l’Anses indiquait à ce sujet que les données épidémiologiques et physiologiques disponibles ne permettaient pas d’attribuer un rôle étiologique à l’aluminium dans la maladie d’Alzheimer.
Et pour mon « Parking-sonne » ?
En outre, la part de l’exposition à l’aluminium par l’eau de boisson constitue probablement moins de 5 % des apports quotidiens d’aluminium par voie alimentaire de la population.
Bref, l’étape d’ozonation, utilisée pour éliminer les
micro-organismes et agir sur les micropolluants comme les produits
pharmaceutiques, conduit à la production de sous-produits potentiellement
toxiques.
On pense par exemple aux bromates, qui se forment au cours de l’ozonation d’eaux contenant des bromures, identifiés comme probablement cancérigènes.
Et après on s’étonne du déficit de l’assurance-maladie…
Pas moâ !
D’autant que l’utilisation de chlore dans le traitement des eaux peut aussi engendrer la production de sous-produits soupçonnés cancérigènes, comme les trihalométhanes, les acides haloacétiques ou encore les haloacétonitriles.
Sauf que certains d’entre eux sont réglementés (merci les « sachants » !) depuis plusieurs années au niveau du point d’usage, c’est-à-dire au robinet, comme les trihalométhanes.
Et leur fréquence de contrôle varie d’une fois tous les 10 ans pour les plus petites stations de production à une fois par mois pour les plus grosses.
Heureusement et récemment, la directive européenne 2020/2184 a imposé le suivi d’ici 2026 des chlorites, des chlorates ou des acides haloacétiques dans le cas de traitement de désinfection pouvant entraîner leur production, notamment lors de l’utilisation de dioxyde de chlore.
Merci l’Europe : Nos « sachants » nationaux n’y avaient pas encore pensé !
Ainsi des modèles ont été développés afin d’anticiper
la production de ces composés et de mieux comprendre comment les limiter voire
les éliminer totalement, mais la complexité des mécanismes mis en jeu et le
nombre de variables à prendre en compte sont tels qu’ils présentent encore de
grandes incertitudes.
Dans l’attente de plus de connaissances sur ce sujet, le maître mot est de limiter au maximum la quantité de chlore résiduel (tout en en gardant suffisamment pour assurer une eau de très bonne qualité jusqu’au point de distribution) afin d’éviter l’apparition de ces sous-produits.
Ils ne nous conseillent pas encore de pasteuriser notre flotte (probablement pour éviter de chauffer la planète un peu plus), mais je sens que ça venir (au moins dès que le gaz russe sera revenu…).
En sortie de la station de « potabilisation »,
en ajoutant si besoin un nouveau traitement, l’objectif sera d’obtenir une eau
voisine de l’équilibre calcocarbonique, c’est-à-dire non agressive et très
légèrement entartrante.
C’est ma machine à laver qui va être heureuse.
Et mon plombier…
Une eau entartrante aura en effet pour résultat de faire précipiter le calcaire et ainsi de provoquer l’entartrage des appareils ménagers.
C’est le cholestérol de l’eau, en somme…
Une eau agressive pourra corroder les métaux constitutifs des canalisations et ainsi engendrer une contamination, en plomb par exemple, lors du transport de l’eau. Ce phénomène a surtout lieu lorsque l’eau stagne dans les canalisations.
Mais j’évite de la faire couler robinet ouvert en permanence : Ça pourrait aggraver les factures…
Les canalisations en plomb des maisons ou immeubles anciens sont une des sources de contaminationpossibles évidentes, à
travers l’eau du robinet.
Mais comme les miens fuient de temps à autre, on les remplace par du PVC.
D’ailleurs, concernant le plomb, la solution pour l’éliminer définitivement dans l’eau consiste à supprimer les canalisations en plomb : Logique. On préfère en faire des balles et des obus.
Et les collectivités publiques ont lancé des programmes de remplacement des branchements publics en plomb afin de délivrer une eau conforme, respectant la directive européenne 98/83/CE (du 3 novembre 1998, revue en 2013) qui fixe une teneur maximale en plomb au niveau des robinets à 10 µg/l.
