De
Dumè et de Jean-Marc
Dans la série des « recuites » (et quelques nouveautés) :
« – Chérie, plus j’y pense, et
plus je me dis que ça n’a pas de sens d’acheter mon p’tit six pack de bière,
jour après jour…
Franchement, j’en ai plus
qu’assez.
– Oh ! Mon amour, tu
penses vraiment ce que tu dis ? Depuis le temps que ça dure, 10 ans déjà… C’est
merveilleux, je suis fière que tu prennes une décision si importante.
– Tu parles, avec le
temps que j’ai perdu toutes ces années, j’ai décidé de changer mes habitudes !
– Oh! Chéri… J’en suis
toute émue…
– Ooouais… Plus question
de passer au supermarché du coin chaque soir…
Maintenant, je vais
gagner du temps et acheter ma bière en caisse de 24… »
Dumè travaillait dans une usine de produits
alimentaires depuis quelques temps. Un jour, il confesse à sa femme un fantasme
terrible :
« – Ayo, Vanina, j’ai des
impulsions sexuelles épouvantables. Je dois t’en parler. Je suis obligé de t’en
parler.
– Aho. Mais oui.
Qu’est-ce qui se passe ?
– J’ai une envie irrésistible
de faire l’amour à la trancheuse de cornichons.
– Hein ?
– Oui, j’ai une envie
irrésistible de faire l’amour à la trancheuse de cornichons. C’est vraiment irrésistible.
– Ouach ! C’est pas mal
compliqué. Fais attention. Le mieux serait de consulter.
– Non, non, non. Je suis
trop gêné pour consulter sur le sexe.
– Mais il y a des
sexologues, des psys, etc.
– Non, pas question. Je
vais surmonter mes pulsions. »
Quelques mois plus tard, Dumè entre à la maison au beau milieu de
l’après-midi. Il est livide.
« – Aho, mon chéri, mais
qu’est-ce que tu as. Tu es malade ?
– Non. Tu te souviens de
mon fantasme avec la trancheuse de cornichons.
– Heu… Oui, oui… Non !
Non ! Non ! Dumè ! T’as pas fait ça ? Mais c’est horrible !
– Le boss nous a congédiés…
– Comment ça « vous » ?
– Ayo ! Ben, la
trancheuse et moi… »
Un professeur donne un cours sur les contractions musculaires
involontaires à ses étudiants de 1ère année en médecine.
Réalisant que ce n’était pas très palpitant comme sujet, il décide d’alléger
un peu l’atmosphère.
S’adressant à une jeune femme de la 1ère rangée, il lui demande
:
« – Savez-vous ce que votre
trou de cul fait pendant que vous avez un orgasme ?
– Mon trou du cul ? Il est au bar avec ses potes. »
Ça a pris 45 minutes à rétablir l’ordre dans la classe…
Pour la première fois depuis des années, Dumè, un vieil homme habitant la montagne-bord de mer (la mer n’est
jamais loin de la montagne et réciproquement en
« Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») arrive en ville, à Isola-Rossa (cité
Paoline) et décide d’aller au cinéma.
Après avoir acheté son billet, il s’assied et demande un paquet de
pop-corn à l’ouvreuse.
« – Ayo ! Combien je vous
dois ?
– 6,00 euros » lui répond celle-ci.
« – Hé aho, mon Dieu ! La
dernière fois que je suis venu au cinéma, le pop-corn était à 1 franc !
– Oh ! Monsieur… Vous
allez réellement être heureux : Les films sont désormais en couleur et ils
ont du son maintenant ! »
C’est le petit Jean-Marc qui
est dans son cours de mathématiques.
Lorsque le professeur demande à ses élèves : « Veuillez sortir vos équerres ».
Le pauvre Jean-Marc se met alors à pleurer.
Le professeur lui demande :
« – Qu’est-ce qu’il y a
Jean-Marc ?
– J’ai perdu mes
équerres.
– Ce n’est pas grave,
pourquoi tu pleures ?
– Mon père va me faire
une de ces crises lorsque je lui dirai.
– Pourquoi est-ce qu’il
crierait après toi ? Ce ne sont que des équerres après tout ?
– Vous devriez voir
l’engueulade qu’il y a eu lorsque ma sœur lui a appris qu’elle n’avait plus ses
règles ! »
C’est l’histoire de Jean-Marc, un
gars devenu dépressif depuis si longtemps que finalement, il se décide à aller
consulter un psychiatre.
Jean-Marc entre dans le cabinet, le psy lui pose rapidement plusieurs
questions, prend quelques notes, puis il lui demande de s’allonger sur le
canapé.
Au bout de quelques minutes, Jean-Marc lui confie toutes ses misères, puis
il attend que le psy livre ses impressions… Et qu’il lui remonte un peu le
moral quoi.
Au lieu de ça, le psy reste assis sans rien dire, donnant l’impression de
réfléchir intensément. Et puis tout à coup, son regard s’illumine.
Il dit à son patient :
« – Hmmm, hé bien, je pense
savoir quel est votre problème… Vous manquez de confiance en vous.
– Vraiment doc, v… Vous
croyez ? Mm… Mais alors…
– Mais alors, ne vous en
faites pas… Ce qui vous arrive est très fréquent, en particulier chez les
loosers… »
Dumè arrive dans le cabinet du docteur et
lui dit tout de go :
« Ayo, docteur, je vais être franc
avec vous ; avant de venir vous consulter, j’ai été voir le père Mathieu, le
guérisseur du village… »
Le docteur sourit d’un air agacé et répond :
« – Et quelle espèce de
connerie vous a raconté ce charlatan ?
