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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 24 février 2022

Voilà, c’est fait !

La Russie envahit enfin le Donbass pour sauver la paix !
 
Moâ, il m’amuse : Les séparatistes « pro-russes » n’occupe que 30 % des deux préfectures, des « oblasts », autour des deux villes, mais « Poux-tine » annexe tout le reste et l’occupe avec des chars et des troupes !
Belle démarche pour « … sauver la paix » que voilà s’il en est…
Ceci dit, c’est aussi au nom de la protection des russophones locaux à qui il aura offert la nationalité « par avance » et il tombe dans le piège que je vous avais décrit il y a tout juste un mois : cf. I-Cube (l'exilé): On sait déjà comment ça va se terminer. (flibustier20260.blogspot.com).
Pas très malin, finalement…
 
Et du coup, il entraine tout le monde dans son sillage et dans une série de difficultés sans nom.
L’UE aura riposté avec une première série de sanctions : Notre « Sinistre des Affaire étranges-Air » l’a indiqué, mardi dernier, avec un « paquet de sanctions » contre la Russie, décidé « à l’unanimité » des « sinistres » de l’UE.
Au moins on pourra vivement remercier le maître du Kremlin d’avoir réussi, non seulement à ressusciter d’entre les morts l’OTAN, mais de faire l’unanimité contre son pays dans une Europe qui aime tant ses divisions…
« Nous sommes tombés d’accord sur un premier paquet de sanctions à l’unanimité », a-t-il annoncé à l’issue de la réunion de ses 27 collègues réunis à « Paris-sur-la-plage ». Il a même expliqué que « l’important c’était aussi d’être unis, non seulement avec les Vingt-Sept mais aussi les États-Unis, le Canada et le Japon ».
 
Bon, il y a un sursis : Les sanctions décidées ce jour-là devront être formellement adoptées au Parlement pour entrer en vigueur, mais le chef de la diplomatie de l’UE prévient déjà qu’elles « feront très mal à la Russie ».
Je veux voir ça de mon vivant, tiens donc !
On parle de gel d’avoirs et d’interdiction de visas. Les 27 ont décidé que les 351 députés russes de la Douma, qui ont approuvé la reconnaissance de l’indépendance des territoires séparatistes, verront leurs avoirs gelés. Ils seront également visés par des interdictions de visas.
Bon, comme en bons patriotes, leurs avoir sont déjà en Russie et qu’ils ne comptent pas vraiment migrer en Occident (sauf demande d’asile politique), voilà qui va bien les faire braire, finalement, et sur toutes les octaves en plus !
« Les sanctions cibleront également 27 individus et entités qui contribuent à miner ou menacer l’intégrité territoriale de l’Ukraine, sa souveraineté et son indépendance », a détaillé Josep Borrell en évoquant « les acteurs du secteur de la défense qui jouent un rôle dans l’invasion » du pays.
Ainsi que « ceux qui ont lancé une campagne de désinformation contre l’Ukraine » et « les banques qui financent les responsables russes et d’autres opérations dans ces territoires » séparatistes, a-t-il poursuivi.
 
L’UE compte également cibler « les relations économiques entre les deux régions et l’Union européenne » et enfin de s’attaquer à « la capacité de l’État russe et de son gouvernement à accéder à notre marché financier et aux marchés de capitaux européens pour refinancer leur dette », a-t-il ajouté.
Les russes devront se retourner vers les chinois, qui sont des créanciers notoirement plus coriaces…
Selon un avocat spécialisé sur les sanctions économiques interrogé par l’AFP, les futures difficultés accrues pour l’État russe à accéder aux marchés de capitaux européens pourraient peser sur la valeur du rouble, et par ricochet sur le pouvoir d’achat des consommateurs russes pour les produits importés.
Mais ils en ont déjà vu d’autres : Même pas peur !
 
En parallèle, Josep Borrell a rappelé que la « Teutonnie », qui avait tant ralenti les processus de contraintes communautaires a fini par céder mardi en suspendant le gazoduc Nord Stream 2, un projet phare pour Berlin comme pour « Poux-Tine » longtemps mené malgré les critiques.
Une belle « victoire » pour les « ricains », finalement !
Merci à « Poux-tine » qui, sur ce coup-là, joue vraiment le rôle de « l’idiot-utile » chers à Lénine.
C’est Olaf Scholz, le chancelier soi-même, qui a annoncé l’arrêt de ce chantier pharaonique, en suspendant la certification du gazoduc, indispensable à « sa mise en service » alors qu’il est terminé.
Une décision qui a ravi le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kuleba. « Moralement, politiquement et d’une manière pratique, c’était la décision à prendre », a-t-il twisté.
Forcément, l’Ukraine va redevenir un lieu de passage obligé du gaz russe vers l’UE…
Ce qui finalement va accélérer sa « vassalisation » comme d’une nécessité russe qui a tant besoin de devises.
 
Josep Borrell a toutefois concédé que « les sanctions n’ont pas des effets miraculeux » mais estimé que « ça fait du mal économiquement et ça fait du mal aux personnes affectées ».
Le chef de la diplomatie européenne souligne que les pays membres de l’UE avaient décidé de garder « d’autres munitions (…) pour répondre à de nouvelles actions de la part de la Russie », car « l’histoire n’est pas finie ».
Je n’en doute pas : le Donbass, c’est juste un amuse-gueule. Il y a tout le reste du pays à soumettre, tiens donc !
 
« Cette fermeté laisse toujours la porte ouverte à la diplomatie », a fait valoir le « sinistre gauloisien » en constatant tout de même que « tous les efforts diplomatiques (…) se sont heurtés à un mur » ces dernières semaines.
« Le président Poutine n’honore plus la signature de la Russie », a-t-il déploré, en précisant que l’entretien prévu vendredi à « Paris-la-Seine » avec son homologue russe Sergueï Lavrov avait été annulé.
Il était temps d’ouvrir les yeux…
Dans cette affaire, le président « Jupiter », qui retarde son entrée en campagne électorale, critiqué par l’opposition en « Gauloisie-râleuse » pour sa médiation qui n’a pas abouti, a « pris ses responsabilités » (comme d’autres prennent le métro ?). « Il a fait le devoir qui était le sien de tout faire pour éviter la guerre », a estimé le « sinistre des Affaires étrangères », évoquant « le cynisme de Vladimir Poutine ».
On peut estimer toutefois que ces sanctions « ne vont pas encore où le bât blesse, (mais) c’est une étape cohérente par rapport à la défense des intérêts économiques européens ».
 
De son côté, « BoJo », hors UE, lui, a décidé de sanctionner trois oligarques proches du Kremlin et cinq banques russes pour « frapper la Russie très fort ».
Ouh là, ils tremblent !
Londres se dit également prêt à aller plus loin en cas de nouvelle escalade militaire.
Curieusement les banques visées « sont relativement mineures ». Et on se rappelle que dans le sillage du yacht privé de « Poux-tine », de nombreux capitaux russes en dehors du pays ont été déjà préventivement rapatriés.
Lors d’un entretien téléphonique entre « BoJo » et « Jupiter », on m’a rapporté que « les dirigeants sont convenus de la nécessité de continuer à travailler de concert pour cibler des individus et entités russes finançant l’approche agressive du président Poutine ».
Je veux : Ils devraient tous être exclus du monde civilisé !
 
La réponse « ricaine » était également attendue. « Baille-dan » a qualifié de « début d’invasion » l’ordre par « Poux-tine » de déployer des troupes russes dans deux zones séparatistes d’Ukraine, (ah bon ?), dévoilant une série de sanctions financières en guise de riposte.
Et « Poux-tine » est « en train d’élaborer des justifications pour aller beaucoup plus loin », a-t-il averti.
Par conséquent les États-Unis s’attendant à une escalade et vont immédiatement imposer une « première tranche » de sanctions qui doivent couper la Russie des financements occidentaux. « Nous mettons en place de vastes sanctions sur la dette souveraine russe. Cela signifie que nous coupons le gouvernement russe du financement occidental », a-t-il dit.
La Russie « ne peut plus lever d’argent à l’Ouest et ne peut plus négocier sa nouvelle dette sur nos marchés ni sur les marchés européens », a-t-il précisé.
Ils ne se gêneront pas pour ne pas rembourser ce qui est dû et « faire défaut », pardi !
Cette mesure pourrait peser sur la valeur du rouble, et renchérir le coût pour les consommateurs russes des produits importés.
Comme ils importent peu…
 
