Et c’est « Terra Nova » qui l’affirme…
Je pensais que c’était un « think-tank » qui
inspirait la « gôche » : Je dois être né kon.
C’est que, pour résumer, le club de réflexion estime que le programme économique du leader de La « Gauloisie » insoumise, porté par la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) aux élections législatives, ne relève rien de moins que de « l’aventure populiste » et « affectera durablement le pouvoir d’achat des Français ».
Pan dans les dents.
Et dire que le fat, ce sénateur perdu par les « soces », député sans circonscription, premier ministre sans majorité, le gars il a tout pour réussir… son désastre !
À une semaine du premier tour des élections
législatives, un sondage Elabe, rendu public le 1er juin, place la
Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) en tête des intentions
de vote.
Mais les choses pourraient s’inverser.
Et entre les triangulaires qui chauffent et l’écart entre « intention de vote » (pour une proportionnelle) et un vote uninominal à deux tours par circonscription, la composition du prochain parlement pourrait différer considérablement.
L’union de la carpe et du lapin, formée autour de La « Gauloisie » insoumise (LFI), la coalition de gôche qui regroupe Europe Écolologie Les Verts (EELV), le Parti communiste (PC) et le « Parti-soce » (PS), enfin ce qu’il en reste, est annoncée pour faire un carton par son leader, le déjanté.
Mais pas en siège… et loin de là en plus !
C’est que dès le lendemain de sa défaite à l’élection
présidentielle, « Mes-Luches » rêve debout et les yeux ouverts à une
revanche de la Nupes à l’Assemblée nationale qui réjouirait le « peuple de
gôche ».
Mais, étonnamment, l’idée n’enthousiasme guère le club de réflexion Terra Nova, pourtant réputé plus proche du « P.soce » que du Medef.
Enfin, c’est ce que j’avais cru jusque-là…
« Si la Nupes venait à gagner et à exécuter ses engagements, il s’en suivrait à terme rapide un désastre économique (…) », étrille dans une note publiée en mai, l’ancien conseiller économique du président « Mythe-errant ».
Rétablissement de la retraite à 60 ans, instauration
d’un impôt sur la fortune climatique, augmentation du Smic à 1.500 euros net…
Et encore on ne cause pas de VIème république.
D’après un chiffrage réalisé par l’Institut Montaigne, cité par Terra Nova, le programme de la Nupes ― quasi « copier-coller » de celui de « Mes-Luches » à la présidentielle 2022 ― induirait 332 milliards d’euros de dépenses supplémentaires par an (250 milliards d’euros, selon « Mes-luches » soi-même).
C’est qu’il va falloir souquer ferme pour faire face !
Une enveloppe qui représente 13 % du produit intérieur brut (PIB) de l’Hexagone.
Pour le think tank, le problème réside tant dans le montant excessif que dans la nature même de ces augmentations budgétaires.
« Ce sont essentiellement des dépenses reconductibles (…), la retraite à 60 ans après 40 ans de cotisations (86 milliards d’euros), les autres dépenses de transferts sociaux ou de coûts de personnel des administrations publiques (…) », égrène la note.
Bref dépenser plus avec de l’argent qu’on n’a pas encore gagner, c’est la vie formidable promise par les meilleurs des meilleurs « soces ».
Après tout, de « l’argent magique », il en a plu autant qu’on le voulait depuis deux ans…
Alors pourquoi pas continuer de danser, d’autant que l’inflation refait son apparition : Un excellent moyen de ruiner les pôv’ et de rembourser ses dettes avec de la monnaie de singe ?
Pour financer son programme, la Nupes a naturellement
et d’ores et déjà proposé une solution : La hausse des prélèvements
obligatoires, comme s’ils n’étaient pas déjà assez élevés !
Ainsi, les ménages les plus aisés verraient l’impôt sur le revenu (IR) et les droits de succession alourdis.
Moâ, ça j’aime bien : De l’argent facile !
Et puis ce sont de nouveaux gisements « d’optimisation » à venir.
Quant à la fraude, n’en parlons même pas.
Sauf que pour ceux qui finalement payent, il leur faut pouvoir en racketter plus aux gueux « sans dents qui puent la clope et le diesel » pour, sinon compenser, au moins assumer !
L’impôt sur la fortune (ISF) serait rétabli alors que le prélèvement forfaitaire unique (PFU) ― l’une des mesures fiscales majeures du premier quinquennat de « Jupiter » ― disparaîtrait.
