Affaire
Lactalis : Mes réactions !
J’espère que vous avez pu regarder l’émission « Cash-investigation »
de « Transe-Deuze », tellement je vous avais alerté
très en amont de mardi dernier. Bien sûr, moi j’ai loupé le direct pour cause de devoir
« faire le guignol » chez les « grands-bretons » dans une
soirée insipide très « so british » où ma présence était requise.
Mais je l’ai vue le surlendemain en « rewind » et finit de vous en
causer ce jour.
Très instructif.
Premièrement, j’ai appris « plein de
choses » sur Sodiaal et en conclue que j’ai bien fait de ne pas avoir pu y
être embauché. Des voyous qui te se vous gardent plus de 99 % des bénéfices de
l’activité consolidée qui appartiennent à leurs adhérents pour financer des
investissements désastreux.
Punaise de gourgandine : Ils sont tous en train de crever la bouche
ouverte et les meks se font des tas d’or avec du « pognon pas à
eux » !
Quand je pense que vos pharmaciens de quartier (pas tous) adhèrent eux
aussi à des coopératives d’approvisionnement qui rétrocèdent autour de 90 % des
marges-arrières & résultats et que la bagarre se situe sur ce taux, il y a
franchement des coups de pied au kul qui se perdent.
Je serai ministre, figurez-vous que je lancerai mes chiens de garde sur
ces gusses, d’autant que tout ça, c’est « exilé », hors-impôt.
Deuxièmement, je confirme ce qu’on m’avait affirmé
en interne, à savoir que le directeur de la communication de chez Lactalis est
une erreur de casting. Ce gars-là, avec son regard fuyant, il ne fait
décidément pas « franc-du-collier ». C’est quand même kon dans la
mesure où, dans le débat qui a clos l’émission, si on pouvait comprendre qu’il
soit sur la défensive, il n’a pas été vraiment « attaqué ». C’était
plutôt un ton apaisé.
Même si le reportage était plutôt « incisif » sur les pratiques
d’approvisionnement du groupe auprès des éleveurs, notamment ce passage
d’exploitants qui se sont faits « déférencer ». Logique : Tu
n’offres pas un bouquet de fleurs à la meuf du mek qui te crache à la tronche
et dans la soupe, non plus. Ou alors t’es qu’un gros kon !
Ce en quoi, le « dir-com’ » est aussi à l’image de
« l’actionnaire », son « boss-à-lui » qui reste un
« grand-taiseux » devant l’Éternel. Mais lui, c’est un autre
style : Il ne dit rien, ne laisse jamais transparaître ses émotions et
opinions sur son visage ou dans ses attitudes, peut-être une forme de respect.
En revanche, quand il vous regarde, même si c’est rare, c’est droit dans les
yeux : C’est plus rassurant.
Troisièmement, je suis resté scotché par la taille
des élevages Nouveaux-zélandais. 1.600 têtes, on est vraiment à des
années-lumière du gauloisien qui survit avec son quarteron de bestioles.
Mais ce n’est rien par rapport aux élevages américains qui comptent parfois
des troupeaux de dizaines de milliers de paires-de-corne…
Et puis alors, on se rend compte que ces « blacks-là », ils sont
déjà morts, hyper-endettés et consommant un mètre-cube de flotte pour chaque
litre de lait : Dément !
Bon, d’accord, tout ne part pas non plus ni à la mer ni dans l’espace
intersidéral, pour retourner à la nappe phréatique, mais il faut savoir que
dans nos verts-pâturages, on compte seulement jusqu’à 3 litres de flotte (non-polluée
des déjections de la filière porcine) par litre de lait : Une autre
dimension.
Une filière qui va crever…
Quatrièmement, il a manqué de l’information. Pas un
mot ou si peu sur les cadors de la grande distribution – qui écrasent tout le
monde, y compris agricole, industriels et exploitants – ni quelques chiffres
qui auraient pu éclairer le téléspectateur.