Le secteur financier est également visé : « Nous mettons en place des sanctions de blocage total contre deux grandes institutions financières russes, VEB (la banque publique de développement Vnesheconombank) et leur banque militaire »
Par ailleurs, Il imposera « également des sanctions aux élites russes et aux membres de leur famille. Ils partagent les gains corrompus des politiques du Kremlin ».
Via un décret, il avait déjà interdit lundi soir tout nouvel investissement, échange, ou financement par des personnes américaines à destination, en provenance ou à l’intérieur de seulement les régions prorusses de Donetsk et Lougansk. Mais ces régions avaient déjà des relations extrêmement limitées avec les États-Unis.
Trop peur, là… y’a pas à dire !
Et de faire préciser par un de ses « porte-la-parole » que les sanctions sur ce dossier s’ajouteraient aux mesures économiques « rapides et sévères » préparées par Washington et ses alliés en cas d’invasion.
« Poux-tine » et ses oligarques doivent véritablement en trembler de terreur…
Le seul qui en aura bafouillé, c’est le patron des renseignements extérieurs russes qui ne savait plus sur quel pied danser quand il a s’agit de prendre la décision d’invasion : Allez savoir pour quelle raison, lui qui aura été président de la Douma…
 
Les États-Unis ont par exemple déjà menacé de couper l’accès des banques russes aux transactions en dollars, et d’interdire la vente à la Russie de technologie américaine. Même pas peur là non plus : Ils ont du gaz, du pétrole, des tonnes d’or, des alliés sûrs le long de la « route de la soie » et sont quasi-autonomes dans la plupart des secteurs d’activité, y compris « de pointe ».
Mais l’influent sénateur républicain Lindsey Graham a par exemple appelé les États-Unis à « détruire le rouble », la monnaie russe, et « écraser le secteur pétrolier et gazier russe ».
Sauf que le président « ricain » a plaidé qu’il était « encore temps d’éviter le scénario du pire qui infligera d’énormes souffrances à des millions de personnes », rappelant que les États-Unis n’abandonnent pas l’espoir de trouver une solution diplomatique.
« Nous allons juger la Russie sur ses actions, pas sur ses paroles » : Il serait temps puisqu’ils font le contraire de ce à quoi ils s’engagent.
« Et quoi que la Russie fasse ensuite, nous sommes prêts à répondre avec unité, clarté et conviction. J’espère que la voie diplomatique restera ouverte », a-t-il encore dit.
Croit-il toujours au Père-Noël, à son âge avancé ?
Car il n’a pas mentionné certaines mesures qui étaient attendues, comme des contrôles sur les exportations ou une exclusion de la Russie du système international Swift, essentiel pour les échanges bancaires internationaux, même si les russes pourront contourner le problème avec leurs « alliés ».
« La Russie paiera un prix plus élevé si elle poursuit son agression, y compris des sanctions supplémentaires », a-t-il toutefois menacé.
 
Ceci dit, les habitants de Donetsk et de Louhansk se rassemblaient pour célébrer la reconnaissance de leurs Républiques populaires par la Russie.
Car bien plus qu’une invasion « Poux-tine » a aussi signé des « accords d’amitié et d’entraide » avec les séparatistes. Ces accords consacrent donc les territoires de Donetsk et Lougansk comme indépendants.
« Ces deux républiques représentent à elles seules un tiers de la région dite du Donbass. » Géographiquement, le bassin du Donbass est un bassin frontalier de la Russie qui se trouve sur la rive septentrionale de la Mer Noire et qui concentre l’ensemble de l’activité minière et sidérurgique du territoire ukrainien. « Donetsk, en particulier, est la principale ville du bassin minier du Donbass ».
« Cela en fait, évidemment, un territoire très prisé », ajoute un ancien diplomate.
Et c’est donc le prétexte pour envahir les territoires de ses régions, alors qu’elles sont encore sous contrôle ukrainien qui y exerce pleinement sa souveraineté.
 
