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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 27 février 2022

On y vient doucement…

Le pet des vaches bientôt taxé ?
 
Figurez-vous que lorsqu’on évoque l’hystérie du réchauffement climatique, on parle tout de suite de dioxyde de carbone (CO2).
Il faut arrêter de respirer, de pédaler, de consommer du gaz, du pétrole et du charbon, de la tourbe, du lignite et autres. Les arbres tout neufs, à la limite, mais guère plus…
Quant à faire cuire ses brochettes au barbecue, c’est un crime contre l’humanité, cela va sans dire, si c’est au charbon de bois…
Mais les herbes aromatiques ne sont pas encore interdites.
Qu’est-ce qu’on ne nous fera pas avaler comme konneries ?
Sauf que souvent on oublie un peu vite qu’il existe d’autres gaz à effet de serre.
 
Notamment le méthane (CH4). C’est que sa capacité à piéger la chaleur est notoirement plus importante, d’autant mieux qu’il ne plonge pas au raz-du-sol comme le CO2 pour être plus lourd que l’air (principe d’Archimède oblige) mais il plane à haute altitude pour être nettement plus léger avec ses 4 atomes d’hydrogène (le gaz le plus léger à température ambiante).
Or, et enfin, selon des chercheurs, il serait aujourd’hui crucial d’en réduire les émissions pour atteindre les objectifs fixés par l’Accord de Paris (sur-la-plage).
 
En effet, il y en a quelques autres. Beaucoup d’autres.
La vapeur d'eau (H20), par exemple et Dieu sait si notre saloperie de Soleil peut en produire sous forme de nuées diverses, violents ainsi toutes les incantations de nos « écololos-bobos » et des scientifiques du GIEC.
L’ozone (O3), le protoxyde d’azote (N2O), les halocarbures, une famille à laquelle appartiennent les chlorofluorocarbures connus sous le nom de CFC, tout autant.
Ou encore celui dont on commence à beaucoup parler aussi : Le méthane (CH4).
 
On le cite de plus en plus parce qu’il a sa part dans le réchauffement climatique anthropique.
Lors de la COP 26, la 26ème Conférence des parties signataires de la Convention-Cadre de l’Organisation des Nations unies sur les changements climatiques (COP 26), où 105 pays représentant environ la moitié des émissions anthropiques de méthane se sont ainsi engagés à réduire ces émissions de 30 % d’ici 2030.
C’est comme « Lactalis » : 10 milliards en 2010, 20 en 2020, 30 en 2030. On arrivera bientôt à 40 en 2040…
Justement, alors même que de colossales fuites de méthane industriel viennent tout juste d’être observées par satellite, des chercheurs de l’université de Stanford (États-Unis) proposent de mieux comprendre les enjeux qui se cachent derrière cet engagement.
 
Pour cela, il faut rappeler que tous les gaz à effet de serre n’ont pas le même pouvoir de réchauffement global (PRG). La même capacité à piéger la chaleur.
Il est ainsi régulièrement rappelé que le CH4 est un gaz à effet de serre au moins 25 fois plus puissant que le CO2.
Comprenez que, sur une période de 100 ans ― une période fixée arbitrairement par le protocole de Kyoto ―, un kilo de méthane produit 25 fois plus d’effet de serre qu’un kilo de dioxyde de carbone.
Énorme !
Du coup les chercheurs de Stanford soulignent aujourd’hui que le pouvoir de réchauffement du CH4 est largement sous-estimé.
Notamment si l’on se place sur une échelle de temps plus courte.
 
Car la durée de vie du CO2 dans notre atmosphère est sans commune mesure avec celle du CH4.
On parle de milliers d’années pour le premier contre une dizaine d’années seulement pour le second.
Je ne suis pas certain pour le premier : Il s’effondre facilement même sur les couches denses de l’atmosphère du fait de sa densité et plonge dans les abysses quand il ne vient pas fertiliser les petites plantes-vertes et les grands arbres des « puits de CO2 » encore existants.
Ainsi, s’il est crucial de réduire drastiquement nos émissions de CO2 dans un avenir aussi bien proche que plus lointain, pour limiter le réchauffement à 2 °C ― ou mieux, à 1,5 °C ― au-dessus de la moyenne préindustrielle, ce qui en soi est hérétique, les chercheurs préviennent qu’il faudra aussi se pencher sur nos émissions de gaz à effet de serre à courte durée de vie comme le méthane.
 
