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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 18 décembre 2017

Ah que…


Décès d’un immortel et d’un troubadour.


C’est quand même étonnant. « Dort-Messons » trépasse. Il paraît que « D’jack-Lang » fait toutes les radios-télés, quart-d’heure après quart-d’heure pour « faire le beau » et tirer un peu des lumières de la gloire à lui.
Le fat imbu de lui-même…
« Johnny » clamse et silence-radio du cabot-zigoto, noyé dans le délire quasi-mondial des hommages à « l’idole-ah-que-des-djeun’-nes ».
Je trouve ça assez curieux : Personne n’aura vu qu’il y a comme épidémie létale qui s’abat sur les « z’yeux-bleus-clairs ».
Jamais « deux-cent-trois », « Line-Re-No » a du souci à se faire, en concluais-je.

Je ne connais pas spécialement les deux premiers personnages, sauf à remarquer que, hors le pif, le premier ressemblait physiquement à mon parrain (l’ex-dernier-gouverneur de Polynésie), cousin-germain de ma « môman-à-moâ-même », conseiller d’État et Cie, pas plus que le second que je n’ai jamais croisé.
Pas comme « Bébel et sa clique » (voire « Al-Hun-Deux-longs » exceptionnellement), puisqu’il m’arrivait de manger dans sa cantine située sur l’esplanade des invalides.
Ah que si, j’ai déjà entendu quelques ritournelles du second. Je suppose que désormais on vous les aura passées en boucle : Ça aide à donner un peu de valeur à sa succession qui vient de s’ouvrir, histoire de réduire vos impôts payés à votre place par « sa nichée » sur les droits d’auteur…
Pas sûr que ça soit le cas pour le premier : De toute façon, question littérature, je préférai Mazeaud, un juriste des plus pointus (qui m’aura, lui ou un autre de sa famille, torturé avec ses bouquins de droit dans mes jeunes années), bourré d’humour et qui préférait la mer, la voile plutôt que le ski…
L’avantage de la mer, même déchaînée, c’est que « ça ne monte pas » (ou si peu), alors que le ski, d’une part il fait froid, d’autre part « ça descend » forcément. Or, avant de descendre, il faut de toute façon grimper.
Trop fatigant pour un « Corsu-bien-né », ou alors à dos d’âne et dans le maquis.
Mais l’âne, il n’est pas kon : Il ne monte pas dans la neige. Trop froid !



Ceci dit, je connais Line. Une ex-cliente. Et des yeux…, je ne vous raconte pas !
Une merveille de la couleur des « îles-des-mers-du-sud » à se damner.
Qu’il paraît que ça valait ceux de Michèle Morgan. Mais comme je suis trop
jeune pour l’avoir croisée, j’en suis resté à Line, complètement béat
d’admiration…
Subjugué.



En bref, vous avez profité de mon absence – retenu que j’étais pour quelques impériosités-indispensables au confort de votre quotidien, coincé au fin-fond de « nulle-part » – pour faire le vide : Charmante attention de votre part… Au jeu du « chamboule-tout », vous êtes assez doués, finalement.
Je vous reconnais ce talent que je n’ai pas.


Ceci dit, ça aura au moins permis à « Jupiter » d’aller s’esclaffer à Alger, de refourguer quantité d’armes – métro et d’Airbus – aux qataris, sans que vous ne vous émouviez pour autant.

Et à « Trompe » de « bordeler » du côté de Jérusalem…
Enfin… « bordeler » autour de la ville-trois-fois-sainte, pas tant que ça, finalement : Il verse de l’essence-raffinée sur le brasier qui couve et c’est justement une façon de faire revenir ses « boys » armés jusqu’aux dents au cœur de la méditerranée-orientale si par hasard la situation s’envenime, avec pour voisins directs les troupes de « Poux-tine » qui, dans le cadre de la lutte contre le Califat, avait imposé leur présence et une sphère « anti-aérienne » qui couvre toute la région. Daech anéanti, les russes n’ont plus de raison de se montrer belliqueux : Une occasion rêvée pour « revenir » durablement…


J’ai même eu peur à plusieurs reprises que « McDonald-Trompe » profite de l’occasion où « je n’étais plus là » pour aller réduire en poussière et lumière le « Kim-tout-fou » coréen.
Ça aurait pu être drôle de vous revenir et de découvrir que c’est vous qui n’étiez plus là !
Et moâ dans le rôle du dernier témoin d’une espèce en voie de disparition…
Triste destinée. Mais heureusement non, vous êtes encore là et vous avez même voté pour le futur boss de ce qui reste des « Républicains-démocrates ».
On y reviendra.


