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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 20 septembre 2019

Rupture mathématique

Jean-Marc…
 
…envoie un sms à son épouse :
« Chère épouse,
Tu dois réaliser que tu as maintenant 54 ans, et que j’ai certains besoins que tu ne peux plus combler.
Outre cet aspect, je suis très heureux de t’avoir comme épouse, et j’espère que tu ne seras pas blessée ni offensée d’apprendre que dans le temps où tu vas recevoir ce message, je serai à l’hôtel Reine Blanche avec ma jeune assistante de 18 ans.
Je serai à la maison avant minuit.
Ton époux : Jean-Marc »
En arrivant à l’hôtel, il reçoit un sms de Germaine :
« Cher époux,
Tu as aussi 54 ans et lorsque tu recevras ce message, je serai en route pour l’hôtel du « Chaud lapin » avec un jeune homme de 18 ans.
Puisque tu aimes compter, tu devrais savoir que 18 entre plus de fois dans 54 que 54 dans 18.
Alors je t’en prie, ne m’attends pas ce soir.
Ton épouse. Germaine. »
 
Une revenue de loin :
 
Jean-Claude, un « pote » de Jean-Marc, a très, très mal à la tête.
Quand il se lève le matin, il a mal à la tête.
Dans les embouteillages vers le bureau, il a mal à la tête.
Toute la matinée, il a mal à la tête.
À midi il déjeune seul, forcément il ne peut pas participer aux conversations de ses collègues, il a mal à la tête.
L’après-midi, il essaie d’oublier qu’il a mal à la tête.
Il rentre tôt pour essayer de se coucher et dormir un peu, mais la nuit le trouve éveillé par son mal de tête…
Ça fait dix ans que ça dure et après avoir consulté plusieurs médecins, au bord du suicide, Jean-Claude prend rendez-vous chez un spécialiste.
L’homme passe la tête de Jean-Claude au scanner et rend son verdict :
« – J’ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise… La bonne c’est que nous avons trouvé l’origine de votre mal.
La mauvaise, c’est justement l’origine de votre mal.
En fait, vos testicules font pression sur le bas de votre dos.
Les lombaires, en réaction, pincent le nerf spinal, lequel remontant le long de la colonne vertébrale jusqu’à la tête, provoque une irritation permanente du cerveau, d’où vos maux de tête chroniques.
– Euh… Et que peut-on faire pour remédier à ça Docteur ?
– Seulement deux choses : Vous couper les testicules, ou vous laisser vivre avec votre mal. »
Quelques instants de réflexion suffisent à Jean-Claude pour se décider, il vraiment trop mal à la tête :
« On coupe, Docteur ! »
Trois jours suffisent pour que Jean-Claude, remis des suites de l’opération, quitte la clinique.
Un monde nouveau s’étale devant ses yeux incrédules : Ses migraines l’ont quitté, ses tempes ne battent plus, ses idées sont claires, les gens lui sourient et il leur sourit enfin !
Passant devant l’officine d’un tailleur pour homme, il décide, pour fêter ça, de s’offrir un nouveau costume sur mesure et pousse la porte de l’échoppe.
« – Bonjour monsieur le tailleur, je voudrais m’offrir un costume sur mesure !
– Pas de problème monsieur, je vous propose cette veste en 54 et ce pantalon en 46 qui vous iront parfaitement. »
Un peu étonné d’une telle acuité de jugement, Jean-Claude enfile l’ensemble et force est de constater qu’il lui va comme un gant.
« – Vraiment monsieur, je suis impressionné ! Comment pouvez-vous déterminer ma taille aussi précisément ?
– Le coup d’œil du pro, monsieur, j’exerce depuis plus de vingt ans. »
Emballé, Jean-Claude décide de compléter ses achats en s’offrant un caleçon de marque.
« – Vous avez bien raison monsieur, je vous propose ce modèle à carreau en taille 42.
– Désolé monsieur, mais cette fois vous faites erreur, je porte uniquement du 40.
– Croyez-en le coup d’œil du pro, monsieur. En caleçon, vous faites du 42. »
Jean-Claude insiste :
« – Navré de vous prendre à défaut, monsieur, mais je porte du 40 depuis au moins 10 ans !
– C’est comme vous voudrez monsieur, mais je dois vous prévenir : En portant du 40, vos testicules vont faire pression sur le bas de votre dos et vos lombaires, en réaction, pinceront le nerf spinal qui à son tour vous donnera des maux de tête… »
Dans l’originale, c’était le Maire d’une commune cotée de la banlieue ouest de Paris-sur-la-Seine qui subit moult interventions chirurgicales avant de s’apercevoir que ses maux de tête venaient de ses cols trop étroits.
Comme quoi, ça voyage, les « bonnes blagues »…
 