– Heu… Ben… Il m’a
conseillé de venir vous voir… »
Après trois ans de mariage, Germaine continue de questionner Jean-Marc son mari au sujet de son
passé.
« Allez… Dis-moi »,
lui demande-t-elle pour la centième fois, « avec combien de femmes as-tu couché ? »
Jean-Marc répond :
« Chérie, si je te le dis tu
vas devenir furieuse ! »
Germaine lui promet qu’elle ne se fâchera pas et finit par le convaincre
de tout lui dire…
« Ok », dit-il : « Une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept,
huit, Et puis il y a toi (neuf), dix,
onze, douze… Quoi ? J’en mets trop ? »
À Monaco – principauté sérénissime – un agent de police s’arrête devant un
musicien jouant sur les quais du port Hercules.
« – Avez-vous un permis pour
jouer de la guitare ici ?
– Euh ? Koissé ?
– En plus, vous êtes
branché sur une prise de courant de la ville. Le saviez-vous ?
– Euuuhhhh… Non m’sieur
l’agent.
– Alors, accompagnez-moi
s’il vous plait !
– Bien sûr, m’sieur
l’agent ! Que voulez-vous chanter ? »
Un vieux monsieur est assis dans un parc, près de la Maison Blanche…
Après quelques minutes, il se lève et va voir le soldat qui est de garde
et lui dit :
« J’aimerais visiter la Maison
Blanche et rencontrer le président Georges W. Bush. »
Le soldat lui dit: « Monsieur Bush
n’est plus président et il n’habite plus ici. »
Le vieux monsieur s’en va sans dire un mot.
Le lendemain, le vieux monsieur est encore assis sur le banc de parc…. Il
se lève, va voir le même soldat et lui dit :
« – Je veux visiter la Maison
blanche et rencontrer le président Georges W. Bush.
– Monsieur Bush n’est
plus président et il n’habite plus ici. »
Le vieux monsieur s’en va sans dire un mot.
Pour une troisième journée consécutive, le vieux monsieur est assis sur le
même banc de parc et regarde toujours la Maison blanche.
Il se lève et va voir toujours le même soldat et lui dit :
« – J’aimerais visiter la
Maison Blanche et rencontrer le président Georges W. Bush.
– Monsieur, ça fait 3
jours que vous me demandez de rencontrer monsieur Bush et ça fait 3 jours que
je vous dis que monsieur Bush n’est plus président depuis longtemps et qu’il
n’habite plus ici ! Est-ce qu’il y a quelque chose que vous ne comprenez pas ?
– Non…. non …. C’est
juste que ça me fait tellement plaisir de vous l’entendre dire. »
Jean-Marc est allé déjeuner au restaurant où il
y avait un spécial pour personnes âgées : C’était deux œufs, bacon,
patates rissolées et rôties pour 9,99 €.
« – Ça semble bon »,
dit sa femme ! « Mais je ne veux pas
les œufs.
– Alors, je vais vous
charger 12,49 € parce que vous commandez à la carte » dit la serveuse.
« – Vous voulez dire que je
vais payer la différence pour ne pas prendre les œufs ?
– Oui.
– Je vais prendre le
spécial alors.
– Comment voulez-vous vos
œufs ?
– Non cuits et dans la
coquille. »
Elle apporta ses deux œufs à la maison : N’essayez donc plus d’entourlouper
les Germaine aussi facilement !
La même s’en va à l’épicerie et met dans son panier des boites de manger
pour chats, les plus chères qu’elle puisse trouver en magasin.
Arrivé à la caisse, elle dit à la caissière :
« Y’a rien de trop dispendieux pour
mes chats » ?
Et la caissière de lui répondre :
« Je regrette, mais je ne peux pas
vous vendre ces boîtes de manger pour chats sans une preuve que vous avez bien
un chat. Il y a beaucoup trop de gens âgés qui achètent de quoi manger pour les
chats quant en réalité c’est pour leur propre consommation. La direction ici, à
l’épicerie, exige donc une preuve que vous avez vraiment un chat. »
La p’tite vieille est donc retournée à la maison chercher son chat pour le
montrer à la caissière. Celle-ci l’a alors autorisé à acheter les boîtes de nourriture
pour chats.
Le lendemain, la même Germaine retourne à l’épicerie pour acheter des biscuits
pour chiens et, encore une fois, elle choisit les biscuits les plus chers.
La caissière lui a encore raconté le même boniment lui disant qu’elle ne
pouvait lui vendre les biscuits sans la preuve qu’elle avait un chien, puisque
la direction du magasin disait que beaucoup de gens âgés achetaient des
biscuits pour chiens pour ensuite les manger.
Frustrée, Germaine s’en va à la maison chercher son chien et le ramène
pour le montrer à la caissière. La caissière n’avait pas le choix : Elle
lui a vendu les biscuits.
Le jour suivant, Germaine arrive à l’épicerie avec une boîte dont le
couvercle était percé d’un trou. La p’tite vieille demande à la caissière de
mettre son doigt dans le trou. La caissière refuse en disant :
« Non, j’ai trop peur qu’il y
ait un serpent là-dedans ».
La p’tite vieille la rassure en lui affirmant qu’il n’y avait rien dans la
boîte qui pourrait la blesser.
La caissière met alors son doigt dans la boîte, le ressort et s’aperçoit que
son doigt a une drôle d’odeur. Elle s’écrie alors : « Mais c’est de la merde que vous avez dans cette boîte ! »
Et Germaine, avec son plus beau sourire, lui répond :
« Eh bien maintenant, est-ce que je
peux acheter trois rouleaux de papier de toilette ? »
N’essayez donc plus d’entourlouper Germaine aussi facilement !
On ne l’écœure pas bien longtemps !
Bon week-end à toutes et tous !
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