Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 21 février 2022

Et elle veut devenir présidente de la République !

Or, « Sœur-Âne » ne sait pas compter…
 
Ce n’est pas moâ qui l’énonce, mais la cour de comptes régionales « d’Île-de-Gauloisie » qui l’affirme entre les lignes, puisqu’elle vient de rendre public son rapport sur la gestion de la ville de « Paris-sur-la-Seine » sur la mandature 2014-2019.
Et ça tient en quelques chiffres.
 
― 11,2 milliards d’euros de budget
Son budget principal c’est 8,9 milliards de dépenses de fonctionnement, en 2020, et 2,1 milliards de dépenses d’investissement.
Est inclut le budget spécial de la préfecture de police qui était de 585 millions d’euros en 2020 et 93 millions de dépenses d’investissement.
À cela, il faut ajouter 4 budgets annexes pour la gestion de :
L’eau : 5 millions de dépenses en 2020 (contre 2 millions en 2013).
L’assainissement : 87 millions de dépenses de fonctionnement en 2020 et 47 milliards de dépenses d’investissement (contre, respectivement, 83 millions et 40 millions en 2013).
L’aide sociale à l’enfance : 62 millions de dépenses de fonctionnement en 2020 et 4 millions de dépenses d’investissements. Un niveau de dépense quasiment inchangé par rapport à 2013… là où il y avait tant de besoins !
Le parc automobile (transport automobiles municipaux) : 34 millions de dépenses de fonctionnement en 2020 et 10 millions de dépenses d’investissements. Un niveau de dépense là aussi inchangé par rapport à 2013.
Au final, le budget de la ville s’élevait donc, en 2020, à 9 milliards de dépenses de fonctionnement et 2,2 millions de dépenses d’investissement, ce qui en fait le budget local le plus important de « Gauloisie-éternelle » avec une dépense par habitant de 2.929 euros à « Paris-sur-Seine », désormais plus que les 2.540 euros de Marseille ou les 2.469 euros assumés par Lugdunum.
 
Globalement, le budget de la ville reste relativement stable, il était de 11,3 milliards d’euros en 2013 et de 11,2 milliards en 2020.
Mais la chambre régionale, elle, enregistre néanmoins une hausse des charges de gestion (dépenses de fonctionnement) de + 3,2 % depuis 2014 : En cause, la hausse des dépenses de personnel (qui ont du mal à faire leurs 35 heures minima).
On note d’ailleurs que pour son budget 2022, la ville a planifié une augmentation de 2,2 % de ses dépenses de fonctionnement dont + 2 % de la masse salariale.
Il s’agit de rémunérer 58.000 d’agents physiques et 4,7 milliards de charges de personnel (dont les retraites).
58.000 agents physiques, soit 51.575 ETP en 2019 : un chiffre en augmentation de 3.605 ETP depuis 2014, soit rien de moins que + 7,5 % des effectifs !
De ce total, ce sont les emplois permanents (+ 8,3 %) et les collaborateurs d’élus (+ 6,7 %) qui ont le plus augmenté pendant que le nombre d’assistants maternels et familiaux baissait, lui, de - 17,3 %…
Quand je pense qu’elle voulait doubler les places d’accueil de la « petite-enfance » quand j’étais président d’associations de crèches…
Il faut dire que ça ne m’étonne pas trop : Le patron « administratif » du secteur est un énarque qui n’aura pas eu le choix d’intégrer un « grand-corps » tellement il est mauvais…
Passons.
 
Au final, la ville affiche un taux d’administration particulièrement élevé : 23,3 ETP pour 1.000 habitants contre 18,6 à Marseille et 18,4 à Lyon !
De facto, « Paris-sur-la-Seine » « présente un ratio de dépenses de personnel par habitant nettement plus élevé. Au cours de la période 2015-2019, l’écart est en moyenne 13 % par rapport à Lyon et de 10 % par rapport à Marseille ».
Ainsi, le niveau des charges de personnel par habitant est de 1.103 euros en 2020 à Lutèce, contre 1.011 euros à Massilia et 908 euros à Lyon…
Bref, queue de peloton, lanterne rouge, voiture balai de l’axe PLM…
Bravo pour l’exemplarité de la kapitale de mon beau pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…)
 
Au niveau des charges de personnel de la ville, elles sont passées de 2,2 milliards en 2014 à 2,4 milliards en 2019, soit une augmentation de 211 millions d’euros (+ 9,5 %). Des charges auxquelles, il convient de rajouter les charges de personnel retraitées qui sont passées de 2,2 milliards en 2014 à 2,3 milliards en 2019, soit une augmentation de 142 millions d’euros (+ 6,5 %).
Toute est logique, acté, contrôlé : En plein dérive dénoncée depuis des années par les oppositions.
 