On n’a pas ce problème avec le pinard ou la bibine…
Alors, je me vous pose la question : Vaut-il
mieux mourir empoisonné par l’eau du robinet, aggraver la signature carbone
avec de l’eau de source (ou minérale) qui vient des montagnes ou renoncer à en
boire (et se reporter sur des « boissons d’homme ») ?
Je reste indécis en ce début de semaine, mais ça m’aura follement amusé tout de même !!!
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ
PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON
RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
C’est au moins aussi onéreux, mais c’est meilleur. Et puis, je ne te vous raconte pas la signature carbone pour t’amener une bouteille sur la table depuis sa source.
Même si ce n’est pas mon intention première…
Sauf que la faculté des sciences, entre-temps, m’a intimé l’ordre d’urgence vitale d’éviter de boire de l’eau à 55 %, à 82 %, à 90 % ou à 95 %, mais direct à 100 % !
Impératif absolu…
C’est que c’est du poison pour mon pôv’ neurone, l’eau pure !
Mais c’est ça, ou je bouche mes artères et leurs Stents tout-neufs en deux trois battements de palpitant et que je vous assure… mourir noyé dans sa propre flotte, c’est une assez curieuse expérience, finalement…
Alors, je me suis renseigné.
Comment traite-t-on l’eau pour la rendre buvable ?
En Gauloisie-polluée, ils ne font pas comme ça, parce que les deux tiers de l’eau potable produite sont captés dans les eaux souterraines, aussi appelées de nappes phréatiques.
En principe, elle est déjà « prête à usage » pour avoir été filtrée.
Mais il faut la pomper, alors que celle qui descend des montagnes arrive toute seule en son lieu de captage sans user d’autre chose que de la gravitation : Moins onéreux…
Et justement, seulement le tiers restant provient des eaux superficielles (rivières, fleuves, lacs, barrages), aussi appelées « eaux de surface ».
Et en fait, le traitement appliqué dépend de la qualité initiale de l’eau captée, qui dépend généralement elle-même de la localisation du captage. À noter ainsi que les eaux de surface nécessitent habituellement des traitements plus poussés que les eaux souterraines.
Car, jusqu’à présent, pour les eaux souterraines, un traitement physique simple (de filtration et de décantation) et une désinfection suffisaient dans la majorité des cas.
Car les eaux brutes contiennent en effet divers éléments polluants qu’il est nécessaire d’éliminer.
La matière organique, provenant de la décomposition des matières vivantes (déjections animales, animaux morts ou fragments de végétaux se décomposant…), constitue la principale pollution présente dans l’eau. C’est justement ce qu’on cherche à l’éliminer avant des pollutions plus spécifiques, comme celles aux pesticides ou à des pathogènes.
Puis, une étape de coagulation/floculation a lieu, permettant grâce à l’ajout d’un produit coagulant de créer des « flocs », c’est-à-dire des regroupements de matière en suspension qui vont ensuite chuter grâce à leur poids et être éliminés dans les boues.
Ces boues, qui correspondent à la partie solide produite lors du traitement, sont principalement utilisées en agriculture comme amendement agricole par épandage.
C’est ça, « l’économie circulaire » : Ça repart polluer les sols et les eaux de ruissellement voire les nappes phréatiques…
Ou alors, ça « eutrophise » les marées et les algues marines s’en nourrissent.
Seules les membranes conformes à l’arrêté du 22 juin 2012 (ah !… de la grande sagesse des « sachants » !), qui garantit leur innocuité et notamment la conformité du matériau, peuvent être utilisées dans le cadre de la production d’eau destinée à la consommation humaine.
Les bestiaux, on s’en fout…
Un traitement d’affinage (adsorption sur charbon actif) peut ensuite être présent afin d’éliminer la matière organique résiduelle (parce qu’il reste de la m…) et d’améliorer la qualité organoleptique de l’eau.
Pour finir, du chlore est ajouté pour son effet rémanent, celui-ci ayant un effet désinfectant qui dure dans le temps, permettant le maintien d’une eau d’excellente qualité lors de son stockage dans des réservoirs (châteaux d’eau, les tuyaux des réseaux de distribution) et jusqu’à mon robinet.
Concernant cette étape de chloration, utilisée en « Gauloisie-chlorée » depuis plus d’un siècle pour son effet désinfectant et rémanent, elle a vu depuis 2003 son utilisation étendue à la majorité des réseaux d’eau du territoire. Cela fait suite à une demande des autorités pour protéger ces réseaux de potentielles attaques terroristes : En cas de pollution intentionnelle, l’agent toxique ou biologique introduit serait ainsi détruit par l’action du chlore.
