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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 23 septembre 2019

Je reviens sur la condamnation des « Bals-Cas-Ni »

« Pas-Trique », un antisémite-juif ?
 
Le jugement du tribunal correctionnel de « Paris-sur-la-Seine » peut paraître avoir eu la main lourde et dans les médias et sur les réseaux, des journalistes, des hommes politiques, des syndicats s’en sont donnés à cœur-joie pour accalemer ou condamner.
« Isa-belle » et « Pas-trique », après une longue procédure d’instruction ont été condamnés à des peines de trois ans d’emprisonnement ferme pour elle et quatre ans ferme pour lui assorti d’une inéligibilité de 10 ans, la peine accessoire maximum : Exit de la bataille des municipales toute proche.
Un bastion de plus qui va tomber dans l’escarcelle de « Jupiter » : Moi, j’y enverrai bien « Gris-Veaux », juste pour éviter de se retrouver encore 6 ans avec « Sœur-Âne » à Paris…
 
Compte tenu du quantum qui le permettait en application de l’article 465 du code de procédure pénale, le tribunal a également délivré un « mandat de dépôt » c’est-à-dire un ordre donné à l’administration pénitentiaire de recevoir et incarcérer « Pas-trique ».
Il ne s’agit pas d’une peine mais d’une mesure de sûreté du type de celle prononcée par le juge des libertés et de la détention à l’occasion d’une instruction : Normalement, c’est fait pour protéger « l’émergence de la vérité », ou des témoins, voire pour protéger le prévenu lui-même…
 
C’est une décision spéciale qui doit être spécialement motivée, et qui peut être modifiée par la Cour d’appel. Elle le sera probablement dans les jours qui viennent, car c’est bien cette mesure à la violence évidente s’ajoutant à un montant de peine inhabituel en matière de fraude fiscale qui a provoqué émotion et malaise.
Déclenchant un concert de protestations hétéroclites accusant, les magistrats d’avoir voulu faire un carton sur un élu, la discrimination politique, voire de l’antisémitisme-primaire : On va y revenir…
 
Remarquons tout d’abord, il s’agit d’un jugement de première instance, pour une procédure qui a commencé il y a plusieurs années. Il n’a d’autres portée normative opératoire pour l’instant que le prononcé du mandat de dépôt. La Cour d’appel est désormais saisie, une nouvelle procédure va avoir lieu devant elle aboutissant à une nouvelle décision qui prendra la place de la première.
Cette même décision pourra faire l’objet d’un pourvoi en cassation, la cour suprême, vérifiant la régularité de l’application de la loi dans son contenu et les formes de son prononcé.
On l’attend dans les semaines à venir.
En revanche, la décision d’appel prendra probablement plusieurs années quant au fond.
Quant à la cassation, si elle devrait intervenir (pour confirmer ou infirmer), elle rallongera le temps de la procédure d’autant : Chacun le sait.
Y compris le premier intéressé : Il l’a d’ailleurs très cyniquement évoqué assurant de sa tranquillité d’esprit à ses supporter.
« De toute façon, j’ai 71 ans et après je prends ma retraite ! »
Sauf que, en ce qui concerne la mesure qui à juste titre pose un problème, c’est-à-dire le mandat de dépôt, il y goûte avant sa mise à la retraite !
 
Qui jugeait on au fait ? Un personnage particulier, maire apprécié de ses administrés, mais qui depuis son élection en 1983, dans les glorieuses « années fric », a régulièrement défrayé la chronique, entretenu avec d’ailleurs une certaine ingénuité tranquille, des rapports élastiques avec la morale publique, et n’a semble-t-il pas compris que les temps avaient changé, et que continuer ses provocations « en tirant sur la corde » comme il le faisait, risquait fort de lui donner un jour le statut peu enviable de bouc émissaire.
Le fond du dossier difficilement réfutable, le déroulement de l’audience, certains jours transformés en farce, une défense confondant prétoires et plateaux télévisés, voire salles de théâtre, tout cela n’augurait rien de bon pour lui.
Pour les dossiers de « fraude fiscale », il convient de se faire défendre par un fiscaliste, pas un pénaliste : Ils n’y comprennent jamais rien.
 
