L’opposition à une « révolte des élites »
Probablement que le « convoi des camionneurs » qui
paralyse la capitale canadienne Ottawa est un peu plus qu’une révolte contre
les mesures sanitaires.
« A mari usque ad mare » ou « De la mer jusqu’à la mer », ces mots issus de la Bible sont la devise nationale du Canada où ils signifient « D’un océan à l’autre » : Et des côtes de l’Atlantique à celles du Pacifique, des colonnes de poids lourds appelées « Convoi de la Liberté » ont rejoint la capitale fédérale, Ottawa, pour protester contre la triple vaccination obligatoire.
Et ça fait le buzz dans le monde occidental.
Les manifestants sont notamment échaudés par les
propos de leur « Premier sinistre », « Juste-un-Pruneau »
les présentant comme des extrémistes !
Si les chiffres de la participation sont exagérés, notamment par le recours à des photos décontextualisées, le mouvement est important et peut être en partie lu comme une révolte populaire face à la révolte des élites décrite par l’historien (qui pense pour être un « penseur ») américain Christopher Lasch, me fait-on savoir.
Pourquoi pas ?
En effet, dans un article d’opinion du quotidien
canadien National Post intitulé « Justin Trudeau le diviseur suprême des
Canadiens », le chroniqueur en chef, James Robson, a pu comparer, le 25
janvier dernier, le mépris du « Premier sinistre » pour ses
contradicteurs à celui de « Baraque-Haut-Bas-mât » dont « l’attitude
condescendante a eu un effet polarisant » sans que jamais il ne dise son mea
culpa.
Personnellement, j’en connais d’autres qui se sont prétendus « incompris pour être trop intelligent » ou qui rappelaient qu’il suffisait de traverser la rue pour trouver du boulot et qui veulent depuis peu emmerder les emmerdeurs de non-vaccinés.
À chacun ses tarés !
On se rappellera en effet que, lorsque les tea-partiers avaient protesté contre les taxes en 2009, « Haut-Bas-Mât » les avait traités de « tea-baggers », une insulte sexuelle (mettre ses testicules dans la bouche d’une personne), reprenant l’injure d’un présentateur sur CNN, à leur sujet.
« Juste-un » avait déclaré le 5 janvier au
parlement que les Canadiens vaccinés étaient en colère contre ceux ne l’étaient
pas.
Personnellement, si tout jeune j’avais fait le rêve de m’exiler au Canada, depuis, moâ qui est connu l’exil à plusieurs reprises, j’en suis revenu (avant de partir définitivement en Balagne le jour où j’aurai un chauffage qui tiendra la route) les « non-vax » et autres « anti-vax » ne m’emmerdent pas plus que ça : À chacun de prendre ses responsabilités, n’est-ce pas ?
Selon ses mots, les confinements et autres restrictions sont de leur faute.
Oui, bon, si ce n’est pas totalement faux, nous, sur « Paris-sur-la-plage » on est enfin sorti des restrictions, bon gré mal gré, le pic des contaminations au « Conard-virus » étant passé et la faute me semble plutôt être du côté du gouvernement de « Kung-Fu-Panda » qui n’aura pas su distribuer ses stocks (inexistants) de masques médicaux, préférant fermer la seule usine gauloisienne qui en fabriquait encore, reniant sa signature pour faire des économies de bout de chandelle en continuant de fermer des lits d’hôpital et de nous envoyer « Si-Bête-la-Diarrhée » nous expliquer que ça ne servait à rien (avant de le rendre obligatoire) même qu’elle ne savait même pas les mettre, la konne…
Une abrutie pareille, entrer les mains des camionneurs canadiens, aurait passé les meilleures soirées de sa vie, à n’en pas douter…
Je ne sais pas mais ma dernière grippe date de Noël 2018 : Je recevais ma « pôv’-Môman » à déjeuner. Et j’ai été bien en peine pour trouver un masque afin de ne pas la préserver de mes miasmes…
Pour en revenir à nos camionneurs canadiens, le
lendemain du délire de leur « premier sinistre » à eux, le « Toronto
Sun » a publié une chronique dénonçant la désignation de boucs émissaires
et le silence de l’opposition.
Ils ne sont pas mieux lotis que chez nous, finalement…
L’article rappelle les propos tenus en « francilien-natif » par « Pruneau » en septembre dernier au Québec : « Il y a aussi des gens qui sont farouchement opposés à la vaccination, qui croient pas dans la science, qui sont souvent misogynes, souvent racistes, c’est un petit groupe mais qui prend de la place.
