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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 3 février 2023

Je vieillis d’une année demain…

Excusez, les voisins : Super teuf à prévoir à nocturne !
 
Jean-Marc n’en sera pas : Il est en déplacement.
Mais il nous a laissé son billet hebdomadaire :
 
Un patron à sa secrétaire :
« ― Mademoiselle, vous avez fait vingt fautes dans cette lettre. Vous ne l’avez pas relue ?
― Je n’ai pas osé…
― Et pourquoi donc ?
― C’est écrit « confidentiel » en haut à gauche… »
Voilà qui me rappelle la mienne qui faisait des erreurs de calcul :
« Mais, de grâce, refaites 10 fois au moins vos additions, s’il vous plait ! »
Le lendemain, j’avais eu droit à dix bandes de calculette avec ce commentaire de l’intéressée : « J’ai fait comme vous me l’avez demandé. Voici les 10 résultats… »
Tous différents !
 
De Jean-Paul, discutant avec Jean-Marc en terrasse de café, devant une bière :
« Quelle est la différence entre une jeune fille et une jeune femme ?
Tu ne sais pas ! Eh bien une jeune fille aime les chocolats, une jeune femme aime les chocs au lit »
 
Plus tard :
« Sais-tu ce que cela veut dire que de rentrer chez-soi la nuit auprès d’une petite femme qui va vous montrer un peu d’amour, un peu d’affection, un peu de tendresse ?
Cela prouve que tu t’es trompé de maison, voilà ce que cela veut dire ! »
 
« Quand tu es fatigué de toi-même, maries-toi et fatigues-toi de quelqu’un d’autre. »
 
« ― Quelle est la différence entre une soupe chaude et une femme ?
― Peut-être que la soupe chaude, plus tu la brasses plus elle refroidie, alors que la femme plus tu la brasses plus elle devient chaude ! »
 
« ― Quelle est la différence entre une tempête de neige et un homme ?
― Tout le monde sait qu’il n’y en a pas. Dans un cas comme dans l’autre, tu ne sais pas comment tu vas avoir de centimètre, ni combien de temps ça va durer ! »
 
« L’autre soir, je dis à ma femme : Germaine, est-ce que tu crois que le sexe et la passion ont cessé d’exister entre nous ?
Eh bien elle m’a répondu : “On en discutera pendant la publicité.” »
 
« Il a été dit que derrière chaque homme qui avait réussi se tenait une femme. On n’a jamais précisé si elle était armée d’un enfant ou d’un pistolet. »
 
C’est l’histoire de trois petits garçons qui sont sur le toit d’un édifice et regardent en bas dans la rue et ils voient une Maserati et une Ferrari stationnées.
Le premier dit :
« J’aimerais être tout en or, je prendrais mon petit doigt pour acheter la Maserati en bas. »
Le deuxième dit :
« Moi, j’aimerais être tout en argent, je prendrais mon pouce et j’achèterais la Ferrari. »
Le troisième lui dit :
« J’aimerais être tout frisé ! »
Ses deux copains se mettent à rire et lui disent :
« Tu es malade le poil sa vaut rien ! »
Et il leur répond :
« Ma sœur en a juste un petit rond de poils frisés entre les jambes et la Maserati et la Ferrari lui appartiennent… »
 
Jean-Marc précise à Jean-Paul :
« Ils ne nécessitent aucun versement mensuel et ne contiennent aucune pièce mobile.
N’occasionnent aucuns frais et ne requièrent aucune pile.
Ils sont non taxables et à l’abri de l’inflation.
Ils s’avèrent même excellents pour la relaxation.
Ils ne craignent pas les voleurs et ne polluent pas.
Il sont offerts en une seule grandeur et ne se volatilisent pas.
Ils ne consomment à peu près pas d’énergie, mais redonnent beaucoup de vie.
Ils soulagent le stress et la douleur.
Ils alimentent votre bonheur.
Ils combattent la dépression et créent la joie.
Ils rehaussent même l’estime de soi !
Ils améliorent la circulation de votre sang et ne causent aucun effet secondaire déplaisant.
Ils constituent, à mon avis, un remède digne de Merlin :
Ce sont, je te les recommande.
Les câlins ! »
 
C’est l’histoire d’un ingénieur, d’un physicien et d’un mathématicien qui vont assister à une conférence aux États-Unis.
N’ayant pas trop d’argent pour se loger, ils vont tous au même hôtel miteux.
Dans leur chambre miteuse, se trouve un lit miteux et une télévision non moins miteuse.
C’est tellement miteux qu’il n’y a même pas de tête de sprinkler contre les incendies.
À côté de la baignoire, il y a un sceau et les inscriptions suivantes : « En cas d’incendie, prendre le sceau, le remplir à l’aide de l’eau de la baignoire et jeter l’eau sur le feu -la direction- ».
Dans la nuit, le physicien se réveille, ça sent le feu, il voit que sa télévision est en feu.
Il se lève spontanément, remplit le sceau et jette toute l’eau sur le feu.
Résultat, il y a de l’eau partout, mais le feu est éteint, il peut retourner se coucher.
Un peu plus tard, c’est au tour de l’ingénieur de se réveiller.
Eh oui, sa télévision est en feu.
Il sort son calepin et son crayon, effectue quelques calculs, met la quantité d’eau nécessaire à éteindre le feu dans le sceau, puis jette l’eau sur sa télévision.
Résultat, le feu est éteint et il n’y a pas d’eau sur le plancher, il retourne se coucher.
Enfin, le mathématicien se réveille, ça sent le feu, sa télévision est en feu !
Le mathématicien analyse la situation, il regarde le feu, puis il regarde le sceau à côté du bain.
Il se dit : « Il existe une solution à ce problème », puis retourne se coucher.
 
