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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 10 février 2022

Dans la semaine du 21 février, probablement à l’aube …

Après la cérémonie de clôture des jeux de Pékin.
 
Le « monde d’après » s’engouffrera dans notre quotidien.
Évidemment, ce n’est pas celui que nous avions espéré, mais comme dit la chanson, « on n’y peut rien »…
 
Clairement en 10 février 2022, il n’y aura plus d’autres options : Depuis décembre, de façon unilatérale, le russe « Poux-tine » pose ses ultimatums et diktats, tout seul dans son coin : L’alignement des planètes lui est favorable et il en profite.
La paix sur son flanc orientale avec la Chine, pour encore quelques semaines, les européens pris au piège des livraisons de gaz russe pour se chauffer cet hiver (après le printemps arrive), les troupes amassées aux frontières de l’Ukraine et en Biélorussie sur un terrain qui va devenir « praticable », l’arrivée de matériel sanitaire proche du futur front, le départ précipité du « Graceful » (le méga-yacht de « Poux-tine ») des chantiers de Hambourg où il se faisait radouber pour Kaliningrad, tout indique que l’invasion de l’Ukraine est désormais en marche.
Et il aura pris son temps… Un calendrier implacable.
 
Encore le lundi 7 février, « Vlad » prend le temps de « donner le change » en estimant que certaines des idées de son homologue « Gauloisien », « Jupiter », pour désamorcer la crise russo-occidentale sur l’Ukraine peuvent permettre d’avancer.
Oui, il avance : À l’issue de plus de cinq heures d’entretien à Moscou, il n’aura dit mot des dizaines de milliers de soldats russes campant toujours aux frontières de l’Ukraine, laissant craindre une invasion et un conflit à l’échelle européenne.
Pendant ce temps-là, le déploiement d’unités spécialisées dans l’approvisionnement en carburant et d’hôpitaux de campagne (« le train »), la livraison de poches de sang ont été autant de signaux qui font penser que l’option militaire est la seule envisagée par « Poux-tine ».
Je me souviens très bien qu’en décembre 1990, on nous avait annoncé l’arrivée de « body-bags » en Arabie Saoudite, alors que les pourparlers diplomatiques se poursuivaient avec l’Irak : Pour de bon, la « coalition » allait défoncer la 4ème puissance militaire qui campait au Koweït !
Depuis plusieurs semaines, les signes ne trompent pas, bien qu'aucun parti ne désire la guerre, nous dit-on, les mouvements militaires incessants montrent le contraire.
Et « Poux-tine » prévient : « Si l’Ukraine devient membre de l’Otan et récupère la Crimée par la voie militaire, les pays européens vont être entraînés automatiquement dans un conflit avec la Russie ».
Ajoutez à cela une bataille gazière…
L’Ukraine ne deviendra jamais un membre de l’Otan mais restera un « observateur avancé » durant plusieurs années encore, comme a pu l’être la « Gauloisie-Gaulliste » pendant plusieurs décennies.
Et « Poux-Tine » ne peut plus reculer : Question d’image et de politique intérieure déjà mise à mal par la gestion douteuse de la crise sanitaire et par les sanctions économiques déjà en place.
Ce n’est pas que le peuple russe souhaite une guerre contre leurs « frères » du Sud : Ils n’ont aucune envie de s’entretuer avec eux, d’autant que bien des couples binationaux y vivent encore, ont des enfants et des intérêts communs.
Mais « Poux-Tine » a besoin d’avancer pour consolider la permanence de son pouvoir personnel sur le pays.
En Russie mais aussi autour de la Russie…
Et sur le plan international.
 
En tacticien bravache, il aura ainsi affirmé que « certaines de ses idées, de ses propositions sont possibles pour jeter les bases d’avancées communes » en parlant de « Jupiter » au cours d’une conférence de presse post-entretien, tout en jugeant prématuré de les exposer publiquement.
« De notre côté, nous ferons tout pour trouver des compromis qui pourront satisfaire tout le monde », a-t-il ajouté, assurant que ni lui ni « Jupiter » ne veulent d'une guerre Russie-Otan qui « n’aurait pas de vainqueur ».
Mais si, qu’il y en aura un et même plusieurs…
Il ne sait pas encore qu’il va y perdre de sa superbe et entraîner son pays dans une chevauchée infernale.
Pour « Jupiter », « la sécurité de notre continent, pour être maintenue, a besoin que nous ne reproduisions pas ici les erreurs du passé ».
Certes, mais on est tous en plein de dedans…
Je vous faisais il y a encore peu la liste des « erreurs » à ne pas commettre : Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2022/01/on-sait-deja-comment-ca-va-se-terminer.html
Nous y sommes malgré nous et par le fait d’un seul (qui veut entrer dans l’Histoire) !
 