Et, là, il faut faire un choix en tant que leader, en
tant que pays : est-ce qu’on tolère ces gens-là ? »
Bé oui, ou alors tu les envoies en stalag-sanitaires,
comme c’était prévu, ou en goulag-médical, au choix !
Cette nouvelle tendance « up-to-date »
grandissante de certaines élites à se révolter contre les « petites gens »
pour les disqualifier, en dissimulant de moins en moins leur mépris, explique
en partie ces manifestations de colère dans un pays réputé placide…
Je veux : Les Gilets-jaunes l’ont démontré en « Gauloisie-impérieuse » avant la lettre…
C’est aberrant pour quelqu’un qui sollicite le suffrage universel, mais c’est comme ça !
L’exercice du « pouvoir » sur autrui, ça les rend tous dingues, finalement.
Depuis le 15 janvier, les camionneurs franchissant la
frontière américano-canadienne sont censés être vaccinés s’ils veulent éviter
une quarantaine de deux semaines.
De même, le gouvernement canadien prévoit d’obliger les routiers à l’être s’ils veulent passer d’une province à une autre.
Le média « Global News » souligne que, questionnés à la Chambre des communes mi-janvier, ni le ministre fédéral de la Santé, Jean-Yves Duclos, ni l’administratrice en chef de la santé publique, Theresa Tam, n’ont pu démontrer de lien entre les contaminations et les routiers.
En effet, seulement 10 % des près de 230.000 routiers ont refusé la vaccination obligatoire.
Alors quid novi ?
On a tous les mêmes irréductibles…
D’ailleurs c’est vrai quel que soit « l’échantillon » : Autant de tarés que de génies dans n’importe quelle cohorte, même chez les polytechniciens et les crétins des alpes !
Une constante sociale…
Les premiers énormes poids lourds, assez souvent ornés
du drapeau à la feuille d’érable, sont entrés à Ottawa le 28 janvier rejoints
par les autres le lendemain, pour notamment protester devant la colline du
Parlement.
Certains avaient pris la route dès le 22.
De manière générale, l’accent médiatique a d’abord été mis sur des éléments extrémistes censés discréditer le mouvement, tels que des manifestants affichant un drapeau nazi, les couleurs confédérées, ou insistant pour être nourris par des distributeurs de soupe, faute de pouvoir entrer dans les restaurants sans passeport vaccinal.
Nous, ça aura été « Rat-Out » qui se sera pris la vindicte gouvernementale entre les gencives…
Cependant, les camionneurs avaient préparé des provisions et ont mis en place un service d’ordre pour repérer les quelques fauteurs de troubles.
Dans cette révolte contre un pouvoir jugé arrogant, ils sont soutenus par le milliardaire Elon Musk et l’ex-président « ricain », « McDo-Trompe », toujours prompts à dénoncer les élites…
Or, dans « La révolte des élites et la trahison
de la démocratie » publié à titre posthume en 1995, l’historien et
critique social américain Christopher Lasch dont on parlait d’entrée (cf.
ci-avant) constate un mépris de classe grandissant, notamment sur le plan
sanitaire : « Incapable de saisir l’importance de la différence de classe
dans la formation de nos attitudes envers la vie, les libéraux de la
bourgeoisie aisée (upper middle class) ne parviennent pas à prendre la
mesure de la dimension de classe caractérisant leur obsession pour la santé et
la droiture morale (…).
Lorsqu’ils se trouvent confrontés à de la résistance devant ces initiatives, ils révèlent la haine venimeuse qui ne se cache pas loin sous le masque souriant de la bienveillance bourgeoise.
La moindre opposition fait oublier aux humanitaristes les vertus généreuses qu’ils prétendent défendre. Ils deviennent irritables, pharisiens, intolérants.
Dans le feu de la controverse politique, ils jugent impossible de dissimuler leur mépris pour ceux qui jugent avec obstination de voir la lumière ».
Admettons.
Mais ça ne règle pas le problème d’irrespect fondamental et leur ignorance de « classe ».
Autre provocation et manifestation de mépris, avant
même l’entrée des routiers dans la capitale et l’agitation de l’unique drapeau
nazi, le caricaturiste canadien Michael de Adder, par ailleurs employé du
Washington Post, avait publié le 28 sur « Twister » un dessin
montrant des camions affichant le terme « fascisme », avec pour légende
ironique « Chaîne d’approvisionnement ». Fortement critiqué, il a depuis
supprimé son message.
