Avec
deux « vécues »
Voici quelques trucs qui vous aideront à conserver une bonne dose de folie pour
2018 : Douce folie souvent nécessaire pour surmonter une vie plate et ennuyeuse.
1. À l’heure du lunch, asseyez-vous dans votre voiture avec vos verres
fumés et pointez un séchoir à cheveux vers les voitures qui viennent dans votre
direction. Regardez-les ralentir.
2. Demandez-vous à l’Intercom. Ne déguisez pas votre voix.
3. Si quelqu’un vous demande de faire quelque chose, demandez-lui s’il
aimerait des frites avec ça.
4. Encouragez vos collègues à se joindre à vous dans une danse de chaises
synchronisées.
5. Développez une peur irrationnelle des brocheuses ou du photocopieur.
6. Mettez du café décaféiné dans le percolateur pendant trois semaines.
Une fois que tout le monde a surmonté son besoin de caféine, changez pour de l’expresso.
7. Dans la partie « note personnelle » de tous vos chèques, inscrivez «
pour faveurs sexuelles ».
8. Répliquez à tout ce qu’une personne dit par « c’est ce que tu penses ».
9. Terminez toutes vos phrases par « selon
la prophétie ».
10. N’utilisez aucune ponctuation…
11. Aussi souvent que possible, bondissez plutôt que marcher.
12. Demandez aux gens de quel sexe ils sont. Riez de façon hystérique de
leur réponse.
13. Spécifiez que votre commande au service au volant est « pour emporter
».
15. Chantez avec les interprètes à l’opéra.
16. Découvrez à quel endroit votre patron magasine et achetez exactement
les mêmes vêtements. Portez-les une journée après votre patron. (C’est
particulièrement efficace si votre patron est du sexe opposé.)
17. Envoyez un courriel à tous vos collègues de travail pour leur dire
exactement ce que vous faites. Par exemple : « Si quelqu’un a besoin de moi, je serai à la toilette dans la cabine où
on fume en cachette ».
18. Mettez un filet à moustiques autour de votre bureau. Jouez un
enregistrement des sons de la jungle toute la journée.
19. Cinq jours à l’avance, dites à vos amis que vous ne pouvez assister à
leur party parce que vous n’êtes pas dans l’ambiance.
20. Lorsque l’argent sort du distributeur automatique, criez : « J’ai gagné, j’ai gagné ! … C’est la troisième
fois cette semaine ! »
21. En quittant le zoo, courez vers le parking en criant aux nouveaux
arrivants : « Au secours, ils se sont
échappés ! »
À Londres, trois personnes sont convoquées pour un entretien d’embauche.
Arrivés au test d’anglais, le recruteur leur dit : « Faites une phrase avec les 3 mots suivants :
green, pink, yellow. »
C’est d'abord le Belge qui se lance :
“I wake up in the morning, I eat a yellow
banana and a green apple and in the evening I watch the Pink Panther on TV”.
C’est ensuite au tour de l'Allemand :
“I wake up in the morning, I see the yellow
sun, the green grass and I think to myself: I hope it will be a pink day”.
Enfin, Jean-Marc, le « gauloisien »
s’avance et dit :
“I wake up in ze mornink, I hear ze phone :
"green.....green...green...". I pink up ze phone and I
say "Yellow ?"…
Jean-Marc, un homme d’affaires monégasque envoie
un fax à sa femme :
« Ma très chère épouse. Tu
comprendras que maintenant que tu as 54 ans, j’ai certains besoins que toi tu
ne peux plus satisfaire.
Je suis très heureux avec
toi, je te considère comme une merveilleuse épouse et sincèrement j’espère que
tu ne le prendras pas mal quand tu sauras que quand tu recevras ce fax, je
serai à l’hôtel Confort Inn avec Vanessa, ma secrétaire, qui a 18 ans.
Mais ne t’inquiètes pas,
je serai à la maison avant minuit ».