Selon eux, adopter une nouvelle métrique basée sur une période non plus de 100 ans, mais de 24 ans seulement, permettrait d’aligner les engagements de réduction des émissions de CH4 sur les objectifs fixés par l’Accord de Paris (sur la Seine) sur le climat.
Or, à cette échelle de temps, le PRG du méthane serait de l’ordre de 75 fois plus important que celui du CO2 !
De quoi mettre en lumière son poids à court terme.
 
Un tiers des émissions anthropiques de méthane proviendrait de l’exploitation et du transport des énergies fossiles.
Mais l’agriculture reste la première source de méthane dans le monde, responsable de près de deux tiers de nos émissions.
Le bétail à lui seul est ainsi à l’origine d’environ un tiers des émissions d’origine humaine, calcule-t-on
Les rizières sont aussi d’importantes contributrices : Elles comptent pour un peu moins de 10 % des émissions de méthane liées à l’activité humaine.
D’ici qu’ils nous imposent de crever de faim, il n’y a pas loin…
 
Des solutions existent. Comme le recours à des aliments plus nutritifs pour les animaux ou alors l’alternance entre des périodes de mouillage et de séchage dans les régions où est cultivé le riz.
Néanmoins, d’autres scientifiques restent plus circonspects quant à l’idée de modifier le cadre temporel (présentement arbitraire) qui permet de fixer le PRG de chaque gaz à effet de serre.
Ils craignent que cela fasse perdre de vue le fait que des mesures de réduction des émissions de GES à courte durée de vie ne pourront avoir un réel effet que pour une durée limitée.
L’effet de refroidissement finira par diminuer avec le temps. Ainsi ils notent que, même s’il paraît nécessaire de réduire nos émissions de méthane, pour ceux-là il reste incontournable de limiter sur le long terme nos émissions de CO2.
 
Comme disait Keynes, dans le long terme, nous serons tous morts.
Or, si en un quart de siècle le PRG du méthane est de l’ordre de 75 fois plus important que celui du CO2, là je me sens directement concerné.
Non pas que j’estime devoir survivre jusqu’à cette échéance-là, mais ma « Nichée » sera probablement encore sur cette planète à bouffer du kérozène pour se promener jusqu’à des endroits à découvrir où je n’irai jamais !
 
Alors comme nous sommes dirigés par des « autistes-trisomiques » qui écoutent seulement le dernier qui cause, les « scientifiques » nous ont entraîné dans une marche forcée de décarbonation tous azimuts sans même en prévoir les effets pervers comme les « Gilets-jaune » et la taxe-carbone.
Pourquoi pas, après tout : Il faudra bien se libérer des diktats de l’OPEP élargie et affronter tôt tard le « Pic-Oil », le pic que production d’or noir, c’est une évidence.
D’autant que, sous la pression des pouvoirs publics et des « écololo-bobos », l’industrie pétrolière ne cherche plus vraiment de nouveau gisement… dont on sait pourtant qu’ils existent.
 
Naturellement, au lieu de se traduire par des recherches sur des énergies de substitution plus pratiques et moins onéreuses, nos « énârques » et autres membres des technostructures ambiantes de « sachants » ont traduit, en bons « autistes-trisomiques », impôts et taxes supplémentaires punitives, et interdictions en cascade qui ne visent que… la circulation routière des particuliers.
Un peu leur chauffage également depuis quelques temps et les industries énergétivores sans proposer de solutions viables et durables…
Magnifique.
 
Alors, on se met tous à l’électricité, sans avoir l’appareil de production et encore moins de distribution qui devrait aller avec, en espérant avoir beau temps et des éoliennes en pagaille : Or, ce n’est jamais que du vent.
La preuve, quand le conseil des ministres s’est déplacé à Lugdunum pour je ne sais plus quelle occasion, c’était en voiture électrique et en train.
Le train pas de problème, les machines à vapeur sont reléguées au musée depuis longtemps.
Mais les bagnoles électriques, il aura fallu que la préfecture mobilise un groupe électrogène au gasoil pour refaire les niveaux des batteries embarquées, tellement les prises électriques disponibles étaient en nombre insuffisant…
Et ce n’est pas une blague !
C’est un sketch…
 
Alors quand ils vont comprendre que le méthane c’est plein d’hydrogène, qu’on peu le capter et le stocker facilement, vous verrez qu’ils en viendront à taxer les vaches qui flatulent parce que c’est un scandale écolologiste !
Bref, comme ils ne savent rien inventer d’autre, pour être « dans les clous », soit les vaches seront interdites de péter, soit vous payerez une taxe de plus sur les laitages et la viande-carnée…
Le « monde d’après » qui persiste à marcher sur la tête…

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