Jean-Marc…
…envoie un sms à son épouse :
« Chère épouse,
Tu dois réaliser que tu as maintenant
54 ans, et que j’ai certains besoins que tu ne peux plus combler.
Outre cet aspect, je suis très heureux
de t’avoir comme épouse, et j’espère que tu ne seras pas blessée ni offensée
d’apprendre que dans le temps où tu vas recevoir ce message, je serai à l’hôtel
Reine Blanche avec ma jeune assistante de 18 ans.
Je serai à la maison avant minuit.
Ton époux : Jean-Marc »
En arrivant à l’hôtel, il reçoit un sms
de Germaine :
« Cher époux,
Tu as aussi 54 ans et lorsque tu
recevras ce message, je serai en route pour l’hôtel du « Chaud lapin »
avec un jeune homme de 18 ans.
Puisque tu aimes compter, tu devrais
savoir que 18 entre plus de fois dans 54 que 54 dans 18.
Alors je t’en prie, ne m’attends pas ce
soir.
Ton épouse. Germaine. »
Une revenue de loin :
Jean-Claude, un « pote » de Jean-Marc,
a très, très mal à la tête.
Quand il se lève le matin, il a mal à
la tête.
Dans les embouteillages vers le bureau,
il a mal à la tête.
Toute la matinée, il a mal à la tête.
À midi il déjeune seul, forcément il ne
peut pas participer aux conversations de ses collègues, il a mal à la tête.
L’après-midi, il essaie d’oublier qu’il
a mal à la tête.
Il rentre tôt pour essayer de se
coucher et dormir un peu, mais la nuit le trouve éveillé par son mal de tête…
Ça fait dix ans que ça dure et après
avoir consulté plusieurs médecins, au bord du suicide, Jean-Claude prend
rendez-vous chez un spécialiste.
L’homme passe la tête de Jean-Claude au
scanner et rend son verdict :
« – J’ai deux nouvelles, une bonne
et une mauvaise… La bonne c’est que nous avons trouvé l’origine de votre mal.
La mauvaise, c’est justement l’origine
de votre mal.
En fait, vos testicules font pression
sur le bas de votre dos.
Les lombaires, en réaction, pincent le
nerf spinal, lequel remontant le long de la colonne vertébrale jusqu’à la tête,
provoque une irritation permanente du cerveau, d’où vos maux de tête
chroniques.
– Euh… Et que peut-on faire pour
remédier à ça Docteur ?
– Seulement deux choses : Vous
couper les testicules, ou vous laisser vivre avec votre mal. »
Quelques instants de réflexion
suffisent à Jean-Claude pour se décider, il vraiment trop mal à la tête :
« On coupe, Docteur ! »
Trois jours suffisent pour que Jean-Claude,
remis des suites de l’opération, quitte la clinique.
Un monde nouveau s’étale devant ses
yeux incrédules : Ses migraines l’ont quitté, ses tempes ne battent plus, ses
idées sont claires, les gens lui sourient et il leur sourit enfin !
Passant devant l’officine d’un tailleur
pour homme, il décide, pour fêter ça, de s’offrir un nouveau costume sur mesure
et pousse la porte de l’échoppe.
« – Bonjour monsieur le
tailleur, je voudrais m’offrir un costume sur mesure !
– Pas de problème monsieur, je vous
propose cette veste en 54 et ce pantalon en 46 qui vous iront parfaitement. »
Un peu étonné d’une telle acuité de
jugement, Jean-Claude enfile l’ensemble et force est de constater qu’il lui va
comme un gant.
« – Vraiment monsieur, je suis
impressionné ! Comment pouvez-vous déterminer ma taille aussi précisément ?
– Le coup d’œil du pro, monsieur,
j’exerce depuis plus de vingt ans. »
Emballé, Jean-Claude décide de
compléter ses achats en s’offrant un caleçon de marque.
« – Vous avez bien raison
monsieur, je vous propose ce modèle à carreau en taille 42.
– Désolé monsieur, mais cette fois vous
faites erreur, je porte uniquement du 40.
– Croyez-en le coup d’œil du pro,
monsieur. En caleçon, vous faites du 42. »
Jean-Claude insiste :
« – Navré de vous prendre à
défaut, monsieur, mais je porte du 40 depuis au moins 10 ans !
– C’est comme vous voudrez monsieur,
mais je dois vous prévenir : En portant du 40, vos testicules vont faire
pression sur le bas de votre dos et vos lombaires, en réaction, pinceront le
nerf spinal qui à son tour vous donnera des maux de tête… »
Dans l’originale, c’était le Maire d’une
commune cotée de la banlieue ouest de Paris-sur-la-Seine qui subit moult
interventions chirurgicales avant de s’apercevoir que ses maux de tête venaient
de ses cols trop étroits.
Comme quoi, ça voyage, les « bonnes
blagues »…
Jean-Marc et Germaine, son épouse, décident qu’ils
devraient utiliser un mot-code pour référer à leurs besoins sexuels et pour ne
pas éveiller la curiosité des enfants.
Ils ont décidé que le mot « dactylo »
serait un mot approprié.
Un jour Jean-Marc dit à sa fillette de
5 ans :
« Va dire à ta mère que j’ai
besoin d’écrire une lettre à la dactylo. »
La fillette va voir sa mère pour lui
répéter le message de son papa et la mère lui répond :
« Dis à ton père qu’il ne peut
dactylographier une lettre présentement parce qu’il y a un ruban rouge dans la
dactylo. »
La fillette retourne voir son père pour
lui transmettre le commentaire de sa mère.
Quelques jours plus tard, la mère dit à
la fillette :
« Dis à ton père qu’il n’y a
plus de ruban rouge dans la dactylo, et qu’il peut écrire une lettre ce soir. »
La fillette avise son père et retourne
voir sa mère et lui dit :
« Papa dit qu’il n’a plus
besoin de la dactylo, il a écrit sa lettre à la main. »
Une maîtresse d’école raconte un conte
célèbre pour initier ses élèves de six ans à la littérature classique.
Au programme du jour : Les trois petits
cochons.
Elle commence :
« Il était une fois trois
petits cochons qui voulaient construire leur maison.
Le premier petit cochon avait décidé de
bâtir une maison en paille. »
Les enfants sont fascinés et la
maîtresse poursuit :
« Se promenant sur la route, le
premier petit cochon croise un brave paysan qui pousse une brouette.
Dans cette brouette, il y a plusieurs
bottes de paille.
Le petit cochon n’hésite pas et lui
demande s’il peut les acheter… »
La maîtresse s’arrête et, question de
vérifier si les enfants suivent bien, elle leur demande :
« D’après vous, que va répondre
le paysan ? »
Le petit Jean-Marc lève la main
et dit :
« Moi j’pense qui va dire : Ah
ben ça alors ! V’là un cochon qui parle… »
C’est le petit Jean-Marc qui a
encore une conversation sérieuse avec sa mère :
« – Maman, c’est bien le Bon
Dieu qui nous donné notre pain quotidien ?
– Oui mon chéri.
– C’est bien le Père-Noël qui apporte
des cadeaux à Noël ?
– Oui mon chéri.
– Et c’est la cigogne qui apporte les bébés
?
– Oui, oui, c’est tout à fait ça.
– Alors maman, à quoi il sert papa ? »
Jean-Paul réfléchit à voix haute, au
café avec Jean-Marc, tous les deux devant leur Picon-bière.
« Tu te rends compte,
Jean-Marc,
EN PRISON…tu passes la majeure partie de ton
temps dans une cellule de 8×10.
AU TRAVAIL…tu passes la majeure partie de ton temps dans un
bureau de 6×8.
EN PRISON…tu reçois trois repas par jour.
AU TRAVAIL…tu as une seule
pause pour un seul repas, et tu
dois le payer.
EN PRISON…on te libère pour bon comportement.
