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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 1 février 2022

Primaire populaire…

Quand donc arrêteront-ils leurs délires ?
 
J’en reste tout chose : Qu’ont donc retenu les « héritiers » de « Mythe-errant » sur la place de la « gôche-soce » dans ce foutu pays qui est le mien (que j’aime tant et qui me le rend si mal…) ?
Au moins, « Tonton », il avait fait au préalable un programme commun pour accéder à l’Élysée et depuis que « Tagada-à-la-fraise-des-bois », ils s’en exemptent tous : Résultat c’est une pléthore de candidats qui tentent leur chance !
Mais enfin, se sont-ils rendus compte que « Jupiter » n’est pas « Bling-bling » : Ce dernier, plus personne ne pouvait le piffer et n’importe qui qui se présentait contre lui était sûr d’être élu !
La preuve, le tocard l’a été pour un quinquennat… pluvieux et désastreux…
Là, on dirait qu’ils veulent finalement toutes et tous que « Jupiter » soit réélu.
À l’extrême-droâte, ils sont deux à s’en occuper, à « droâte », ils ont mis une cabrette, à « gôche » qui se partage environ un quart des électeurs en comptant « Yoda-l’écololo », ils se démultiplient !
 
Bref, sans surprise « Chrichri-T’oubliera » entre dans l’Histoire en remportant « la primaire populaire », une consultation citoyenne destinée à avoir une candidature unique à gôche pour la présidentielle mais dont la plupart des principaux candidats ont refusé de reconnaître la légitimité !
C’est malin : Elle est la seule à s’estimer « légitime »…
Dans ce « jugement majoritaire », elle aura obtenu la mention « bien plus », devançant l’écololo qui ne voulait pas y participer (assez bien plus), « Mes-Luches » (assez bien moins) qui ne voulait pas plus, « Pierrot-la-Roue-Toux-roux » (passable plus) et la « soce-encartée », « Sœur-Âne » qui se prend une première claque avec passable plus !
Je te demande un peu…
Le pire, c’est que cette dernière continue à plomber le paysage et… son parti !
Bravo, bravo…
 
Évidemment, dans la foulée, la gagnante a annoncé appeler les autres candidats de gôche pour faire « l’union » sur son nom. « Je prendrai l’initiative d'appeler les autres candidats » a-t-elle affirmé lors d’une allocution après le résultat de cette initiative citoyenne inédite. « Je sais leurs réticences, mais je sais aussi leur intelligence et leur sens de l’intérêt général. Cette union, nous la construisons ensemble », a-t-elle ajouté.
Arf, l’intelligence chez cette frange-là de la population… j’en rigole bien fort, naturellement !
 
« Elle a enfilé la chaussure qui a été préparée pour elle, je ne suis pas concerné, c’est leur affaire », a réagi « Mes-Luches ».
« Yoda » a, lui, répondu : « Rien. »
« C’est une candidature de plus, exactement l’inverse de ce que souhaitait la Primaire populaire », a estimé le candidat écolologiste.
Merveilleux, si la barre des 400.000 n’a pas été franchie, ils étaient tout de même 392.738 électeurs (84,1 %) à participer à ce suicide collectif sur les 466.895 inscrits. Qu’est-ce qu’ont glandé les 74.157 qui on pris le temps de s’inscrire et de filer jusqu’à leur carte bleue, pour ne pas participer ?
Il y a de grands malades dans cette portion de population…
 
Si ce scrutin ferme une parenthèse, il n’arrange finalement en rien l’enjeu majeur de la gôche : L’éparpillement des candidatures et de ses voix !
Rappelons qu’entre le 11 décembre et le 23 janvier, les militants de la Primaire populaire ont réussi à récolter 466.895 inscriptions pour ce vote électronique. Si ce chiffre est loin de l’objectif de départ, qui tablait sur un à deux millions de votants, il est bien supérieur au nombre d’inscrits à la primaire écolologiste de septembre 2021 (122.000 participants) et au congrès du parti « Les Républicains-Démocrates » de décembre 2021 (près de 140.000 inscrits, mais un scrutin ouvert uniquement aux adhérents). Le nombre d’inscrits reste pour autant largement inférieur à ceux de la primaire de la gôche de 2017 (2 millions au second tour) et de la primaire de la droâte et du centre qui avait vu triompher « Fifi-le-souteneur » en novembre 2016 (4,4 millions au second tour).
Alors ça veut dire quoi ces « minorités » agissantes, au juste ?
 
