Pour
votre week-end
« – Germaine, tu trouveras dans
le premier tiroir de mon bureau trois enveloppes brunes. Ce sont mes dernières
volontés. Je compte sur toi pour t’en occuper.
– Oui mon Jean-Marc. Ne sois pas inquiet. »
Beaucoup plus tard, Jean-Marc lâche son dernier souffle.
Le lendemain, Germaine ouvre la première enveloppe. Elle y trouve 5.000€
et un mot.
« Cet argent te servira à payer un
beau cercueil. »
Elle s’exécute et achète ce qu’il y a de mieux en chêne.
Dans la deuxième enveloppe, elle trouve 15.000 € et un mot.
« Cet argent te permettra d’offrir
une fête merveilleuse après l’enterrement. »
Elle organise une fête mémorable.
Dans la troisième lettre, elle trouve 35.000 €.
« Pour acheter une belle pierre.
»
Et elle s’est précipitée chez le bijoutier.
Un rabbin ayant une envie très pressante rentre dans un bar pour la
satisfaire.
Au moment où il rentre dans le bar, le brouhaha et la musique ambiants
disparaissent pour laisser la place à un silence très lourd.
Le rabbin s’avance vers le barman et demande :
« Pourrai-je utiliser vos
toilettes ? »
Le barman lui répond :
« C’est que… je ne sais pas si
c’est un endroit pour vous ! »
Mais le rabbin insiste :
« Je vous en prie, il s’agit
d’une envie pressante. Ne me laissez pas dans le besoin. »
Alors le barman :
« C’est que Monsieur le rabbin,
nous avons dans les toilettes de ce bar la statue d’une femme qui mis à part
une feuille de vigne est complètement nue, et je ne voudrais pas que vous soyez
gêné par cela. »
Le rabbin lui dit alors en se dirigeant vers la porte des toilettes :
« Ne craignez rien. Je suis
tout à fait capable de supporter la vue de ce genre d’objet païen… »
Au bout de quelques minutes, le rabbin est de retour dans le bar, mais
cette fois-ci, la musique bat son plein et le brouhaha montre que tout le monde
discute de bon cœur.
En s’approchant du barman, le rabbin lui demande :
« Je ne comprends pas très
bien… Tout à l’heure quand je suis rentré, il n’y avait pas de musique,
personne ne parlait, et maintenant, c’est tout le contraire. »
Le barman lui répond :
« – C’est que maintenant on
sait que vous êtes des nôtres. Et d’ailleurs, pour fêter ça, je vous offre un
coup à boire !
– Et pourquoi me
considérez-vous comme « un des vôtres » ? Parce que j’ai utilisé les toilettes
du bar ? »
Alors le barman lui répond avec un grand sourire :
« Non, pas tout à fait. Il faut
vous expliquer qu’à chaque fois que quelqu’un va aux toilettes et soulève la
feuille de vigne, alors toutes les lumières s’éteignent et se rallument dans le
bar… Alors vous le prenez ce verre ? »
« – Madame, voudriez-vous nous
dire votre âge ?
– Bien sûr. J’ai 91 ans.
– Voulez-vous nous dire,
sans vous contrarier, ce qui vous est arrivé ?
– J’étais assise devant
chez moi, sous la tonnelle. C’était un soir de printemps, il faisait bon. Un
jeune homme s’est approché furtivement et il est venu s’asseoir auprès de moi.
– Le connaissiez-vous ?
– Non, mais je l’ai
trouvé très sympathique tout de suite.
– Qu’est-il arrivé
ensuite ?
– Il a commencé à me
caresser la cuisse. »
Le président du tribunal :
« – Et vous ne l’avez pas
interrompu ?
– Non, Monsieur le juge.
– Et, pourquoi donc ?
– Ben, c’était agréable. Personne
ne m’avait fait ça depuis la mort de mon Germain, il y a trente ans de cela.
– Et ensuite ?
– Il a commencé à me
caresser les seins.
– Lui avez-vous dit
d’arrêter ?
– Non, pas du tout.
– Pourquoi, ça ?
