Il y en a plein, mais celles-là ont retenu mon
attention !
Sur tous les toits et tous les tons, on nous crie, on
nous hurle qu’à cause du changement climatique, le niveau de la mer grimpe de
façon catastrophique, que des icebergs gigantesques se détachent de l’Antarctique
pour venir grossir les flots bleus des océans, que les glaciers éternels disparaissent
sur mes montagnes pour venir grossir les fleuves dans les vallées et inonder leurs
embouchures, que les nappes phréatiques sont au plus bas « au pays »,
qu’il y a un déficit des précipitations, etc. etc.
La catastrophe humanitaire n’est pas loin… par débordement des marées !
Or, c’est exactement l’inverse qui se produit, au moins en Méditerranées et ses 2,5 millions de Km² de superficie, presque 3 avec la mer Noire.
Curieux que les « modèles » se plantent ainsi aussi lourdement, non ?
Les canaux de la « sérénissime Venise » sont
à sec et une baisse inhabituelle du niveau de la mer Méditerranée est
actuellement observée, jusqu’à 30 centimètres de moins quand ce n’est pas 40.
Les spécialistes contemplent en effet, et depuis le mois de janvier, une baisse
générale du niveau de la Méditerranée.
« On voit que, depuis le 9 février, le marégraphe de Toulon enregistre des niveaux 15 à 25 centimètres en dessous de ce qui était prévu par les modèles », a expliqué le Service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM) à Var-Matin, précisant que cette baisse remonte à fin janvier pour le littoral niçois.
Les modèles seraient-ils faux, une fois de plus ?
Et ça n’interroge pas nos « scienteux » ?
Des observations confirmées au journal par « Météo-Gauloisie » qui table même sur une baisse moyenne de la Méditerranée de 30 centimètres.
Dis donc, où sont passés les 900.000 Km3 de flotte que ça représente, s’il vous plaît, les « sachants », là ?
Ça en fait des piscines olympiques…
Or, c’est merveilleux, l’institut météorologique a l’explication :
Cette situation est la conséquence de la présence d’un puissant anticyclone
au-dessus de la Méditerranée « depuis une quinzaine de jours ».
Ce phénomène entraîne des pressions plus importantes que d’habitude qui « pèsent » sur la mer ainsi « écrasée » et en font baisser le niveau, a précisé le responsable adjoint du service prévision et climatologie de la boutique…
Cet épisode est « notable », « visible » et « particulièrement long », selon ce spécialiste patenté (payé avec mes impôts).
De plus, ce phénomène est augmenté par l’absence de « gros déplacement d’eau » ou de « résurgence marine ».
Ah bon ? Et c’est quoi, ça ?
« C’est-à-dire que les cours d’eau qui
viennent habituellement gonfler la mer près du littoral affichent actuellement
des débits très bas. Autant d’éléments qui rendent le phénomène
particulièrement visible.
On n’est pas sur des records mais sur un épisode
notable parce que particulièrement long ».
Qu’il manque de l’eau, je l’entends bien, mais 0,9
million de kilomètre-cube en 15 jours, ça me paraît démesuré.
Quant à la fameuse « haute pression » qui écraserait la mer, d’abord l’eau est très, très faiblement compressible, sans ça les couches profondes des océans seraient moins épaisses et plus denses (que même le mercure pourrait y flotter dessus…), ensuite, si je me souviens bien de mes cours de physiques antédiluviens, 30 cm (voire 40), c’est quelque chose comme 28,8 % de plus que la pression habituelle qui ne varie généralement que de quelques millimètres dans les phénomènes météorologiques les plus puissants…
Ce n’est donc pas la bonne explication, me semble-t-il.
