Ultime
récit-suite
Avertissement : Vous l’aviez compris,
ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle »,
sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des
actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie
lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc
purement, totalement et parfaitement fortuite !
Comme précédemment annoncé – au début du mois d’octobre dernier – je
« dégage » en « submersion-intégrale » quelques jours.
Genre « mission qui ne se refuse pas »…
Ce n’est pas que c’est « la joie » d’y faire face, mais c’est la
conséquence de l’inconvénient d’être « sous lien de subordination ».
Notez que j’aurai été « indépendant », ou même « le »
patron à mon bord, j’y serai quand même allé pour la simple raison que cette
« mission » est la suite naturelle d’une précédente d’un mois de
décembre lointain et que celle-là, j’y avais concouru avec acharnement.
Du coup, s’agissant du « service après-vente », je suis bien
tout seul à savoir pouvoir l’assumer à moindre coût – et force compétences !
– pour pas très cher pour ce « cher client ».
Je n’en dirai pas plus sur le sujet : Je ne suis plus là pendant une petite
huitaine.
Et pour ne pas vous laisser sans rien à vous mettre sous la macula à
l’occasion de vos passages habituels sur ce « piti-blog », au lieu de
reprendre des « posts-anciens » (il n’y en a plus qui en vaille la
peine) et pour honorer une promesse faite à « l’Ami-Râle » (*), j’ai décidé d’inverser la mise en ligne –
partielle – du futur « roman d’été » vous rapportant « Les
enquêtes de Charlotte » : « Ultime récit – suite ».
Vous le savez depuis l’été dernier, ce titre s’imposait à l’époque parce
que j’avais pris la décision ferme – et que je croyais définitive – de
« passer à autre chose », donc va pour un « ultime récit ».
Un peu ras-le-bol de toujours parler grosso
modo des mêmes choses, avec toujours les mêmes personnages.
Pas vous ?
Si !
Vous n’avez pas été si nombreux que ça à venir lire ces posts-là au cœur
de l’été – à peine 2.852 –, très loin du score des 14.431 lecteurs de la série difficile
de « Laudato
si… » (**) de 2016 :
Comme quoi, le « succès », ça s’use à condition de s’en servir…
Sans doute, pour vous aussi, probablement l’effet de la lassitude.
Il faut dire que ça sortait aussi des « canons » habituels du
« roman d’actualité » pour sombrer dans un récit d’anticipation un
peu abscond qui justement faisait toucher les « limites ultimes » de
notre univers à nous (seconde source d’inspiration du titre : « Ultime
récit » !) (***).
Seulement voilà…
Une fois de plus, la réalité dépasse l’inimaginable et l’actualité les
meilleures fictions.
Phénomène répétitif assez incroyable mais bien réel en ce qui me concerne.
C’est que comme vous, l’arrivée inattendue d’un nouveau président à la
tête de la « Gauloisie-impétueuse » (ce pays qui est le mien et que
j’aime tant, même s’il me le rend si mal…), alors que cette élection-là était
réputée « imperdable » pour « Juppette » durant des mois et
des mois, méritait qu’on recherche quelques explications.
Personnellement, je ne crois pas à « l’homme providentiel »
(même pas De Gaulle qui a pourtant joué à la perfection et à deux reprises ce
rôle-là) mais à la conjonction de « contraires » qui s’entremêlent en
application de formules issues du « situationnisme-appliqué » et d’un
peu « d’analyse-systémique ».
En bref, « Manu-Mak-Rond le Jupitérien » n’est pas le seul effet
d’un hasard électoral bien emmené par quelques puissances ténébreuses guidées
elles-mêmes par des « Mains invisibles » à peine visibles.
Non, loin de là.
Le problème, c’est qu’au printemps 2017, j’étais « un peu sec »
à le découvrir.
Puis, au cours des premiers mois de son quinquennat, on a pu décrypter
plus précisément le rôle qu’il se devait de jouer. Sur le plan intérieur
(redresser les finances publiques du pays pour qu’il redevienne crédible) sur
le plan extérieur (sa place dans le concert du monde et notamment de l’Europe)
qui reste à améliorer.
Les gens sont de mauvaises langues : Ils en disent que ce Président
est celui « des riches ».
C’est peut-être vrai, mais au moins autant que Clémenceau qui a sacrifié
la jeunesse de son pays pour sauver les « Maîtres des forges » (qui
n’en demandaient pas tant) ou Churchill qui a fait pleurer les anglais et
l’empire britannique tout entier pour sauver « la City » et ses
banquiers…
À ce jeu-là, on peut remonter très loin avec une pensée émue pour mon
« cousin » le petit-caporal des Bonaparte qui s’est cru autorisé à
porter les valeurs de la Révolution jusqu’à Pékin – s’il l’avait pu – et s’est
heurté aux coalitions qui levaient des armées de mercenaires à travers toute
l’Europe durant des décennies pour conserver et rétablir leurs privilèges de
classe : On n’en finirait pas…
Passons : On aura au moins évité un temps – peut-être compté – la
« Peste-Blonde » et le « Choléra-Rouge-vif ».