C’est le nouveau vicaire qui est à ses premières confessions dans une paroisse.
Une jeune fille s’accuse d’avoir fait une fellation à son ami.
Le vicaire, bien embêté, se demande quelle pénitence donner dans ce cas.
Il demande à la jeune fille de patienter un instant, il sort du confessionnal et va voir le vieux curé et lui dit :
« ― Combien donnez-vous à une fille pour une fellation ?
― Moi ? Je donne 10 € ! »
 
C’est l’histoire d’un employé de la voirie annonce à son contremaître qu’il a cassé son manche de pelle et il lui demande quoi faire.
Le contre-maître lui répond : « Je ne sais pas, je vais demander au chef de chantier quand il reviendra. »
Il attend un moment puis décide de lui téléphoner pour poser sa question.
Et ce dernier lui répond : « Je ne sais quoi faire, je vais appeler le maire. »
Le chef de chantier appelle Dumè qui lui répond : « Qu’il s’appuie sur le pick-up en attendant. »
 
De nouveau Jean-Marc et Jean-Paul, mais devant une autre bière :
« ― Quel est le comble de la compétition ?
― Je ne sais pas, moi ! Tu en as de bonnes, toi !
― Un gars qui pisse à côté d’une cascade. »
 
Ça se passe dans un club de la marine britannique.
Un jeune officier de marine s’approche d’un amiral qui semble s’ennuyer.
« ― Mes respects, Amiral, puis-je vous offrir un verre ?
― Jeune homme, j’ai bu une seule fois dans ma vie un verre d’alcool, et je n’ai jamais plus recommencé. »
Après quelques minutes, le jeune officier reprend la parole.
« ― Amiral, puis je vous proposer une partie de billard ?
― Jeune homme, j’ai joué au billard une seule fois dans ma vie, et je n’ai jamais plus recommencé.
― Une partie de cartes alors ?
― Jeune homme, j’ai joué aux cartes une seule fois dans ma vie, et je n’ai jamais plus recommencé.
Mais si vous attendez un peu, mon fils, qui a votre âge, va arriver et vous pourrez boire et jouer avec lui.
― Votre fils unique je suppose, Amiral ? »
 
C’est une vieille histoire d’un couple de vieux fermiers qui participe à la remise des prix d’un concours de taureaux.
Présentateur : « 3ème prix, le taureau Gédéon, 3 ans, 3 saillies par jour. »
La dame en donnant du coude son mari, lui dit :
« Tu as entendu 3 fois par jour… »
Présentateur : « 2ème prix, le taureau Olivier, 5 ans, 6 saillies par jour. »
La dame redonne du coude à son mari et dit :
« Tu as entendu, 6 fois par jour ! »
Présentateur : « 1er prix, le taureau Gérard, 6 ans et demi, 9 saillies par jour. » La dame répète le même geste et dit :
« Tu as entendu, 9 fois par jour, et ça c’est sans viagra. »
Notre bonhomme s’adresse au présentateur et lui dit :
« Notre Gérard à 9 fois par jour, c’est avec la même vache ? »
Et le présentateur lui répond :
« Bien sûr que non !!! »
Notre bonhomme donne du coude à sa femme et lui dit :
« Tu as entendu ? »
C’est une revenue ! Dans l’originale, il s’agissait d’un coq et ses poulettes…
 
D’ailleurs, voici la variante :
Un cultivateur jasait avec sa femme lorsque celle-ci, jetant un œil par la fenêtre lui fait la remarque suivante :
« ― J’aimerais que tu sois aussi chaud que le coq !
― Ouais, moi aussi : As-tu remarqué que le coq change de poule à chaque fois ! »
 
Encore une très vieille revenue plusieurs fois depuis quelques années.
À l’origine, elle était une réponse aux discours de J-M Le Pen qui nous pompait le nerf.
« Lorsque je nais, je suis noir.
Lorsque je grandis, je suis noir.
Lorsque je suis malade, je suis noir.
Lorsque j’ai froid, je suis noir.
Lorsque j’ai peur, je suis noir.
Lorsque je vais au soleil, je suis noir.
Et lorsque je meurs, je suis et je reste noir.
Toi, homme blanc, tu nais, tu es rose.
Tu grandis, tu es pêche.
Tu es malade, tu es vert.
Tu as froid tu es bleu.
Tu as peur, tu es blanc.
Tu vas au soleil, tu es rouge.
Et lorsque tu meurs, tu es mauve.
Et tu oses me dire que je suis un homme de couleur… ? »
 
C’est l’histoire du petit-Jean-Marc qui rentre de l’église et confie à sa mère :
« Tu sais, m’man, j’ai pris la résolution d’être toujours honnête.
Alors, quand monsieur le curé est passé avec un grand plateau plein d’argent, je lui ai dit : Non merci ! »
 
Une dernière ?
Jean-Marc questionne Jean-Paul devant une dernière bière :
« ― Combien y a-t-il de positions en amour ?
― Ooooh ! Je ne sais pas ! Plein, j’imagine !
― Ben 68, voyons !
― Et le 69 alors ?
― Ah non, ça c’est pour nettoyer les outils… »
 
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !

I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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