Le même jour, le Washington Post publiait un article d’opinion affirmant que « le mouvement partage des affinités avec les politiques autoritaires toxiques de Trump ».
Bé voyons : Rien moins que ça…
Deux jours avant l’entrée des camionneurs dans la
capitale, « Juste-un » les avait décrits comme une « petite
minorité marginale de personnes qui se rendent à Ottawa et qui ont des opinions
inacceptables ».
Et alors même qu’ils commençaient à se regrouper devant le Parlement et que le chef du gouvernement avait été exfiltré, son ministre des Transports, Omar Alghabra, a semblé provoquer davantage en affirmant être en train de travailler en vue de l’obligation vaccinale pour les transporteurs interprovinciaux.
Quand on est têtu comme une bourrique…
Dans American Thinker, Thomas Lifson, sociologue, parle d’une « escalade face à une révolte populaire » et estime que cela témoigne d’un « mépris ressenti par les élites éduquées – les personnes désormais connues sous le nom de classe des ordinateurs portables pour leur capacité à fonctionner même en cas de confinement – pour les classes inférieures dans l’ordre social. »
L’auteur ajoute : « Si ces prolos, dont la vie professionnelle consiste à conduire des camions, entendent défier Trudeau, il leur montrera qui a le pouvoir et qui ne l’a pas. »
De son côté, le Premier ministre québécois, François Legault, a renoncé le 1er février à déposer son projet de la loi sur la contribution santé censé obliger les personnes non-vaccinées à payer une taxe de 100 à 800 dollars selon les revenus.
Il aurait eu la pétoche ?
Chez nous, les « pov’-kon-sans-dent-qui-puent-le-diesel-et-la-clope »
c’est également et globalement 10 % de la population traités de façon similaire.
Quasiment les mêmes qui ne veulent pas se faire vacciner parce qu’ils ont entendu dire que ce n’était pas bon pour la santé.
C’est vrai que ce n’est pas vraiment un vaccin qui nous est proposé : Juste un traitement prophylactique à base de virions à ARNm, ce qui est nouveau.
Avec le recul et les multidoses à s’enfiler, il n’y a pas d’autre qualification à retenir.
Mais technologiquement, c’est un immense progrès médical tout de même…
En plus, c’était gratos et ça aurait évité à plusieurs dizaines de milliers de personnes de clamser prématurément, étouffés dans leurs miasmes.
Trop kon que d’y renoncer.
Alors si je comprends que les « emmerdés » ne veulent pas être « emmerdés » plus que nécessaire en fonction de leur vécu, j’admire la réponse pour refuser de vivre en paria sur leurs routes continentales, qui sont immenses…
Ça me fait penser à mon notaire de Balagne qui, soi-disant, ne pouvait pas être vacciné en raison de ses ALD : Le kon, il faisait partie des « prioritaires » au moment de l’apparition du premier vaccin : S’il avait vraiment des ALD potentiellement létales à supporter !
Je me suis retenu de rire aux éclats, par simple respect courtois.
Ceci dit, c’est une leçon pour tous : Gouverner
par le mépris, c’est une faute majeure quand on est « aux affaires »
par le sort des urnes.
« BoJo » s’en rend compte et paiera cher ses « partygates », comme d’autres feraient mieux de fermer leur grande-gueule plutôt que raconter n’importe quoi n’importe comment, n’importe quand.
D’ailleurs, à ce sujet, on entend moins « Jupiter » raconter des konneries, depuis quelques temps : N’y aurait-il pas des élections prévues au calendrier ?
Ah bé si, justement…
Et il retrouve que, comme par miracle, l’humilité qui convient à sa fonction nous revient : Et je m’en réjouis !
Car sur la pavé « parigot », le mépris élitiste, ça finit en « Nuit debout » quand ça ne va pas plus loin : Les « parigots » ont bien réussi à guillotiner un roi-régnant et son épouse…
« A mari usque ad mare » ou « De la mer jusqu’à la mer », ces mots issus de la Bible sont la devise nationale du Canada où ils signifient « D’un océan à l’autre » : Et des côtes de l’Atlantique à celles du Pacifique, des colonnes de poids lourds appelées « Convoi de la Liberté » ont rejoint la capitale fédérale, Ottawa, pour protester contre la triple vaccination obligatoire.
