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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 6 juin 2022

Nous, on avait le « cousin-Pasquale ». Eux ils ont Lavrov

Mais c’est pareil, l’accent marseillais en moins…
 
... les lunettes en plus, mais ils ont la même tronche !
Et il faut voir le phénomène quand « Sergueï », ministre des Affaires étrangères de « Vlad-Poux-tine », accorde une interview exclusive à TF1 et LCI.
Ce n’est pas spectaculaire comme du temps de « Paquale », parce que ce dernier avait une façon d’énoncer des vérités en ayant l’air de se foutre de votre gueule avec son accent au pastaga marseillais, que l’autre n’a pas : Lui se prend au sérieux… probablement parce qu’il est natif-russe et abreuvé à la vodka.
Comme quoi, ils ne sont pas drôles du côté de la Moskova.
En revanche, ça reste intéressant.
À tel point que je reprends l’essentiel de cet interview, juste pour que vous puissiez dormir tranquillement jusqu’à demain…
Un entretien où le bras droit du président russe revient sur les raisons de l’offensive russe, le bilan humain de ce conflit meurtrier et les relations avec la « Gauloisie-jupitérienne ».
Évidemment, lui comme le « cousin-Pasquale », il ne raconte que ce qu’il a envie de raconter : C’est le comique du sketch…
 
La journaliste Liseron Boudoul : « Trois mois après le début de l’invasion, quel bilan faites-vous aujourd’hui de cette guerre ? Est-ce un succès ou un échec ? »
Sergueï Lavrov : « Vous savez, contrairement à nos collègues occidentaux, nous ne courons pas après les effets de manche. Nous ne cherchons pas une approbation ou un succès pour les actions que nous entreprenons sur la scène internationale. Nous faisons ce que nous sommes contraints de faire : nous protégeons les populations et nous protégeons la langue russe qui a été directement discriminée et agressée par les régimes successifs en Ukraine, tant sous Porochenko que sous Zelensky. »
Moâ, je vois bien mes « cousins-natio » faire la guerre aux pinzuti pour défendre la langue-Corse, tiens…
« Nous protégeons l’Ukraine de la nazification, qui s’y poursuit depuis de nombreuses années avec la connivence directe de l’Occident ».
Faudrait venir en faire autant en « Gauloisie-manifeste »…
 
« L’Occident ne se souciait pas de ce qu’il arrivait à la langue russe, à l’éducation russe, aux médias russes qui étaient interdits par la loi. Pendant des années, nous avons frappé à différentes portes en Europe et aux États-Unis. L’Occident y est resté complétement sourd.
Pendant des années, nous avons essayé de persuader l’Occident que l’Ukraine ne devait pas être entrainée dans l’OTAN. Or l’OTAN s’était déjà rapprochée à cinq reprises de la frontière russe, contrairement à toutes les promesses faites lorsque l’Union soviétique a disparu. L’hypocrisie de l’Occident s’est parfaitement illustrée par les réactions aux décisions prises par les États-Unis et l’OTAN dans des situations telles que la Yougoslavie en 1999, l’Irak en 2003 et la Libye, en 2011. »
Il y a confusion des genres : La Yougoslavie a été détruite par les yougoslaves, l’Irak, ce n’est pas l’Otan et la Libye, pas plus !
Il devrait relire ses cartes géographiques.
 
« Toutes ces aventures militaires ont été lancées par les États-Unis sous prétexte que ces foyers de tension représentaient une menace pour eux. Et cette menace était à plus de 10.000 km des côtes américaines. »
Un peu loin pour se sentir menacé, effectivement… c’est pourquoi que l’argument ne peut pas prospérer.
Même si c’est plus compliqué que ça.
 
« Pourtant, tout le monde a suivi Washington, pour détruire d’abord la Yougoslavie, puis l’Irak, puis la Libye. Plus d’un million de civils sont morts dans ces conflits et personne n’a rien dit. Tout le monde a trouvé ça normal. Parce que le souverain du monde, les États-Unis, commandent à tous les autres pays occidentaux. »
Minute : Les dirigeants européens ont sollicité les USA pour venir faire la police en Yougoslavie, pour aller réduire les Daech en Irak, et la « Gauloisie-chiraquienne » a interdit aux jets-ricains de survoler le territoire.
On n’allait quand même pas s’opposer à ce qu’ils fassent un détour vers la Libye.
En revanche, « Bling-bling » n’a demandé d’autorisation pour aller bombarder le leader libyen qu’à l’ONU…
Tu y étais, non ? Et qu’as-tu fait de ton droit de veto, complice que tu es par abstention !
 
