Décès
d’un immortel et d’un troubadour.
C’est quand même étonnant. « Dort-Messons » trépasse. Il paraît
que « D’jack-Lang » fait toutes les radios-télés, quart-d’heure après
quart-d’heure pour « faire le beau » et tirer un peu des lumières de la
gloire à lui.
Le fat imbu de lui-même…
« Johnny » clamse et silence-radio du cabot-zigoto, noyé dans le
délire quasi-mondial des hommages à « l’idole-ah-que-des-djeun’-nes ».
Je trouve ça assez curieux : Personne n’aura vu qu’il y a comme
épidémie létale qui s’abat sur les « z’yeux-bleus-clairs ».
Jamais « deux-cent-trois », « Line-Re-No » a du souci
à se faire, en concluais-je.
Je ne connais pas spécialement les deux premiers personnages, sauf à remarquer que, hors le pif, le premier ressemblait physiquement à mon parrain (l’ex-dernier-gouverneur de Polynésie), cousin-germain de ma « môman-à-moâ-même », conseiller d’État et Cie, pas plus que le second que je n’ai jamais croisé.
Je ne connais pas spécialement les deux premiers personnages, sauf à remarquer que, hors le pif, le premier ressemblait physiquement à mon parrain (l’ex-dernier-gouverneur de Polynésie), cousin-germain de ma « môman-à-moâ-même », conseiller d’État et Cie, pas plus que le second que je n’ai jamais croisé.
Pas comme « Bébel et sa clique » (voire « Al-Hun-Deux-longs »
exceptionnellement), puisqu’il m’arrivait de manger dans sa cantine située sur
l’esplanade des invalides.
Ah que si, j’ai déjà entendu quelques ritournelles du second. Je suppose que
désormais on vous les aura passées en boucle : Ça aide à donner un peu de
valeur à sa succession qui vient de s’ouvrir, histoire de réduire vos impôts
payés à votre place par « sa nichée » sur les droits d’auteur…
Pas sûr que ça soit le cas pour le premier : De toute façon, question
littérature, je préférai Mazeaud, un juriste des plus pointus (qui m’aura, lui
ou un autre de sa famille, torturé avec ses bouquins de droit dans mes jeunes
années), bourré d’humour et qui préférait la mer, la voile plutôt que le ski…
L’avantage de la mer, même déchaînée, c’est que « ça ne monte
pas » (ou si peu), alors que le ski, d’une part il fait froid, d’autre
part « ça descend » forcément. Or, avant de descendre, il faut de
toute façon grimper.
Trop fatigant pour un « Corsu-bien-né », ou alors à dos d’âne et
dans le maquis.
Mais l’âne, il n’est pas
kon : Il ne monte pas dans la neige. Trop froid !
Ceci dit, je connais
Line. Une ex-cliente. Et des yeux…, je ne vous raconte pas !
Une merveille de la
couleur des « îles-des-mers-du-sud » à se damner.
Qu’il paraît que ça valait ceux de Michèle Morgan. Mais comme je suis trop
jeune pour l’avoir croisée, j’en suis resté à Line, complètement béat
d’admiration…
Subjugué.
En bref, vous avez profité de mon absence – retenu que j’étais pour quelques impériosités-indispensables au confort de votre quotidien, coincé au fin-fond de « nulle-part » – pour faire le vide : Charmante attention de votre part… Au jeu du « chamboule-tout », vous êtes assez doués, finalement.
Je vous reconnais ce talent que je n’ai pas.
Ceci dit, ça aura au moins permis à « Jupiter » d’aller s’esclaffer à Alger, de refourguer quantité d’armes – métro et d’Airbus – aux qataris, sans que vous ne vous émouviez pour autant.
Et à « Trompe » de « bordeler » du côté de Jérusalem…
Enfin… « bordeler » autour de la ville-trois-fois-sainte, pas
tant que ça, finalement : Il verse de l’essence-raffinée sur le brasier
qui couve et c’est justement une façon de faire revenir ses « boys »
armés jusqu’aux dents au cœur de la méditerranée-orientale si par hasard la
situation s’envenime, avec pour voisins directs les troupes de « Poux-tine »
qui, dans le cadre de la lutte contre le Califat, avait imposé leur présence et
une sphère « anti-aérienne » qui couvre toute la région. Daech
anéanti, les russes n’ont plus de raison de se montrer belliqueux : Une
occasion rêvée pour « revenir » durablement…
J’ai même eu peur à plusieurs reprises que « McDonald-Trompe »
profite de l’occasion où « je n’étais plus là » pour aller réduire en
poussière et lumière le « Kim-tout-fou » coréen.
