Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 7 décembre 2017

Et voilà : Ils y viennent !



Et comme c’est bien amené…

Ça fait un moment que je vous raconte que « Jupiter » ne peut pas se contenter de ce qu’il a : Il veut renouveler son mandat (les réformes profondes demandent du temps) et il a désormais à peu-près quatre ans pour l’obtenir.
C’est que là où il est arrivé, c’est beaucoup du fait de « concours de circonstances » hasardeuses, un véritable festival qu’on va voir plus en détail la semaine prochaine (et encore, le texte définitif n’apparaîtra que cet été, car je me réserve le droit de le compléter et de l’amender… puisque j’en suis l’auteur) et de quelques « solides-appuis » qui l’ont contraint.
Or, ces appuis-là seront renouvelés s’il parvient à « bouger le pays » (et il s’y emploie avec vigueur et à peu-près sur tous les fronts) en revanche, le concours de circonstances ne se répètera pas : Tout le monde en est persuadé, naturellement.
Sauf à provoquer, à fabriquer un nouvel « alignement des planètes ».

C’est ce qui est amorcé. Vous décryptez aussi bien que moi (sinon mieux) que pour l’heure, « la pieuvre » s’est installée au centre du paysage politique du pays et s’agite dans un mouvement de noria (évoqué la semaine dernière) qui a pour principal objet de marginaliser tout ce qui n’est « pas pour » et d’attirer encore et encore tout ce qui est « pour » : L’effet attractif centripète cumulé avec l’effet répulsive centrifuge.
Générations, opinons, hommes et femmes qui les portent, notion d’État, de pouvoir, de souveraineté, tout y passe (car j’en passe).
Une mise sous tutelle généralisée et un jour, vous leur direz « MERCI ! »

Dans le détail, il n’y a que deux recettes : La surprise (et elle a fonctionné jusque-là), mais soit on en passe pour la suite par le mode « démocratique » avec ses élections, soit on s’en passera puisqu’on ne peut décidément pas faire confiance aux peuples (ex : La Grèce, le Brexit, « Trompe », etc.).
Bon, la démocratie élective, on peut faire avec si on la « verrouille » comme elle l’a été au sein même du parti « En-Marche-même-pas-en-rêve » avec la « méthode Beau-Raie-L’Eau », un « gars-bien » qui sait de quoi il cause, puisqu’il fonctionne comme ça depuis trois décennies sans que personne ne trouve à y redire (même pas ses financeurs qui sont pourtant « la puissance pue-blique » à travers vos impôts, taxes et cotisations).
Oui, mais à condition de savoir verrouiller, et avec « 47 millions de veaux » inscrits sur les listes électorales, ça ne fonctionne bien que quand on tutoie au moins le quart de « non-votants ».
C’est justement ce qui s’est passé au moment de l’élection de mai dernier (merci le « tous pourris », « virons tout le monde » et « changeons pour des hommes neufs », « essayons ce qui n’a jamais été tenté », etc.) et encore mieux pour l’élection du ministre ci-dessus visé en « chef de clan » : Les trois-quarts de ses électeurs étaient « choisis » et les autres, les « négationnistes » ont été virés.
Ce qui est d’autant plus facile quand il n’y a pas de cotisation à payer…

Alors faisons donc un dernier tour de piste pour une dernière chance à la vox populi. C’est quand les prochaines élections ?
Les européennes 2019, à un seul tour et en mai. Qui précèderont les municipales en mars 2020, puis les territoriales en 2021 (avec régionales et départementales, si ça existe encore).
Quel objectif ? Mesurer l’implantation des « En Marche-même-pas-en-rêve », dans un vaste melting-pot et un « one-shot », l’audience de tout ce qui n’est pas « Jupitérien ».
Et si, pour que les choses soient plus claires et nettes – poussée des extrêmes et disparition des écrans-radars des partis centristes-soces et ex-Gaulliste – ne serait-ce donc pas une bonne idée que de faire l’apologie d’un scrutin national, dans un premier temps et tant que les « Teutons » ne veulent pas de listes « transnationales ».
Bé oui qu’elle est bonne la bonne idée !

Notez que le principe de la « liste transnationale », c’est une idée des « Maîtres du monde » pour faire entrer de force « l’idée européenne » jusqu’au plus profond du cerveau reptilien des « veaux ».
Pas kon, puisque de toute façon, les groupes « transnationaux » se constituent sans problème au sein de l’Assemblée de Strasbourg – une réalité bien vivace – une fois les élections « nationales » passées.
Seulement voilà, on a un peu fait trop confiance à « Mère-Qu’elle » et elle a du mal à consolider sa majorité, qu’il a fallu que le Président intervienne pour faire savoir qu’il ne redonnerait pas la parole à son peuple deux fois dans la même année : Sont trop kons pour les laisser décider, eux aussi.
Du coup, « l’idée européenne » a pris quelques retards, au moins sur la notion de listes transnationales. Une prochaine fois peut-être, on n’abandonne pas l’idée.