― 7 milliards d’euros de dette et une capacité de remboursement à 35 ans en 2021 !
Entre 2014 et 2019, la dette parisienne avait déjà augmenté de + 40 %, passant de 4,1 à 5,8 milliards d’euros !
Probablement un record qui laisse sur place même « Jupiter » avec les comptes de la Nation…
Quand on claque du pognon qu’on n’a pas, il faut l’emprunter : Logique !
Il est néanmoins attendu que la dette ait doublé en 10 ans puisqu’après avoir atteint 6,6 milliards d’euros en 2020, 7,1 milliards en 2021, c’est 7,6 milliards qui sont attendus en 2022, 8 milliards en 2023 et 8,3 milliards en 2024, etc…
La capacité de désendettement était, elle, de 11,3 ans en 2019, mais elle a dépassé le seuil d’alerte (12 ans) en 2021 en atteignant 35 ans : Les prévisions ne planifient un retour au seuil d’alerte qu’en 2026 et ce, pour une dette attendue cette année-là à 8,8 milliards d’euros.
Si « Sœur-Âne » ne charge plus la barque en vue des JO de 2024… déjà préfinancés sans elle !
 
Au final, la dette par parigots était de 3.003 euros en 2020, contre 2.104 euros à Lyon.
Néanmoins, cette fois Marseille affiche un taux supérieur avec une dette par habitant de 3.498 euros.
Mais c’est un port, dos à la mer… avec des plages naturelles.
Cependant, on note que la capacité de désendettement de Marseille est meilleure que celle de « Paris-sur-le-Seine », en 2019 : 7 ans pour Marseille contre 11,2 ans pour les deux rives de la Seine.
Lyon est à 3,5 années…
Un rêve.
Mais on mettra 35 ans pour rembourser : Je n’y serai plus, ma « Nichée » sera à la retraite et ses gamins devront ramer pour payer l’ardoise…
Trop drôle de « Socialisme-en-marche » !
Si encore ça servait aux générations futures… mais c’est seulement…
 
― 6,9 milliards d’euros d’investissement et 1,7 milliard à venir.
Entre 2015 et 2019, les dépenses d’investissement cumulées de la ville se montent à 6,9 milliards d’euros avec une forte augmentation en 2015 et 2016.
Pet de lapin sur une toile cirée !
Une tendance qui se poursuit désormais puisqu’en 2021, la ville « a prévu à son budget de contracter 842 millions d’euros d’emprunts supplémentaires en vue de financer une section d’investissement dite « de relance (de l’économie parigote) » à hauteur de 1,7 milliard d’euros d’investissements ».
Sur les dépenses liées à la tenue des Jeux Olympiques de 2024, elles se sont montées, pour l’instant, à 125 millions d’euros et la ville s’attend à dépenser d’ici 2024, 82,6 millions de dépenses de fonctionnement et 308 millions de dépenses d’investissement supplémentaires.
Ce qui est fort drôle (pour les JO), c’est que, et de loin, le secteur de l’enseignement (les ékoles maternelles et les collèges : La ville est aussi un département) qui bénéficie le plus de ces investissements, suivi de la culture et des transports.
 
Malgré cela, notons tout de même, que le taux d’équipement de la ville s’est dégradé depuis 2015 par rapport à Lyon et Marseille…
Miraculeux, n’est-ce pas ?
Quand je vous dis qu’elle ne sait pas compter, pas plus que dans son équipe…
 
― Une dégradation qui affecte également le taux d’épargne brute de la ville qui garantit la part d’autofinancement des investissements.
Malgré une amélioration entre 2017 et 2019, le taux d’épargne brute de la municipalité est anormalement faible par rapport à Lyon et Marseille et, comme les magistrats de la chambre mettent en garde, elle est artificiellement gonflée par le recours aux loyers capitalisés !
Une « astuce » financière pour camoufler le désastre.
En effet, 1,1 milliard d’euros de loyers capitalisés sont là pour gonfler la performance de la « belle équipe ».
Le rapport souligne que l’équilibre du budget parisien en 2016 et 2017 a été obtenu uniquement grâce à « la reprise en recettes de fonctionnement des loyers capitalisés versés par les bailleurs sociaux, mesure dérogatoire prévue par les textes et autorisée par les ministres compétents ».
Ce système, considéré comme une « manœuvre comptable » par la chambre régionale des comptes, date de 2015 et permet à la ville de se dégager des marges de manœuvres budgétaires malgré son endettement.
Fort en comptabilité publique, même s’ils sont nuls en arithmétique…
 
Pour faire simple, La Mairie rachète, via son droit de préemption et sous couvert de son objectif d’atteindre les 30 % de logements sociaux d’ici 2030, des logements pour les transformer en logements sociaux et perçoit tout de suite l’intégralité des loyers que le bailleur va toucher pendant la période d’exploitation.
Une avance sur recette en quel que sorte, tout ce qu’il y a de plus fictif.
Depuis, la ville a récupéré 20.000 logements pour lesquels elle a déjà touché plus de 1 milliard d’euros d’avance sur loyer : 354 millions en 2016, 287 millions en 2017, 221 millions en 2018, 152 millions en 2019 et 142 millions en 2020.
Des sommes qui décroissent du fait de la rareté de ce type de bien et mettent les finances publiques de la ville en grand danger.
Passons.
 