Est-ce que tout cela justifiait le mandat de dépôt à l’audience ? Sur le plan judiciaire cette mesure de sûreté paraît exorbitante au droit commun : Le mettre à l’ombre ne s’imposait pas pour faire cesser la fraude.
Et l’on a comme le sentiment d’une justice « pour l’exemple » qui, chacun le sait, ne peut pas être exemplaire.
Mais aussi que les époux reconnus coupables ont été payés pour l’ensemble de leur grande-œuvre.
La justice n’a à juger que les faits qu’on lui soumet, et ne doit appliquer que des peines « strictement et évidemment nécessaires ».
Or, il ne faut pas oublier aussi que rendue par des hommes elle juge des hommes, et qu’il n’est pas si facile de résister à l’outrecuidance des prévenus, d’autant celui-là qui en a rajouter des tonnes avec constance et larges sourires, sûr de lui.
Le double degré de juridiction étant précisément prévu pour éviter ça.
Les prochains débats devraient être moins « folkloriques », mais sait-on jamais avec de pareils olibrius qui se croient tout permis ?
 
Que jugeait on ? Des fraudes fiscales extrêmement importantes portant sur des sommes aux origines très suspectes. Pourtant, le quantum de la peine a lui aussi été jugé excessif s’agissant d’une infraction de fraude fiscale que certains considèrent comme une faute vénielle ne justifiant pas la mort du pécheur.
Si dans ce domaine, on peut comprendre que, l’administration fiscale préfère récupérer ses sous et privilégie les arrangements, la jurisprudence ne soit en conséquence pas très sévère.
Néanmoins, il faut considérer qu’il n’y a pas eu d’arrangements, mais des redressements secs.
Et qu’il est quand même nécessaire de rappeler certaines choses : Les époux « Bal-Cas-Ni » étaient poursuivis pour dix infractions distinctes !
 
Par ailleurs, quand il s’agit d’un « T’es-venu-d’où » atteint d’une incoercible « phobie administrative » qui l’empêchait de déclarer et de payer ses impôts, ou comme « Kaka-Zut-Hack » chargé en son temps de la lutte contre la fraude fiscale, qui soustrayait et donc volait à l’État des sommes considérables, Patrick Balkany était député.
C’est-à-dire qu’il incarnait un des fondements du pacte républicain et démocratique celui du consentement à l’impôt, instrument historique de l’instauration des démocraties modernes qui fonde l’exercice de la souveraineté par les représentants du peuple : Que des parlementaires dont la mission première et fondamentale est d’élaborer, de voter le budget, et de fixer le montant des impôts que tout un chacun va devoir régler, pour se dispenser eux-mêmes de cette charge, constitue une faute bien évidemment « gravissime ».
Et il est franchement déplaisant de l’assimiler à celle du garagiste n’ayant pas déclaré ses espèces.
 
Et puis il y a les réactions et les polémiques provoquées par cette décision.
D’abord les effets fréquents d’inversion que provoquent une décision de justice sévère : Vilipendé et lynché la veille le condamné accède au statut de l’individu désormais seul face au moloch, un héros !
Fini les rodomontades, les provocations, l’absence de vergogne, voilà « Pas-Trique » dans le statut de celui qui endure la perte de tous les attributs du citoyen libre d’un pays démocratique, et dont tous ceux de la « Gauloisie-d’en-haut » qui y ont été confrontés peuvent décrire la violence.
Le martyr, ce n’est plus le citoyen volé par ses représentants élus, mais cet homme affligé.
Cela nourri toujours une certaine réserve quand ce n’était pas carrément de la solidarité.
 