Jean-Marc et Germaine, son épouse, décident qu’ils devraient utiliser un mot-code pour référer à leurs besoins sexuels et pour ne pas éveiller la curiosité des enfants.
Ils ont décidé que le mot « dactylo » serait un mot approprié.
Un jour Jean-Marc dit à sa fillette de 5 ans :
« Va dire à ta mère que j’ai besoin d’écrire une lettre à la dactylo. »
La fillette va voir sa mère pour lui répéter le message de son papa et la mère lui répond :
« Dis à ton père qu’il ne peut dactylographier une lettre présentement parce qu’il y a un ruban rouge dans la dactylo. »
La fillette retourne voir son père pour lui transmettre le commentaire de sa mère.
Quelques jours plus tard, la mère dit à la fillette :
« Dis à ton père qu’il n’y a plus de ruban rouge dans la dactylo, et qu’il peut écrire une lettre ce soir. »
La fillette avise son père et retourne voir sa mère et lui dit :
« Papa dit qu’il n’a plus besoin de la dactylo, il a écrit sa lettre à la main. »
 
Une maîtresse d’école raconte un conte célèbre pour initier ses élèves de six ans à la littérature classique.
Au programme du jour : Les trois petits cochons.
Elle commence :
« Il était une fois trois petits cochons qui voulaient construire leur maison.
Le premier petit cochon avait décidé de bâtir une maison en paille. »
Les enfants sont fascinés et la maîtresse poursuit :
« Se promenant sur la route, le premier petit cochon croise un brave paysan qui pousse une brouette.
Dans cette brouette, il y a plusieurs bottes de paille.
Le petit cochon n’hésite pas et lui demande s’il peut les acheter… »
La maîtresse s’arrête et, question de vérifier si les enfants suivent bien, elle leur demande :
« D’après vous, que va répondre le paysan ? »
Le petit Jean-Marc lève la main et dit :
« Moi j’pense qui va dire : Ah ben ça alors ! V’là un cochon qui parle… »
 
C’est le petit Jean-Marc qui a encore une conversation sérieuse avec sa mère :
« – Maman, c’est bien le Bon Dieu qui nous donné notre pain quotidien ?
– Oui mon chéri.
– C’est bien le Père-Noël qui apporte des cadeaux à Noël ?
– Oui mon chéri.
– Et c’est la cigogne qui apporte les bébés ?
– Oui, oui, c’est tout à fait ça.
– Alors maman, à quoi il sert papa ? »
 