Quand ce type arrive à la maison, il trouve un papier sur la table de la
salle à manger qui dit :
« Cher époux. J’ai reçu ton fax et
je ne peux pas éviter de te remercier pour ta prévenance. Je profite de
l’opportunité pour te rappeler que toi aussi tu as 54 ans. Et, je t’informe que
quand tu liras ce message, je serai à l’hôtel Fiesta avec Michel, mon
instructeur de tennis, qui comme ta secrétaire a aussi 18 ans.
Comme en plus d’être
devenu un hommes d’affaires reconnu, tu as une licence de Maths, tu pourras
facilement comprendre que nous sommes des semblables en cette circonstance
mais… avec une légère différence ; 18 rentre plus de fois dans 54, que 54 dans
18…
Donc, en conséquence ne
m’attends pas avant demain ! »
Jean-Marc rentre à l’imprévu chez lui et trouve
sa femme au lit avec un autre homme :
« – Quoi, tu profites de ce que
j’ai le dos tourné pour me tromper avec ce type !
– Mais, ta gueule !!! Et
regarde plutôt comment il fait ! »
Jean-Paul est invité à dîner chez Jean-Marc
:
« – Chez-moi, je grignote, mais
chez les autres, je ne sais pas pourquoi, je mange comme un ogre !
– Ben, je t’en prie, ne
te gêne pas, fais comme chez toi ! »
De Jean-Paul à Jean-Marc :
« – Qu’est ce qui peut faire le
tour du monde en restant toujours dans son coin ?
– Un timbre, idiot ! »
« – Tu sais pourquoi on fait
des va-et-vient pendant l’amour, toi ?
– Banane ! Parce
qu’il n’y a pas de place pour faire demi-tour ! »
À Jean-Marc, d’une très jolie
jeune-femme :
« – Je me demande bien comment
vous autres, les hommes, vous pouvez pourchasser les femmes sans avoir la
moindre intention de les épouser…
– Vous savez, ma belle, beaucoup de chiens
courent après les voitures dans la rue, sans pour autant vouloir s’installer au
volant ! »
Jean-Marc sortant de hôpital après avoir passé
des examens de routine, dit à son pote :
« – Hé Jean-Paul, sais-tu que
ça va bien mal dans les hôpitaux du pays
?
– Y parait, pourquoi tu
dis ça ?
– Bé les gens sont tous
malades ! »
Jean-Marc et Germaine s’envolent pour Las Vegas.
Un voyage d’une semaine. Ils descendent dans un de ces spectaculaires
hôtels-casinos. Pendant qu’ils attendent pour aller voir un spectacle, une
jeune fille, une véritable bombe-sexuelle, s’approche de Jean-Marc et commence
à lui parler. Il la repousse d’un geste sec.
« – Voyons Jean-Marc, pourquoi
agir ainsi, elle est sympathique cette petite ?
– C’est une prostituée.
– Hein ? Je ne te
crois pas ! C’est ton imagination. Elles ne veulent pas des types comme
toi, mais des jeunes. Tu fantasmes là. Ça te monte à la tête.
– Je te dis. »
Le spectacle terminé, Jean-Marc aperçoit la fille à nouveau.
« – Germaine, tu veux que je te
prouve que c’est une prostituée ?
– Oui, parce que je ne te
crois pas.
– OK, on monte à la
chambre, elle m’a glissé une carte avec son numéro de téléphone portable… »
Dans l’ascenseur, Jean-Marc annonce son plan :
« – Je l’invite à la chambre et
tu te caches dans la garde-robe. Laisse la porte ouverte, un tout petit peu,
pour que tu puisses voir et entendre.
– Tu ne vas pas…
– Non. Non. Fais ce que
je te dis. »
Germaine, amusée, se glisse dans la garde-robe.
Jean-Marc téléphone à la fille et l’invite à la chambre.
On cogne à la porte.