AU TRAVAIL…on te donne plus de travail pour ton
bon comportement.
EN PRISON…un garde de sécurité t’ouvre et te ferme toutes les portes.
AU TRAVAIL…tu dois avoir une carte d’accès et ouvrir toutes les portes toi-même.
EN PRISON…tu peux regarder la télé et jouer à des jeux.
AU TRAVAIL…on te met à la porte si tu regardes la télé ou que tu joues à des jeux.
EN PRISON…tu as tes propres chiottes.
AU TRAVAIL…tu dois partager les toilettes avec des idiots
qui pissent sur le siège.
EN PRISON…on t’accorde la visite de ta famille et
de tes amis.
AU TRAVAIL…C’est à peine si
tu peux parler à ta femme au téléphone.
EN PRISON…on te paye toutes tes dépenses sans avoir à travailler.
AU TRAVAIL…tu dois payer toutes tes dépenses pour te rendre au travail et on
vous enlève les impôts sur tes revenus pour payer pour les
prisonniers.
EN PRISON…tu as à faire avec des gardiens à tendance sadique.
AU TRAVAIL…on les appelle des directeurs.
Elle est quand même mal foutue, la vie !… »
Jean-Paul raconte à Jean-Marc
que son père est un homme d’une cinquantaine d’années, chauve et replet.
On lui demanda un jour ce qui lui
ferait le plus plaisir pour son anniversaire.
Il jeta un petit clin d’œil malicieux à
ma mère qui était occupée.
« Je voudrais, dit-il, une
jeune beauté de 18 à 20 ans, blonde, bien faite et » … Il
s’interrompit pour chercher son adjectif.
« Et aveugle, sans doute ? »
suggéra maman.
Un couple se présente chez le dentiste
et l’homme, un vigoureux gaillard, demande à la secrétaire d’arranger un
rendez-vous.
Celle-ci disparaît deux minutes et fait
signe au couple qu’ils peuvent rentrer dans le cabinet du spécialiste.
L’homme précise tout de suite :
« On est assez pressé, si vous
pouvez faire vite…
Il s’agit d’une opération simple, il
faut enlever une dent.
Ce n’est presque rien, pas besoin de
piqûres pour endormir la gencive.
Je veux que ça soit rapide et que ça ne
coûte pas cher. »
Le dentiste, surpris, répond :
« Ben dites donc, si tout le
monde était aussi déterminé que vous en venant chez moi. Vous avez du cran ! De
quelle dent s’agit-il ? »
L’homme se retourne et dit :
« Ouvre la bouche et montres
lui, chérie ? »
« Vous êtes chanceux qu’on vous
laisse entrer » dit St-Pierre !
« – Voyons, j’étais Pape !
– Oui, mais Dieu n’a pas aimé ce que
vous avez dit concernant l’ordination des femmes !
– Ah oui, Dieu était furieux ?
– Oui, elle est très furieuse ! »
Jean-Paul téléphone à son avocat…
« – Tout le monde poursuit
quelqu’un en justice. Moi aussi je veux poursuivre !
– Comment ça ?
– Ben, une femme poursuit les
compagnies de tabac à cause du cancer du poumon de son mari.
Il ne fumait pas, mais elle oui, et il
aurait été victime des effets secondaires du tabac.
Une autre poursuit McDonald’s parce que
son mari serait devenu obèse à cause des big macs.
– Et vous ?
– Moi, je veux poursuivre Optic 2000.
Optic 2000. Et pourquoi ?
– À cause de toutes les moches auxquelles
j’ai fait l’amour sans me rende compte qu’elles étaient aussi laides ! »
Une vieille dame visite un gynécologue
pour la première fois de sa vie.
Le jeune et beau médecin l’examine
attentivement et longuement, puis lui dit de se rhabiller et de le rejoindre à
son bureau pour discuter de son état de santé !
« – J’ai une petite question ?
– Oui madame.
– Est-ce que votre mère sait quel genre
de travail vous faites ? »
Bon week-end à toutes et tous !
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