Je vous dis qu’il donne le change : « Le président Poutine m’a assuré de sa disponibilité à s’engager dans cette logique et de sa volonté de maintenir la stabilité et l’intégrité territoriale de l’Ukraine », a affirmé « Jupiter ».
Mais comment être crédule à ce point-là face à un mek qui fait le contraire de ce qu’il dit depuis le début de la crise ?
Car il n’a pas dit mot de ses projets concernant les dizaines de milliers de soldats russes campant toujours aux frontières de l’Ukraine et en Biélorussie, toujours officiellement « en exercice ».
En revanche, « Poux-Tine » a de nouveau dénoncé le refus occidental de lui céder sur la fin de la politique d’élargissement de l’Otan et le retrait de ses moyens militaires d’Europe de l’Est, tout en niant menacer l’Ukraine.
Mais quand donc son pays deviendra-t-il membre de l’Otan, au juste ?
Et une nouvelle fois, il a accusé l’Ukraine d’être seule responsable de l’impasse dans laquelle se trouvent les pourparlers de paix dans le conflit opposant Kiev à des séparatistes prorusses, parrainés par Moscou malgré les dénégations du Kremlin.
De qui se fout-on au juste ?
Qui donc a shooté un vol civil gratuitement depuis le Donbass en juillet 2014 ?
Qui aura annexé la Crimée au lieu de prendre un accord amiable d’utilisation des installations de Sébastopol ?
Qui s’est permis une boutade à l’adresse du président ukrainien, qui s’est montré critique à l’égard d’éléments du plan du paix négocié en 2015 entre Kiev et Moscou via une médiation « Gaulo-teutonne » : « Que ça te plaise ou non, ma jolie, faudra supporter », avait alors lâché « Poux-tine ».
 
Le chancelier « Teuton » prendra le relai de « Jupiter » et rencontrera à son tour le maître du Kremlin à Moscou, le 15 février, après un passage par Kiev.
Pas un coup de feu ne sera tiré avant, sauf manœuvres dilatoires et sabotages afin de créer des « incidents de frontière » et justifier de la suite…
C’est déjà couru d’avance, mais après le 15.
« Ricains » et Européens ont pourtant prévenu la Russie qu’une nouvelle attaque russe de l’Ukraine aurait des conséquences terribles pour la Russie, avec l’adoption de sanctions dévastatrices.
Ça lui en touche une sans faire bouger l’autre, comme aurait dit « le Chi ».
États-Unis et « Teutonnie » sont « absolument unis » sur les sanctions à infliger à la Russie si jamais elle attaquait, et les deux pays prendraient « les mêmes mesures », aura assuré le chancelier à Washington lundi.
Le président américain a pour sa part promis qu’une attaque signifierait « la fin » (définitive ?) du gazoduc russo-teuton stratégique Nord Stream 2.
Le renseignement américain a assuré que la Russie avait 70 % du dispositif nécessaire à une offensive de grande ampleur en Ukraine.
« Vous n’aurez même pas le temps de réagir », met en garde « Poux-tine »…
 
Il fait de l’engagement de l’Otan à cesser tout élargissement à l’Est une condition de l’apaisement. « Dire que la Russie se comporte de manière agressive est illogique », a-t-il dit, « ce n’est pas nous qui nous nous dirigeons vers les frontières de l’Otan ».
L’idée fixe…
« La Russie est européenne », a assuré « Jupiter ».
Il a raison de l’affirmer : C’est un fait historique.
En plus, elle est chrétienne…
« Qui croit en l’Europe doit travailler avec la Russie. Est-ce que c’est chose aisée ? Non. Mais est-ce que l’Europe s’est construit sur des choses aisées ? Non. Est-ce que la tâche tient de l’ingratitude ? Oui. Faut-il pour autant abandonner ? Non », a déclaré le président « Gauloisien » encore en exercice devant son homologue russe.
 
