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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 17 décembre 2017

Physique amusante…

Avis aux « grosses » !


J’ai remis la main sur un condensé des études de Devendra Singh, professeur au Département de psychologie de l’université du Texas, à Austin. Sa spécialité ? L’attractivité physique entre êtres humains, sujet Ô combien important (au moins pour la survie de l’espèce et accessoirement pour mon unique-neurone, celui du nerf-honteux)…


Ce scientifique-là – décédé en 2010 – l’avait démontré en 2007 : Les hommes, dans toutes les cultures et depuis des temps immémoriaux, ont un penchant pour les femmes à la taille fine (pas la marque de yaourt/fromage-blanc, vous vous en doutez…).

Ça m’a toujours interpelé, pour me souvenir parfaitement de mes « grands-mères » qui s’infligeaient des tortures inouïes à enfiler tous les jours leurs corsets à baleines « affinant » leur silhouette, passer des plombes à nouer étroitement les lacets et supporter ça toute la journée.

D’ailleurs, je ne dis pas le côté aphrodisiaque que je n’en imagine même pas les effets sur le nerf-honteux de mes grands-pères réciproques quand il fallait véritablement « déballer » tout ça pour passer « aux choses sérieuses ».

La preuve, je suis là, même si ça devait faire des « plop ! » des plus grassouillets…

Et me revient à l’esprit cette anglaise dont l’époux narrait avec son humour inimitablement britannique les séances d’effeuillage quotidiennes, dans mes jeunes années…

À mourir de rire !


Mais là, on cause de « science » : Pour approfondir son sujet, Devendra Singh, s’était plongé dans la littérature mondiale, à commencer par celle des Britanniques des seizième, dix-septième et dix-huitième siècles. Un travail, publié dans le très sérieux « Proceedings of the Royal society », effectué sur une base de données compilant 345.000 œuvres, y compris américaines même celles-ci n’ont pas été retenues.

Lui et son équipe avaient déjà exploré les écrits indiens du premier siècle et la culture chinoise du quatrième siècle.

Pourquoi éviter les États-Unis ainsi que le temps présent ? Parce que pour eux l’influence occidentale est devenue trop forte, brouillant les cultures et empêchant de distinguer facilement ce qui vient de l’occident de ce qui est commun à toute l’humanité.

Admettons : L’époque moderne et étatsunienne serait donc « hors humanité »…

Je vous laisse juge.


Dans cette vaste base de données, ces scientifiques ont cherché les associations entre les noms de certaines parties du corps (taille, hanche, seins, fesses…) de « nos dames » avec des qualificatifs comme « fin » ou « dodu ».

Le résultat, selon les auteurs, est sans appel : Dans toutes les œuvres étudiées, le seul point commun lié à la beauté féminine vue par les hommes est la finesse de la taille ! Encore plus loin dans le temps, ajoutent les chercheurs, les commentaires sur le physique de Nefertari, qui fut la favorite de Ramsès II il y a 4.000 ans, font explicitement référence à sa taille mince : Même les égyptiens antiques, donc !


À propos des autres parties du corps considérées comme sexuellement attractives, en réalité les avis divergent selon les époques. Les seins de taille généreuse sont-ils beaux ? Voilà, par exemple, un critère qui ne recueille pas l’unanimité…

Je sais – pour être un spécialiste des seins – ce qui compte plus que la taille ou la forme, c’est la façon dont « ils vivent », dont « ils vibrent » qui reste « attractive ».


Mais alors quid de l’attirance universelle des mâles pour la sveltesse de leurs compagnes potentielles ?

Ce que suggère cette étude « scientifique », c’est que ce ne serait donc nullement un phénomène culturel ni même liée à une mode passagère. Les auteurs rapportent cependant une observation contraire : En 1998, une enquête effectuée chez les Matsigenka, un peuple tribal du Pérou, consistant à demander à des hommes de choisir parmi des silhouettes féminines, avaient indiqué une nette préférence pour les formes replètes. Interrogés sur leur choix, certains expliquaient que les femmes minces semblaient avoir souffert de fièvres ou de diarrhées…

Déjà une référence, négative, au « régime-gastroentérite » ?


Si l’on met de côté cette exception andine (et anodine), il reste à expliquer la quasi-universalité de l’attractivité des « tailles de guêpe ». Les auteurs en appellent au subconscient et à des réflexes mis en place par l’évolution. Les hommes rechercheraient chez la femme des signes de bonne santé et de fertilité. Le ventre plat serait un marqueur de bonne forme et de hauts niveaux d’hormones sexuelles, comme les œstrogènes (ce qui reste à démontrer).

De la même manière, une théorie voisine explique l’attirance pour les silhouettes bien symétriques comme une préférence inconsciente pour des gènes en bon ordre…


« Voilà au passage », en disent les auteurs de l’équipe, « ce qui explique la mode des corsets aux dix-septième et dix-huitième siècles » de mes grands-mères (décédées il y a un autre millénaire).

Mais alors, mais alors… ils sont contraints de ne pas considérer comme significatives les formes plantureuses exhibées dans sculptures antiques, les peintures de la Renaissance, comme chez Rubens, Botero et quelques autres depuis, me suis-je dit.

Au Pérou ou à la Renaissance, les hommes feraient donc parfois mentir la règle ?

Aberrant…


L’intérêt de cette étude tient en ce qu’elle démontrait que l’attirance pour les taille-fines nous vient finalement du subconscient. Il reste donc aux mâles leur humanité pour décider de l’appliquer ou non. Car vous aurez noté que s’ils le faisaient systématiquement depuis les débuts d’Homo sapiens-sapiens, seules les fluettes auraient génétiquement survécu.

Or, la présence constante, à travers les siècles et les millénaires, de formes rondes dans la gente féminine indique exactement le contraire !

Conclusion à l’emporte-pièce : Tout faux, les jeunes !


Autre conclusion – certes très personnelle – c’est que, mesdames, vous pouvez laisser tomber vos régimes amincissants (sauf pour le ressenti de votre bien-être, naturellement…) : Même les « grosses » sont assez séduisantes pour avoir le droit de se reproduire !

La preuve…

Les bonbonnes, les haricots-verts, les anorexiques, les mappemondes, les grandes, les petites, les blondes, les brunes, les rousses et je ne sais quoi d’autres, vous savez bien que ce qui compte pour nous, c’est la façon dont vos yeux brillent quand vous « nous voulez ».

Comme nous n’avons absolument rien à vous refuser pour être nés uniquement pour votre plaisir – que même Dieu-le-veut quand femme-le-veut – il suffit de faire votre choix…

Le reste est affaire de circonstances.


Mais probablement que Devendra Singh, professeur au Département de psychologie de l’université du Texas, à Austin, n’aura pas tout pigé, de ce que j’en dis !

Notez que, du moment que la science avance, même de travers, ce qui compte d’essentiel c’est de participer, comme dit l’autre.

Bonne fin de journée à toutes et tous et profitez-en tant que ça dure !


I3

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