Cette histoire-là « commence en 2014, lorsqu’un un conflit majeur a éclaté entre l’Ukraine et les séparatistes de Donetsk et Lougansk. Le 11 mai, les deux territoires vont ainsi s’autoproclamer indépendants » sous la houlette russe. Une décision qui a provoqué un conflit particulièrement meurtrier entre les forces armées ukrainiennes et séparatistes : « On dénombrera près de 14.000 morts sur une année ».
Une indépendance à l’arraché, qui ne sera jamais reconnue par la communauté internationale mais largement soutenue, en sous-marin, par la Russie.
Un soutien qui vaudra aux deux régions le surnom de « territoires prorusses ».
En plus de l’aide financière apportée par « Poux-tine », qui fait du chef de l’État un personnage apprécié à Donetsk et Lougansk, plus largement « ces régions sont majoritairement russophones et utilisent le rouble comme monnaie ».
 
Mais ce n’est pas le plus important. Pour « Poux-tine », l’importance c’est « d’agir au grand jour ». C’est « ce qui change depuis l’allocution du président russe, c’est que la Russie ne nie plus sa présence sur le territoire ». Mieux encore, avec la signature de cette déclaration d’indépendance, « Vladimir Poutine légalise les relations militaires et économiques entre son pays et les deux régions ». En plus de légitimer diplomatiquement sa présence, la soirée de lundi dernier a déjà permis à la Russie d’envoyer ses troupes en Ukraine au vu et au su de toute la communauté internationale et de récupérer les sites industriels.
Quels sont les scénarios à prévoir ? « Le plus optimiste qui tend vers un accord entre le président du Kremlin et les Occidentaux et le plus sombre dans lequel Vladimir Poutine envoie des troupes dans le Donbass pour reconquérir (ensuite) la quasi-totalité du territoire. »
Et plus tard, sous le premier prétexte venu, l’Ukraine toute entière.
Ou au mieux, l’étouffer.
 
Personnellement, mais je ne suis ni « aux affaires » ni diplomate, d’abord je proposerai le prix Nobel de la paix à « Poux-tine » : Envoyer des soldats mourir pour préserver la paix de quelques milliers de loqueteux, c’est tout de même fameux !
Ensuite je couperai tout avec la Russie et les russes, hors de petites représentations diplomatiques et consulaires.
Ces gens-là ont réélu un autocrate à plusieurs reprises qui aura réussi à mettre à mal plus d’un siècle de diplomatie.
Qu’on se rende compte un peu que le droit international public sera né après la première guerre mondiale avec la SDN. Qui a échoué à éviter les « sudètes » et la seconde guerre mondiale.
Les Nations, la paix retrouvée, ont inventé l’ONU et un grand nombre d’institutions internationales « globales », comme l’OMS, l’UNESCO, etc. Qui échouent à régler le « petit » problème des russophones du Donbass.
Et lui, assis dans son palais, il balaye tout d’un revers de main, derrière des simagrées nauséeuses et quelques alliés de poids, comme le Venezuela…
« Kim-tout-fou », je ne sais pas…
Bref, il est d’une autre planète, ils sont tous d’une autre planète : Il s’agirait d’empêcher les hommes et les marchandises de franchir leurs frontières de et vers le monde civilisé pour éviter de nous contaminer.
Déjà, le « Conard-virus », ça va…
 
Point barre : Il n’y a rien à discuter, puisqu’ils ne discutent de rien ou font le contraire de leurs engagements.
D’ailleurs, en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », un mek qui ne tient pas parole (et sa parole), il voit son espérance de vie notoirement réduite.
Un accident de la vie, c’est si vite arrivé finalement…

1 commentaire:

  1. Vous l'avez bien compris, ce billet a été mis en ligne avant l'invasion de ce matin.
    On y reviendra.

    I-Cube

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