« En Europe – à l’exception de la guerre en Irak où la France et l’Allemagne se sont opposées aux actions injustifiées et totalement inacceptables de Washington – dans tous les autres cas, tous les pays européens ont rapidement convenu que les États-Unis avaient le droit de déclarer une menace pour leur sécurité, n’importe où dans le monde, et de faire ce qu’ils voulaient. La Russie n’a pas déclaré une menace pour sa sécurité du jour au lendemain. Elle a, pendant de nombreuses années, exhorté l’Occident à ne pas faire de l’Ukraine un pays antirusse. En d’autres termes, la menace qui pèse directement sur nos frontières – et contre laquelle nous mettons en garde depuis de nombreuses années – a été complètement ignorée. C’est pourquoi notre opération militaire était inévitable. »
Il oublie de dire que ce sont les russes eux-mêmes qui empoisonnaient les leaders ukrainiens et envoyaient des « forces spéciales » à Kiev durant la révolution orange et les événements de la place Maïdan…
Il est bien rigolo, finalement, celui-là…
Et puis il oublie de dire que les ukrainiens ont fermé le canal de Crimée du nord du jour au lendemain, privant les agriculteurs locaux d’irrigation…
Le véritable enjeu de cette campagne absurde : La Crimée, c’est invivable sans eau. Il fallait y penser avant de tout casser le long de la mer d’Azov et de la frontière russe, non ?
 
« Nous avons essayé d’alerter l’Occident depuis très longtemps. Et le président Macron a également parlé, à maintes reprises, de la nécessité d’une nouvelle architecture de sécurité européenne. Mais les États-Unis ne le permettent pas, et ne permettront pas de faire quoi que ce soit. Les États-Unis ont complétement assujetti l’Europe. Bien sûr, nous voyons le désir de la France de promouvoir son idée d’autonomie stratégique de sécurité européenne, le président Macron en parle régulièrement. Mais aucun autre pays ne semble très enthousiaste. Tous disent, même les Allemands, que la sécurité de l’Europe est impossible sans l’OTAN. »
Que même les finlandais, les suédois et les danois s’en sont rendus compte, dis-donc !
Et pourtant, ce n’étaient pas des « pays alignés » depuis tant de décennies…
 
L.B. : « J’ai passé près de trois mois dans le Donbass. Et tous les miliciens, tous les militaires que j’ai rencontrés, m’ont dit que cette guerre allait durer, qu’elle serait sanglante. Cette bataille sur le front du Donbass est-elle la dernière ? Est-ce-que « l’opération militaire russe » va s’arrêter après ? » 
S.L. : « Certes, des gens meurent. Mais si l’opération prend autant de temps, comme nous l’observons maintenant, c’est d’abord parce que l’armée russe a reçu l’ordre d’éviter à tout prix toute attaque, toute frappe contre des infrastructures civiles. Seules les infrastructures, les équipements et les effectifs militaires doivent être ciblés. »
Alors tout est « militaire » chez les ukrainiens, puisque l’armée russe ne laisse que des ruines quand elle progresse…
 
« Nous agissons de manière complétement différente par rapport à l’armée ukrainienne et au bataillon néo-nazi ukrainien qui utilisent simplement les civils comme boucliers humains. Si vous avez été sur place, vous avez probablement vu ou entendu comment ces bataillons ukrainiens placent des armes lourdes dans les zones résidentielles, près des écoles, des hôpitaux et près des jardins d’enfants. Vous savez aussi probablement comment ils bombardent régulièrement Donetsk, les zones résidentielles de cette grande ville, comment les civils en souffrent. Notre objectif évident, c’est bien sûr de repousser l’armée ukrainienne et les bataillons ukrainiens en dehors des régions de Donetsk et de Lougansk. Pour le reste des territoires en Ukraine, où il y a des gens qui ne veulent pas rompre les liens avec la Russie, ce sera aux populations de ces régions de décider. Je ne pense pas que ces habitants seront heureux de revenir sous le pouvoir d’un régime néo-nazi qui est complétement russophobe. C’est au peuple lui-même de décider. »
C’est évident à ses yeux : Les agresseurs, les envahisseurs, ce sont les ukrainiens jusque chez eux-mêmes…
Quant « au peuple qui décide », je croyais qu’ils avaient tous été évacués, sauf les militaires russes…
 
L.B. : « Y aura-t-il, enfin, de réelles négociations de paix ? Que demandez-vous concrètement à l’Ukraine ? »
S.L. : « Nous ne voulons pas dire que la voie pour renouer un certain dialogue est coupée. Mais nous jugerons désormais les intentions européennes uniquement sur la base d’actions concrètes. Vous savez, nous ne demandons que ce que le président Poutine a déjà annoncé depuis le début de l’opération spéciale. À savoir que le régime de Kiev cesse de tuer des civils dans le Donbass comme il le fait depuis huit longues années, depuis le coup d’État en Ukraine en 2014. »
Un coup d’État en Ukraine ? Fomenté et porté par qui au juste ?
 
« C’est pourquoi nos objectifs sont de protéger les civils du Donbass et de démilitariser l’Ukraine. C’est-à-dire qu’il ne doit plus y avoir d’armes sur son territoire qui représentent une menace pour la Fédération de Russie. Nous voulons aussi rétablir les droits de la langue russe, conforment à la Constitution de l’Ukraine, que le régime de Kiev a violé en adoptant des lois antirusses. Mais il faut aussi dénazifier l’Ukraine, parce que les idées et les actes néo-nazis font maintenant partie de la vie en Ukraine. »
Le problème, c’est que cette « opération spéciale » qui dure ne fera jamais que renforcer la russophobie ukrainienne, et pour de nombreuses générations…
 
L.B. : « Est-ce qu’il y aura d’autres batailles après celle sur le front du Donbass ? » 
S.L. : « Notre priorité absolue, c’est la libération des régions de Donetsk et de Lougansk qui sont désormais reconnues par la Fédération de Russie comme des États indépendants. »
Il n’y a qu’en Russie qu’on les reconnait comme tel…
Même pas la Chine ni la Corée du Nord !
 
L.B. : « Donc les républiques de Donetsk et de Lougansk seront annexées par la Russie ? » 
S.L. : « Il ne s’agit pas d’annexion ».
Bé voyons ! Ça s’appelle comment alors ?
« Il s’agit d’une opération militaire demandée par les États souverains que sont les Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, en vertu de la Charte des Nations unies, dont l’article 51 prévoit le droit de légitime défense individuelle et collective. Nous défendons les populations et nous les aidons à rétablir leur intégrité territoriale. »
Bé alors, il fallait demander aux USA, à l’Otan, à l’UE un vote spécial à l’ONU pour autoriser cette opération et pas y aller tout seul comme un kon.
(Aparté : Dumé : « Tu crois qu’on peut compter sur les russes pour nous libérer du joug des pinzuti ? »
« Même pas : Ils n’ont rien fait pour les kanaks ! »)
 
L.B. : « Entre les sanctions économiques qui se renforcent chaque jour, avec les canons français qui arrivent côté ukrainien, et les expulsions de diplomates de part et d’autre, est-ce-que la France et la Russie sont encore des partenaires ? »
S.L. : « Vous avez parlé d’expulsions croisées de diplomates. Mais nous n’avons chassé personne. »
Si : Les ukrainiens du Donbass tout de même.
« Ces sanctions sont hystériques. Je dirais même qu’elles indiquent une impuissance. La rapidité avec laquelle elles ont été imposées et leur ampleur montre certainement qu’elles n’ont pas été rédigées du jour au lendemain. »
Bé si : Après plus de trois mois, on y revient encore…
« Elles ont été préparées il y a longtemps, et il est peu probable qu’elles soient levées à l’avenir. Les États-Unis ne le disent pas publiquement, mais dans leurs contacts avec leurs alliés, ils disent que lorsque tout cela sera terminé, les sanctions resteront en vigueur. »
J’espère bien ! La loi internationale aura été piétinée, il s’agit de le faire savoir encore longtemps, tiens donc !
 
« Donc en fait, l’Ukraine n’est qu’un outil, une pièce de rechange. Il s’agit d’étouffer le développement de la Russie. Car la Russie empêche le développement d’un monde unipolaire que Washington a proclamé, avec l’assentiment de l’Europe.
Je ne sais pas ce que l’Europe a à y gagner dans cette situation sur le plan géopolitique.
Tous les experts politiques le disent : le principal perdant de cette histoire, c’est l’Europe. »
Le principe vital d’un « expert », c’est justement de se planter.
Demande donc à ton état-major quand il a s’agit de faire tomber Kiev en 48 heures…
 
L.B. : « Depuis le début, le président Macron n’a jamais coupé le canal de communication avec le président Poutine. Souhaitez-vous qu’il continue ainsi, et pourquoi faire ? » 
S.L. : « Vous savez, nous ne nous imposons à personne. »
Non, bien sûr, ni au Donbass, ni en Crimée, ni en Ossétie, ni en Transnistrie, ni encore ailleurs dans la région, c’est d’une telle évidence !
« Si quelqu’un veut nous parler, le président Poutine ne refuse jamais la demande d’un homologue qui demande un appel ou une rencontre en face-à face. Tout le monde le sait. Moi et les autres membres du gouvernement russe, nous faisons de même. »
De toute façon, tu n’écoutes même pas ce qu’ils ont à raconter…
 
L.B. : « Qu’attendez-vous précisément de la France et du président Macron ? »
S.L. : « Si le président Macron approche le président Poutine avec une proposition de communication, je vous garantis qu’il sera reçu. Nous ne nous imposons à personne. Nous entendons la Russie être accusée publiquement d’agressions par tous les dirigeants de l’Union européenne, sans exception, dans un langage assez belliqueux. Nous l’entendons. »
Et tu n’en as rien à cirer, naturellement…
« Donc, si derrière ce langage, il y a une volonté d’agir sur les problèmes et sur les causes de la crise actuelle de la sécurité européenne, alors nous serons toujours prêts à discuter. Si le président Macron, qui a une relation de confiance très ancienne avec le président Poutine, propose une discussion, je le réitère, elle sera acceptée. 
Mais je dois dire, à mon immense regret, que malgré la visite du président Macron et les bonnes relations de confiance qui existent entre lui et le président Poutine, la France joue un rôle actif en Ukraine. Et alimente le nationalisme ukrainien et le néo-nazisme. Nous sommes tristes de le constater. La France arme activement l’Ukraine, y compris avec des armes offensives, et elle réclame une guerre jusqu’au bout pour vaincre la Russie. »
Évidemment, si la « Gauloisie-jupitérienne » proposait immédiatement une reddition sans condition de nos armes face à celles de « poux-tine », peut-être écouterait-il… Sinon, à quoi bon essayer de l’intéresser au sort des ukrainiens et même des russes engagés dans ce conflit ?
 
L.B. : « En Europe, certains disent que Poutine est malade, d’autres qu’il est inquiet, d’autres, énervé. Comment va-t-il ? »
Merci de s’inquiéter pour lui : Moi, je vais bien et picole toujours autant si ça peut rassurer Liseron…
S.L. : « Vous savez, le président Poutine apparaît en public tous les jours. Vous pouvez le voir sur les écrans, lire ses discours, écouter ses discours. Je ne pense pas que des personnes saines d’esprit puissent distinguer un quelconque symptôme de maladie chez cet homme. »
Bé si justement, sans ça on ne se poserait pas la question !
 
Bref, Lavrov est peut-être moins drôle que le « cousin-Pasquale », mais c’est la même langue de bois.
Sauf que lui n’use pas du pastaga mais probablement plus de la vodka russe, et ça, ça monte jusqu’à la pointe des cheveux…
On peut d’ailleurs reconnaître à « Poux-tine » de ne pas en abuser : Il n’a quasiment plus de cheveux.
Du coup, c’est probablement pour cette raison qu’ils sont moins drôles mais pas plus crédibles que « le cousin »…

2 commentaires:

  1. Putaing Cong, comme on dit à Marseille, je vous lis avec un plaisir certain depuis au moins les élections de 2017 (y compris vos romans), souvent dès 02:01du matin (Je dors moins bien à 65 ans) Mais là, depuis quelques semaines, j'ai l'impression de lire la version 'blog' de BFM ! La chaine qui débite des conneries au 'cube'.
    Cordialement.

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  2. C'est probablement l'époque qui veut ça !
    mdr
    Ceci dit, les romans sont en place pour l'été suivant... dès après mon départ pour la "Corsica-Bella-Tchi-Tchi" pour "mes estives".

    Et pour l'heure, j'ai la tête farcie entre ces sacrées élections et les délires qu'elles provoquent et ces kons de russes qui ne trouvent rien de mieux que de tester leurs matériels sur des slaves orthodoxes qu'ils prétendent être leurs frères.
    On n'est plus à quelques paradoxes près, n'est-ce pas !

    Bonne continuation, Cher anonyme !

    I-Cube

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