La chambre régionale des comptes souligne également que ce recours aux loyers capitalisés fausse les indicateurs financiers de la ville puisqu’elle « intègre les recettes de loyers capitalisés dans le calcul de son épargne brute. Du fait des montants en jeu, un tel choix a une incidence forte sur cet agrégat ainsi que sur les indicateurs qui en découlent comme le taux d’épargne brute et surtout la capacité de désendettement qui rapporte l’encours de dette à l’épargne brute ».
Autrement dit, non seulement on présente des comptes qui sont faux (je ferai ça dans mes sociétés - compter des recettes en avance - je finirai devant les tribunaux pour fraude et présentation de comptes « non sincère » !
Car c’est une méthode de calcul « contestable et non probante » qui revient à doubler l’épargne brute affichée par la ville en 2016 et 2017 et à maintenir une épargne surestimée sur les trois dernières années.
 
Mais c’est légal, sur autorisation du « sinistre-compétent » (2016, c’était qui au juste qui était dans la combine autorisée sous « Tagada-à-la-fraise-des-bois » ?), un autre « soce », imagine-je.
Autrement dit, « Sœur-Âne » ressemble à s’y méprendre à une « proto-délinquante » financière.
Dommage, je l’aurai bien vue à l’Élysée, histoire qu’elle décampe de la Mairie centrale et qu’on puisse remettre de l’ordre non seulement dans les comptes, mais également sur les chaussées…
Parce qu’il y en a qui se font des kouilles en or à creuser et reboucher pour recreuser et reboucher… Trois fois dans la même année devant chez moâ !
Toujours la même entreprise, mais pour des chantiers différents…
 
Ceci dit, la cour des comptes ne compte pas ce qu’elle fait supporter aux parigots comme coûts supplémentaires à vivre sur les rives de la Seine.
Déjà les taxes locales : En plus de la cotisation au foncier bâti, on a eu droit à la création de ma même taxe, mais départementale.
Je ne vous raconte même pas la taxe des ordures ménagères ni même sur l’entretien des voiries (leur nettoyage) qui sont toujours sales quand elle ne sont pas « défoncées »…
Les trous qu’on rebouche, passe encore, mais il faut nettoyer les intérieurs des poussières quand on n’oblige pas les syndics à faire ravalement de façade sur ravalement, parce qu’il paraît que ça fait dégueulasse.
Un de mes voisins, c’est Kering : Il en est à son second ravalement dans la même décennie !
Et puis la Mairie oblige également à refaire les tuyaux d’eau, les collecteurs d’égout dès qu’ils débordent parce qu’il a plu, les conduits de gaz (quand ça ne pète tout simplement pas), les fils électriques, les fils du téléphone (la fibre pour récupérer le cuivre pour vos futurs moteurs de bagnole) sans parler du chauffage urbain qui donne des signes de faiblesse, le tout aux frais des abonnés…
Vous avez, les fameuses « dépenses obligées ».
 
Bref, je suis très déçu qu’on puisse encore la donner à 2 % des intention de vote : Non seulement elle ne pourra pas rembourser ses frais de campagne, ce qui va tuer le « P.Soce » qui s’est déjà exilé en banlieue (dans un « truc » dont personne ne voulait, tellement c’est moche le dos tourné vers l’autoroute A6b), mais là, c’est un moindre mal puisque la faillite du « socialisme à la Gauloisienne » sera enfin acté, mais en plus, il va vous falloir vous la coltiner en 2024 comme d’une « Reine de JO » !
Si au moins elle avait un peu d’humour, mais même pas : Elle est dans le déni.
Que ça va être chouette de ne pas pouvoir compter sur vous : Vous imaginez la honte de se prendre un tel gadin présidentiel, elle qui avait toujours juré qu’elle n’irai nulle par ailleurs que son mandat de Mairesse, à recevoir rayonnante de suffisance des chefs d’État & de gouvernement.
Elle va être imbuvable !
Dommage, j’aimais bien son parfum et sa façon « gourmande » quand elle me faisait la bise…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire