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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 25 février 2022

Les turpitudes de Jean-Marc

Parfois, il se répète aussi !
 
C’est Jean-Marc qui sort de chez lui le soir pour aller acheter des cigarettes.
Au Café-bar-Tabac, il fait connaissance avec une ravissante jeune fille qui lui semble particulièrement chaude.
Après quelques verres, ils conviennent d’aller passer un moment dans son appartement.
Après la chaude partie de jambes en l’air, Jean-Marc réalise qu’il est 3 heures du matin !
« – Oh non… Ma femme va me tuer ! J’ai une idée : Est-ce que tu as du talc ? »
La fille lui donne alors du talc. Il s’en empare et commence à s’en frotter les mains.
Puis il lui dit « au revoir » et il rentre chez lui.
À la maison, Germaine l’attend dans le couloir. Et elle est plutôt furax :
« – Dis-moi ! D’où est-ce que tu viens encore ?
– Eh bien, chérie, en fait… Je suis allé au tabac pour m’acheter des clopes, et là-bas, j’ai rencontré une superbe fille. On a bu quelques verres et, tu sais, elle était vraiment excitée, et comme elle était vraiment très jolie, on est allé chez elle… jusque dans son lit…
– Ah ouais ? Fais-moi voir tes mains » (et ce faisant, elle lui prend les mains et tourne ses paumes vers la lumière).
« Espèce de satané menteur ! T’as encore été au bowling avec ce vaurien de Jean-Paul, hein ? »
 
Marie-Noémie, quatre ans, bavarde avec sa tante.
« – La télévision », dit la fillette, « ça nous abruti.
– Mais sais-tu ce que c’est un abruti ?
– Oui, bien sûr ! C’est quelqu’un qui dépasse maman quand on roule en auto ! »
 
C’est Germaine qui dit à Jean-Marc :
« – Ton fils se plaint qu’il a mal à la tête. Il faudrait peut-être appeler un médecin.
– Laisse tomber. Il nous fait le coup une fois par semaine.
– Oui, mais aujourd’hui, il n’a pas d’école… »
 
Jean-Marc et Germaine se rendent compte que si leur fils grandit en taille, son sexe reste minuscule.
Ils contactent le pédiatre qui leur conseille de lui faire manger beaucoup de tartines.
Le lendemain matin, Germaine se lève la première comme d’habitude et prépare une énorme pile de tartines.
Lorsque le fiston se lève, elle lui dit :
« Prend les deux tartines en haut de la pile. Toutes les autres sont pour ton père. »
 
« – Docteur ! Docteur ! C’est terrible, mon bébé vient d’avaler un préservatif !
– Calmez-vous madame, j’arrive tout de suite. »
Le téléphone sonne chez le toubib alors qu’il est sur le point de sortir.
« Docteur ! C’est encore moi. C’est pas la peine de vous déplacer… On a trouvé un autre préservatif… »
 
Germaine vient d’accoucher. Elle emmène son fils de cinq ans pour voir sa nouvelle petite sœur.
« – Maman, elle est bien petite.
– C’est normal, elle n’a qu’une semaine.
– Maman, elle n’a pas de dents.
– C’est normal. Il faudra attendre.
– Maman, elle n’a pas de cheveux.
– Oui, oui, c’est normal.
– Maman, elle est toute ridée…
– C’est normal…
– T’es certaine que ce n’est pas un bébé usagé comme l’auto de papa. »
 
L’enseignante demande au petit Jean-Pierre :
« – À qui appartient ce crayon ?
– C’est mon mien.
– Non, Jean-Pierre, c’est le mien.
– Non, madame, c’est mon mien !
– Non, Jean-Pierre, pour la dernière fois, c’est le mien.
– Bon, si vous le voulez tellement, je vous le donne ! »
 
Ça se passe dans un restaurant chinois.
« – Garçon où se trouvent les urinoirs ?
– Les urinoirs ?
– Oui, c’est ça !
– Pas urinoirs ici, uriblancs seulement… »
 
« – À quoi servent les sous-vêtements de Bill Clinton ?
– À garder ses chevilles au chaud ! »
 
Jean-Paul déprime complètement et se dit que sa vie ne vaut plus rien.
Jean-Marc arrive et, pour lui remonter le moral, lui lance :
« – Allez…. tu as bien quelque chose de positif dans ta vie ?
– Oui. Mon test Covid ! »
 
Une fille fait du stop.
Jean-Marc arrête et se penche à la portière…
« Monte ! Je ne suis pas un de ces salauds qui n’embarquent que les jolies filles. »
 
« – Qu’est-ce que tu préfères : Avant, pendant ou après ?
– J’aime mieux avant, parce qu’après, c’est pendant… »
 
Deux mouches sont sur une crotte de chien.
L’une pète et l’autre lui dit :
« Écoute, on est à table tout de même ! »
 
Les hommes sont juste des gens plus heureux.
Qu’attendre de créatures si simples ?
Leur nom de famille ne change pas.
Le garage entier est à eux.
Les mariages se préparent eux-mêmes sans que ces Messieurs aient à participer à la préparation.
Le chocolat est un snack comme un autre.
Ils peuvent devenir Président.
Ils ne peuvent jamais être enceinte.
Ils peuvent porter un T-Shirt blanc dans un parc aquatique sans aucune crainte.
Ils peuvent même ne pas porter de T-shirt du tout dans un parc aquatique.
Les mécaniciens leurs disent la vérité.
Le monde entier est leur urinoir.
Ils n’ont jamais à conduire jusqu’à une autre station à essence pour faire pipi parce que les toilettes de la précédente étaient trop dégueulasses.
Même travail, plus de paye.
Les rides leurs donnent de la personnalité.
Une robe de mariée, c’est 2.000 €.
La location de smoking 100 €.
Les gens ne fixent pas leur poitrine quand ils leur parlent.
Les chaussures neuves ne leurs donnent pas d’ampoules.
Une seule humeur, tout le temps !
Les conversations téléphoniques sont finies en 30 secondes.
Ils savent des choses sur les chars d’assaut…
Ils n’ont besoin que d’une valise pour des vacances de cinq jours.
Ils peuvent ouvrir leur propre pot de confiture.
Le moindre geste agréable de leur part leur vaut une reconnaissance éternelle.
Si quelqu’un oublie de les inviter, cette personne peut quand même rester leur amie.
Leurs sous-vêtements coûtent au plus 10 € pour un paquet de 3.
Trois paires de chaussures sont plus que suffisantes.
Ils n’ont presque jamais de problèmes de bretelles en public.
Ils sont incapables de voir si leurs vêtements sont froissés.
Tout sur leur visage reste de la même couleur tout le temps.
La même coupe de cheveux dure des années, peut-être même des décennies.
Ils n’ont que leur visage à raser.
Ils peuvent jouer avec des joujoux toute leur vie.
Un seul sac ou portefeuille et une paire de chaussures leur suffisent
Une seule couleur pour toutes les saisons.
Ils peuvent se promener en short, quel que soit l’état de leurs jambes.
Ils peuvent s’arranger les ongles avec un canif de poche.
Ils ont le libre choix concernant le port d’une moustache.
Ils peuvent faire les courses de Noël pour 25 personnes en 25 minutes le 24 décembre.
Et après on se demande encore pourquoi les hommes sont plus heureux….
 
« – Quand peut-on présumer qu’une femme va dire quelque chose d’intelligent ?
– Quand elle commence sa phrase par « Mon mari a dit… » »
 
« Sais-tu la différence qu’il y a entre du papier de toilette et des rideaux ? », demande Jean-Marc à Jean-Paul.
« – Non !
– Ouch… Jamais je ne t’inviterai chez moi ! »
 
Jean-Marc, il y a longtemps :
« – Monsieur, je voudrais épouser votre fille.
– Voyez donc d’abord ma femme.
– Je l’ai vu et je veux quand même épouser votre fille… »
 
« – Tu peux me la mettre chéri. J’ai tellement envie de te sentir.
– Mais je suis déjà en toi !
– Ah… Ah oui… Ah bon… Pourtant… »
 
Jean-Marc à Germaine :
« – As-tu la clé ?
– Quelle clé ?
– Celle qui ferme ta grande gueule ! »
 
Le journaliste rencontre un entrepreneur qui est devenu immensément riche…
« – Quel est le secret de votre réussite ? De votre richesse ?
– Simple. Il faut avoir la conviction que l’argent n’a pas d’importance et que le travail acharné est la source du succès.
Le travail, c’est la seule chose qui compte.
– C’est comme ça que vous êtes devenu riche ?
– Oui. Quand j’ai réussi à mettre ça dans la tête de mon personnel. »
 
Jean-Marc, à la sortie de l’école :
Une voiture arrive à hauteur du petit-gars qui vient de sortir.
Jean-Marc baisse la vitre…
« – Hé, gamin, tu montes ?
– Nan !
– J’ai des bonbons…
– Nan !
– Hé, j’ai des bonbons et des caramels ! Monte !
– Nan je ne monterai pas.
– Si tu montes, je serai très gentil avec toi…
– Nan !
– Bon, ok, si tu montes, on va au cinéma.
– Nan !
– Flûte ! Qu’est-ce que tu veux à la fin ?
– Papa, je t’ai déjà dit 1.000 fois de ne pas venir me chercher avec la Lada ! »
 
C’est une dame blonde, très, très BCBG, qui habite la très chic avenue Montaigne et se rend (en Porsche Cayenne) chez son médecin.
Elle entre dans le cabinet du médecin et s’écrie toute affolée :
« – Docteur, c’est affreux, j’ai été piquée par une guêpe !
– Allons madame, calmez-vous », répond le médecin, « ce n’est sans doute pas bien grave.
– Mais enfin docteur, vous ne vous rendez pas compte, c’est extrêmement… comment dire… c’est horriblement gênant, voyez-vous…
– Si vous me disiez d’abord où vous avez été piquée ?
– Ah ça non, n’y comptez pas, c’est hors de question !
– Mais enfin, je suis médecin, je…
– Non non non non et non !!! C’est bien trop embarrassant… Vous soignez la plupart de mes amies, et si l’une d’elles apprenait une chose pareille, je serai la risée de tous dans les dîners mondains.
C’est bien simple, je n’oserai même plus sortir de chez moi !
– Mais enfin madame, commence à s’énerver le toubib, je suis tenu par le secret professionnel, vous l’oubliez ? Et puis, du reste, comment voulez-vous que je vous soigne si j’ignore où cette guêpe vous a piquée ?
– Docteur, vous me jurez que vous n’en parlerez à personne, pas même à votre épouse ?
– Vous avez ma parole, madame. »
Alors la dame s’approche de son médecin et, après avoir jeté un rapide coup d’œil à droite et à gauche pour s’assurer qu’ils sont bien seuls dans la pièce, elle lui murmure tout bas à l’oreille :
« Chez Lidl ! »
 
Jean-Marc, ivre, se fait arrêter.
« – Alors, vous n’avez pas vu le feu rouge ?
– Bof, m’sieur l’agent, quand on en a vu un, on les a tous vus ! »
 
Un sexologue reçoit une patiente.
Après quelques questions :
« – Si je comprends bien, votre équilibre sexuel dépend de certains facteurs
– Pas seulement, il y a aussi les employés d’EDF… »
 
Solutions des contre-pets de la semaine passée :
« La justiCe tapiNe… »
« Les meilleures pINes se font à l’usAGe. »
« Les SAGesses d’un ÂNe… »
 
Propositions de la semaine :
« Parfois en séchant, les linges mouillent les cordes … »
« Voici la bannière demandée ! »
« Dimanche, n’allez pas à la messe sans foi, je vous prie… »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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