1/ Lactalis, sur l’ensemble de ses sites
gauloisiens payent 11.000 contrôles sanitaires par an effectués par une
ribambelle de laboratoires indépendants et, pour la plupart, il s’agit de
contrôles nettement plus pointus et plus exigeants que ceux prévus par la
réglementation (européenne et gauloisienne)…
Loin, très loin des 300 et quelques excipés par les autorités sanitaires
qui, pour les uns ne sont pas suffisants et pour les autres « à côté de la
plaque »…
Moi, je veux bien, mais si la bactérie n’a pas été détectée, ou en tout
cas pas assez rapidement, ce n’est pas la faute des dirigeants ni des
« encadrants ».
Eux, ils savent ce que c’est qu’une salmonelle, puisqu’il y en a partout
chez les bestiaux (et même jusque dans votre salive).
2/ Justement, faites-donc un tour chez
les « spécialistes ». Vous apprendrez – ce que chacun devrait savoir
– que des salmonelloses, provoquent notamment des gastro-entérites (qui peuvent
être mortelles chez les personnes âgées, les nourrissons, ou les personnes
immuno-déprimées).
En 1994 aux États-Unis, par exemple, une épidémie provoquée par une crème
glacée a touché 224.000 personnes. En « Gauloisie-gastronomique »,
une des plus importantes, dont la source n’a pu être identifiée, est survenue
fin 1985 et a touché 25.000 personnes. Entre 2006 et 2008, 3.127 foyers de
toxi-infection alimentaire collective (TIAC) concernant 33.404 patients ont été
déclarés aux autorités. À l’Institut Pasteur, qui est en charge de la
surveillance microbiologique des salmonelloses humaines, ils répertorient entre
10.000 et 11.000 isolements annuels de Salmonella chez l’homme et une enquête
nationale d’épidémiologie auprès de 3.375 laboratoires de biologie médicale a
révélé environ 17.000 cas humains annuels confirmés de salmonellose rien que pour
l’année 2008.
Et les salmonelloses provoquent également des fièvres typhoïdes et
paratyphoïdes. Les Salmonella responsables de ces fièvres a l’homme pour
seul et unique réservoir !
Les données mondiales les plus récentes font état de plus de 20 millions
de cas annuels de fièvre typhoïde et de plus de 200.000 morts. La maladie est
toujours présente dans les pays industrialisés. En « Gauloisie-métropolitaine »,
en 1997, une épidémie a nécessité l’hospitalisation de 26 personnes. Une autre
est apparue en 1998 où 20 personnes ont présenté une typhoïde et 95 une
gastro-entérite précoce. En 2003 et 2006, deux foyers de sept à dix cas groupés
liés à un lieu de restauration, ont été détectés à « Paris-sur-la-plage ».
La contamination a été identifiée comme provenant à chaque fois d’un porteur
sain travaillant en cuisine.
Depuis 2003, 100 à 250 cas d’infection à Salmonella Typhi, isolées, sont répertoriés
chaque année au CNR. Et chaque année le CNR expertise de 8.000 à 10.000 souches
de Salmonella provenant d’environ 1.400 laboratoires.
On est donc très loin d’un scandale alimentaire avec moins de 40 bébés
contaminés pour des diarrhées…
Mais personne ne vous l’a dit, d’autant que dans ces cas-là, c’est vous
tous qui êtes les « empoisonneurs » exclusifs, pas les bestiaux et
leurs sécrétions lactées !
3/ L’usine de Craon a déjà été infectée
en 2005 : Juste un « manche à balai ». Ça a tué la boutique et
Lactalis l’a reprise alors pour sauver la filière à la demande expresse de ladite
filière et des autorités. Mais bon, ça arrangeait aussi
« l’actionnaire ».
On découvrira probablement que la souche à l’origine de la contamination
actuelle était enterrée sous une dalle de béton. La salmonelle survit très bien
en milieux archi-sec. Et elle aura été libérée pour proliférer à l’occasion des
travaux de l’été dernier. À l’automne, les tests étaient négatifs après une
première alerte et un rinçage énergique (façon « Yoplait », événement
dont il n’a pas été fait mention dans le reportage de
« Transe-deuze » : Manque de « professionnalisme » ?)
Les tests suivants imposaient le retrait de la vente, à l’aveugle et en
totalité, ce qui a demandé du temps à la force de vente (jusque dans les
pharmacies lointaines et les crèches hasardeuses) et les consignes strictes de
« l’actionnaire ».
Lui, il sait que c’est catastrophique pour le marché chinois en termes
d’image, un pays déjà « secoué » il y a quelques années de ça, et
qu’il faut tout de même détruire la production sise dans l’empire du milieu…
par précaution.
4/ Enfin, le coût financier :
Lactalis, un des plus gros contributeurs à l’IS du pays (pas à la TVA :
Elle est à taux réduit) malgré ses filiales au Luxembourg, va pouvoir passer une gigantesque provision dans ses
comptes 2017 et même demander probablement le remboursement de l’impôt payé
préalablement (acomptes et système du « carry-back » cumulés).
Je ne sais pas si « Pruneau-le-Mer » y a pensé en jouant les
« gros-bras » en son ministère avec ses exigences déjà engagées sans
lui… mais ça va faire un trou (de plus) en 2018 et 2019 dans les comptes publics
(peut-être compensés par le remboursement du crédit d’impôt indu par la Société
Générale…).
Autres victimes, non pas les producteurs de lait (les contrats seront
respectés, hors pour le gusse qui est venu réclamer des comptes de ce qu’on
faisait de son lait « de qualité »), mais les salariés.
Tous les salariés et pas seulement les 280 sur le carreau à Craon (sur 350
du site : Les « restés » nettoient, récurent, désinfectent…),
mais les 75.000 qui n’auront pas leurs primes de participation et leur
intéressement annuelles assises sur les bénéfices de l’année.
Conclusion, Lactalis et ses dirigeants n’attirent décidément pas la sympathie,
bien au contraire, mais ça n’explique pas le traitement de l’information qui est
loin d’avoir été exemplaire.
Une vraie curée médiatique qui en donne la nausée.
Je note pour ma part :
1/ Une association des familles des
victimes du lait contaminé a été formée… par le père d’un nourrisson qui n’a
pas été atteint de salmonellose, mais a un parcours de militant politique !
Relayé avec complaisance par les médias :
– Par exemple, ce titre de 20 Minutes, « Lait contaminé : « En 2005, il y a déjà eu des cas de salmonellose dans
la même usine », tempête un père qui porte plainte » (le père, c’est le
président de l’association). Pour le père et le journaliste, deux problèmes
bactériologiques à 12 ans d’intervalle signent bien sûr une vraie négligence et
le mépris fautif pour la santé des consommateurs…
Toujours selon 20 Minutes, « Laits
infantiles contaminés : « Des centaines de plaintes » auraient déjà été
déposées contre Lactalis ». Ça sent la ruée vers l’aubaine… On attend de
les compter. La cible est Lactalis, pas le pharmacien qui a pensé qu’il était
inutile d’aviser son client pourtant venu avec une ordonnance de toubib diplômé,
ou le supermarché qui n’a pas fait le tri dans ses rayons.
– Marianne arrive cependant à titrer le 1er janvier 2018 : « Lait contaminé : les victimes ne veulent pas
de l’argent de Lactalis » ! Ah bon ? Faudrait savoir…
– Le 18 décembre 2017, Europe 1 (avec AFP) annonçait : « Salmonelle : l’association UFC Que-Choisir
va également porter plainte contre Lactalis ». C’est naturellement dans son
rôle, mais une plainte pour quoi ? Seulement la « tromperie » ?
