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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 23 janvier 2018

Salmonellose

Affaire Lactalis : Mes réactions !


J’espère que vous avez pu regarder l’émission « Cash-investigation » de « Transe-Deuze », tellement je vous avais alerté très en amont de mardi dernier. Bien sûr, moi j’ai loupé le direct pour cause de devoir « faire le guignol » chez les « grands-bretons » dans une soirée insipide très « so british » où ma présence était requise. Mais je l’ai vue le surlendemain en « rewind » et finit de vous en causer ce jour.
Très instructif.


Premièrement, j’ai appris « plein de choses » sur Sodiaal et en conclue que j’ai bien fait de ne pas avoir pu y être embauché. Des voyous qui te se vous gardent plus de 99 % des bénéfices de l’activité consolidée qui appartiennent à leurs adhérents pour financer des investissements désastreux.
Punaise de gourgandine : Ils sont tous en train de crever la bouche ouverte et les meks se font des tas d’or avec du « pognon pas à eux » !
Quand je pense que vos pharmaciens de quartier (pas tous) adhèrent eux aussi à des coopératives d’approvisionnement qui rétrocèdent autour de 90 % des marges-arrières & résultats et que la bagarre se situe sur ce taux, il y a franchement des coups de pied au kul qui se perdent.
Je serai ministre, figurez-vous que je lancerai mes chiens de garde sur ces gusses, d’autant que tout ça, c’est « exilé », hors-impôt.


Deuxièmement, je confirme ce qu’on m’avait affirmé en interne, à savoir que le directeur de la communication de chez Lactalis est une erreur de casting. Ce gars-là, avec son regard fuyant, il ne fait décidément pas « franc-du-collier ». C’est quand même kon dans la mesure où, dans le débat qui a clos l’émission, si on pouvait comprendre qu’il soit sur la défensive, il n’a pas été vraiment « attaqué ». C’était plutôt un ton apaisé.
Même si le reportage était plutôt « incisif » sur les pratiques d’approvisionnement du groupe auprès des éleveurs, notamment ce passage d’exploitants qui se sont faits « déférencer ». Logique : Tu n’offres pas un bouquet de fleurs à la meuf du mek qui te crache à la tronche et dans la soupe, non plus. Ou alors t’es qu’un gros kon !
Ce en quoi, le « dir-com’ » est aussi à l’image de « l’actionnaire », son « boss-à-lui » qui reste un « grand-taiseux » devant l’Éternel. Mais lui, c’est un autre style : Il ne dit rien, ne laisse jamais transparaître ses émotions et opinions sur son visage ou dans ses attitudes, peut-être une forme de respect. En revanche, quand il vous regarde, même si c’est rare, c’est droit dans les yeux : C’est plus rassurant.


Troisièmement, je suis resté scotché par la taille des élevages Nouveaux-zélandais. 1.600 têtes, on est vraiment à des années-lumière du gauloisien qui survit avec son quarteron de bestioles.
Mais ce n’est rien par rapport aux élevages américains qui comptent parfois des troupeaux de dizaines de milliers de paires-de-corne…
Et puis alors, on se rend compte que ces « blacks-là », ils sont déjà morts, hyper-endettés et consommant un mètre-cube de flotte pour chaque litre de lait : Dément !
Bon, d’accord, tout ne part pas non plus ni à la mer ni dans l’espace intersidéral, pour retourner à la nappe phréatique, mais il faut savoir que dans nos verts-pâturages, on compte seulement jusqu’à 3 litres de flotte (non-polluée des déjections de la filière porcine) par litre de lait : Une autre dimension.
Une filière qui va crever…


Quatrièmement, il a manqué de l’information. Pas un mot ou si peu sur les cadors de la grande distribution – qui écrasent tout le monde, y compris agricole, industriels et exploitants – ni quelques chiffres qui auraient pu éclairer le téléspectateur.


1/ Lactalis, sur l’ensemble de ses sites gauloisiens payent 11.000 contrôles sanitaires par an effectués par une ribambelle de laboratoires indépendants et, pour la plupart, il s’agit de contrôles nettement plus pointus et plus exigeants que ceux prévus par la réglementation (européenne et gauloisienne)…
Loin, très loin des 300 et quelques excipés par les autorités sanitaires qui, pour les uns ne sont pas suffisants et pour les autres « à côté de la plaque »…
Moi, je veux bien, mais si la bactérie n’a pas été détectée, ou en tout cas pas assez rapidement, ce n’est pas la faute des dirigeants ni des « encadrants ».
Eux, ils savent ce que c’est qu’une salmonelle, puisqu’il y en a partout chez les bestiaux (et même jusque dans votre salive).