Pourquoi pas : Ça avait le mérite d’être simple et promettait un avenir radieux au futur « bouclier fiscal ».
Il faut dire aussi qu’on n’a pas bien vu jusque-là l’effet de ruissellement promis, ni les créations d’emploi que ça devait générer.
Passons…
Les entreprises, elles aussi, seraient mises à
contribution par la coalition de gôche. Et ce, notamment, par la suppression
des allègements de charges sociales.
Là, ça va faire mal : Déjà que le niveau d’emploi est soutenu à bout de bras par les gouvernements successifs depuis au moins « le Chi », avec des résultats pour le moins mitigés, c’est que ça va saigner !
Malgré tout, Terra Nova estime que de telles mesures ne permettraient de financer qu’à peine un tiers ― 100 milliards d’euros ― du budget prévu.
Pas de bol : Il faudra en trouver encore le double !
D’autant que le renforcement de la fiscalité sur les
entreprises aurait aussi pour conséquence de fragiliser le tissu productif en renchérissant
le coût du travail.
On va pouvoir exporter aux chinois…
Il était temps.
Ce qui, in fine, pénaliserait forcément les salariés.
« Face à la hausse des cotisations sociales employeurs, elles (les entreprises) chercheront, autant que faire se peut, à réduire les salaires, ou du moins à les sous-ajuster par rapport à l’inflation, pour maintenir dans des limites supportables la hausse du coût du travail », alerte la note.
Tu parles, elles fouetteraient le camp rapidement vers des cieux plus propices !
On a déjà vu ça sous « Béret-Go-voit » en 1981.
Et encore par la suite.
C’est un peu l’idée de produire tricolore avec des coûts tricolores pour vendre au russe à des prix russes.
Je sais : Je n’ai pas réussi à convaincre l’ex-patron de Moulinex à faire plutôt l’inverse, mais bon, il aura rendu l’âme entre-temps et la « boutique » aura été reprise par son concurrent, SEB.
Qui a fini par produire en chine à coûts chinois pour parvenir à vendre au monde entier.
Rappelons-nous qu’en 1980, la dette de la « Gauloisie-impétueuse »
était de 21% du PIB.
Sont passées les années « soces » plus quelques crises démentes et à la fin de l’année 2021, elle atteignait 113 % du PIB.
Il y a 42 ans, le déficit public de l’Hexagone était très faible grâce à « Barbiturique », de l’ordre de 0,4 %. Fin 2021, il s’élevait à 6,5 %.
En dépit d’une situation financière détériorée, « la relance proposée par Jean-Luc Mélenchon est 7 fois supérieure à celle de 1981, avec des comptes publics de départ infiniment plus dégradés », précisent les auteurs.
Selon Terra Nova, le programme de la Nupes conduirait à « finir entre 10 et 15% de déficit structurel ».
Un doublement voire un triplement.
Pour rappel, la relance de 1981-1982 avait porté le déficit public à 2,8 % du PIB et affaibli la compétitivité du pays.
Et pas qu’une fois, mais tout le temps…
Une situation qui avait finalement conduit au tournant de « la rigueur » en mars 1983.
À n’en pas douter, la dégradation brutale des comptes
publics provoquerait une vive réaction des marchés financiers.
Le coût de l’argent emprunté par la « Gauloisie-ruinée » (le prix du risque) augmenterait fortement.
Si le pays trouve encore quelques prêteurs.
Peut-être que « Mes-Luches » compte sur « Poux-tine » et sa rente pétrolière. D’ailleurs je le vois bien sortir de l’Euro pour adopter le rouble comme monnaie natiuonale…
Mais il ne m’en a encore rien dit.
« Payer 2 % de taux d'intérêt en plus sur une dette de 113 % du PIB, cela représenterait à terme 2,2 % du PIB de dépenses supplémentaires inutiles à payer chaque année aux investisseurs, soit une cinquantaine de milliards d’euros.
Quant à la défense, avec le parapluie poutinien, son pote à lui, on pourra faire l’économie en accueillant les troupes russes ayant survécu à la guerre en Ukraine et au Donbass.
Toutefois, c’est un problème qui fait craindre à
l’ancien conseiller une crise de solvabilité de l’État.
Une catastrophe, non pour « les riches, ceux qui ont du patrimoine, ceux qui travaillent pour l’économie ouverte (et) savent naviguer dans ce genre d’accident historique », explique le think tank, mais pour les « Gauloisiens » pour lesquels l’aide de l’État est indispensable.