Et ça fait le buzz dans le monde occidental.
Si les chiffres de la participation sont exagérés, notamment par le recours à des photos décontextualisées, le mouvement est important et peut être en partie lu comme une révolte populaire face à la révolte des élites décrite par l’historien (qui pense pour être un « penseur ») américain Christopher Lasch, me fait-on savoir.
Pourquoi pas ?
Personnellement, j’en connais d’autres qui se sont prétendus « incompris pour être trop intelligent » ou qui rappelaient qu’il suffisait de traverser la rue pour trouver du boulot et qui veulent depuis peu emmerder les emmerdeurs de non-vaccinés.
À chacun ses tarés !
On se rappellera en effet que, lorsque les tea-partiers avaient protesté contre les taxes en 2009, « Haut-Bas-Mât » les avait traités de « tea-baggers », une insulte sexuelle (mettre ses testicules dans la bouche d’une personne), reprenant l’injure d’un présentateur sur CNN, à leur sujet.
Personnellement, si tout jeune j’avais fait le rêve de m’exiler au Canada, depuis, moâ qui est connu l’exil à plusieurs reprises, j’en suis revenu (avant de partir définitivement en Balagne le jour où j’aurai un chauffage qui tiendra la route) les « non-vax » et autres « anti-vax » ne m’emmerdent pas plus que ça : À chacun de prendre ses responsabilités, n’est-ce pas ?
Selon ses mots, les confinements et autres restrictions sont de leur faute.
Oui, bon, si ce n’est pas totalement faux, nous, sur « Paris-sur-la-plage » on est enfin sorti des restrictions, bon gré mal gré, le pic des contaminations au « Conard-virus » étant passé et la faute me semble plutôt être du côté du gouvernement de « Kung-Fu-Panda » qui n’aura pas su distribuer ses stocks (inexistants) de masques médicaux, préférant fermer la seule usine gauloisienne qui en fabriquait encore, reniant sa signature pour faire des économies de bout de chandelle en continuant de fermer des lits d’hôpital et de nous envoyer « Si-Bête-la-Diarrhée » nous expliquer que ça ne servait à rien (avant de le rendre obligatoire) même qu’elle ne savait même pas les mettre, la konne…
Une abrutie pareille, entrer les mains des camionneurs canadiens, aurait passé les meilleures soirées de sa vie, à n’en pas douter…
Je ne sais pas mais ma dernière grippe date de Noël 2018 : Je recevais ma « pôv’-Môman » à déjeuner. Et j’ai été bien en peine pour trouver un masque afin de ne pas la préserver de mes miasmes…
Ils ne sont pas mieux lotis que chez nous, finalement…
L’article rappelle les propos tenus en « francilien-natif » par « Pruneau » en septembre dernier au Québec : « Il y a aussi des gens qui sont farouchement opposés à la vaccination, qui croient pas dans la science, qui sont souvent misogynes, souvent racistes, c’est un petit groupe mais qui prend de la place.
Je veux : Les Gilets-jaunes l’ont démontré en « Gauloisie-impérieuse » avant la lettre…
C’est aberrant pour quelqu’un qui sollicite le suffrage universel, mais c’est comme ça !
L’exercice du « pouvoir » sur autrui, ça les rend tous dingues, finalement.
De même, le gouvernement canadien prévoit d’obliger les routiers à l’être s’ils veulent passer d’une province à une autre.
Le média « Global News » souligne que, questionnés à la Chambre des communes mi-janvier, ni le ministre fédéral de la Santé, Jean-Yves Duclos, ni l’administratrice en chef de la santé publique, Theresa Tam, n’ont pu démontrer de lien entre les contaminations et les routiers.
En effet, seulement 10 % des près de 230.000 routiers ont refusé la vaccination obligatoire.
Alors quid novi ?
On a tous les mêmes irréductibles…
D’ailleurs c’est vrai quel que soit « l’échantillon » : Autant de tarés que de génies dans n’importe quelle cohorte, même chez les polytechniciens et les crétins des alpes !
Une constante sociale…
Certains avaient pris la route dès le 22.
De manière générale, l’accent médiatique a d’abord été mis sur des éléments extrémistes censés discréditer le mouvement, tels que des manifestants affichant un drapeau nazi, les couleurs confédérées, ou insistant pour être nourris par des distributeurs de soupe, faute de pouvoir entrer dans les restaurants sans passeport vaccinal.