Charmante attention…
Simultanément, une baisse anormale et rapide du niveau de chlore résultant d’une action malveillante dans le réseau d’eau permettrait à l’exploitant de détecter cette éventuelle intrusion.
(Je vous le dis : Les « sachants » pensent à tout à votre place !)
Il arrive occasionnellement que le pH de l’eau soit mal maîtrisé pendant cette étape et conduise à des fuites d’aluminium dans l’eau du robinet.
Déjà avec le plomb de mes tuyaux qui vont finir par me rendre cinglé, alors le sulfate d’alumine, je ne vous dis pas…
Mais dans un rapport de 2003, l’Anses indiquait à ce sujet que les données épidémiologiques et physiologiques disponibles ne permettaient pas d’attribuer un rôle étiologique à l’aluminium dans la maladie d’Alzheimer.
Et pour mon « Parking-sonne » ?
En outre, la part de l’exposition à l’aluminium par l’eau de boisson constitue probablement moins de 5 % des apports quotidiens d’aluminium par voie alimentaire de la population.
On pense par exemple aux bromates, qui se forment au cours de l’ozonation d’eaux contenant des bromures, identifiés comme probablement cancérigènes.
Et après on s’étonne du déficit de l’assurance-maladie…
Pas moâ !
D’autant que l’utilisation de chlore dans le traitement des eaux peut aussi engendrer la production de sous-produits soupçonnés cancérigènes, comme les trihalométhanes, les acides haloacétiques ou encore les haloacétonitriles.
Sauf que certains d’entre eux sont réglementés (merci les « sachants » !) depuis plusieurs années au niveau du point d’usage, c’est-à-dire au robinet, comme les trihalométhanes.
Et leur fréquence de contrôle varie d’une fois tous les 10 ans pour les plus petites stations de production à une fois par mois pour les plus grosses.
Heureusement et récemment, la directive européenne 2020/2184 a imposé le suivi d’ici 2026 des chlorites, des chlorates ou des acides haloacétiques dans le cas de traitement de désinfection pouvant entraîner leur production, notamment lors de l’utilisation de dioxyde de chlore.
Merci l’Europe : Nos « sachants » nationaux n’y avaient pas encore pensé !
Dans l’attente de plus de connaissances sur ce sujet, le maître mot est de limiter au maximum la quantité de chlore résiduel (tout en en gardant suffisamment pour assurer une eau de très bonne qualité jusqu’au point de distribution) afin d’éviter l’apparition de ces sous-produits.
Ils ne nous conseillent pas encore de pasteuriser notre flotte (probablement pour éviter de chauffer la planète un peu plus), mais je sens que ça venir (au moins dès que le gaz russe sera revenu…).
C’est ma machine à laver qui va être heureuse.
Et mon plombier…
Une eau entartrante aura en effet pour résultat de faire précipiter le calcaire et ainsi de provoquer l’entartrage des appareils ménagers.
C’est le cholestérol de l’eau, en somme…
Une eau agressive pourra corroder les métaux constitutifs des canalisations et ainsi engendrer une contamination, en plomb par exemple, lors du transport de l’eau. Ce phénomène a surtout lieu lorsque l’eau stagne dans les canalisations.
Mais j’évite de la faire couler robinet ouvert en permanence : Ça pourrait aggraver les factures…
Les canalisations en plomb des maisons ou immeubles anciens sont une des sources de contamination
Mais comme les miens fuient de temps à autre, on les remplace par du PVC.
D’ailleurs, concernant le plomb, la solution pour l’éliminer définitivement dans l’eau consiste à supprimer les canalisations en plomb : Logique. On préfère en faire des balles et des obus.
Et les collectivités publiques ont lancé des programmes de remplacement des branchements publics en plomb afin de délivrer une eau conforme, respectant la directive européenne 98/83/CE (du 3 novembre 1998, revue en 2013) qui fixe une teneur maximale en plomb au niveau des robinets à 10 µg/l.
On n’a pas ce problème avec le pinard ou la bibine…
Je reste indécis en ce début de semaine, mais ça m’aura follement amusé tout de même !!!
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