Ces « populistes » qui sont si drôles quand ils se
prennent au sérieux…
… même si c’est si triste pour les peuples qui les désignent comme leurs
représentants : On a raison de dire que la démocratie est le pire des
systèmes politique, à l’exception… de tous les autres.
Dès que j’ai le dos tourné, ils s’en donnent à cœur-joie pour en faire la
démonstration.
Je prends au hasard « BoJo », le PM britannique qui se prend
dans les dents la démission de sa ministre du travail, de son propre frangin
(JoJo), plus trois claques successives balancées par son Parlement (qui fait de
la résistance) le même jour, de « Barre-niée » et de quelques autres
de l’UE qui lui expliquent qu’il n’y a plus rien à négocier quant au
« Brexit », et de « J-Y.Le-Riant » qui en rajoute une
couche en expliquant qu’il n’y a aucune raison de proroger la situation
actuelle dans les conditions actuelles…
Il l’a dit : « Plutôt mourir que de ne pas sortir de l’UE »
le soir d’Halloween.
Et c’est l’UE qui va sortir les Britishs ce soir-là, fermant les
frontières, faute d’accord que « le clown » ne veut même plus
négocier sans récupérer le pognon promis par « Théière-Mais ».
En oubliant sciemment que ce pognon-là a déjà été versé par l’UE (sur
votre dos) et qu’il s’agit seulement d’un remboursement.
L’UK fait défaut…
Le clown : Mesure-t-il seulement ce que ça veut dire, au juste ?
Le frangin préfère placer « l'intérêt national » avant la « loyauté
familiale » et les tories ont perdu 23 députés en trois jours… et il n’a plus
de majorité au Parlement. Et « Bojo » d’en ricaner que le Brexit « est
visiblement une question qui divise les familles ».
Un clown.
À l’époque de mes grands-parents, c’était l’affaire Dreyfus qui divisait
les familles, même les mieux unies…
Un autre calibre.
« Bojo » a remis un coup de
pression sur les travaillistes pour sortir de l'Union européenne le 31 octobre et convoquer des élections avec une de ces punchlines
dont il a le secret : « Plutôt être mort au fond d’un fossé » que
demander un report du Brexit. Même l’ancien Premier ministre britannique John
Major a ajouté son nom à la liste des personnalités du Parti conservateur
inquiètes des agissements de « Bojo » et de l'influence néfaste de
son conseiller spécial Dominic Cummings, ancien directeur de la campagne du
vote Leave en 2016.
Quel talent que celui du Premier ministre britannique : « Il
parvient ainsi à cumuler en moins de deux mois les camouflets personnels, les
déculottées parlementaires et, au final, les mauvais sorts jetés à son pays.
Johnson se voulait l’homme fort du Brexit. Il n’est que le diviseur en chef de
son camp et l’éreinteur de l’opinion publique. »
Il faut dire que la situation est désormais « impossible ».
Si les députés ne savent même plus ce qu’ils veulent, incapables de
comprendre qu’il n’y aura pas d’accord avec l’UE sauf celui négocié par
« Théière-Mais » dont ils n’ont pas voulu, pas plus que de devoir
retourner vers leurs électeurs, ces derniers en ont ras-le-chapeau-melon de
cette situation d’indécision.
La stratégie de Downing Street consiste désormais à présenter les
parlementaires comme des traîtres au Brexit et à les jeter en pâture aux
électeurs. La montée du vocabulaire guerrier (« reddition », « collaborateurs »)
en témoigne. Le pari de « Bojo » consiste à gagner les élections en
jouant le « peuple des brexiters » contre les élites de Londres,
ville dont il a été Maire, qui seraient vendues à l’UE.
À la City, ils savent encore compter, figurez-vous…
Un isolement qui pousse « Bojo » à faire le show quitte à en
devenir pathétiquement ridicule.
Une stratégie risquée : « Que le populisme gangrène la plus
enracinée des démocraties serait une terrible nouvelle pour tout le continent.
»
Tout cela va finir avec l’ombre d’un royaume-désuni, les Écossais faisant
cavaliers seuls avec une vraie frontière, la même que Gibraltar, les Irlandais
finissant leur réunion autour de la croix : Je rappelle que la Guinness
est brassée à Dublin mais embouteillée à Belfast.
Et même un Anglais, sans sa bière préférée, ni son whisky écossais, ça
pourrait perdre son flegme, parce que le Bourbon US, ce n’est pas vraiment une
bonne bibine.
S’il n’y avait que « Bojo » à faire le pitre avec l’avenir d’un
pays, ça irait encore. Mais non : Ils sont toute une clique.
L’américain s’amuse à l’orée de l’été à faire la guerre aux iraniens, que
même eux se sont remis de leur surprise du moment : Ils savent désormais
que les USA ne feront pas la guerre juste pour un drone perdu, alors ils ont
remis en marche leurs centrifugeuses…
Le même, celui qui a un « bouton plus gros que le coréen »,
laisse « Kim-tout-fou » tirer ses missiles sans même réagir.
Mais il prévient qu’un nouveau Tienanmen à Hong-Kong serait catastrophique
alors qu’il est en pleine guerre d’intimidation commerciale avec Pékin, que ça
perturbe même le G7 qui s’inquiète des retombées sur le commerce mondial…
Hong-Kong finira par retourner dans les rangs, avec ou sans effusion de
sang : Les « clowns » n’y peuvent rien…
Clairement, on s’oriente vers une récession qui sera étouffée sous l’avalanche
de « monnaie gratuite » émise par les banques centrales :
Rappelons que le Japon le fait depuis 30 ans et qu’ils désespèrent toujours de
retrouver un peu de croissance…
Le même clone clownesque de Washington s’époumone sur les droits de douanes
sur les produits chinois, la Chine les « efface » en jouant sur la
valeur de sa monnaie, au moins le temps qu’il faudra…
Mais il propose d’acheter le Groenland aux Danois.