Nous, ça aura été « Rat-Out » qui se sera pris la vindicte gouvernementale entre les gencives…
Cependant, les camionneurs avaient préparé des provisions et ont mis en place un service d’ordre pour repérer les quelques fauteurs de troubles.
Dans cette révolte contre un pouvoir jugé arrogant, ils sont soutenus par le milliardaire Elon Musk et l’ex-président « ricain », « McDo-Trompe », toujours prompts à dénoncer les élites…
Lorsqu’ils se trouvent confrontés à de la résistance devant ces initiatives, ils révèlent la haine venimeuse qui ne se cache pas loin sous le masque souriant de la bienveillance bourgeoise.
La moindre opposition fait oublier aux humanitaristes les vertus généreuses qu’ils prétendent défendre. Ils deviennent irritables, pharisiens, intolérants.
Dans le feu de la controverse politique, ils jugent impossible de dissimuler leur mépris pour ceux qui jugent avec obstination de voir la lumière ».
Mais ça ne règle pas le problème d’irrespect fondamental et leur ignorance de « classe ».
Le même jour, le Washington Post publiait un article d’opinion affirmant que « le mouvement partage des affinités avec les politiques autoritaires toxiques de Trump ».
Bé voyons : Rien moins que ça…
Et alors même qu’ils commençaient à se regrouper devant le Parlement et que le chef du gouvernement avait été exfiltré, son ministre des Transports, Omar Alghabra, a semblé provoquer davantage en affirmant être en train de travailler en vue de l’obligation vaccinale pour les transporteurs interprovinciaux.
Quand on est têtu comme une bourrique…
Dans American Thinker, Thomas Lifson, sociologue, parle d’une « escalade face à une révolte populaire » et estime que cela témoigne d’un « mépris ressenti par les élites éduquées – les personnes désormais connues sous le nom de classe des ordinateurs portables pour leur capacité à fonctionner même en cas de confinement – pour les classes inférieures dans l’ordre social. »
L’auteur ajoute : « Si ces prolos, dont la vie professionnelle consiste à conduire des camions, entendent défier Trudeau, il leur montrera qui a le pouvoir et qui ne l’a pas. »
De son côté, le Premier ministre québécois, François Legault, a renoncé le 1er février à déposer son projet de la loi sur la contribution santé censé obliger les personnes non-vaccinées à payer une taxe de 100 à 800 dollars selon les revenus.
Il aurait eu la pétoche ?
Quasiment les mêmes qui ne veulent pas se faire vacciner parce qu’ils ont entendu dire que ce n’était pas bon pour la santé.
C’est vrai que ce n’est pas vraiment un vaccin qui nous est proposé : Juste un traitement prophylactique à base de virions à ARNm, ce qui est nouveau.
Avec le recul et les multidoses à s’enfiler, il n’y a pas d’autre qualification à retenir.
Mais technologiquement, c’est un immense progrès médical tout de même…
En plus, c’était gratos et ça aurait évité à plusieurs dizaines de milliers de personnes de clamser prématurément, étouffés dans leurs miasmes.
Trop kon que d’y renoncer.
Alors si je comprends que les « emmerdés » ne veulent pas être « emmerdés » plus que nécessaire en fonction de leur vécu, j’admire la réponse pour refuser de vivre en paria sur leurs routes continentales, qui sont immenses…
Ça me fait penser à mon notaire de Balagne qui, soi-disant, ne pouvait pas être vacciné en raison de ses ALD : Le kon, il faisait partie des « prioritaires » au moment de l’apparition du premier vaccin : S’il avait vraiment des ALD potentiellement létales à supporter !
Je me suis retenu de rire aux éclats, par simple respect courtois.
« BoJo » s’en rend compte et paiera cher ses « partygates », comme d’autres feraient mieux de fermer leur grande-gueule plutôt que raconter n’importe quoi n’importe comment, n’importe quand.
D’ailleurs, à ce sujet, on entend moins « Jupiter » raconter des konneries, depuis quelques temps : N’y aurait-il pas des élections prévues au calendrier ?
Ah bé si, justement…
Et il retrouve que, comme par miracle, l’humilité qui convient à sa fonction nous revient : Et je m’en réjouis !
Car sur la pavé « parigot », le mépris élitiste, ça finit en « Nuit debout » quand ça ne va pas plus loin : Les « parigots » ont bien réussi à guillotiner un roi-régnant et son épouse…
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