2/ Justement, faites-donc un tour chez les « spécialistes ». Vous apprendrez – ce que chacun devrait savoir – que des salmonelloses, provoquent notamment des gastro-entérites (qui peuvent être mortelles chez les personnes âgées, les nourrissons, ou les personnes immuno-déprimées).
En 1994 aux États-Unis, par exemple, une épidémie provoquée par une crème glacée a touché 224.000 personnes. En « Gauloisie-gastronomique », une des plus importantes, dont la source n’a pu être identifiée, est survenue fin 1985 et a touché 25.000 personnes. Entre 2006 et 2008, 3.127 foyers de toxi-infection alimentaire collective (TIAC) concernant 33.404 patients ont été déclarés aux autorités. À l’Institut Pasteur, qui est en charge de la surveillance microbiologique des salmonelloses humaines, ils répertorient entre 10.000 et 11.000 isolements annuels de Salmonella chez l’homme et une enquête nationale d’épidémiologie auprès de 3.375 laboratoires de biologie médicale a révélé environ 17.000 cas humains annuels confirmés de salmonellose rien que pour l’année 2008.


Et les salmonelloses provoquent également des fièvres typhoïdes et paratyphoïdes. Les Salmonella responsables de ces fièvres a l’homme pour seul et unique réservoir !
Les données mondiales les plus récentes font état de plus de 20 millions de cas annuels de fièvre typhoïde et de plus de 200.000 morts. La maladie est toujours présente dans les pays industrialisés. En « Gauloisie-métropolitaine », en 1997, une épidémie a nécessité l’hospitalisation de 26 personnes. Une autre est apparue en 1998 où 20 personnes ont présenté une typhoïde et 95 une gastro-entérite précoce. En 2003 et 2006, deux foyers de sept à dix cas groupés liés à un lieu de restauration, ont été détectés à « Paris-sur-la-plage ». La contamination a été identifiée comme provenant à chaque fois d’un porteur sain travaillant en cuisine.
Depuis 2003, 100 à 250 cas d’infection à Salmonella Typhi, isolées, sont répertoriés chaque année au CNR. Et chaque année le CNR expertise de 8.000 à 10.000 souches de Salmonella provenant d’environ 1.400 laboratoires.
On est donc très loin d’un scandale alimentaire avec moins de 40 bébés contaminés pour des diarrhées…
Mais personne ne vous l’a dit, d’autant que dans ces cas-là, c’est vous tous qui êtes les « empoisonneurs » exclusifs, pas les bestiaux et leurs sécrétions lactées !


3/ L’usine de Craon a déjà été infectée en 2005 : Juste un « manche à balai ». Ça a tué la boutique et Lactalis l’a reprise alors pour sauver la filière à la demande expresse de ladite filière et des autorités. Mais bon, ça arrangeait aussi « l’actionnaire ».
On découvrira probablement que la souche à l’origine de la contamination actuelle était enterrée sous une dalle de béton. La salmonelle survit très bien en milieux archi-sec. Et elle aura été libérée pour proliférer à l’occasion des travaux de l’été dernier. À l’automne, les tests étaient négatifs après une première alerte et un rinçage énergique (façon « Yoplait », événement dont il n’a pas été fait mention dans le reportage de « Transe-deuze » : Manque de « professionnalisme » ?)
Les tests suivants imposaient le retrait de la vente, à l’aveugle et en totalité, ce qui a demandé du temps à la force de vente (jusque dans les pharmacies lointaines et les crèches hasardeuses) et les consignes strictes de « l’actionnaire ».
Lui, il sait que c’est catastrophique pour le marché chinois en termes d’image, un pays déjà « secoué » il y a quelques années de ça, et qu’il faut tout de même détruire la production sise dans l’empire du milieu… par précaution.


4/ Enfin, le coût financier : Lactalis, un des plus gros contributeurs à l’IS du pays (pas à la TVA : Elle est à taux réduit) malgré ses filiales au Luxembourg, va pouvoir passer une gigantesque provision dans ses comptes 2017 et même demander probablement le remboursement de l’impôt payé préalablement (acomptes et système du « carry-back » cumulés).
Je ne sais pas si « Pruneau-le-Mer » y a pensé en jouant les « gros-bras » en son ministère avec ses exigences déjà engagées sans lui… mais ça va faire un trou (de plus) en 2018 et 2019 dans les comptes publics (peut-être compensés par le remboursement du crédit d’impôt indu par la Société Générale…).
Autres victimes, non pas les producteurs de lait (les contrats seront respectés, hors pour le gusse qui est venu réclamer des comptes de ce qu’on faisait de son lait « de qualité »), mais les salariés.
Tous les salariés et pas seulement les 280 sur le carreau à Craon (sur 350 du site : Les « restés » nettoient, récurent, désinfectent…), mais les 75.000 qui n’auront pas leurs primes de participation et leur intéressement annuelles assises sur les bénéfices de l’année.