– Huit jours plus tard, le 26 décembre 2017, la justice a ordonné
l’ouverture d’une enquête préliminaire à l’encontre de Lactalis, évidemment en
ratissant large : « blessures
involontaires », « mise en danger de
la vie d’autrui », « tromperie
aggravée par le danger pour la santé humaine » et « inexécution d’une procédure de retrait ou de rappel d’un produit ».
Ça fera « flop », mais on n’en attendait pas moins.
2/ Le traitement politique de l’affaire
soulève aussi des questions. On a vu un sinistre de l’Économie et des Finances,
en pointe. Est-ce parce qu’il est l’autorité de tutelle de la Direction
Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes
(DGCCRF) ? Ou peut-être aussi parce qu’il fut par le passé le sinistre de
l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche pour le compte d’un autre
parti-politique et, à ce titre, est ravi de livrer à « l’actionnaire »
un chien de sa chienne ?
Lactalis a promis d’indemniser « toutes
les familles qui ont subi un préjudice ». Et le Porte-la-parole du
Gouvernement a réagi : « Indemniser,
c’est bien, mais l’argent n’achète pas tout ». Bien, mais alors quoi ?…
Mais même « Jupiter » a mis son grain de sel de plus depuis Rome
alors qu’il avait juré-craché qu’il ne répondrait pas aux questions nationales
lors d’un déplacement à l’étranger : « Il
n’y aura aucune tolérance en la matière et qui doit être sanctionné, le sera et
les contrôles seront renforcés ».
Et le principe de la séparation des pouvoirs et de l’autonomie de la
justice, alors ?
Son sinistre de l’économie est plus prudent : « …il apparaît aujourd’hui, compte tenu des déclarations de l’entreprise
Lactalis comme de plusieurs distributeurs, à ce stade, je veux être prudent,
que des pratiques inacceptables auraient été commises… »
Mais sur RTL cela devient : « Oui
l’État français est en mesure d’assurer la sécurité alimentaire (…) Le Président a également souligné que « des
pratiques inacceptables ont été commises » et a ajouté que « ce qui devra être sanctionné, le sera ».
Le conditionnel de prudence aura laissé la place à l’indicatif de
certitude…
3/ Mais il est aussi de véritables
scandales. Le 12 décembre 2017, Europe 1 n’a pas hésité à sortir un « Salmonelle : pour un ancien producteur de
Lactalis, l’entreprise « savait depuis longtemps » ».
À 200 km de Craon, dans un autre département, ledit « agri-kul-éleveur »
est en effet beaucoup plus disert. Il se dit persuadé que le groupe laitier
était au courant de la contamination depuis longtemps. « Ça me met hors de moi. Il ne faut pas me faire croire qu’il n’y a pas
eu d’analyses de faites depuis des mois et des mois. Je pense qu’ils savaient
pertinemment que les souches de salmonelle présentes n’étaient pas mortelles.
Donc ils ont laissé filer. S’il n’y avait pas eu ces cas décelés de bébés
malades, je pense qu’on ne l’aurait jamais su, cette contamination serait
restée cachée ».
Faux : Les produits étaient déjà en retrait, racheté à prix
consommateur dans les rayons par la force de vente… !
Dans le même style, la télévision publique a produit le témoignage d’un
ancien employé… qui profère des accusations d’une rare gravité : « Il a longtemps hésité, mais il a finalement
choisi de témoigner pour, dit-il, faire la lumière sur certaines pratiques de
l’usine Lactalis de Craon, en Mayenne. Ce salarié a travaillé plusieurs années
dans la partie conditionnement, là où le lait en poudre est mis en boîte. Après
avoir connu diverses usines agroalimentaires à l’hygiène irréprochable, il a
été scandalisé par celle de Craon. (…) ». Quelles usines, quelles pratiques
au fait ? Avec quelles responsabilités : Il poussait un balai ou
était versé au contrôle-qualité ?
La chaîne financée par vos redevances et vos impôts a fait preuve d’une
remarquable impartialité journalistique à cette occasion : 2’ 20’’ pour les
accusations, 30’’ pour une défense.