– Ben, Monsieur le juge,
ses caresses m’ont fait revivre. J’étais excitée. Je ne m’étais pas sentie
aussi bien depuis des lustres.
– Et ensuite ?
– Bon, je me sentais
tellement sexy que j’ai écarté mes vieilles jambes et que je lui ai dit : «
Prenez-moi, jeune homme, prenez-moi ! »
– Qu’a-t-il fait alors ?
Vous a-t-il prise ?
– Nom de dieu, bien sûr
que non ! Il s’est mis à gueuler « Poisson d’avril ! » En ricanant comme un
con. Et c’est là que je l’ai descendu, ce petit cave… »
Jean-Marc :
« Je suis sortie avec toi pour
me payer une bonne partie de jambes en l’air seulement, mais vraiment, je me
suis fait avoir. »
Sa conquête, le regardant amoureusement :
« – Dis-moi trésor, on t’as
déjà dit que tu étais particulièrement beau ?
– Heu beuh moui pourquoi ?
– Une belle gang de
menteuses. Tu les payais, ou quoi ? »
« – Si, tu veux te marier avec
moi parce que j’ai hérité de la superbe villa de ma grand-mère, n’est-ce pas ?
– Faux ! Ça n’a aucune
importance de savoir de qui tu as hérité. »
« Savez-vous ce que ça veut
dire lorsque, en essuyant la vaisselle, vous échappez un couteau, une
fourchette et une cuillère ?
… Que vous êtes maladroit
! »
Germaine prend le thé avec son vieil ami Jean-Bernard qui est aussi son
médecin de famille…
« – Attention Germaine, ton amant
n’est âgé que de 24 ans. Il est puissant… Chaque fois que vous faites l’amour,
ça peut être mortel.
– Je sais, je sais… Mais
bon, si ça arrive, j’en trouverai bien un autre… »
De Jean-Marc à Jean-Paul, son
meilleur ami :
« – Certaines femmes sont si
frigides que le seul moyen de s’envoyer en l’air avec, c’est de prendre l’avion
!
– Peut-être, peut-être… »
« Il y a 2 ans que je n’ai pas
parlé à ma femme : C’est pour ne pas l’interrompre ! »
« – On dit qu’il ne faut pas
coucher avec la femme de ses amis… Bon. Mais alors avec qui ?
– Je ne sais vraiment pas… »
« – Tu sais ce que c’est qu’une
congrégation de religieuses ?
– Non. Tu me dis ?
– Ça consiste à créer un crucifié de
plus et une vierge de moins. »
« – Tiens c’est drôle !
– Quoi donc ?
– Le journal indique qu’un «
condamné à perpétuité » a été libéré…
– …Scandaleux…
– … pour mauvaise conduite !
– Ah… dans ce cas, c’est pour éviter
une grève des matons ! »
Le mariage : Rappels.
Définition de la vie courante : Aucune femme n’a ce qu’elle espérait et
aucun homme n’espérait ce qu’il a.
Définition mathématique : Somme d’emmerdes, soustraction de libertés,
multiplication de responsabilités, division des biens.
Définition pondérale : Méthode la plus rapide pour grossir.
Définition militaire : C’est la seule guerre où l’on dort avec l’ennemi.
Définition philosophique : Sert à résoudre des problèmes que l’on n’aurait
jamais eus en restant célibataire.
Puis vient l’heure du bilan : Le mariage avant… Et après.
Avant : 2 fois par nuit.
Après : 2 fois par mois.
Avant : Tu m’essouffles.
Après : Tu m’étouffes.
Avant : Ne t’arrête pas.
Après : Ne commence pas.
Avant : Saturday night fever.
Après : Wednesday night football.
Avant : Être à tes côtés.
Après : Reste de ton côté.
Avant : Je me demande ce que je faisais sans lui.
Après : Mais qu’est-ce que je fais avec lui ?
Avant : Érotique.
Après : Neurologique.
Avant : On croirait qu’on est ensemble depuis toujours.
Après : On est toujours ensemble.
Avant : Hier soir on l’a fait sur le canapé !
Après : Hier soir, j’ai dormi sur le canapé.
Un bébé serpent dit à sa maman :
« Dis, est-ce qu’on est
venimeux ? »
La mère répond :
« – Non, pourquoi mon chéri ?
