Blagues
d’hiver
Un jour où il fait un temps de chien, une poule dit à un canard :
« – Il fait un froid de canard.
– Oui, j’en ai la chair
de poule ! »
Le médecin pénètre dans la chambre et aperçoit le nouvel infirmier qui
secoue violemment un moribond.
« – Vous êtes fou ! Qu’est-ce
que vous faites ?
– Excusez-moi, mais j’ai
oublié de secouer la bouteille avant de lui donner son sirop. »
Le téléphone sonne à l’animalerie.
« – Bonjour madame, que puis-je
faire pour vous ?
– Pourriez-vous m’envoyer
25.000 sauterelles-dévoreuses pour demain matin SVP ?
– Ma p’tite madame, y
avez-vous pensé, qu’allez-vous faire de 25.000 sauterelles ?
– Je déménage demain
après-midi et il est indiqué dans mon bail que je dois laisser le logement dans
le même état que je l’ai trouvé. »
Jean-Charles, un courtisan de la cour du Prince Albert II de Conac est
obsédé par un fantasme, celui de fourrer son nez dans la voluptueuse poitrine
de la soeur-aînée du prince régnant, Moraline de Conac.
Mais il savait que la sanction serait la mort.
Un jour, il révèle son désir secret à son collègue Jean-Gabriel, le
médecin du prince.
Celui lui dit :
« Je peux arranger ça, mais ça
va te coûter 1.000 pièces d’or. »
Jean-Charles, le courtisan, accepte.
Quelques jours plus tard, Jean-Gabriel, pendant que la princesse prend un
bain, pénètre dans la chambre de cette dernière, et dépose de la poudre à
gratter dans son soutien-gorge. Peu après s’être habillée, cette dernière est
prise d’une démangeaison folle.
Après avoir été convoqué par le Prince sérénissime, Jean-Gabriel déclare
qu’il connaît les symptômes, et que seule une salive spéciale, appliquée
pendant 4 heures, peut guérir ce type de démangeaison.
Et de lui préciser que les tests montrent que seul Jean-Charles le courtisan possède une telle salive.
Le Prince convoque Jean-Charles.
Et celui-ci s’attaque à sa tâche, et pendant quatre heures, il caresse
passionnément les seins de la Princesse Moraline. Le rêve de sa vie.
L’apothéose !
Satisfait, il retourne dans ses appartements. Le lendemain, Jean-Gabriel
vient le voir pour se faire payer. Jean-Charles, le courtisan, refuse de le
payer.
« Tu sais bien, je n’ai pas
d’argent. Et puis, jamais tu ne pourras raconter ça. On te pendra. »
Le jour suivant Jean-Gabriel mit une dose massive de poil à gratter dans
le caleçon du Prince-Albert.
Bien entendu, le Prince-sérénissime convoqua Jean-Charles, le courtisan…
Morale de cette histoire : Mieux vaut payer ses dettes.
Les blagues sexistes du moment :
« – Quelle est la différence
entre le cerveau d’un homme et une olive ?
– La couleur… »
« – Comment savoir si votre
mari est mort ?
– Vous avez accès à la
télécommande. »
« – Quelle est la différence
entre une balle de golf et le point G ?
– Un homme passera deux
heures à chercher sa balle de golf. »
« – Pourquoi les femmes ne
clignent-elles pas des yeux pendant les préliminaires ?
– Elles n’en ont pas le
temps ! »
« – Quelle est la différence
entre un homme et
un cochon ? »
– Les cochons ne se
conduisent pas comme des hommes quand ils sont bourrés. »
« – Quelle est la différence
entre un homme et E.T. ?
– E.T., lui, téléphone
maison quand il est en retard. »
« – Qu’il y a-t-il de commun
entre un homme et une série-télé ?
– Dès que ça devient
intéressant, il faut attendre la suite. »
« – Pourquoi une psychanalyse
dure moins longtemps pour un homme ?
– Pas besoin de régresser
en enfance, c’est déjà fait. »
« – Comment fait-on asseoir un
homme ?
– On met la télécommande
entre ses pieds. »
« – Comment rendre un homme
heureux au lit ?
– Mettre la télé dans la
chambre. »
« – Pourquoi tant de femmes
simulent-elles l’orgasme ?