D’autant que garder un découpage en huit régions, ça n’est pas de la « vraie proportionnelle » dans tous ses états. Alors donc, au gouvernement d’annoncer qu’il est prêt à changer le mode de scrutin des élections européennes, pendant que « Jupiter » goûte de la cuistoche-africaine.
Et voilà le « ED 2.0 » national de s’afficher en « transformateur du pays » (il ne s’agit pas d’électricité, vous l’avez bien compris), lui aussi.
D’après lui, les Gauloisiens auraient pris conscience de l’urgence du changement.
Et lui d’en dire finement que « l’alternance entre la gauche et la droite a volé en éclats lors du premier tour de l’élection présidentielle. Le président de la République a été élu sur un discours assumé de transformation, qui dépasse les clivages partisans » traditionnels depuis la IIIème.
« C’est une opportunité que nous devons saisir. »

Et il n’a pas été long à passer à la vitesse supérieure en recevant la semaine dernière une douzaine de chefs des principaux partis politiques pour leur annoncer la réforme du mode de scrutin des élections européennes de 2019 : « Après la séquence de consultation par le président de la République, il s’agit pour le premier ministre de les informer du contenu du projet de loi qui modifiera le scrutin pour les européennes, et échanger avec eux sur les modalités de cette élection », a indiqué son entourage. Comme ces choses-là sont si bien dites… !
Et en plus, tous sauf les « Républicains-démocrates » dénonçant un « tripatouillage du mode de scrutin » (et c’est sûr que s’en est un), ont été d’accord pour un retour à des listes nationales, qu’ils soient pro ou antieuropéens.
Magnifique, non ?
Mais on n’abandonne pas pour autant la possibilité de constituer au niveau européen des listes transnationales : « Le premier ministre nous a dit que le projet de loi (à voter en 2018) le permettrait, mais les listes transnationales par essence ne seront pas décidées par le Parlement français : les listes transnationales doivent faire l’objet d’un accord au niveau européen ».
À 27, c’est « même-pas-en-rêve ». Faudrait déjà parler la même langue, hors l’anglais le plus usité, puisqu’ils se cassent : Ce serait vraiment trop paradoxal !
De toute façon en a rajouté un « sinistre-en-poste » : « Le système actuel est catastrophique sur le terrain ».
Superbe : Je ne savais même pas en quoi il est à rapprocher d’une catastrophe naturelle.
Si vous savez, dites-le-moi en commentaire, SVP.

Car juste vingt ans après l’abandon des listes uniques, le retour à une seule circonscription nationale devrait cependant maintenir la barre existante des 5 % des suffrages exprimés pour obtenir au moins un élu. Mais les partis seraient remboursés de leurs frais de campagne dès lors qu’ils auraient réalisé 3 % des voix. Cette dernière disposition est un choix aussi bien tactique que politique, car elle vise à inciter davantage de partis à se lancer à l’assaut du Parlement européen. Du coup, les principaux partis et singulièrement celui de « Jupiter » pourraient voir un émiettement de leur opposition, notamment dans le camp des mouvements eurosceptiques…
Mais ce n’est pas ça qui est recherché, comme expliqué ci-avant.
Même si ça peut aider.
Car le passage à des listes régionales, sous couvert de vouloir rapprocher les élus européens des électeurs, était en fait censé contenir l’avancée du « F. Aisne », que des listes uniques devaient trop avantager. Or, outre le fait que les députés communautaires n’ont pas vraiment été plus proches des Gauloisiens, la percée du « F.Aisne » n’a pas non plus été contenue, au contraire.
Et alors, c’est une raison pour leur redonner de la vigueur ?
Bé oui, c’est le plan « A ».

Ah ? Et alors, me demanderez-vous ?
Eh bien on tend une branche aux micros-partis : Venez-y les petits, si vous faites 3 %, vous serez remboursés, même si vous n’avez aucun élu (puisqu’il en faudra 5 %).
Cousu de fil blanc : Je disperse (« façon puzzle ») l’électeur entre « chasseurs-nageurs », pro et anti-européens, sans leur donner vraiment la possibilité de faire plus qu’un, deux voire trois sièges et je ramasse le jackpot.
Des miettes pour des émiettés qui n’auront que leurs yeux pour pleurer… plus tard, encore plus discrédités qu’avant malgré le « coup de pouce ».
Oui, mais si ça ne marche pas ?
Mais si : Il s’agit de ringardiser les extrêmes et populistes de tous-bords !
Pour concentrer le maximum de « bien-pensant » autour de « Jupiter » en vue de 2020 d’abord et ses grands électeurs, puis et eux-mêmes de 2022 pour un renouvellement de mandat.
Et vraiment, si ça foire « gros comme ça », on ne prendra pas le risque de ne pas pouvoir « aligner les planètes » pour un second hold-up de « Jupiter » : Vous entendrez alors dire que décidément, « on ne peut pas faire confiance au peuple » et que pour la « haute-magistrature », il faut s’en remettre aux élus-des-électeurs, comme en 1958.

Non seulement ça vous sera présenté comme d’une pureté-originelle retrouvée, mais ce jour-là, vous pourrez partir à la pêche sans regrets.
Comme entre-temps, il va se passer plein de choses, le bon créneau reste le 2 décembre 2019… Justement un peu plus de 6 mois après les européennes qui vont « secouer » si le « plan B » de la réforme du scrutin des européennes ne fonctionne pas aussi bien qu’escompté.
Jeunes-gens, il est peu probable que je sois encore de ce monde pour voir ça, mais au moins, vous aurez été prévenus de longue date.
Personnellement, je n’en serai pas surpris, mais je note la façon dont tout cela vous est amené : Un petit-bijou de professionnalisme politique.
Pour un gars qui n’aura 40 ans que le 21 décembre prochain, c’est quand même pas mal, non ?

1 commentaire:

  1. Désolé pour vos commentaires : Je pars en "apnée" !

    Ils sont donc "modérés" jusqu'à mon retour.
    Si je rentre...

    Bien à toutes et tous !

    I-Cube

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