Conclusion, Lactalis et ses dirigeants n’attirent décidément pas la sympathie, bien au contraire, mais ça n’explique pas le traitement de l’information qui est loin d’avoir été exemplaire.
Une vraie curée médiatique qui en donne la nausée.


Je note pour ma part :


1/ Une association des familles des victimes du lait contaminé a été formée… par le père d’un nourrisson qui n’a pas été atteint de salmonellose, mais a un parcours de militant politique !
Relayé avec complaisance par les médias :
– Par exemple, ce titre de 20 Minutes, « Lait contaminé : « En 2005, il y a déjà eu des cas de salmonellose dans la même usine », tempête un père qui porte plainte » (le père, c’est le président de l’association). Pour le père et le journaliste, deux problèmes bactériologiques à 12 ans d’intervalle signent bien sûr une vraie négligence et le mépris fautif pour la santé des consommateurs…
Toujours selon 20 Minutes, « Laits infantiles contaminés : « Des centaines de plaintes » auraient déjà été déposées contre Lactalis ». Ça sent la ruée vers l’aubaine… On attend de les compter. La cible est Lactalis, pas le pharmacien qui a pensé qu’il était inutile d’aviser son client pourtant venu avec une ordonnance de toubib diplômé, ou le supermarché qui n’a pas fait le tri dans ses rayons.
– Marianne arrive cependant à titrer le 1er janvier 2018 : « Lait contaminé : les victimes ne veulent pas de l’argent de Lactalis » ! Ah bon ? Faudrait savoir…
– Le 18 décembre 2017, Europe 1 (avec AFP) annonçait : « Salmonelle : l’association UFC Que-Choisir va également porter plainte contre Lactalis ». C’est naturellement dans son rôle, mais une plainte pour quoi ? Seulement la « tromperie » ?
– Huit jours plus tard, le 26 décembre 2017, la justice a ordonné l’ouverture d’une enquête préliminaire à l’encontre de Lactalis, évidemment en ratissant large : « blessures involontaires », « mise en danger de la vie d’autrui », « tromperie aggravée par le danger pour la santé humaine » et « inexécution d’une procédure de retrait ou de rappel d’un produit ».
Ça fera « flop », mais on n’en attendait pas moins.


2/ Le traitement politique de l’affaire soulève aussi des questions. On a vu un sinistre de l’Économie et des Finances, en pointe. Est-ce parce qu’il est l’autorité de tutelle de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) ? Ou peut-être aussi parce qu’il fut par le passé le sinistre de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche pour le compte d’un autre parti-politique et, à ce titre, est ravi de livrer à « l’actionnaire » un chien de sa chienne ?
Lactalis a promis d’indemniser « toutes les familles qui ont subi un préjudice ». Et le Porte-la-parole du Gouvernement a réagi : « Indemniser, c’est bien, mais l’argent n’achète pas tout ». Bien, mais alors quoi ?…
Mais même « Jupiter » a mis son grain de sel de plus depuis Rome alors qu’il avait juré-craché qu’il ne répondrait pas aux questions nationales lors d’un déplacement à l’étranger : « Il n’y aura aucune tolérance en la matière et qui doit être sanctionné, le sera et les contrôles seront renforcés ».
Et le principe de la séparation des pouvoirs et de l’autonomie de la justice, alors ?
Son sinistre de l’économie est plus prudent : « …il apparaît aujourd’hui, compte tenu des déclarations de l’entreprise Lactalis comme de plusieurs distributeurs, à ce stade, je veux être prudent, que des pratiques inacceptables auraient été commises… »
Mais sur RTL cela devient : « Oui l’État français est en mesure d’assurer la sécurité alimentaire (…) Le Président a également souligné que « des pratiques inacceptables ont été commises » et a ajouté que « ce qui devra être sanctionné, le sera ».
Le conditionnel de prudence aura laissé la place à l’indicatif de certitude…


3/ Mais il est aussi de véritables scandales. Le 12 décembre 2017, Europe 1 n’a pas hésité à sortir un « Salmonelle : pour un ancien producteur de Lactalis, l’entreprise « savait depuis longtemps » ».
À 200 km de Craon, dans un autre département, ledit « agri-kul-éleveur » est en effet beaucoup plus disert. Il se dit persuadé que le groupe laitier était au courant de la contamination depuis longtemps. « Ça me met hors de moi. Il ne faut pas me faire croire qu’il n’y a pas eu d’analyses de faites depuis des mois et des mois. Je pense qu’ils savaient pertinemment que les souches de salmonelle présentes n’étaient pas mortelles. Donc ils ont laissé filer. S’il n’y avait pas eu ces cas décelés de bébés malades, je pense qu’on ne l’aurait jamais su, cette contamination serait restée cachée ».
Faux : Les produits étaient déjà en retrait, racheté à prix consommateur dans les rayons par la force de vente… !