« On essaye de nous calmer avec des assurances comme quoi l’Otan est une organisation pacifique et de défense », a annoncé « Poux-Tine », avant de citer « l’Irak, la Libye, Belgrade » en contre-exemples.
Et la Syrie au juste ?
Et il a de nouveau dénoncé l’aide militaire à l’Ukraine de la part des Occidentaux.
Il a en outre critiqué le refus occidental d’accepter ses principales exigences : La fin de la politique d’élargissement de l’Otan, l’engagement de ne pas déployer d’armes offensives à proximité des frontières russes et le retrait d’infrastructures militaires de l’Alliance sur les frontières de 1997, c’est-à-dire avant que l’organisation n’accueille en son sein d’ex-membres du bloc soviétique.
Toute reculades impossibles à satisfaire et il le sait très bien !
« Kiev rejette toujours toutes les opportunités d’un rétablissement pacifique de son intégrité territoriale », a-t-il affirmé, ce qui n’est pas faux.
J’avoue que si la « Teutonnie » revendiquait l’Alsace et la Moselle au motif que les populations le souhaiteraient pour être germanophones et que c’était l’ancienne frontière qui gardait le Rhin sur son couchant, elle serait reçue comme la « Ritalie » revendiquant la « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » au motif que le Roy des gauloisiens n’aurait pas payé sa redevance au comptoir génois Saint-Georges : VTFF (Va te faire foutre) !
 
Rappelons qu’un processus de paix, sous médiation « Gauloisien-Teuton », a permis de figer le front au Donbass dont les séparatistes sont soutenus par le Kremlin.
Il y a eu cinq heures de tête-à-tête lundi soir pour rien, mais le temps a semble-t-il paru plus long pour le président russe : « Le président Macron me parle depuis près de six heures, presque en me torturant », affirme « Vlad » à la fin des discussions. Cette phrase du président russe souligne l’intensité des échanges qui ont régné autour de la très grande table ovale de la salle des représentations du Kremlin.
« Demandez à vos concitoyens s’ils veulent que la France entre en guerre contre la Russie. Notre préoccupation concerne la sécurité européenne toute entière », lance le maître du Kremlin, dans un message plein de sous-entendus.
S’est-il demandé si ses compatriotes désirent faire la guerre à « leurs cousins » ukrainiens pour contenter leur maître… ?
« Le président Zelensky est le président d’un pays aux frontières desquelles il y a 125.000 soldats russes, donc, oserais-je dire ça rend nerveux » aura balancé « Jupiter ».
 
Les deux dirigeants étaient assis chacun à un bout d’une très longue table blanche : « Notre continent est aujourd’hui dans une situation éminemment critique qui nous impose d’être extrêmement responsables », a déclaré « Jupiter » au début de la rencontre.
« Nous vivons le moment le plus dangereux pour la sécurité de l’Europe depuis la fin de la guerre froide. »
Et ce n’est hélas pas terminé.
Prochaine étape le 21 février si rien ne se passe sur le plan diplomatique avant cette ultime date.
Normalement, le 23, voire le 24 au plus tard, Kiev est réduite et les troupes russes campent à Odessa.
Une nouvelle ère débutera, l’Ukraine sous la botte russe, le continent coupé en deux pour un long moment en vue d’étouffer l’envahisseur.
Jusqu’à un retournement de situation à « mûrir » dans la décennie qui va suivre.
C’est le scénario le moins dommageable.
Mais il y en a d’autres plus… catastrophiques !
 
De toute façon, un autre front va s’ouvrir à l’autre bout de la planète, en Mer de Chine et plus précisément dans le détroit de Formose : C’est que ça donne des ailes à toutes les dictatures, jusqu’en Afrique sahélienne, ce genre de procédés.
Et là encore, nous serons pris en otages : « Si Taiwan n’était plus en mesure d’exporter, en trois semaines l’ensemble des usines du monde s’arrêterait » en dit notre commissaire européen du numérique (« Titi-Breux-thon »).
Si on ne meurt pas pour Kiev on devra peut-être le faire pour Taipei…
Que, je ne serai même pas étonné que la campagne électorale de « Jupiter » soit sabotée par quelques djihadistes à qui on aura promis le paradis d’Allah, plus quelques « attaques » virales de trolls informatiques, histoire de mettre le boxon, pour faire bon poids, bonne mesure.
L’état d’urgence va vraiment pouvoir servir à autre chose qu’à enfermer les gens chez eux…
Quelle époque, mais quelle époque !

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