Jean-Paul réfléchit à voix haute, au café avec Jean-Marc, tous les deux devant leur Picon-bière.
« Tu te rends compte, Jean-Marc,
EN PRISONtu passes la majeure partie de ton temps dans une cellule de 8×10.
AU TRAVAIL…tu passes la majeure partie de ton temps dans un bureau de 6×8.
EN PRISONtu reçois trois repas par jour.
AU TRAVAIL…tu as une seule pause pour un seul repas, et tu dois le payer.
EN PRISONon te libère pour bon comportement.
AU TRAVAILon te donne plus de travail pour ton bon comportement.
EN PRISONun garde de sécurité t’ouvre et te ferme toutes les portes.
AU TRAVAIL…tu dois avoir une carte daccès et ouvrir toutes les portes toi-même.
EN PRISON…tu peux regarder la télé et jouer à des jeux.
AU TRAVAILon te met à la porte si tu regardes la télé ou que tu joues à des jeux.
EN PRISON…tu as tes propres chiottes.
AU TRAVAIL…tu dois partager les toilettes avec des idiots qui pissent sur le siège.
EN PRISONon t’accorde la visite de ta famille et de tes amis.
AU TRAVAIL…C’est à peine si tu peux parler à ta femme au téléphone.
EN PRISON…on te paye toutes tes dépenses sans avoir à travailler.
AU TRAVAIL…tu dois payer toutes tes dépenses pour te rendre au travail et on vous enlève les impôts sur tes revenus pour payer pour les prisonniers.
EN PRISON…tu as à faire avec des gardiens à tendance sadique.
AU TRAVAILon les appelle des directeurs.
Elle est quand même mal foutue, la vie !… »
Jean-Paul raconte à Jean-Marc que son père est un homme d’une cinquantaine d’années, chauve et replet.
On lui demanda un jour ce qui lui ferait le plus plaisir pour son anniversaire.
Il jeta un petit clin d’œil malicieux à ma mère qui était occupée.
« Je voudrais, dit-il, une jeune beauté de 18 à 20 ans, blonde, bien faite et » … Il s’interrompit pour chercher son adjectif.
« Et aveugle, sans doute ? » suggéra maman.
 
Un couple se présente chez le dentiste et l’homme, un vigoureux gaillard, demande à la secrétaire d’arranger un rendez-vous.
Celle-ci disparaît deux minutes et fait signe au couple qu’ils peuvent rentrer dans le cabinet du spécialiste.
L’homme précise tout de suite :
« On est assez pressé, si vous pouvez faire vite…
Il s’agit d’une opération simple, il faut enlever une dent.
Ce n’est presque rien, pas besoin de piqûres pour endormir la gencive.
Je veux que ça soit rapide et que ça ne coûte pas cher. »
Le dentiste, surpris, répond :
« Ben dites donc, si tout le monde était aussi déterminé que vous en venant chez moi. Vous avez du cran ! De quelle dent s’agit-il ? »
L’homme se retourne et dit :
« Ouvre la bouche et montres lui, chérie ? »
 
« Vous êtes chanceux qu’on vous laisse entrer » dit St-Pierre !
« – Voyons, j’étais Pape !
– Oui, mais Dieu n’a pas aimé ce que vous avez dit concernant l’ordination des femmes !
– Ah oui, Dieu était furieux ?
– Oui, elle est très furieuse ! »
 
Jean-Paul téléphone à son avocat…
« – Tout le monde poursuit quelqu’un en justice. Moi aussi je veux poursuivre !
– Comment ça ?
– Ben, une femme poursuit les compagnies de tabac à cause du cancer du poumon de son mari.
Il ne fumait pas, mais elle oui, et il aurait été victime des effets secondaires du tabac.
Une autre poursuit McDonald’s parce que son mari serait devenu obèse à cause des big macs.
– Et vous ?
– Moi, je veux poursuivre Optic 2000.
Optic 2000. Et pourquoi ?
– À cause de toutes les moches auxquelles j’ai fait l’amour sans me rende compte qu’elles étaient aussi laides ! »
 
Une vieille dame visite un gynécologue pour la première fois de sa vie.
Le jeune et beau médecin l’examine attentivement et longuement, puis lui dit de se rhabiller et de le rejoindre à son bureau pour discuter de son état de santé !
« – J’ai une petite question ?
– Oui madame.
– Est-ce que votre mère sait quel genre de travail vous faites ? »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
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Ma bibliothèque (1)

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L'ouvrage que vous tenez devant vos yeux ne devrait pas exister...

Bibliothèque de "mon Gardien"

Bibliothèque de "mon Gardien"
Première reprise

Bibliothèque de "mon Gardien" (2)

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Humour extraterrestre

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