Dans le même style, la télévision publique a produit le témoignage d’un ancien employé… qui profère des accusations d’une rare gravité : « Il a longtemps hésité, mais il a finalement choisi de témoigner pour, dit-il, faire la lumière sur certaines pratiques de l’usine Lactalis de Craon, en Mayenne. Ce salarié a travaillé plusieurs années dans la partie conditionnement, là où le lait en poudre est mis en boîte. Après avoir connu diverses usines agroalimentaires à l’hygiène irréprochable, il a été scandalisé par celle de Craon. (…) ». Quelles usines, quelles pratiques au fait ? Avec quelles responsabilités : Il poussait un balai ou était versé au contrôle-qualité ?
La chaîne financée par vos redevances et vos impôts a fait preuve d’une remarquable impartialité journalistique à cette occasion : 2’ 20’’ pour les accusations, 30’’ pour une défense.
L’Express a repris ces affirmations dans un article dont le titre est accrocheur : « Lait contaminé : le témoignage accablant d’un ex-salarié de Lactalis ».
Euh, à propos, il a été viré pour quelle raison ?


Je vous rappelle également ce commentaire de « Deux-Noix-Âme-Mont » sur RTL : « On baisse la garde, il y a moins de contrôles sur le terrain… Conséquence : les entreprises réduisent leurs coûts et poussent à des scandales sanitaires de ce niveau-là », s’indigne-t-il la main sur le cœur en ajoutant que « la responsabilité de la chaîne est complète. »
Voilà un grand-connaisseur devant l’Éternel de l’industrie, particulièrement celle du lait, très sensible aux problèmes bactériologiques, qui s’exprime en toute connaissance de cause !
Il aura été ministre Délégué à l’Économie Sociale et Solidaire et à la Consommation du 16 mai 2012 au 31 mars 2014, puis sinistre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche jusqu’au 25 août 2014.
Rappelons que le nombre des inspections en sécurité des aliments a subi une baisse de 36 % sur cinq ans (de 86.239 en 2012 à 55.000 en 2016).
Mais que faisait cet imprécateur-prétentieux-là durant cette période-là, au juste ?


Non sans vous rajouter que la CGT a dénoncé de son côté les conditions de travail chez Lactalis. Pour elle, « les causes de ce nouveau scandale sont à chercher dans la politique sociale de l’entreprise Lactalis ». Logique, naturellement…
Et c’est le moment de reprendre le couplet sur la stratégie de la grande distribution.
Dans le cadre des États Généraux de l’Alimentation, M. Michel-Édouard Leclerc et l’UFC-Que Choisir se sont alliés pour s’opposer à la revalorisation du seuil de revente à perte. On a alors pu mesurer l’ampleur de l’analphabétisme économique qui ignore que les consommateurs (pas tous) sont aussi des travailleurs.


Certains vont penser, avec tous mes délires-bloguesques sur ce sujet (crise du lait, crise du beurre, crise de la salmonelle), que je défends outrageusement « l’Actionnaire », mon ancien-client. Mais justement, il ne l’est plus. J’ai seulement un peu de respect pour les « réussites », doublé d’une sympathie certaine pour les « premiers de cordées » qui ne trichent pas (contra « Nanar-Tapis-le-flambeur »)… avec du denier public.
Notez que « ma nichée » a été nourrie au biberon de poudre de lait de la concurrence, alors, hein… je ne me sens pas vraiment concerné sans pour autant ne pas me sentir totalement solidaire des quelques 40 familles directement inquiétées. Pensez, je fais partie de ces cinglés qui sont capables de parcourir « tout-Paris » en tous sens pour trouver une balance-pédiatrique à louer dans les pharmacies de garde en pleine nuit, un dimanche… (et sous une pluie battante) dans l’urgence de l’angoisse du moment.


Non, ce qui m’exaspère, c’est cette volonté du « quart-d’heure-de-gloire » pour certains, de vendre du papier et de faire de l’audience pour d’autres, de s’agiter sur la scène politique pour quelques-uns, le tout en profitant des embarras (ou des malheurs) d’autrui.
C’est vraiment harassant.
C’est devenu de la m… (étron), ce qui n’est décidément pas très encourageant !
Je vous en tirerai un autre post pour exprimer tout le mépris que ces « professionnels-là » m’inspirent.
Pour l’heure, retenez que la « vraie-cause » de ce déferlement de haine reste assez simple à comprendre : Lactalis n’est pas coté en bourse ; les « traders » ne peuvent pas en « jouer » ; le fonctionnement de la boutique reste du coup « opaque » et ça, ça emmerde vraiment les « maître du monde ».

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