Ou alors il faut que je descende en urgence à la cave retrouver mes cours du bahut et réviser…
En attendant cette baisse du niveau de l’eau a pour
conséquence de découvrir des espaces habituellement immergés. « Les
algues ne sont plus dans l’eau de mer et blanchissent d’ores et déjà (…) de
nombreuses espèces de mollusques qui restent hors de l’eau ne semblent pas
survivre au phénomène en cours », aura indiqué un météorologue sur « Twister ».
Moâ je veux bien, mais c’est du pain béni pour les pêcheurs de palourdes, mieux que les marées d’équinoxe…
Notez, en Méditerranée, les marées, il n’y en a pas beaucoup…
Et selon le SHOM, le phénomène pourrait encore durer jusqu’en mars.
En effet, l’auguste institut observe habituellement « un mouvement saisonnier » qui donne lieu à une baisse du niveau de l’eau de janvier à mars, après une montée des eaux en octobre et novembre.
De son côté, « Météo-Gauloisie » prévoit un retour à la normale en milieu de semaine prochaine.
Espérons-le, mais il faudra compléter les explications.
Parce que j’en ai marre que ma « Nichée » me
houspille pour ces « changements climatiques » dont je serai
responsable, tel que, par exemple, depuis désormais je dois trier mes ordures
juste avant de les balancer.
Vous allez voir, elle va m’obliger à composter mes restes de repas dans le salon d’ici peu, que ça va attirer les mouches, les rats et ça va devenir invivable de puanteur jusque chez moâ !
C’est que ma « Nichée » a un talent
particulièrement exacerbé pour me les casser « menu-menu » à la
première occasion.
Justement, qu’est-ce donc que ce « talent » ? Est-ce que ça existe, en fait ?
Pour n’en avoir aucun (de revendiqué ouvertement) je me posais la question l’autre jour.
Pourtant il est partout : Les dirigeants et cadres d’entreprises ne cessent de répéter vouloir « développer les talents », les télécrochets promettent même de dénicher une perle rare au milieu d’un océan de rêveurs illuminés et déjantés. Il existe ainsi une carte de séjour dénommé « passeport talent », qui vise à accompagner des ressortissants étrangers qualifiés dans leur démarche d’immigration en « Gauloisie-accueillante » et les « coachs en compétence » font fortune pour tenter d’y dénicher dans votre CV une once de talent.
« Dans nos sociétés, il y a une forme de fascination pour les réussites individuelles, les rescapés, ceux qui se feraient tout seuls », analyse une « neuropsychologue ».
Car on présente souvent les grands accomplissements
comme une quête individuelle aux accents mythologiques, ce qui laisse penser
que celles et ceux ayant marqué l’Histoire seraient faits d’un autre bois que
le commun des mortels, que leurs exploits auraient une explication biologique.
Demandez donc ça à Jeanne-d’Arc pour mieux en rire…
« C’est plus séduisant de croire que ce qui fait nos performances réside en nous. Pourtant, notre biologie est façonnée par ce que nous vivons. Notre vécu réagit avec nos gènes. Nous sommes façonnés par un monde social. Le génome ne nous détermine pas. Il n’explique pas nos performances » en dit la « neuropsy ».
La part du naturel est en grande partie liée à des déterminismes sociaux.
Admettons… le « wokisme » de l’égalité jusque dans le biologique : Ce sont les Asperger « Vlad-Poux-tine » ou « Élan-Must » qui doivent se bidonner !
Une position pourtantpartagée par un sociologue à l’Université
de Lille travaillant sur la valeur des sportifs (et qui cherche encore) : « Un
ensemble de conditions socio-historiques sont à l’origine d’une réussite »,
en dit-il.
Nos aptitudes se forment d’abord au contact de notre milieu d’origine. Difficile d’exprimer sa fibre artistique dans un pays où règne la censure. Tout aussi périlleux d’exceller dans un sport qui ne fait pas partie de la culture de son peuple : « Il faut un environnement propice : si Picasso était né en Corée du Nord, il ne serait pas devenu Picasso », non, il aurait eu les yeux bridés, c’est sûr !