– Parce que je me suis
mordu la langue. »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« – J’ai demandé à mon médecin
quoi faire parce que j’ai terriblement mal à la hanche.
– Mais fais comme tous
les autres, boîte ! »
Trois gars, un philosophe, un mathématicien et un idiot qui prenaient
place à bord d’un autobus, meurent dans un accident de la route (la faute à
rouler 90 km/h sur une route pas encore limitée à 80).
Ils arrivent devant Saint-Pierre aux Portes du Paradis.
« Messieurs, en raison d’une
surpopulation au Paradis, la sélection des nouveaux arrivants est devenue plus
sévère. En fait, c’est le Diable qui décide. Ça fait mon affaire car je vais
enfin pouvoir prendre des vacances. »
Voilà Satan qui arrive, et qui dit tout de suite :
« Bon, les gars, je vous
explique le topo : Celui qui arrive à me poser une question pour laquelle
je ne connais pas la réponse, ou si je donne une mauvaise réponse, est accepté
au Paradis.
Sinon, vous venez avec
moi en Enfer. Compris ? »
Le philosophe fait le premier pas et interroge le Malin :
« Bon, d’accord. Faites-moi un
résumé des enseignements de Socrate. »
Aussitôt, une pile de feuillets dactylographiés apparaît dans les mains du
philosophe, qui, après les avoir lus doit conclure que la réponse apportée
était celle escomptée.
Et Satan expédie donc le philosophe en Enfer.
Le mathématicien s’avance ensuite…
« Quelle est la formule
mathématique permettant de modéliser les voyages interstellaires à une vitesse
supérieure à celle de la lumière ? »
En un éclair, le diable fait apparaître un tableau noir long comme la grande
muraille de Chine et remplit de symboles et d’équations mathématiques.
Avec un rire féroce, le malin expédie le mathématicien dans le monde des
ténèbres.
L’idiot s’avance alors et dit à Satan :
« Apporte-moi une chaise ! »
Satan lui donne une chaise.
« Perce 7 trous sur ce siège. »
Le démon fait 7 trous dans le siège.
Ensuite, l’idiot s’assied sur la chaise et émet aussitôt un pet bruyant et
malodorant.
Puis il se lève et dit au démon :
« Par quel trou mon pet
s’est-il échappé ? »
Dubitatif, Satan examine la chaise percée et finit par dire :
« – Je dirai, le troisième trou
en partant de la droite…
– Faux », lui dit l’idiot, « le pet s’est échappé du trou de mon
cul… »
Et c’est comme ça que l’idiot entra au Paradis.
Samedi soir, Jean-Marc et Jean-Gérard
sont dans une salle de danse.
« – Tu sais, Jean-Marc, je suis
timide. Je n’ai pas la manière avec les femmes. Peux-tu m’aider ?
– C’est simple. Quand tu
invites une femme à danser, tu dois lui faire des compliments sur sa beauté,
être aimable avec elle. Ça marche toujours.
– Tu penses que ça va
marcher.
– Je te le dis. Vas-y ! »
Jean-Gérard se dirige vers une table où il y a une femme seule.
« Madame, je vois dans vos
beaux yeux verts la joie de vivre et dans votre sourire le goût de danser.
Accepteriez-vous de partager avec moi quelques moments de plaisir en
m’accordant cette danse ? »
Devant de si beaux compliments, la femme accepte. Au milieu de la chanson,
en plein centre de la piste, voilà qu’elle le gifle à deux reprises !
Jean-Gérard revient à sa table.
« – Que s’est-il passé ?
– Je ne le sais pas. Je
lui ai fait de beaux compliments sur ses yeux et son sourire comme tu me
l’avais conseillé…
– Ouais, mais ce n’est
pas une raison pour recevoir une claque en pleine figure. Tu as certainement
dit autre chose. Quoi ?
– J’ai continué à lui
faire des compliments. Je comprends pas pourquoi, mais quand elle m’a giflé, je
venais de lui dire… qu’elle ne suait pas beaucoup pour une grosse femme. »
Bon week-end à toutes et à tous !
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