– Parce que tant d’hommes
simulent les préliminaires… »
« – Qu’est-ce qui fait plus
plaisir à un homme qu’un délire sexuel ?
– Des copains qui le
croiraient. »
« – Comment guérir un homme de
son obsession sexuelle ?
– L’épouser. »
« – Quel écart y a-t-il entre
une femme mariée et une maîtresse ?
– 20 kilos !
– Quel écart y a-t-il
entre un homme marié et un amant ?
– 20 minutes. »
« – Comment les hommes
trient-ils leurs habits ?
– « Sales » et « Sales
mais mettables ». »
« – Combien d’hommes faut-il
pour changer un rouleau de papier-Q ?
– Pour changer quoi ? »
« Un homme, c’est comme un
magnétoscope : Avance, recule, avance, recule, stop, eject. »
« – Pourquoi Dieu a-t-il créé
les femmes belles et stupides ?
– Belles pour que les
hommes puissent les aimer, et stupides pour qu’elles puissent aimer les hommes.
Ainsi va l’espèce qui
assure sa pérennité. »
Jean-Marc achète une croisière.
En cours de route le bateau coule.
Jean-Marc bouscule tout le monde et se glisse dans un canot de sauvetage.
Un marin l’interpelle :
« – Hé, il reste des femmes à
bord…
– Et alors, hein ? Tu
crois que c’est l’moment de leur faire l’amour ? »
Jean-Philippe s’approche du policier…
« – Mon mon monsieur,
l’agent ! Pour pourpourriez mememe dire où est lé-lélécole pour les bé bé
bé bégayeux ?
– Pourquoi aller à
l’école, vous bégayez très bien. »
De Jean-Marc à Jean-Paul :
« – Quelle est la différence
entre une femme et la maladie ?
– La maladie, elle, elle
évolue. »
Le médecin rentre dans une chambre où il y a deux fous.
Le premier est assis au pied du lit et tient un volant imaginaire en émettant
toute la gamme de sons d’un camion de pompier.
Sur l’autre lit, l’autre fou, s’agite à toute vitesse sous les draps.
« Que fais-tu ? » demande le médecin
« C’est moi qui ai donné
l’alarme, et je baise sa femme pendant qu’il est sur la route. »
Jean-Marc dit à sa femme :
« – Mon amour, ta tarte me
rappelle celles que faisait ma mère.
– Oh ! Je suis contente.
Ta mère est une si bonne cuisinière !
– Oui, mais il y a une
chose qu’elle a toujours ratée : Ce sont les tartes… »
Deux vieux potes, Jean-Marc et
Jean-Paul :
« – Mon cousin Jean-Albert II me
fait chier royalement !
– Comment ça ?
– Il colle à la maison
depuis deux mois alors qu’il devait passer une semaine. Ça faisait 14 ans que
je ne l’avais pas vu.
– Et puis ?
– Ben, il fume mon tabac,
prend ma voiture, vide mon frigo, bois ma bière et saute ma femme. Je les ai pris
avant-hier.
– Ouais…
– Ouais certain !
Quand je l’ai pris, j’ai dit à Germaine de choisir entre lui ou moi. Elle m’a
répondu : « Je pars avec Albert ».
Immédiatement, il s’est
levé, en colère, pour s’écrier : « Jamais ! ».
Maudit ingrat ! »
Les revenues du moment :
Jean-Marc entre dans un bar et demande au barman
:
« Un verre avant la bagarre. »
Le garçon le sert.
« Un autre verre avant la
bagarre, s’il vous plait. »
Le garçon le ressert.
Au cinquième verre, le barman demande :
« – Non mais peux-tu me dire de
quelle bagarre il s’agit ?
– Ben… de celle qui se
déclenchera quand je te dirai que je n’ai pas une tune pour te payer. »
Une jeune secrétaire est en train de faire des photocopies au bureau
lorsqu’un de ses collègues de travail lui dit :
« Hmmm, tes cheveux sentent
drôlement bon ! »
Aussitôt, la secrétaire va voir son chef (mon boss-à-moi ») et se
plaint auprès de lui d’avoir été victime de harcèlement sexuel.
« – Comment ça, un harcèlement sexuel ?
– Il m’a dit que mes
cheveux sentaient drôlement bon… » répond la jeune fille
« – Et alors »,
s’étonne mon « boss-à-moi », « j’aurais plutôt pensé que c’était le genre de compliment qui vous
aurait fait plaisir !