En bref, on ne se fait pas tout seul, on s’imprègne de rencontres, de nos apprentissages et des structures qui nous entourent.
Au sein même d’un territoire donné, le lieu et la
classe d’origine sont des facteurs importants d’explication de réussite. « Il
y a des filières, ancrées dans des territoires, qui participent à la
fabrication de sportifs plutôt que de politiques. Et inversement »,
considère un « chercheur-qui-cherche » quelques… lapalissades.
Les joueurs de football professionnels sont ainsi majoritairement issus de familles modestes vivant dans des quartiers populaires, tandis que les personnalités politiques proviennent davantage de familles de professeurs ou de cadres supérieurs.
Personnellement, j’en pense que certains sont doués/entrainés à l’analyse détaillée ou plutôt à la synthèse, mais bon, je ne suis que « moâ », sans talent particulier (et révélé…)
Car pour ces « futurs-trouveurs », avoir du talent signifie dans un premier temps connaître les codes sociaux d’un univers pour y accéder. Mais une fois intégrés dans le monde politique ou sportif, pourquoi certains et pas d’autres se hissent-ils jusqu’à la présidence de la République, ou en finale de Coupe du monde ?
Pour les théoriciens de la pratique délibérée, une
stratégie apparue au début des années 1990, la réponse est simple : C’est le
travail qui mène au talent !
Voltaire doit se retourner dans son Panthéon…
Ainsi, tout le monde détiendrait des capacités semblables, et c’est la pratique qui conduirait à la réussite.
Alors que pour le susnommé, la réussite, vous rappelle-je, c’est du travail, du talent et de la chance… Les uns sans les autres, c’est rester indéfiniment « médiocre ».
Un psychologue suédois a d’ailleurs déterminé un modèle mathématique définissant la meilleure manière de devenir expert dans un domaine : La règle des 10.000 heures, selon laquelle au bout de 10.000 heures de pratique de n’importe quelle activité, un champion naîtrait…
Je dois être champion du monde du verbiage, alors !
Pourtant, les différences de réussite existent, en nuance
un autre : « Dans les échecs, par exemple, à quantité d’exercice équivalent,
on observe des individus progresser beaucoup plus vite dans leur apprentissage.
»
Sauf que le champion du monde, roi des rois de l’échiquier, Magnus Carlsen, a atteint le niveau d’un joueur professionnel au bout de seulement 5.000 heures d’entraînement.
S’il est difficile de mesurer précisément le temps nécessaire pour acquérir une expertise, la théorie a tout de même le mérite de souligner la part du travail dans les parcours notamment artistiques.
De fait, la création est souvent perçue comme le fruit d’une inspiration heureuse, dont le commun des mortels ne serait finalement pas doté.
Une idée reçue est ainsi récusée : « Elle est une compétence qui s’entraîne et se travaille. Écrire un scénario, c’est assimiler un certain nombre d’astuces sur la manière de raconter une histoire. Mais la sueur doit tomber au bon endroit. »
Moâ je veux bien, mais je reste le seul dans la littérature contemporaine à vous proposer des « histoires » qui n’ont jamais eu lieu mais qui pourraient avoir eu lieu sans pour autant laisser de traces dans l’actualité, alors qu’elles restent cohérentes avec cette dernière.
Même au-delà, je vous fournis ainsi une explication rationnelle à ces éléments factuels quand ils rentrent dans les livres d’Histoire alors que les historiens et autres observateurs y échouent régulièrement, faute d’avoir cherché.
Car reste une part d’aléatoire.
Sauf que dans mes scénarii, l’aléa est déjà anticipé au moment de leur conception…
Le « talent » est donc un mot fourre-tout
assez pratique, qui permet « de catégoriser ce qui ne peut pas être prédit »,
analyse une pointure, professeur en sociologie au « Collège de Gauloisie ».
