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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 3 juin 2022

Collecte préparée par Jean-Marc

Une série décousue…
 
Lundi à l’atelier, un jeune apprenti se plaint à son collègue de travail :
« – J’en ai marre de ce monde d’individualistes. Personne n’est prêt à lever le petit doigt pour aider son prochain…
– Qu’est-ce qui te fait dire ça ? » demande l’autre.
« Regarde, ce week-end, mon beau-frère est venu manger à la maison. Comme je dois réparer mon Peugeot, je lui ai demandé : « Tu pourrais pas me prêter 100 euros pour que je puisse réparer mon scooter ? ». Eh bien, tu me croiras si tu veux, ce pourri me les a refusés ! »
Et le collègue :
« Je te préviens tout de suite : Moi aussi je suis un pourri ! »
 
C’est l’histoire du gars qui a rencontré une jolie cavalière et qui a pris rendez-vous dans 5 jours pour une randonnée à cheval.
Seulement il n’est jamais monté à cheval.
Il décide alors de se mettre à l’équitation illico.
Et il grimpe sur le premier cheval venu, sans aucune aide ni supervision.
Lorsque le cheval se met à galoper, le gars n’est pas très stable et commence à glisser de sa selle.
Terrorisé, il essaie de s’accrocher à la crinière du cheval, mais sans succès.
Le cheval continue de galoper, apparemment insensible à la situation précaire de son cavalier.
Le gars lâche finalement prise, espérant tomber en douceur sous le cheval sans se faire piétiner, mais son pied reste coincé dans l’étrier…
Sa tête cogne plusieurs fois le sol.
Il est au bord de l’évanouissement quand, par miracle, le directeur du supermarché le remarque et débranche la prise…
 
Un culturiste emmène une fille dans sa chambre et commence à se déshabiller.
À chaque fois qu’il enlève un vêtement, il montre un de ses muscles en disant :
« Tu vois, çà, c’est de la dynamite !
Touche un peu ces pectoraux, de la dynamite !
Et mes biceps, de la dynamite !
Tâte un peu ces dorsaux, de la dynamite !
Appuie sur les cuisses, ça c’est de la dynamite ! »
Quand il termine de se déshabiller la jeune fille lui demande :
« Dis donc, ce n’est pas dangereux toute cette dynamite avec une aussi petite mèche ? »
 
Un artiste-peintre se rend à la galerie qui expose ses œuvres pour jauger de l’intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d’art.
Le responsable des lieux lui explique sans détour :
« – En fait, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer.
– Bon et bien commencez par la bonne !
– La bonne nouvelle, c’est qu’un investisseur est venu l’autre jour pour une évaluation globale des œuvres que vous présentez chez nous. Il nous a demandé si vos toiles prendraient de la valeur après votre disparition.
– Et que lui avez-vous répondu ? » interroge le peintre.
« – Nous lui avons dit que sans nul doute, les prix de vos œuvres doubleraient après votre mort… Et il a acheté les 18 tableaux en exposition.
– Excellent ! » réagit le peintre. « Et la mauvaise nouvelle alors ? »
Le propriétaire de la galerie explique, un peu hésitant :
« Eh bien, c’est que cet acheteur… c’est votre médecin généraliste ! »
 
C’est un pharmacien qui, en arrivant au travail vers dix heures, voit un gars debout l’air crispé, se tenant d’une main près de la porte sur le mur extérieur.
Notre pharmacien demande à sa charmante employée :
« – C’est quoi l’affaire du gars dehors ?
– À l’ouverture ce matin, il est venu acheter du sirop pour la toux, mais je n’en ai pas trouvé !!!! Alors je lui ai vendu une bouteille de laxatif et le gars l’a bue sur place. »
Le pharmacien, choqué, hurle : « TU NE PEUX PAS SOIGNER UNE TOUX AVEC DU LAXATIF !!!! »
La jolie employée répond d’une voix douce :
« Bien sûr que si, vous pouvez… Regardez, maintenant, il n’ose plus tousser !!! »
 
Une vieille dame arrive à la station-service dans sa voiturette sans permis et dit au pompiste :
« – Je voudrais de l’essence, mais alors juste un dé à coudre, hein !
– Très bien à votre service », répond le pompiste.
« Et puis de l’huile, mais trois gouttes, hein ! »
Le pompiste la regarde d’un air quelque peu interloqué et lui demande :
« Et dans les pneus, je mets un pet d’air ? »
 