Il n’empêche, à force de recherches, de rencontres, de dialogues, de
lectures, d’interviews, on a maintenant une idée assez précise du comment et du
pourquoi des choses.
Clairement, l’amorce du tournant a été le « Brexit », totalement
inattendu pour la plupart, même parmi les mieux informés.
Il n’y a eu juste que quelques financiers – de la planète finance – qui
avaient su anticiper : Les prises de « position » à découvert
sur les marchés en témoignent, même si ça n’est pas si criant que ça : Des
« signatures-faibles », faibles mais bien réelles.
L’alerte électorale a en réalité été également chaude avec les Pays-Bas et
surtout l’Autriche…
Mais elle a passé après l’échec de la validation des réformes de l’Italien
par voie référendaire.
Plus question de demander son avis à l’électeur : De toute façon, il
est incompétent et n’y connaît absolument rien !
C’est un « acquis » désormais historique.
La preuve par l’élection de « Mac-Donald-Trompe »…
Là, c’est plus que l’amorce d’un virage : On est encore en plein
dedans.
Néanmoins, la trajectoire reste relativement
« prévisible » : Ça ne fait pas trop peur (sauf chez les âmes
sensibles. Si, il en existe aussi !).
En revanche, les élections « gauloisiennes » du printemps
dernier pouvaient faire peur si on laissait faire le peuple, enivré de
populisme : Il fallait y prendre garde.
En témoigne le calendrier que je vous narre dans les cinq posts suivants
de ces « extraits ».
Il a été vérifié, contrôlé, recontrôlé, confirmé, revérifié : Là, ces
éléments, ce n’est plus du roman, mais déjà de l’Histoire avec un grand
« H ».
Par contre, ce qui s’y est dit et/ou décidé reste encore dans le domaine de
la supposition : On ne peut pas encore en savoir beaucoup plus, il n’y a
pas d’écrit (et il n’y en aura jamais) pour confirmer ou infirmer, même s’il
est plus que vraisemblable qu’on reste très proche de la vérité.
Car les bribes du puzzle reconstitué sont cohérentes entre elles et
correspondent, pour la plupart, à des informations dites
« ouvertes » (contrôlables par vous-mêmes) et pour quelques-unes,
mais quelques-unes seulement, à des « dires & rumeurs »
persistants mais pour l’heure non-totalement « vérifiés, contrôlés,
confirmés », corrélés.
En rappelant qu’un seul propos recueilli, c’est un « dire »,
probablement une « opinion », pas un fait. Plusieurs, ça devient une
rumeur et vous le savez, il n’y a pas de fumée sans feu. En revanche, si la
rumeur n’est pas corrélée par un ou plusieurs faits, même un détail
insignifiant (les « signaux-faibles ») on peut très bien être dans de
la « désinformation » (qui devient un « fait » en elle-même
significative d’une tentative de manipulation), ou au contraire elle signe une
réalité qui se dessine dans le brouillard…
Tout est question d’appréciation objective et – la part de subjectivité –
dans la « qualité » de la source.
Quand il y a plusieurs sources, en principe déconnectées entre-elle (mais
est-on jamais sûr ?), il y a « corrélation »,
« confirmation ». Il ne manque plus qu’une « vérification »
pour la fonder.
Et quand celle-ci apparaît, ça devient une certitude. Un fait
incontournable. Il y en a plusieurs dans la suite que je vous narre.
Le reste, c’est de la « mise en musique » de ma part (je ne dis
pas « on », mais « je ») pour « cadrer », pour
s’inscrire dans un ensemble plus vaste que sera le prochain « roman
d’été » (pas encore totalement écrit et dont la version des extraits qui
suivent peut encore être largement modifiée).
Je finalise cet hiver si j’ai le temps.
Et si Dieu me prête vie, parce qu’une fois de plus, l’ensemble ne peut
être que « romanesque », une « pure construction de l’esprit », en aucun cas un témoignage
tangible (voire à vocation « politique ») : Toute personne qui
affirmerait le contraire se rendrait coupable aux yeux de la loi d’une
intention délictuelle de nuire et se verrait trainée devant les tribunaux pour
rendre gorge avec rage et ténacité jusqu’à expiration des forclusions
extinctives du droit pénal.
Justement, pour parer quelques « coups tordus » de personnes qui
me chercheraient noise, je mets en ligne en avance, au cas où.
Non pas que je cherche à en tirer la moindre gloire (reconnaissance ou je
ne sais quel autre avantage flatteur), mais juste pour signifier et témoigner
que « nous ne sommes pas dupes ».
Bonne lecture à toutes et à tous !
J’essaye de revenir le plus tôt possible…
I-Cube
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