Désormais, la candidate du « Parti Radical de Gôche » désignée vainqueure devra signer un « contrat de rassemblement » visant à favoriser le rassemblement autour d’un projet « de justice sociale, d’écologie et de renouveau démocratique », un terme plutôt flou et pour le moins peu engageant. Elle devra également respecter l’esprit du « socle commun » : Dix propositions phares coécrites en avril 2021 avec « une dizaine de partis de la gauche et de l’écologie, allant des Nouveaux Démocrates à La France insoumise ».
Problème : Certains partis politiques ne s’y reconnaissent pas aujourd’hui et les relations se sont soudainement tendues, y compris avec les organisateurs.
Le règlement du vote pourrait bien doucher les espoirs des partisans de la Primaire populaire : « Dans l’éventualité où la personnalité, arrivée en première position à l’issue des opérations de vote, refuserait de respecter l’esprit du socle commun, elle ne recevrait pas l’investiture [de l’association organisatrice] » disait-on.
Pour appuyer son refus de voir La France insoumise associée à l’initiative, l’eurodéputé « Manu-Bon-Dard » a notamment avancé l’argument de la précaution financière : « Nous ne voudrions importer aucune irrégularité de dépenses de campagne ».
Pourtant, dans son « mémento à l’usage du candidat et de son mandataire », adopté le 8 avril 2021 en vue de l’élection présidentielle de 2022, la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques précise que les dépenses faites pour l’organisation d’une primaire n’ont pas à être intégrées au compte de campagne du candidat désigné.
Pas de risque, a priori, que les plus de 750.000 euros dépensés pour l’organisation du vote viennent alourdir les comptes de campagne de tel ou tel candidat.
Seules les dépenses faites dans le cadre de la promotion personnelle d’un candidat et de ses idées devront être intégrées, s’il en sort vainqueur, dans son compte de campagne pour la présidentielle. « Mes-Luches », en lice pour la Primaire populaire malgré lui et qui n’a pas fait campagne dans ce cadre, alors que le candidat-stalinien du PCF n’y était même pas, n’a donc en principe pas à craindre de voir son budget de campagne grevé par ce processus, quand bien même il aurait été désigné par les votants.
 
En revanche, en remportant cette primaire populaire, « T’oubliera » s’invite en effet pour de bon dans la course à l’Élysée alors qu’une défaite l’aurait mise hors-jeu.
Moâ, je garde le souvenir d’une femme qui aura enterré avec brio la « Gôche-Plurielle » de « Tonton Yoyo » en 2002.
Éliminé dès le premier tour : Il faut dire que celui-là, il avait fait caguer le chaland tous les soirs au JT pendant 5 ans avec son air de « pisse-froid » et ses propos de croquemort, que s’en était trop !
Depuis qu’elle a annoncé son intention de se lancer, « Chrichri » comptait sur un socle compris entre 4 et 5 % des intentions de vote. Un pécule qui a une conséquence négative pour deux candidats : « Yoda » d’abord, qui redescend à 5,7 % en moyenne sur les cinq derniers sondages alors qu’il était à 7 % jusqu’alors. « Sœur-Âne » ensuite qui poursuit la longue descente aux enfers. Créditée d’environ 3,5 % en moyenne début janvier, elle est à 2,8 % en moyenne !
Les chances de s’en débarrasser à mairie parigote sont désormais au plus bas…
Diantre.
En revanche, « Mes-Luches » s’il a pu dépasser ponctuellement les 10 % en moyenne, reste stable à 9,4 % en moyenne. Seul bémol pour lui : Il aurait pu espérer franchir durablement la barre des 10 % en janvier ce que la dispersion des voix de gôche ne lui permet pas.
Sur le reste du spectre politique, les tendances semblent établies. « Jupiter », même s’il n’a pas de dynamique à la hausse (ses partisans espèrent qu’elle arrivera après l’officialisation de sa candidature) reste ancré à 24 %, son socle depuis le premier tour de 2017…
Quant au match pour la deuxième place qualificative au second tour, il reste en cette fin janvier à l’état de duel. « Marinella-tchi-tchi » conserve l’avantage qu’elle a pris début janvier sur « Valy », dont on parlait encore hier (cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2022/01/ca-ne-veut-toujours-pas-demarrer.html). La candidate du « Air-Haine » obtient 17,5 % en moyenne contre 16,8 % pour son homologue des « Républicains-démocrates »
À ce stade, « Zézé-Amour » ne parvient toujours pas à enrayer la dynamique négative qu’il rencontre depuis le milieu de l’automne. Soit les premiers ralliements qu’il a enregistrés n’ont pas d’effet sur l’opinion, soit ils se feront ressentir au fil des prochaines semaines par un effet d’accumulation.
Et s’il ne parvient pas au second tour, ça va faire des dégâts durables.
Même s’il y parvient, mais pas pour les mêmes…
 
Quant aux « soces », la dernière campagne présidentielle leur avait coûté leur siège rue de Solférino. Parti comme c’est parti, on peut se poser la question de savoir quel sera le prix à payer, cette fois-ci ?
Certes, le résultat, favorable à sa rivale directe, n’était pas pour surprendre « Sœur-Âne », elle qui dès vendredi soir auprès de LCI moquait une victoire « un peu écrite d’avance ». Toutefois, le « passable » que lui a attribué le jugement majoritaire - le mode de scrutin adopté par la « Primaire populaire » - lui aura collé une gifle symbolique et douloureuse, qui la menace de contrecoups politiques très sérieux.
Elle en dit que : « Ça aurait pu être un moment de rassemblement de la gauche pour une candidature unique, c’est une candidature de plus » et d’enchaîner, en affirmant qu’elle poursuivrait une campagne présidentielle reposant sur « très beaux sujets » et la « proposition d’une gauche républicaine, sociale-démocrate et écologiste ».
Où va-t-elle chercher tout ça ? N’y-t-il pas déjà un candidat « écololo » en lice ?
 