Ce qui vous aura probablement marqué, moi en tout cas et rétrospectivement,  c’est ce délirium partagé, non pas quant aux obsèques et à « l’hommage-national » à la dépouille de l’académicien, mais quant aux « souvenirs-souvenirs » du rocker-on-the-bike, absolument phénoménal : J’en ai même entendu causer jusque dans mon trou. Pourtant, « l’extérieur » ne communiquait pas beaucoup, voire pas du tout, mais les « rumeurs » filaient bon-train & bonne-allure du côté de la cambuse à propos du Elvis-Presley Gauloisien…
J’adore les hystéries collectives, même quand elles sont méritées : C’est toujours édifiant !
Est-ce qu’on en fera autant pour « Poux-tine » parti pour devenir l’imperator moderne de la « Russie-éternelle » durant presqu’un quart de siècle ?
Une génération seulement…

« Johnny-ah-que », celui qui savait ce qu'il savait et ah que ce qu'il savait, il le savait, lui au moins aura été l’idole chantante de deux générations (si ce n’est plus). Une belle et formidable machine à spectacles et tubes émouvants. Probablement bien au-delà de ce qu’aura pu faire « Dort-Messons ».

On a tous plusieurs de ses airs en tête quand on l’évoque – que ça se bouscule parfois dans la caboche – alors que les « bons-mots » de l’autre resteront probablement évanescents.


Ainsi va la vie.
Peu importe : A un moment ou à un autre, il faut laisser la place vide, le plus proprement possible et laisser au temps de se faire oublier.
Je m’y prépare de mon côté, à mon rythme.

Dans le phénomène « Johnny », ce n’est pas tant la ferveur de ses « fans » (ils sont là pour ça), mais le petit côté « impôt-volontaire » que ça représente (pas « né-fiscaliste » pour rien non plus…).
Y avez-vous songé au moins une fois ?
40 disques d’or, 3 disques de diamant et 22 disques de platine. Il a remporté 10 Victoires de la musique pour une discographie officielle qui compte 50 albums studio et 29 albums live, plus de 116 duos à son actif, plus de 110 millions de disques et cassettes vendus dans le monde avec Universal, dont 60 millions uniquement en « Gauloisie-musicale ».
Un par « gauloisien »…
Plus de 1.000 chansons enregistrées dont 250 adaptations et plus d’une centaine de chansons composées par Johnny lui-même.
43 ans de collaboration avec Universal Music France sur presque 60 de carrière, avec qui il a enregistré plus de 800 chansons. 749 auteurs différents, 540 duos avec 187 artistes.
35 films, notamment avec Godard et Costa-Gavras. 111 livres ont été écrits sur lui et 567 sites web lui sont consacrés avec au total 10.000 membres. 25 Fan clubs lui sont dédiés et il est apparu sur 2.617 couvertures de magazines.
183 tournées, 27 rentrées parisiennes, 79 Bercy, 179 tournées en « Gauloisie-fanatique » et en Europe pour plus de 3.250 concerts.
Il aura attiré plus de 28 millions de spectateurs. Deux concerts sous la Tour Eiffel, dont notamment celui du 14 juillet (2009) pour ses 120 ans, qui a regroupé entre 700.000 et un million de spectateurs en une seule fois : Presque aussi bien que Michel Jarre à la Défense.
5 mariages, depuis 31 ans dans le petit Larousse illustré, 323.000 abonnés sur « Fesse-book », 1,56 million sur « Twister », 122.000 sur « Insta­gramme », 9 « Stades de Gauloisie » pleins à craquer, 101 Bercy (dont 93 fois en solo), 266 fois à l’Olympia et 144 fois au Palais des Sports.
Chiffre d’affaires ? Environ 50 à 60 millions d’euros/an…
Pas mal pour un unique petit « artiste-artisan » de quartier.


Oh, lui se contentait de claquer entre 4 et 8 millions d’euros par an de « frais de bouche » selon les années et de ne payer que 700.000 francs suisses d’impôts, soit 583.000 euros quand il  s’y était réfugié pour… des raisons fiscales !
Ah bé tiens, on y revient, hein !
Vous n’étiez peut-être pas né(e)s, je passais mon bac (merci pour la mention, délivrée à l’époque au compte-gouttes), mais je me souviens très bien qu’en 1975, il a eu des ennuis avec le fisc qui lui réclamait plusieurs centaines de millions de francs (pas encore trop dévalués à l’époque) d’arriérés d’impôts. Conséquence immédiate, il fait part de son désir de tout arrêter : « Je m’arrête en septembre 1975, pour un an minimum. Je vais louer une maison à Los Angeles. Je pars avec Sylvie et David. (…) Lorsque j’ai payé mes musiciens, mes impôts, la Société des Auteurs-Compositeurs, il ne me reste rien. Pourquoi continuerais-je à travailler dans de telles conditions ? »
Et il a été forcé, contraint de « bosser-fort » pour achever de rembourser ces arriérés d’impôts au cours des années 1990, durant 15 ans et plus, en plus que d’assumer les suivants. Car plus vous devez en rembourser, plus il faut en gagner et plus vous en gagnez, plus vous en payez !
C’est la règle.


Du coup, hors ses droits d’auteur-compositeur-interprète, même si le régime fiscal s’est notablement amélioré sur ce type d’activité (pour quasiment tous les autres, hors une poignée, normalement archi-subventionné), il n’a jamais pu s’enrichir « à milliard ».
De toute façon, ce n’était pas « son truc ».
Juste deux maisons invendables à l’époque où il a voulu les vendre, plus quelques fioritures à deux et quatre roues.

Quelques costumes et matériels de scène et une PME qui ferme ses portes…
Car certes, les droits d’auteur, ça restera une rente pendant encore longtemps, au même titre que pour la descendance de l’académicien précité, mais il avait pigé qu’une carrière, pour prospérer se doit d’être « nourrie » et que concomitamment à ce qui l’enrichit, c’est ce truc « incopiable » sur les réseaux informatiques que sont les spectacles donnés : On est dans l’instantanéité, pas dans le reproductible à volonté.
Là, c’est terminé…


Prolongeons ma réflexion du moment avant de revenir à l’actualité du pays (et de ses environs) : Qu’est-ce qui pousse le citoyen lambda à claquer plusieurs centaines d’euros « d’impôt-volontaire » pour participer à ses soirées, à acheter ses disques, ses films (et demain ses reliques) ?
Le bonheur « instantané » procuré ?
Probablement.
Je fais bien parti de ces meks qui ont roulé deux nuits et deux jours de suite pour aller arracher quelques morceaux « du mur » (à Berlin) à coup de marteau et de burin entre Noël et le jour de l’an au moment où il est tombé et pouvoir dire « j’y étais ». Et j’en suis encore fier.
Un peu d’Histoire dans mes cartons à souvenirs.


Mais alors, le bonheur de vivre toute une vie (durable mais non reconductible) en « Gauloisie-magnifique » que le monde entier vous envie, c’est quoi par rapport à ces « instantanéités-là » ?
Bé, 1) personne ne se souvient que « le monde entier » vous envie ; 2) c’est nettement plus cher que le prix d’une journée de labeur, pour se chiffrer à presque 6,5 mois d’efforts ; 3) vous n’avez pas le choix sauf à fuir par tous moyens ce qui est devenu un « enfer » ; 4) et en plus personne ne vous fait la promotion du produit, là où Johnny s’y entendait fort bien…
C’est toute la différence entre un « impôt-consenti », ressenti comme « juste », volontaire même, et celui qui ne l’est décidément pas.


Bon « Johnny » n’étant plus, je vais le regretter pour avoir un peu de mal à retrouver un « superlatif » qui pourrait le remplacer dans mes démonstrations pour valoriser ma « CSPM ».
Parce que la « Cotisation Sociale sur les Produits Manufacturés », elle est justement conçue pour les commerçants qui acceptent de vendre des produits et services qui n’ont pas le « label OFG » (Origine Gauloisienne Garantie) à leur client.
Encore faut-il pouvoir trouver des kouillons de client capables de payer 30 % plus cher que le même – ou l’équivalent – produit, fabriqué, manufacturé dans les frontières « sociales » du pays, avec de la main-d’œuvre locale et localisée ou « relocalisée » en « Gauloisie-fiscale ».


Avec un quintuple objectif : 1) faire revenir les usines (et ateliers), embaucher, loger, soigner et former sur place ; 2) élargir ainsi les assiettes taxables et cotisables ; 3) réduire les déficits et les poches d’exclusion et pauvreté pour finalement réduire les budgets qui y sont consacrés pour in fine ; 4) réduire les taux de prélèvements obligatoires à enveloppes constantes (voire réduites) et ; 5) transformer ainsi au fil du temps l’enfer-Gauloisien et « petit-paradis-fiscal »…
Ambitieux ? Johnny y était bien arrivé, lui, pour plus de la moitié de son chiffre d’affaires : Il aurait pu survivre, ça ne vous aurez pas coûté plus cher et ça m’aurait arrangé.

2 commentaires:

  1. Ah que !...
    Un exilé fiscal que notre « Johnny » !...

    Une occasion pour écrire à « Ed », notre chef du gouvernement, pour lui proposer la CSPM :
    http://www.alerte-ethique.com/s%C3%A9curit%C3%A9-sociale/

    Envoyé en quatre mails sur la boite postale du premier ministre pour … Noël !...

    Bien à vous !...

    « L’Ami-Râle »

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    Réponses
    1. On peut toujours essayer, effectivement.
      Mais je crains le pire avec les autiste de Bercy...

      Ceci dit, l'exilé-fiscal "ah-que", d'abord il ne l'a pas toujours été mais surtout aucun de ses fans - et ils sont nombreux - ne lui a jamais reproché !
      A "bête-en-cours" non plus, mais elle n'était pas "exilée" même si elle possédait des îles dans l'océan indien.
      En revanche, ça fait caguer le peuple quand il s'agit des patrons du CACa40 : C'est incroyable !

      Et aucun ne va chercher lesdits-patrons "détachés" depuis à travers Airbus et Cie depuis ses sièges luxembourgeois ou d'autres paradis fiscaux bien européens.
      Je ne te vous raconte même pas le statut du simple salarié d'Eutelsat, ni le futur pont-d'or des brexiters qui se prépare.

      Deux poids, deux mesures : Comment voulez-vous gouverner correctement dans ces conditions ?

      Bien à vous !

      I-Cube

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