Ça aurait pu être drôle de vous revenir et de découvrir que c’est vous qui
n’étiez plus là !
Et moâ dans le rôle du dernier témoin d’une espèce en voie de disparition…
Triste destinée. Mais heureusement non, vous êtes encore là et vous avez
même voté pour le futur boss de ce qui reste des « Républicains-démocrates ».
On y reviendra.
Ce qui vous aura probablement marqué, moi en tout cas et rétrospectivement,
c’est ce délirium partagé, non pas quant
aux obsèques et à « l’hommage-national » à la dépouille de
l’académicien, mais quant aux « souvenirs-souvenirs » du
rocker-on-the-bike, absolument phénoménal : J’en ai même entendu causer
jusque dans mon trou. Pourtant, « l’extérieur » ne communiquait pas
beaucoup, voire pas du tout, mais les « rumeurs » filaient bon-train
& bonne-allure du côté de la cambuse à propos du Elvis-Presley Gauloisien…
J’adore les hystéries collectives, même quand elles sont méritées : C’est
toujours édifiant !
Est-ce qu’on en fera autant pour « Poux-tine » parti pour
devenir l’imperator moderne de la « Russie-éternelle » durant
presqu’un quart de siècle ?
Une génération seulement…
« Johnny-ah-que », celui qui savait ce qu'il savait et ah que ce qu'il savait, il le savait, lui au moins aura été l’idole chantante de deux générations (si ce n’est plus). Une belle et formidable machine à spectacles et tubes émouvants. Probablement bien au-delà de ce qu’aura pu faire « Dort-Messons ».
On a tous plusieurs de ses airs en tête quand on l’évoque – que ça se bouscule parfois dans la caboche – alors que les « bons-mots » de l’autre resteront probablement évanescents.
« Johnny-ah-que », celui qui savait ce qu'il savait et ah que ce qu'il savait, il le savait, lui au moins aura été l’idole chantante de deux générations (si ce n’est plus). Une belle et formidable machine à spectacles et tubes émouvants. Probablement bien au-delà de ce qu’aura pu faire « Dort-Messons ».
On a tous plusieurs de ses airs en tête quand on l’évoque – que ça se bouscule parfois dans la caboche – alors que les « bons-mots » de l’autre resteront probablement évanescents.
Ainsi va la vie.
Peu importe : A un moment ou à un autre, il faut laisser la place
vide, le plus proprement possible et laisser au temps de se faire oublier.
Je m’y prépare de mon côté, à mon rythme.
Dans le phénomène « Johnny », ce n’est pas tant la ferveur de
ses « fans » (ils sont là pour ça), mais le petit côté « impôt-volontaire »
que ça représente (pas « né-fiscaliste » pour rien non plus…).
Y avez-vous songé au moins une fois ?
40 disques d’or, 3 disques de diamant et 22 disques de platine. Il a
remporté 10 Victoires de la musique pour une discographie officielle qui compte
50 albums studio et 29 albums live, plus de 116 duos à son actif, plus de 110
millions de disques et cassettes vendus dans le monde avec Universal, dont 60
millions uniquement en « Gauloisie-musicale ».
Un par « gauloisien »…
Plus de 1.000 chansons enregistrées dont 250 adaptations et plus d’une
centaine de chansons composées par Johnny lui-même.
43 ans de collaboration avec Universal Music France sur presque 60 de carrière, avec qui il a
enregistré plus de 800 chansons. 749 auteurs différents, 540 duos avec 187 artistes.
35 films, notamment avec Godard et Costa-Gavras. 111 livres ont été écrits
sur lui et 567 sites web lui sont consacrés avec au total 10.000 membres. 25
Fan clubs lui sont dédiés et il est apparu sur 2.617 couvertures de magazines.
183 tournées, 27 rentrées parisiennes, 79 Bercy, 179 tournées en « Gauloisie-fanatique »
et en Europe pour plus de 3.250 concerts.
Il aura attiré plus de 28 millions de spectateurs. Deux concerts sous la
Tour Eiffel, dont notamment celui du 14 juillet (2009) pour ses 120 ans, qui a
regroupé entre 700.000 et un million de spectateurs en une seule fois :
Presque aussi bien que Michel Jarre à la Défense.
5 mariages, depuis 31 ans dans le petit Larousse illustré, 323.000 abonnés
sur « Fesse-book », 1,56 million sur « Twister », 122.000
sur « Instagramme », 9 « Stades de Gauloisie » pleins à
craquer, 101 Bercy (dont 93 fois en solo), 266 fois à l’Olympia et 144 fois au
Palais des Sports.
Chiffre d’affaires ? Environ 50 à 60 millions d’euros/an…
Pas mal pour un unique petit « artiste-artisan » de quartier.