Ce déferlement, c’est plutôt une conséquence de la stratégie de la défense visant à minimiser ses infractions, accompagnées de la critique virulente de la décision, que l’on a vu s’exprimer sur les plateaux et dans les colonnes des gazettes. Ce qui reste intéressant c’est que ce mouvement, net et incontestable, aurait plusieurs origines.
Tout d’abord un classique réflexe de classe dictée par le sentiment « qu’il est illégitime de s’attaquer à des gens comme nous », comme « Pas-Trique » n’aura cessé de le clamer.
Mais s’est exprimée un malaise nouveau : La condamnation du maire de Levallois étant perçue comme un nouvel avatar des dérives de l’appareil judiciaire depuis quelques années…
Il semble que l’opération de diversion de la semaine précédente avec la mise en examen de « Ricard-Fer-rang » (qui s’obstine à présider l’Assemblée National ») destinée probablement à équilibrer l’acharnement judiciaire contre « Mes-Luches », ait fait long feu : Les « raids » contre « Bling-Bling », la destruction judiciaire de la candidature de « Fifi-le-souteneur », les poursuites systématiques contre les opposants et « décrocheurs de portrait », la répression de masse contre les « Gilets jaunes », le refus de contrôler les violences policières assortis d’une protection scrupuleuse des amis du pouvoir, tout ceci commence à vraiment faire désordre, et enfin les bouches s’ouvrent…
 
Manifestement, la Justice gauloisienne est en crise. Une crise sérieuse, et pas seulement pour des raisons de moyens insuffisants, mais peut-être aussi parce qu’une partie a accepté, parquet et juges du siège confondus, une instrumentalisation politique et une connivence avec un pouvoir brutal, minoritaire et impopulaire…
Notez, que ça a toujours été les cas depuis des décennies…
Question de « carrière des magistrats ».
Mais là, il semble que le pouvoir « Jupitérien » en use et abuse tout en finesse et douceur, puisque « trop c’est trop ».
Les « Bal-Cas-Ni » en auront peut-être été victimes, puisqu’ils sont de « l’ancien monde ».
Et une fois de plus, le « parquet » rééquilibre en signe d’impartialité.
Sauf que…
 
Sauf que, les procédures ne sont pas terminées : Les « édiles » de Levallois-Perret vont de nouveau être jugés, avec leur fiston, pour blanchiment de leur propre fraude dans les jours qui viennent.
C’est assez étonnant que d’être reconnus coupables de fraude et d’être poursuivis pour « blanchiment » de la même fraude, les mêmes faits quoi, mais une seconde infraction devant déboucher sur une seconde peine. Car on ne voit pas bien un malfaiteur, un voleur, ne pas dissimuler son larcin et devoir en faire la publicité…
À mon sens, là, il y a matière à cassation mais permettra probablement le cumul des deux peines et donc de rendre la peine « non aménageable » comme a pu en bénéficier « Kaka-Zut-Hack »…
Et dans cette procédure, la mise en détention immédiate vise peut-être seulement à rendre plus difficile l’élaboration d’une nouvelle stratégie de défense.
À moins que…
 
À moins qu’il s’agisse seulement d’une décision visant à protéger le détenu de lui-même.
Cet homme-là cause trop et adore se donner en spectacle pour des âneries, comme on l’a vu en direct, tout sourire, reprendre son avocat sur son âge.
Que « Du-Pont-Maurituri », il n’a pas du tout apprécié…
Je veux dire par là (et on y revient) que « Pas-Trique » n’a eu de cesse de mettre en avant sa qualité de « feuj » autour et durant les débats, avec ses « nous les juifs, on sait ce que c’est que les spoliations » (comme s’il avait été spolié… alors que c’est plutôt l’inverse) ; « Quand on a eu des grands-parents déportés… », la prison est un moindre mal !
Presqu’un honneur rendu ?
Oh punaise de gourgandine !!!
 
Alors comme ça, quand on est né juif, on peut se permettre de « spolier » le Trésor public, en compensation bien comprise et en toute impunité ?
Allo quoi ? Je rêve, là…
Être déporté vaut de la prison ?
Non mais allo quoi ?
Je rappelle qu’on n’a pas déporté que des « feujs », mais aussi des homos, des tziganes, des communistes et Ô combien de résistants. Et que leurs descendances, quand ils ont eu la chance d’en avoir, ne se sont pas comportés pour autant comme des voyous… « en compensation » !
Être né feuj n’est pas un blanc-seing, une impunité éternelle.
À moins d’être né aussi antisémite à en fournir un terreau fertile à celui-ci…
L’excuse « absolutoire-soce », qui requiert la compassion des « classes défavorisées » dans les prétoires, a des limites.
Et là, on comprend la sagesse du tribunal : Celui-là, il est condamné à fermer son clapet.
Ça lui évite d’être insolent et même antisémite.

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