– Mais patron », reprend la jeune fille, « c’est un nain… »
Près d’un supermarché, Jean-Marc
quitte sa place de parking.
Un peu trop pressé, il fait une grosse éraflure sur la portière d’une
voiture avec son pare-chocs.
Voyant qu’une autre personne avait vu les faits, Jean-Marc descend de sa
voiture et dit :
« Je vais lui laisser un mot
sur son pare-brise. Comme ça il pourra me contacter pour l’assurance ! »
Ainsi, la note, placée sur le pare-brise, disait :
« Cher automobiliste, en sortant de
ma place de parking, j’ai malencontreusement éraflé votre portière. Comme j’ai
été vu par quelqu’un, je lui ai dit que je vous laisserai un petit mot.
Il devait penser que ce
serait pour vous laisser mon nom et mon numéro de téléphone. Il se trompait.
Bonne journée quand même…
»
Jean-Marc entre dans la chambre de son gamin.
« – Hum. Je dois te parler
d’une chose… Hum… En fait je veux te parler de… bien… des oiseaux et des
abeilles.
– Ah non ! Pas
question. J’ai mon voyage de classe de neige. Je veux m’en aller », crie le garçonnet qui pleure de
rage.
« – Ben voyons fils, qu’est-ce
qui se passe ?
– Qu’est-ce qui se passe…
Qu’est-ce qui se passe ? Je suis tanné. Je ne veux pas savoir. À cinq ans
je ne croyais plus au Père Noël ni à la petite souris des dents et maintenant
tu n’en viens à me dire que les grands ne baisent pas ! »
Jean-Marc est sur son lit de mort.
Il regarda sa femme et sa bouche, si fragile, s’entrouvrit :
« – Germaine, ma chérie, je
t’aime.
– Reposes-toi, ne perds
pas tes forces à essayer de parler.
– Germaine », dit-il avec sa voix fatiguée, « je dois me confesser.
– Mais tu n’as rien à te
confesser », répondit sa femme, « tout est correct ! Essaie de dormir.
– Non ! Non ! Je dois
mourir en paix », lui répondit Jean-Marc.
« Et pour ce faire, je dois te
l’avouer que…
J’ai couché avec ta sœur,
ta meilleure amie, sa meilleure amie… Et avec ta mère !
– Je sais », répond Germaine. « Maintenant reposes-toi et laisses le poison
faire effet… »
De Jean-Marc pour votre
week-end, Mesdames :
« Souvenez-vous, Mesdames … une épaisseur de poussière protège
le Bois en dessous. »
Autre conseil du même :
« Une maison deviens une
demeure quand vous pouvez écrire « je t’aime » sur les meubles. »
Explications de son épouse, Germaine :
« Je dépensais au moins 8
heures chaque fin de semaine pour m’assurer que tout était parfait « au cas
ou on auraient de la visite ».
Finalement un jour j’ai réalisé que personne ne venait nous voir. Ils étaient tous partis
profiter de la vie et s’amuser ! Maintenant, quand le monde nous rend visite,
je n’ai pas à expliquer la condition de ma maison. »
Autre précepte ménager de femme d’intérieur accomplie :
« Époussetez votre intérieur si
vous êtes obligé de le faire…
Mais n’est-ce pas mieux
de faire une peinture ou écrire une lettre, faire un gâteau ou des biscuits et
lécher la cuillère ou planter des semences ?
Pesez donc la différence
entre vos désirs et vos besoins.
Mais il ne reste plus
beaucoup de temps pour nager dans des rivières, escalader des montagnes,
écouter de la musique, lire des livres, chérir les amitiés et vivre pleinement
sa vie.
Époussetez seulement votre
intérieur que si vous êtes obligées de le faire !
Mais profitez du monde
extérieur, le soleil dans les yeux, le vent dans les cheveux, une mince
couverture de neige, une ondée rafraîchissante.
Ce jour ne reviendra
jamais.
Époussetez si vous êtes
obligées, mais souvenez-vous, la vieillesse va vous rattraper brutalement…
Surtout souvenez-vous
qu’en partant – et
vous devrez partir –
vous allez faire encore plus de poussière ! »
Bon week-end à toutes et tous !
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