Selon lui, un cas comme celui du mathématicien « Gauloisien » Alexandre Grothendieck, récipiendaire de la médaille Fields en 1966, est propice à alimenter la part de fantasme habituellement associée au talent : « C’était un véritable génie. Sans avoir fait de parcours universitaire, avec des connaissances très peu approfondies et un temps de pratique très court, Grothendieck est parvenu à refonder la géométrie algébrique et à devenir l’un des plus grands mathématiciens du siècle. Sans que l’on sache vraiment comment ! »
Justement, moâ je sais : Il a réfléchi en dehors des sentiers battus.
Des théories fumeuses ont également vu le jour dans
son sillage : Les gauchers seraient plus à même de devenir des génies, les
personnes nées durant la première moitié de l’année auraient plus de chance de
réussir… Toutes peu concluantes.
« Si nous détenions l’équation explicative du succès, il n’y aurait plus d’invention, d’innovation, de plaisir pris à l’exploit », estime encore un autre.
Les grands résultats sportifs, les épopées politiques ou les œuvres majeures en littérature conservent ainsi une part de mystère, que seule la formule laconique de « Pierrot-Bourg-dieu » permettrait de résoudre : « Il ne faut conclure au talent qu’en désespoir de cause. »
Le comique.
Le talent, ce n’est seulement que le regard de l’autre sur une chose réalisée ou un parcours de vie, rien de plus.
Par exemple, je reste très mesuré quant à nos peintres et sculpteurs passés et jusqu’à l’antiquité : Quand ils reproduisaient « des nus » dans leur art, considéré comme des chefs-d’œuvre, n’avez-vous jamais remarqué que c’était toujours de jeunes nymphes ou des éphèbes ?
À mon époque, on en aurait pu en dire que c’était l’œuvre d’obsédés sexuels portés quasi-exclusivement sur la pédophilie tellement les modèles sont parfois à peine sortie de l'enfance…
Sur ce et avec ces éléments de réflexions « scientifiques »,
Je vous souhaite une bonne fin de week-end à toutes et à tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
La catastrophe humanitaire n’est pas loin… par débordement des marées !
Or, c’est exactement l’inverse qui se produit, au moins en Méditerranées et ses 2,5 millions de Km² de superficie, presque 3 avec la mer Noire.
Curieux que les « modèles » se plantent ainsi aussi lourdement, non ?
« On voit que, depuis le 9 février, le marégraphe de Toulon enregistre des niveaux 15 à 25 centimètres en dessous de ce qui était prévu par les modèles », a expliqué le Service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM) à Var-Matin, précisant que cette baisse remonte à fin janvier pour le littoral niçois.
Les modèles seraient-ils faux, une fois de plus ?
Et ça n’interroge pas nos « scienteux » ?
Des observations confirmées au journal par « Météo-Gauloisie » qui table même sur une baisse moyenne de la Méditerranée de 30 centimètres.
Dis donc, où sont passés les 900.000 Km3 de flotte que ça représente, s’il vous plaît, les « sachants », là ?
Ça en fait des piscines olympiques…
Ce phénomène entraîne des pressions plus importantes que d’habitude qui « pèsent » sur la mer ainsi « écrasée » et en font baisser le niveau, a précisé le responsable adjoint du service prévision et climatologie de la boutique…
Cet épisode est « notable », « visible » et « particulièrement long », selon ce spécialiste patenté (payé avec mes impôts).
De plus, ce phénomène est augmenté par l’absence de « gros déplacement d’eau » ou de « résurgence marine ».
Ah bon ? Et c’est quoi, ça ?
Quant à la fameuse « haute pression » qui écraserait la mer, d’abord l’eau est très, très faiblement compressible, sans ça les couches profondes des océans seraient moins épaisses et plus denses (que même le mercure pourrait y flotter dessus…), ensuite, si je me souviens bien de mes cours de physiques antédiluviens, 30 cm (voire 40), c’est quelque chose comme 28,8 % de plus que la pression habituelle qui ne varie généralement que de quelques millimètres dans les phénomènes météorologiques les plus puissants…
Ce n’est donc pas la bonne explication, me semble-t-il.
Ou alors il faut que je descende en urgence à la cave retrouver mes cours du bahut et réviser…
Moâ je veux bien, mais c’est du pain béni pour les pêcheurs de palourdes, mieux que les marées d’équinoxe…
Notez, en Méditerranée, les marées, il n’y en a pas beaucoup…
Et selon le SHOM, le phénomène pourrait encore durer jusqu’en mars.
En effet, l’auguste institut observe habituellement « un mouvement saisonnier » qui donne lieu à une baisse du niveau de l’eau de janvier à mars, après une montée des eaux en octobre et novembre.
De son côté, « Météo-Gauloisie » prévoit un retour à la normale en milieu de semaine prochaine.
Espérons-le, mais il faudra compléter les explications.
Vous allez voir, elle va m’obliger à composter mes restes de repas dans le salon d’ici peu, que ça va attirer les mouches, les rats et ça va devenir invivable de puanteur jusque chez moâ !
Justement, qu’est-ce donc que ce « talent » ? Est-ce que ça existe, en fait ?
Pour n’en avoir aucun (de revendiqué ouvertement) je me posais la question l’autre jour.
Pourtant il est partout : Les dirigeants et cadres d’entreprises ne cessent de répéter vouloir « développer les talents », les télécrochets promettent même de dénicher une perle rare au milieu d’un océan de rêveurs illuminés et déjantés. Il existe ainsi une carte de séjour dénommé « passeport talent », qui vise à accompagner des ressortissants étrangers qualifiés dans leur démarche d’immigration en « Gauloisie-accueillante » et les « coachs en compétence » font fortune pour tenter d’y dénicher dans votre CV une once de talent.
« Dans nos sociétés, il y a une forme de fascination pour les réussites individuelles, les rescapés, ceux qui se feraient tout seuls », analyse une « neuropsychologue ».
Demandez donc ça à Jeanne-d’Arc pour mieux en rire…
« C’est plus séduisant de croire que ce qui fait nos performances réside en nous. Pourtant, notre biologie est façonnée par ce que nous vivons. Notre vécu réagit avec nos gènes. Nous sommes façonnés par un monde social. Le génome ne nous détermine pas. Il n’explique pas nos performances » en dit la « neuropsy ».
La part du naturel est en grande partie liée à des déterminismes sociaux.
Admettons… le « wokisme » de l’égalité jusque dans le biologique : Ce sont les Asperger « Vlad-Poux-tine » ou « Élan-Must » qui doivent se bidonner !
Nos aptitudes se forment d’abord au contact de notre milieu d’origine. Difficile d’exprimer sa fibre artistique dans un pays où règne la censure. Tout aussi périlleux d’exceller dans un sport qui ne fait pas partie de la culture de son peuple : « Il faut un environnement propice : si Picasso était né en Corée du Nord, il ne serait pas devenu Picasso », non, il aurait eu les yeux bridés, c’est sûr !
En bref, on ne se fait pas tout seul, on s’imprègne de rencontres, de nos apprentissages et des structures qui nous entourent.
Les joueurs de football professionnels sont ainsi majoritairement issus de familles modestes vivant dans des quartiers populaires, tandis que les personnalités politiques proviennent davantage de familles de professeurs ou de cadres supérieurs.
Personnellement, j’en pense que certains sont doués/entrainés à l’analyse détaillée ou plutôt à la synthèse, mais bon, je ne suis que « moâ », sans talent particulier (et révélé…)
Car pour ces « futurs-trouveurs », avoir du talent signifie dans un premier temps connaître les codes sociaux d’un univers pour y accéder. Mais une fois intégrés dans le monde politique ou sportif, pourquoi certains et pas d’autres se hissent-ils jusqu’à la présidence de la République, ou en finale de Coupe du monde ?
Voltaire doit se retourner dans son Panthéon…
Ainsi, tout le monde détiendrait des capacités semblables, et c’est la pratique qui conduirait à la réussite.
Alors que pour le susnommé, la réussite, vous rappelle-je, c’est du travail, du talent et de la chance… Les uns sans les autres, c’est rester indéfiniment « médiocre ».
Un psychologue suédois a d’ailleurs déterminé un modèle mathématique définissant la meilleure manière de devenir expert dans un domaine : La règle des 10.000 heures, selon laquelle au bout de 10.000 heures de pratique de n’importe quelle activité, un champion naîtrait…
Je dois être champion du monde du verbiage, alors !
Sauf que le champion du monde, roi des rois de l’échiquier, Magnus Carlsen, a atteint le niveau d’un joueur professionnel au bout de seulement 5.000 heures d’entraînement.
S’il est difficile de mesurer précisément le temps nécessaire pour acquérir une expertise, la théorie a tout de même le mérite de souligner la part du travail dans les parcours notamment artistiques.
De fait, la création est souvent perçue comme le fruit d’une inspiration heureuse, dont le commun des mortels ne serait finalement pas doté.
Une idée reçue est ainsi récusée : « Elle est une compétence qui s’entraîne et se travaille. Écrire un scénario, c’est assimiler un certain nombre d’astuces sur la manière de raconter une histoire. Mais la sueur doit tomber au bon endroit. »
Moâ je veux bien, mais je reste le seul dans la littérature contemporaine à vous proposer des « histoires » qui n’ont jamais eu lieu mais qui pourraient avoir eu lieu sans pour autant laisser de traces dans l’actualité, alors qu’elles restent cohérentes avec cette dernière.
Même au-delà, je vous fournis ainsi une explication rationnelle à ces éléments factuels quand ils rentrent dans les livres d’Histoire alors que les historiens et autres observateurs y échouent régulièrement, faute d’avoir cherché.
Car reste une part d’aléatoire.
Sauf que dans mes scénarii, l’aléa est déjà anticipé au moment de leur conception…
Selon lui, un cas comme celui du mathématicien « Gauloisien » Alexandre Grothendieck, récipiendaire de la médaille Fields en 1966, est propice à alimenter la part de fantasme habituellement associée au talent : « C’était un véritable génie. Sans avoir fait de parcours universitaire, avec des connaissances très peu approfondies et un temps de pratique très court, Grothendieck est parvenu à refonder la géométrie algébrique et à devenir l’un des plus grands mathématiciens du siècle. Sans que l’on sache vraiment comment ! »
Justement, moâ je sais : Il a réfléchi en dehors des sentiers battus.
« Si nous détenions l’équation explicative du succès, il n’y aurait plus d’invention, d’innovation, de plaisir pris à l’exploit », estime encore un autre.
Les grands résultats sportifs, les épopées politiques ou les œuvres majeures en littérature conservent ainsi une part de mystère, que seule la formule laconique de « Pierrot-Bourg-dieu » permettrait de résoudre : « Il ne faut conclure au talent qu’en désespoir de cause. »
Le comique.
Le talent, ce n’est seulement que le regard de l’autre sur une chose réalisée ou un parcours de vie, rien de plus.
Par exemple, je reste très mesuré quant à nos peintres et sculpteurs passés et jusqu’à l’antiquité : Quand ils reproduisaient « des nus » dans leur art, considéré comme des chefs-d’œuvre, n’avez-vous jamais remarqué que c’était toujours de jeunes nymphes ou des éphèbes ?
À mon époque, on en aurait pu en dire que c’était l’œuvre d’obsédés sexuels portés quasi-exclusivement sur la pédophilie tellement les modèles sont parfois à peine sortie de l'enfance…
Je vous souhaite une bonne fin de week-end à toutes et à tous !
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