Trois hommes s’inscrivent à un concours de natation pour handicapés.
Le premier n’a pas de bras, le second n’a pas de jambes, quant au troisième, il n’a pas de corps, rien qu’une tête.
Ils s’alignent sur les plongeoirs, « Bang ! » fait le pistolet, puis « Splash » font les compétiteurs, les voilà tous dans la flotte.
Le manchot prend instantanément la première place, serré de près par le cul-de-jatte.
L’homme-tête coule comme un plomb.
Dix longueurs de bassin plus tard, le cul-de-jatte est vainqueur.
Il voit des bulles qui remontent du fond de la piscine, devine que c’est l’homme-tête qui est en difficulté, et décide d’aller à sa rescousse.
Il replonge, attrape l’homme-tête, remonte à la surface, et le repose sur le bord de la piscine.
L’homme-tête recrache l’eau de Javel, tousse, s’étrangle, puis finit par s’exclamer :
« Tu passes trois ans à t’entraîner à nager avec tes oreilles, et trente secondes avant le départ, y’a un connard qui te fout un bonnet de bain !!! »
 
Un étudiant, grand amateur de radio, tente de convaincre une amie de rencontre de l’accompagner jusqu’à son appartement.
« Je vais vous montrer quelque chose qui vous plaira sûrement », lui dit-il.
« C’est un récepteur à modulation de fréquence que j’ai passé en fraude lors de mon dernier voyage à Hong-Kong. Une merveille de technique. »
« Pas question », répond la belle, « parce que je sais trop ce qui va se passer.
Vous allez commencer par me faire manipuler votre appareil, puis vous allez déplier votre antenne télescopique et moi je vais me retrouver, au bout de neuf mois, avec un haut-parleur sur les bras ! »
 
En rentrant le soir après son travail, Jean-Marc dit à sa femme :
« – Chérie, j’ai invité Jean-Paul à venir dîner à la maison ce soir, il sera là dans une heure.
– Quoi ? Mais tu es fou ma parole ?
La maison est un vrai foutoir, je n’ai pas eu le temps d’aller faire les courses, il n’y a plus un seul couvert propre et je ne me sens pas du tout d’humeur à faire la cuisine !
– Oui, je sais tout ça !
– Dans ce cas, peux-tu m’expliquer pourquoi tu l’as invité à dîner ?
– Parce que mon pauvre Jean-Paul est en train de songer à se marier. »
 
L’histoire se passe dans un avion qui décolle pour une liaison Paris Los Angeles.
Après la phase d’envol, le commandant de bord annonce aux passagers :
« Bonjour à tous, bienvenue à bord de cet Airbus A340 !
Ici c’est votre commandant de bord qui vous parle.
Nous venons de quitter l’aéroport de Roissy-Charles-De-Gaulle à destination de Los Angeles que nous atteindrons dans 10 heures.
La température annoncée au sol est de 35 degrés et le temps est dégagé.
Au cours de notre voyage, nous survolerons le Sud de l’Angleterre, l’Irlande, l’atlantique Nord, le Sud du Groenland, le Canada puis le Nord-Ouest des États-Unis et enfin la Californie ».
Lorsqu’il a terminé ses annonces, il s’adresse à son copilote, pensant avoir coupé le son vers les passagers :
« Bon, maintenant que ça c’est terminé, je vais me servir un bon whisky et après je me tape l’hôtesse à l’arrière… Elle a un de ces petits culs celle-là ! »
Évidemment, les passagers entendant tout, sont hilares.
L’hôtesse qui entend aussi, se précipite vers le cockpit pour avertir le commandant que son micro n’est pas coupé, quand Jean-Marc, un passager assis aux premiers rangs, l’attrape par le bras au passage et lui dit :
« Ne courez pas si vite, vous avez le temps, il a dit qu’il allait boire un whisky avant… »
C’est une « revenue » d’il y a longtemps, en hommage au Capitaine Haddock (Jean-Charles Duboc, pilote de ligne), présentement décédé depuis quelques années.
Dans « l’originale » le commandant dit qu’il va à l’arrière de l’appareil prendre un café en compagnie de l’hôtesse qui s’y trouve et qu’il va sauter.
Et Jean-Marc intercepte celle-ci qui court en lui rappelant qu’elle n’avait pas besoin de se précipiter à l’avant de l’appareil…
 
Deux types sous la douche après un match de tennis …
Le premier remarque que le second a un énorme bouchon enfoncé entre les fesses.
Il lui dit :
« – Dis donc, t’as vu ? T’as un bouchon dans le cul !
– Oui, oui, je sais ! » … répond l’autre en soupirant.
« – Ça date d’avant-hier, je m’étais engueulé avec ma femme et je suis sorti faire une balade pour me calmer.
En marchant, j’ai machinalement botté dans une vielle lampe à l’huile toute rouillée.
– Et alors ?
– Alors un drôle de type en est sorti et s’est mis à gueuler : « Bonjour, je suis Léon le génie… tu m’as libéré… je t’accorde un vœu. »
– Et alors ?
 Alors j’ai répondu, énervé : « Me fais pas chier, OK ! » »
 
Une autre très vielle, qui aura mis du temps à « revenir » :
Lors de fouilles du sous-sol russe jusqu’à 100 mètres de profondeur, les archéologues russes ont trouvé des bouts de fil de cuivre qui dataient d’environ de 1.000 ans.
Les Russes ont déclaré partout que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 1.000 ans d’un réseau de téléphone en fil de cuivre.
Les Américains se sont mis alors à fouiller leur sous-sol jusqu’à 200 mètres de profondeur.
Ils ont trouvé des restes de fibre de verre datant d’environ 2.000 ans.
Les Américains en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 2.000 ans d’un réseau de fibre de verre numérique.
Et cela, bien avant les Russes.
Huit jours plus tard en Bretagne, à Lannion, on a publié le communiqué suivant : « Lors de fouilles dans le sous-sol de la plage de Perros-Guirec, jusqu’à 500 mètres de profondeur, les scientifiques bretons n’ont rien trouvé.
Ils en ont conclu que les Anciens Bretons disposaient déjà il y a 5.000 ans d’un réseau Wifi ».
 
Dans un saloon, un Américain et un Russe sont côte à côte.
Soudain entrent trois types à la mine patibulaire.
« Tu vois ces trois types ? » dit l’Américain au Russe. « Ce sont trois dangereux bandits, des tueurs. Je vais les mettre hors d’état de nuire. »
Il sort son Colt et, en une seconde, il tire trois fois et abat les trois bandits.
« – Colossal ! » s’écrie le Russe. « Comment t’appelles-tu ?
– Bill… Buffalo Bill… »
Quelques minutes plus tard, le Russe montre une table où sont assises trois entraîneuses.
« Tu vois ces trois filles ? Je vais les sauter. Je vais les sauter toutes en même temps ! »
Il ouvre son pantalon et sort trois zizis.
« – Fantastic ! » fait l’Américain. « Je n’ai jamais vu ça !
Comment t’appelles-tu ?
– Bill, comme toi. Tcherno Bill… »
 
Chez le coiffeur, un client dit à la manucure qui lui fait les ongles :
« – Quand vous aurez fini votre journée, mon petit, venez prendre un verre chez moi. Après on verra ce qu’on fait…
– Mais je suis mariée, monsieur.
– On s’en moque de votre mari ! Vous n’avez qu’à lui dire que vous serez retenue ce soir par votre travail.
– Dites-le-lui vous-même. Il est en train de vous raser… »
Inspiré de Bourville dans le film « Le corniaud ».
 
Deux vieux copains, Jean-Marc et Jean-François discutent.
L’un d’eux est un coureur de jupons notoire, l’autre est beaucoup plus timide.
Ce dernier est tout pensif : Il s’est marié il y a peu de temps.
Il dit à son ami :
« – Tu vois, moi, je n’avais jamais fait l’amour avec ma femme avant notre mariage. Et toi ?
– J’en sais rien ! Elle s’appelle comment, ta femme ? »
 
C’est l’histoire du gars se regarde nu dans le miroir et se dit :
« Mmmmm… dix centimètres de plus et je serais heureux comme un Roi. »
Et sa femme lui dit :
« Dix centimètres de moins et tu pourrais être Reine. »
 
Un homme pousse un carrosse dans lequel un enfant pleure à fendre l’âme. L’homme dit à l’enfant :
« Sois calme Jean-Denis, ne crie pas, Jean-Denis, ne te fâche pas, Jean-Denis. »
Une dame, qui passait, lui dit :
« – Magnifique, votre calme, Monsieur.
– Madame », qu’il répond, « C’EST MOI JEAN-DENIS ! »
 
La maman dit à son fils :
« – Pourquoi n’es-tu pas venu me chercher, quand le petit du voisin t’a lancé des pierres ?
– Toi, maman ? Oh non, tu vises bien trop mal ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
Profitez-en, des « à rallonge », il n’y en a plus beaucoup : Il faudra attendre l’année prochaine !
 
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