Reste désormais l’essentiel : Les parrainages.
« Sœur-âne » a déjà « ses 500 parrainages qu’elle déposera cette semaine au Conseil constitutionnel et elle poursuit sa campagne sur le terrain ».
Les autres, c’est moins sûr…
D’ailleurs, comme le « Parti-Stalinien » avant lui, le « P.soce » a eu tendance ces dernières années à compenser son infortune politique au plan national, voire l’impression laissée d’un inexorable déclin, par son réseau d’élus toujours solide. Mais les gifles successives reçues par « Sœur-Âne » dans l’opinion mettent aussi le rose aux joues de sa formation politique, pour laquelle le danger est grand, désormais.
Car la cote actuelle de sa candidate ne lui permet pas d’entrevoir le remboursement des frais de campagne !
Même les banquiers ne veulent pas prêter…
Le score de « Deux-noix-Âme-Mont » avec 6,36 % des suffrages exprimés en 2017, avait au moins réussi à franchir la barre fatidique des 5 points déclenchant le remboursement des frais de campagne par le contribuable.
Un objectif qui semble pour le moment inatteignable !
Et malgré ce gros temps et les nuages qui s’amoncellent encore, l’appareil ne lâche pas l’étendard qu’il s’est choisi, bien qu’on reconnaisse en interne qu’il n’y a jamais eu « un grand feeling » entre le premier secrétaire « Olive-Fort » et la maire de « Paris-sur-la-plage ».
D’autres n’ont pas ces réserves : Dès la mi-janvier, l’ex-aspirante à l’Élysée, « Ségololo » suggérait que : « Il vaut peut-être mieux un Parti socialiste qui s’évite une humiliation à 2 % ».
Elle évoquait aussi une « absence de projet ».
Il faut dire que se prétendre « écololo » contre les « écololos », ce n’est pas très futé…
Passons.
 
Pire encore, ces derniers jours, « Tagada-à-la-fraise-des-bois » a sous-entendu qu’il pourrait encore tenter de retrouver le chemin d’une candidature.
Non seulement le doute gagne les troupes mais ça commence à se voir et surtout à s’entendre. Dimanche, la présidente du Conseil régional d’Occitanie, a soutenu auprès du Midi Libre que la championne « soce » ne devait pas abandonner mais « continuer à labourer le terrain », avec son « projet sérieux, réalisable et bon pour la France ». Mais elle a bien dû admettre que : « Rien n’est perdu, mais si ça devait arriver, ça sera (sic) difficile. Il va falloir du courage. »
Comme un écho aux sombres pensées que celle-ci avait livrées le 20 janvier auprès de Public Sénat : « Les socialistes n’étaient pas assez prêts pour cette présidentielle, et nous avons tous une responsabilité collective. Nous allons devoir prendre des décisions douloureuses et courageuses ».
L’autodafé ?
Un harakiri en place publique ?
 
Il faut bien comprendre la situation : « Jupiter » plane au-dessus de son Olympe.
Il n’a plus d’opposant utile à « Gôche ».
À « droâte », ils sont trois à se disputer les ruines, deux femmes et un homme.
Les deux femmes proposées sont des candidatures fragiles, l’une parce qu’hypothéquée par son passé « aux responsabilités », l’autre par la présence de « Zézé-Amour » qui lui phagocyte ses électeurs et phagocyte même jusque chez les électeurs de « Fifi-le-souteneur ».
Autrement dit, « Jupiter » a un boulevard devant lui, tel qu’il retarde son entrée en campagne qu’il va faire à l’allure d’un sprint d’enfer étalé sur moins de deux mois alors que « Marinella-tchi-tchi » aura démarré il y a 5 ans… moins deux mois !
D’autant que son « porte-la-parole » (enfin celui du gouvernement) aura annoncé que « Jupiter » ne débattra avec personne avant le premier tour…
C’est dire s’il se la pète et qu’il aurait beaucoup à perdre.
Si ce n’est pas « gagnant » à l’arrivée, c’est qu’il se sera passé une horreur entre deux !
 
On s’oriente donc de nouveau vers un « non-choix » pour le prochain quinquennat.
Si ce n’est pas « despotique », la pluralité démocratique en prend de toute façon un sérieux coup entre les oreilles !
Bravo la « gôche » : Fortiche. Toujours un mythe errant…

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