L’Express a repris ces affirmations dans un article dont le titre est
accrocheur : « Lait contaminé : le
témoignage accablant d’un ex-salarié de Lactalis ».
Euh, à propos, il a été viré pour quelle raison ?
Je vous rappelle également ce commentaire de
« Deux-Noix-Âme-Mont » sur RTL : « On baisse la garde, il y a moins de contrôles sur le terrain…
Conséquence : les entreprises réduisent leurs coûts et poussent à des scandales
sanitaires de ce niveau-là », s’indigne-t-il la main sur le cœur en
ajoutant que « la responsabilité de la
chaîne est complète. »
Voilà un grand-connaisseur devant l’Éternel de l’industrie, particulièrement
celle du lait, très sensible aux problèmes bactériologiques, qui s’exprime en toute
connaissance de cause !
Il aura été ministre Délégué à l’Économie Sociale et Solidaire et à la
Consommation du 16 mai 2012 au 31 mars 2014, puis sinistre de l’Éducation
nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche jusqu’au 25 août
2014.
Rappelons que le nombre des inspections en sécurité des aliments a subi
une baisse de 36 % sur cinq ans (de 86.239 en 2012 à 55.000 en 2016).
Mais que faisait cet imprécateur-prétentieux-là durant cette période-là,
au juste ?
Non sans vous rajouter que la CGT a dénoncé de son côté les conditions de
travail chez Lactalis. Pour elle, « les
causes de ce nouveau scandale sont à chercher dans la politique sociale de
l’entreprise Lactalis ». Logique, naturellement…
Et c’est le moment de reprendre le couplet sur la stratégie de la grande
distribution.
Dans le cadre des États Généraux de l’Alimentation, M. Michel-Édouard
Leclerc et l’UFC-Que Choisir se sont alliés pour s’opposer à la revalorisation
du seuil de revente à perte. On a alors pu mesurer l’ampleur de
l’analphabétisme économique qui ignore que les consommateurs (pas tous) sont
aussi des travailleurs.
Certains vont penser, avec tous mes délires-bloguesques sur ce sujet
(crise du lait, crise du beurre, crise de la salmonelle), que je défends
outrageusement « l’Actionnaire », mon ancien-client. Mais justement,
il ne l’est plus. J’ai seulement un peu de respect pour les
« réussites », doublé d’une sympathie certaine pour les
« premiers de cordées » qui ne trichent pas (contra
« Nanar-Tapis-le-flambeur »)… avec du denier public.
Notez que « ma nichée » a été nourrie au biberon de poudre de
lait de la concurrence, alors, hein… je ne me sens pas vraiment concerné sans
pour autant ne pas me sentir totalement solidaire des quelques 40 familles
directement inquiétées. Pensez, je fais partie de ces cinglés qui sont capables
de parcourir « tout-Paris » en tous sens pour trouver une
balance-pédiatrique à louer dans les pharmacies de garde en pleine nuit, un
dimanche… (et sous une pluie battante) dans l’urgence de l’angoisse du moment.
Non, ce qui m’exaspère, c’est cette volonté du
« quart-d’heure-de-gloire » pour certains, de vendre du papier et de faire
de l’audience pour d’autres, de s’agiter sur la scène politique pour
quelques-uns, le tout en profitant des embarras (ou des malheurs) d’autrui.
C’est vraiment harassant.
C’est devenu de la m… (étron), ce qui n’est décidément pas très
encourageant !
Je vous en tirerai un autre post pour exprimer tout le mépris que ces
« professionnels-là » m’inspirent.
Pour l’heure, retenez que la « vraie-cause » de ce déferlement
de haine reste assez simple à comprendre : Lactalis n’est pas coté en
bourse ; les « traders » ne peuvent pas en « jouer » ;
le fonctionnement de la boutique reste du coup « opaque » et ça, ça
emmerde vraiment les « maître du monde ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire