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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 12 juin 2022

Aujourd’hui, on vote chacun dans son coin.

Allez-y impérativement…
… car votre choix sera notablement rétréci la semaine prochaine.
 
Je compte sur vous : Je vous bassine assez pour ça depuis quelques temps.
Alors je vous fais confiance et j’ai envie de vous parler d’autre chose.
 
De ces « merveilleux fous » qui creusent la glace de l’antarctique, par exemple.
C’est que l’air de rien, vos impôts servent aussi à financer la « pêche aux carottes glaciaires » jusque dans les endroits les plus improbables et pas forcément très accueillants.
Si je vous en parle, c’est que… comment dire… c’est « problématique ».
 
Vous l’imaginez bien, l’accumulation de la glace dans l’Antarctique année après année y a emprisonné des bulles d’air et des poussières depuis des siècles et des siècles.
Et depuis 1956 les Soviétiques qui n’avaient rien d’autres à faire, puisqu’ils se sont toujours pris pour les « maître du genre humain », ont extrait dans l’Antarctique à leur station Vostok des carottes de glace par des forages de 10 cm de diamètre dans des profondeurs de glace de plus en plus profondes atteignant 3.623 mètres en 1998.
Des « Gauloisiens » (nos impôts & taxes) ont collaboré à l’analyse des carottes et réalisé des forages.
Et ces travaux permettent désormais d’estimer en particulier l’évolution des températures de l’atmosphère à l’endroit du forage et de son taux de CO2.
Des carottes remontant jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’années ont ainsi été analysées.
Et ce n’est qu’en 2021 que 10 pays européens ont entrepris des forages qui permettraient d’aller jusqu’à 1,2 million d’années dans le passé.
(Toujours avec vos impôts…)
 
Résultat, ce qu’on savait déjà, c’est que les quatre dernières périodes glaciaires sont étendues sur 400.000 ans.
Mais les données disponibles sur le volume des calottes glaciaires, fournies par ces carottes de glace et des carottes de sédiments océaniques, confortent la théorie publiée en 1941 par l’astrophysicien Milankovitch, dite « cycles de Milankovitch » (les bien nommés).
D’après cette théorie les périodes glaciaires (glaciations), pendant lesquelles une partie de l’hémisphère Nord était couverte d’une calotte glaciaire épaisse de plusieurs kilomètres, sont liées à des changements de l’insolation dus aux variations de l’orbite de la Terre (la trajectoire elliptique de la Terre autour du Soleil), de son obliquité (variations entre 22° et 25° de l’inclinaison de l’axe Nord-Sud de rotation de la Terre sur le plan de son orbite) et du décalage des saisons causé par les mouvements de l’axe de la Terre.
Notez, ça paraît assez logique.
 
Or, il semble que les variations de l’insolation en été aux hautes latitudes (aux environs de 65°) sont déterminantes : Pendant les périodes glaciaires, les étés y sont froids du fait d’une faible insolation, la neige de l’hiver n’y fond pas et la couche de glace s’épaissit.
Inversement, pendant les périodes de réchauffement (dites interglaciaires) la calotte glaciaire fond été après été.
Ce qui se passe actuellement et depuis quelques décennies.
 
Les quatre dernières périodes glaciaires se sont donc étendues sur 400.000 ans, chacune enregistrant une baisse progressive de la température moyenne, de 10° C à 12° C, pendant environ 90.000 ans, puis une remontée pendant la période interglaciaire (environ 5.000 ans de remontée rapide puis 5.000 ans de stabilité).
Et la dernière période interglaciaire a commencé il y a environ 10.000 ans.
Or, les variations du volume des calottes glaciaires pendant les périodes glaciaires et interglaciaires sont en très bonne corrélation avec l’insolation à la latitude de 65°.
Voilà qui est entendu.
 
Toutefois, pour les quatre dernières glaciations on a constaté une baisse du taux de CO2 des bulles d’air, et une remontée de ce taux pendant les périodes interglaciaires.
En effet pendant les périodes interglaciaires la remontée des températures a causé un accroissement du CO2 dégagé par les couches superficielles des océans intertropicaux.
Notre « chercheur-Gauloisien » (Jean Jouzel) écrit alors que « la hausse des températures a précédé la hausse du taux de CO2 ».
Ce qui signifie que la hausse des températures a été la cause de la hausse du taux de CO2.
Et non pas l’inverse comme le laisse entendre les « expert-mondiaux », unanimement d’accord du GIEC…
On peut effectivement penser que, comme d’habitude, la cause précède toujours l’effet.
Ou alors il s’est passé quelque chose dans le déroulement de la « flèche du temps » sans qu’on ne s’en soit aperçu.
 
D’ailleurs, il confirme que pendant les périodes glaciaires la baisse des températures diminue le dégazage de CO2 des océans intertropicaux et accroit donc son absorption par les océans froids qui entraîne donc une baisse du taux de CO2 atmosphérique.
 
Rappelons que les « Gauloisiens » qui ont participé aux analyses des carottes sont très liés au GIEC (l’unanimité des « scientifiques » avec les thèses du GIEC), qui leur a donné des responsabilités dans la rédaction de ses rapports.
Jean Jouzel, comme les autres, respecte la mission du GIEC, qui est de prouver que par l’effet de serre l’augmentation du taux de CO2 cause l’augmentation de la température de l’atmosphère et que l’humanité, en émettant du CO2 en pagaille par la combustion des combustibles fossiles, est finalement entièrement responsable de l’augmentation de la température de la planète Terre.
 
Vous l’aurez compris, cette théorie est en contradiction avec les « cycles de Milankovitch », pour lesquels la variation naturelle de l’insolation due aux mouvements de la Terre autour de son étoile et sur son axe de rotation a été la cause les variations du climat et par conséquent du taux de CO2.
 
Surprise ! Jean Jouzel a reçu en 1997 une « médaille Milankovitch » décernée par une société savante.
En janvier 1999 il cosignait dans la prestigieuse revue Nature un article intitulé : « le climat et l’histoire de l’atmosphère des 420.000 années passées ».
Cet article donnait l’évolution dans le temps de la température, du volume des calottes glaciaires, du taux de CO2 de l’atmosphère et de l’insolation au mois de juin à la latitude de 65°.
 
Les courbes en dents de scie étaient parallèles et leurs pics étaient proches à la fin des périodes interglaciaires : Elles montraient « la forte influence de l’obliquité et de la variation des saisons sur les données climatiques ».
En novembre 2013 il signait un article sur « l’histoire de la science des carottes de glace ».
Et cet article confirmait « la validité de la théorie de Milankovitch ».
Celle-ci explique et confirme donc toujours que les mouvements de la Terre expliquent les variations de l’insolation et les variations du climat, qui elles-mêmes entraînent l’essentiel des variations du CO2.
Aucune trace d’activité humaine dans ces constats et mesures…
Notez au passage que les études du GIEC ne font en général l’historique de la composition de l’atmosphère qu’à compter du XIXème siècle…
 
Or, problème, dans ses déclarations officielles Jean Jouzel doit affirmer que la température de l’atmosphère dépend uniquement du taux de CO2.
Terrible dilemme.
Entre la politique, la carrière et les honneurs d’un côté, et la science de l’autre, il lui a fallu choisir…
La cause précède toujours les effets, même entre « scientifiques ».
Quitte à tordre le cou aux réalités scientifiques, n’est-ce pas.
De quoi faire réfléchir…
 
Bon vote à toutes et à tous tout de même !
 
I3

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