« – Alors mon trésor, tu as
changé d’idée. Tu ne le regretteras pas. Ta femme n’est pas là ? Tu sais, si tu
veux partager, c’est 50 $ de plus.
– Non, elle est partie
faire des achats. Bon, c’est combien ?
– 125 $ pour le service
de base plus 50 $ pour chaque extra.
– Minute ! C’est bien
cher ! Je ne voulais pas payer plus de 25 $.
– Désolé mon p’ti, mais
c’est comme ça. Et puis je ne n’aime pas me déplacer pour rien. Dans le fond,
t’es juste un pauvre couillon. »
Et elle sort en claquant la porte.
« – Tu vois, Germaine, je te
l’avais dit. C’est une prostituée.
– Ben oui, je n’en
reviens pas. Elle est si belle et si jeune. »
Le lendemain, alors que Germaine et Jean-Marc sont assis à une table de
jeu, la fille s’approche et donne une petite tape sur l’épaule de Jean-Marc.
« Salut le pauvre-con ! Tu
vois qu’on n’a pas grand-chose pour 25 $. »
Les deux « vécues » :
Un professeur black entre dans le bureau du directeur pour se plaindre :
« Monsieur le diwecteur, cela
ne peut plus duwer! J’en ai assez de tous ces élèves et pwofesseurs malpolis !
J’en ai assez de me faiwe twaiter de singe ! »
Le directeur :
« Vous vous faites traiter de
singe ? Oh, je comprends votre mécontentement. C’est en effet inadmissible…
Je vais aller m’assurer
que ces élèves et ces professeurs ne recommencent plus.
Mais, dites-moi, dans
quelle branche travaillez-vous ? »
Le professeur :
« Ah non ! Voilà que ça wecommence ! »
(Une vécue d’avec un de mes chargés de cours de droit, « Soénou »
se plaignant au doyen de la fac « Steinenberg »…)
Il y a quelques jours, alors qu’un vol d’Air France à destination des USA
venait d’être annulé pour satisfaire la paranoïa de « McDonald-Trompe »,
tous les passagers avaient dû patienter plusieurs heures dans l’attente du vol
suivant.
Une employée de la compagnie s’occupait seule du re-enregistrement des
passagers et chacun était bien conscient du fait qu’il n’y aurait pas assez de
place pour tout le monde sur ce vol.
Soudain, Jean-Marc,
particulièrement mal élevé se mit à remonter toute la queue pour finalement
mettre son ticket juste sous le nez de l’agent de service.
Furieux de cette attente, il hurlait :
« Je dois absolument être sur
ce vol et je n’accepterai de monter qu’en première classe, c’est bien clair ? »
La fille répondit aimablement :
« Excusez-moi, Monsieur. Je
serais heureuse de vous aider mais je dois d’abord m’occuper des passagers qui
sont là avant vous. »
Au sommet de sa colère, Jean-Marc n’en pouvant plus éructe :
« Quoi ??? Non mais vous savez
qui je suis ? »
Avant que les agents de sécurité aient eu le temps d’intervenir,
l’employée d’Air France fit alors une annonce au micro de l’aéroport :
« Votre attention s’il vous
plait, nous avons ici un passager qui ne sait plus qui il est. Quelqu’un
pourrait-il le renseigner? »
Tous les gens dans la file d’attente éclatèrent de rire, ce qui déclencha
manifestement un profond sentiment de haine chez le malotru.
Ce dernier, regardant l’employée d’Air France avec dédain, lui dit alors :
« Je vous emmerde grosse conne ! »
Sans s’affoler le moins du monde,
l’hôtesse lui répliqua avec un grand sourire :
« Oui Monsieur, mais pour ça
aussi il faut faire la queue… »
Devant les clameurs amusées des autres passagers, Jean-Marc préféra
s’éclipser…
(C’est aussi une vécue, à l’occasion de mon « apnée-profonde »
de décembre…)
Bon week-end à toutes et tous !
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