On s’en fout : Ce sont ses électeurs.
S’ils veulent crever la bouche ouverte, comment les en empêcher au juste ?
En bref, « Mes-Luches » à Matignon, ça va
être marrant.
Le plus drôle, c’est que j’y vois bien « Michou Barre-niée » dès le courant de l’été.
Je ne sais pas pourquoi, mais il me semble que « Jupiter » aura une majorité trop courte pour ne pas choisir un premier ministre, en remplacement de « Lili-Bornée », chez les « Républicains-démocrates » :
Il leur aura déjà fait le coup avec « Kun-Fu-Panda » il y a 5 ans.
Et sans leur demander la permission : Là, il le fera avec l’onction de « « Bling-bling » qui a tant œuvré pour la réussite du mois d’avril dernier.
À suivre…
C’est que, pour résumer, le club de réflexion estime que le programme économique du leader de La « Gauloisie » insoumise, porté par la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) aux élections législatives, ne relève rien de moins que de « l’aventure populiste » et « affectera durablement le pouvoir d’achat des Français ».
Pan dans les dents.
Et dire que le fat, ce sénateur perdu par les « soces », député sans circonscription, premier ministre sans majorité, le gars il a tout pour réussir… son désastre !
Mais les choses pourraient s’inverser.
Et entre les triangulaires qui chauffent et l’écart entre « intention de vote » (pour une proportionnelle) et un vote uninominal à deux tours par circonscription, la composition du prochain parlement pourrait différer considérablement.
L’union de la carpe et du lapin, formée autour de La « Gauloisie » insoumise (LFI), la coalition de gôche qui regroupe Europe Écolologie Les Verts (EELV), le Parti communiste (PC) et le « Parti-soce » (PS), enfin ce qu’il en reste, est annoncée pour faire un carton par son leader, le déjanté.
Mais pas en siège… et loin de là en plus !
Mais, étonnamment, l’idée n’enthousiasme guère le club de réflexion Terra Nova, pourtant réputé plus proche du « P.soce » que du Medef.
Enfin, c’est ce que j’avais cru jusque-là…
« Si la Nupes venait à gagner et à exécuter ses engagements, il s’en suivrait à terme rapide un désastre économique (…) », étrille dans une note publiée en mai, l’ancien conseiller économique du président « Mythe-errant ».
Et encore on ne cause pas de VIème république.
D’après un chiffrage réalisé par l’Institut Montaigne, cité par Terra Nova, le programme de la Nupes ― quasi « copier-coller » de celui de « Mes-Luches » à la présidentielle 2022 ― induirait 332 milliards d’euros de dépenses supplémentaires par an (250 milliards d’euros, selon « Mes-luches » soi-même).
C’est qu’il va falloir souquer ferme pour faire face !
Une enveloppe qui représente 13 % du produit intérieur brut (PIB) de l’Hexagone.
Pour le think tank, le problème réside tant dans le montant excessif que dans la nature même de ces augmentations budgétaires.
« Ce sont essentiellement des dépenses reconductibles (…), la retraite à 60 ans après 40 ans de cotisations (86 milliards d’euros), les autres dépenses de transferts sociaux ou de coûts de personnel des administrations publiques (…) », égrène la note.
Bref dépenser plus avec de l’argent qu’on n’a pas encore gagner, c’est la vie formidable promise par les meilleurs des meilleurs « soces ».
Après tout, de « l’argent magique », il en a plu autant qu’on le voulait depuis deux ans…
Alors pourquoi pas continuer de danser, d’autant que l’inflation refait son apparition : Un excellent moyen de ruiner les pôv’ et de rembourser ses dettes avec de la monnaie de singe ?
Ainsi, les ménages les plus aisés verraient l’impôt sur le revenu (IR) et les droits de succession alourdis.
Moâ, ça j’aime bien : De l’argent facile !
Et puis ce sont de nouveaux gisements « d’optimisation » à venir.
Quant à la fraude, n’en parlons même pas.
Sauf que pour ceux qui finalement payent, il leur faut pouvoir en racketter plus aux gueux « sans dents qui puent la clope et le diesel » pour, sinon compenser, au moins assumer !
L’impôt sur la fortune (ISF) serait rétabli alors que le prélèvement forfaitaire unique (PFU) ― l’une des mesures fiscales majeures du premier quinquennat de « Jupiter » ― disparaîtrait.
Pourquoi pas : Ça avait le mérite d’être simple et promettait un avenir radieux au futur « bouclier fiscal ».
Il faut dire aussi qu’on n’a pas bien vu jusque-là l’effet de ruissellement promis, ni les créations d’emploi que ça devait générer.
Passons…
Là, ça va faire mal : Déjà que le niveau d’emploi est soutenu à bout de bras par les gouvernements successifs depuis au moins « le Chi », avec des résultats pour le moins mitigés, c’est que ça va saigner !
Malgré tout, Terra Nova estime que de telles mesures ne permettraient de financer qu’à peine un tiers ― 100 milliards d’euros ― du budget prévu.
Pas de bol : Il faudra en trouver encore le double !
On va pouvoir exporter aux chinois…
Il était temps.
Ce qui, in fine, pénaliserait forcément les salariés.
« Face à la hausse des cotisations sociales employeurs, elles (les entreprises) chercheront, autant que faire se peut, à réduire les salaires, ou du moins à les sous-ajuster par rapport à l’inflation, pour maintenir dans des limites supportables la hausse du coût du travail », alerte la note.
Tu parles, elles fouetteraient le camp rapidement vers des cieux plus propices !
On a déjà vu ça sous « Béret-Go-voit » en 1981.
Et encore par la suite.
C’est un peu l’idée de produire tricolore avec des coûts tricolores pour vendre au russe à des prix russes.
Je sais : Je n’ai pas réussi à convaincre l’ex-patron de Moulinex à faire plutôt l’inverse, mais bon, il aura rendu l’âme entre-temps et la « boutique » aura été reprise par son concurrent, SEB.
Qui a fini par produire en chine à coûts chinois pour parvenir à vendre au monde entier.
Sont passées les années « soces » plus quelques crises démentes et à la fin de l’année 2021, elle atteignait 113 % du PIB.
Il y a 42 ans, le déficit public de l’Hexagone était très faible grâce à « Barbiturique », de l’ordre de 0,4 %. Fin 2021, il s’élevait à 6,5 %.
En dépit d’une situation financière détériorée, « la relance proposée par Jean-Luc Mélenchon est 7 fois supérieure à celle de 1981, avec des comptes publics de départ infiniment plus dégradés », précisent les auteurs.
Selon Terra Nova, le programme de la Nupes conduirait à « finir entre 10 et 15% de déficit structurel ».
Un doublement voire un triplement.
Pour rappel, la relance de 1981-1982 avait porté le déficit public à 2,8 % du PIB et affaibli la compétitivité du pays.
Et pas qu’une fois, mais tout le temps…
Une situation qui avait finalement conduit au tournant de « la rigueur » en mars 1983.
Le coût de l’argent emprunté par la « Gauloisie-ruinée » (le prix du risque) augmenterait fortement.
Si le pays trouve encore quelques prêteurs.
Peut-être que « Mes-Luches » compte sur « Poux-tine » et sa rente pétrolière. D’ailleurs je le vois bien sortir de l’Euro pour adopter le rouble comme monnaie natiuonale…
Mais il ne m’en a encore rien dit.
« Payer 2 % de taux d'intérêt en plus sur une dette de 113 % du PIB, cela représenterait à terme 2,2 % du PIB de dépenses supplémentaires inutiles à payer chaque année aux investisseurs, soit une cinquantaine de milliards d’euros.
Quant à la défense, avec le parapluie poutinien, son pote à lui, on pourra faire l’économie en accueillant les troupes russes ayant survécu à la guerre en Ukraine et au Donbass.
Une catastrophe, non pour « les riches, ceux qui ont du patrimoine, ceux qui travaillent pour l’économie ouverte (et) savent naviguer dans ce genre d’accident historique », explique le think tank, mais pour les « Gauloisiens » pour lesquels l’aide de l’État est indispensable.
On s’en fout : Ce sont ses électeurs.
S’ils veulent crever la bouche ouverte, comment les en empêcher au juste ?
Le plus drôle, c’est que j’y vois bien « Michou Barre-niée » dès le courant de l’été.
Je ne sais pas pourquoi, mais il me semble que « Jupiter » aura une majorité trop courte pour ne pas choisir un premier ministre, en remplacement de « Lili-Bornée », chez les « Républicains-
Et sans leur demander la permission : Là, il le fera avec l’onction de « « Bling-bling » qui a tant œuvré pour la réussite du mois d’avril dernier.
À suivre…
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