Ce kon : Il aurait fait la proposition aux Corses, ils étaient même
près à lui faire un prix !
On n’a entendu personne sur l’Anschluss du Cachemire, on ne vous dit même pas
non plus que « ça chauffe » au sud-Liban, dans la bande de Gaza et
encore en Syrie : La situation devient intenable.
Même au Yémen, on se demande pourquoi la rébellion n’est pas encore matée par
MBS, le « clown saoudien » après plusieurs années de combat et dont
les drones s’écrasent en Arabie Saoudite, alors que la Russie va probablement s’installer
à demeure sur les rives iraniennes du Golfe Persique…
Et « MacDo-Trompe » veut accueillir « Poux-tine » l’année
prochaine à Miami pour un « G7 élargi », faisant ainsi une croix sur
l’Anschluss de la Crimée : Belles déculottées en série pour des clowns qui
dirigent la planète avec une belle et constante incompétence !
Ils préfèrent faire la leçon aux Brésiliens.
Là encore, quelle belle clownerie !
Le Mercosur se délite, l’Argentine refait faillite, l’Afrique flambe et l’Amazonie
également, mais les clowns brésiliens, président et ministres, préfèrent
insulter votre « Bibi » nationale.
Fameux…
Sauf que ce n’est pas là où les incendies font le plus de ravages, mais en
Bolivie, Colombie, Pérou, Paraguay et encore ailleurs même au Brésil, aux
frontières.
Les « clowns » n’œuvrent pas qu’à l’étranger : Les « Républicains-démocrates »
ne savent toujours pas comment ils s’appellent après le passage de « Veau-Qui-est »
à leur tête (la énième erreur de casting) qui s’en fait pousser la barbe pour
mieux se cacher, tellement il est honteux ;
« Marinella-tchi-tchi » n’aurait jamais été europhobe, n’a
jamais, mais alors jamais voulu sortir de l’Euro et de l’Europe (les
indeminités mettent quand même du beuree dans les épinards) : Pas question d’un
« Frexit » là où les grecs et leur « Grexit » d’un temps et
deux référendums n’ont pas osé franchir le pas (tout comme les « clowns-ritaux »,
qui reprennent les mêmes et recommencent, n’ont finalement jamais annoncé « l’Italexit ») ;
Mais les même clowns fachistes avancent en « Teutonnie » et
encore ailleurs…
Quant à « Jupiter », alors qu’il y a urgence à réformer les
régimes de retraite en « Gauloisie-impécunieuse », il se donne le
temps d’une « concertation » annuelle de plus sur le sujet : Un
hochet de plus dans son arsenal pour passer en catimini d’autres réformes qui
devraient « faire débat » et qui seront abordés en pleine campagne
municipale.
« Clownesque » la « Bataille de Paris » : Les
parigots auront quel choix ?
Reconduire « Sœur-Âne » et son bilan catastrophique (emplois municipaux
augmentés de 50 %, endettement doublé sur une mandature, embarras quotidiens
accrus, désertification du tissu commercial, la ville perd ses habitants, etc…),
doubler la mise avec « Gris-veaux » ou avec la dissidence de « Vil-Annie »,
ou se jeter dans les bras de « Ya-Dos » ?
Tu parles d’un avenir pour le « bas-peuple » des « bobos-écololos-parigots » !
Eux, ils déménagent à la campagne (c’est tellement beau les déserts
médicaux entourés de pâquerettes et de vaches, mais ils ne supportent ni le
chant des coqs ni les cloches du village et encore moins les odeurs de purins)
les week-ends et voudraient bien économiser la dépense d’avoir deux résidences
en mettant « plus de campagne » à la capitale.
J’admire la démarche ubuesque sinon clownesque : C’est comme les
britanniques, les avantages sans les inconvénients d’être ou non européen à
part entière !
Les « clowns » veulent, le beurre, l’argent du beurre, la
crémière, la crémerie et même le petit-lait (bio).
Ils ne se rendent pas compte qu’ils sont incompétents à le mériter et n’ont
pas les moyens de se le payer.
Alors que les records de distribution de dividendes ont une nouvelle fois
été largement battus cette année malgré « la crise » et les cascades
d’empêchements réglementaires inventés entre-deux, par des entreprises dirigées
avec compétence.
Au lieu de s’affoler bêtement sur l’avenir de la planète comme « Greta »,
ils devraient retourner à l’ékole pour appréhender les moyens qui existent ou
qui restent à inventer pour améliorer l’ordinaire des « pôvres-gens-heureux ».
Les « clowns » préfèrent « donner la leçon » plutôt
que d’apprendre les leurs…
Une drôle d’époque, finalement.
Je reste persuadé que je ne suis pas fait pour cette époque-là.
Dans la mienne, le travail bien fait nourrit son homme. Et améliore le quotidien de tout le monde parce que ça reste durable et … bien fait.
Mais on a tué le travail avec les 35 heures et on veut malgré tout « être
heureux avant que d’être vieux » sans fournir le moindre effort : C’est
tellement liberticide de fournir des efforts non-consentis, pensez donc !
Alors on vote pour des « clowns » qui vous le font entrevoir. Car
les crétins prennent facilement des vessies pour des lanternes.
Et plus ça va, plus ça s’accélère.
On a raison de dire que la démocratie est le pire des systèmes politiques…
Hors tous les autres sans exception.
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