À propos
« culture-G », saviez-vous :
1. Combien de temps a duré la guerre de cent ans ?
Naturellement… 116 ans, de 1337 à 1453…
2. Où sont fabriqués les chapeaux Panama ?
En Équateur, évidemment !
3. En quel mois les Russes fêtent-ils la révolution d’octobre ?
Comme chacun le sait : En novembre ! Le calendrier Russe étant
15 jours en retard sur le nôtre.
C’était d’ailleurs le centenaire de la dite « révolution d’octobre »
fêtée en « petits-comités » même en Russie.
4. De quoi est fait un pinceau en poil de chameau ?
De fourrure d’écureuil, comme si vous l’ignoriez…
5. Les îles Canaries ont été nommées d’après quel animal ?
Bé le nom latin est « insularia canaria », ou île de chien…
6. Quel est le prénom du roi George VI ?
Albert, forcément !
Quand il devint roi, il respecta le désir de la reine Victoria qu’aucun
roi ne porte le nom d’Albert.
7. Quel est la couleur du Roselin-pourpré ?
Un moineau « cramoisi », logiquement.
8. De quel pays proviennent les groseilles chinoises ?
De Nouvelle-Zélande…
9. Quelle est la couleur de la boîte noire d’un avion de ligne commercial
?
Orange, bien sûr…
10. Combien de temps a duré la guerre de trente ans ?
Ben voyons… Trente ans et pas plus, comme il se doit : De 1618 à
1648 !
Lors d’une campagne de sensibilisation contre les dangers de l’alcool, un
groupe d’intervenants fait la tournée des bars.
Objectif : Convaincre que l’alcool tue.
Un intervenant se présente devant Dumè, qui arrive à peine à se tenir
debout et lui dit :
« – Monsieur, saviez-vous que
l’alcool tue, chaque année, au moins 50.000 français !
– Hic. Heu! Hum… M’en tape
! Moé chui Corsu ! »
« – Moi » fais la
fille de Dumé, « je ne veux pas
travailler, et je n’ai pas l’intention de travailler.
– Alors, tu vas faire
quoi pour vivre ?
– Je vais me marier…
– Facile. Mais si ton
gars ne gagne pas assez d’argent, ou s’il perd son emploi ?
– Je vais prendre deux
maris alors… »
Il faut s’imaginer qu’on est en pleine prohibition, aux USA.
Un désespéré a décidé d’en finir avec la vie.
Il voudrait bien se suicider, mais il n’en a pas le courage.
Il cherche alors un moyen de se faire aider par la nature, lorsqu’il lui
vient une idée : Le tripot clandestin d’Al Capone se trouve juste en face
de chez lui…
Le soir même, le désespéré entre dans le « cabaret/maison de jeu/maison de
passe » et il se rend directement à la table du mafieux pour l’insulter :
« Monsieur Al Capone, vous
n’êtes qu’une crapule ! »
D’abord surpris, Al Capone est aussitôt pris d’une crise de fou rire et il
dit à ses lieutenants de ne pas bouger en même temps qu’il invite l’énergumène
à rester à sa table :
« Accepteriez-vous de boire une
coupe de champagne avec une crapule ? » lui demande-t-il.
En guise de réponse, le suicidaire attrape la coupe, lui balance le verre
à la figure et hurle :
« Al Capone, tu n’es qu’une
poule mouillée, un lâche ! Regarde ce que je vais faire maintenant ! »
Et le gars attrape alors la petite amie d’Al Capone, une grande blonde
dans une jupe fuseau très échancrée, et sans vergogne, il se met à l’embrasser
dans le cou.
Voyant qu’Al Capone ne bronche toujours pas, il continue en lui pelotant
les seins…
C’est à ce moment-là que la fille réagit et lui passe discrètement un
petit bout de papier. Sur le mot, il est écrit :
« Quand tu arriveras aux couilles,
ne dis rien.
Signé Eliott Ness. »
Deux prêtres papistes discutent entre eux :
« – Vous croyez qu’on verra le
mariage des prêtres de notre vivant ?
– Sûrement pas nous, mais
nos enfants, oui. »
Assis devant sa femme, Jean-Marc
est plongé dans la lecture de son journal.
Soudain, il lève le nez et la regarde en disant :
« – Dis-moi Germaine, d’après
toi, est-ce possible de communiquer avec les morts ?
– Mais oui…
– Comment ça ?
– Ça fait plus de 20 ans
que je communique avec toi. »
Une mère demande à son médecin de famille :
« – À quoi reconnaît-on qu’un
garçon est devenu un homme ?
– C’est très facile », répond le toubib. « Dès que l’enfant, lorsqu’il arrive devant
une flaque de boue, préfère la contourner plutôt que de sauter dedans à pieds
joints ! »
Énigme posée par Jean-Paul à Jean-Marc :
« – Comment reconnaît-on une
Cendrillon des temps modernes ?
– Facile ! C’est une fille qui baise
jusqu’à minuit puis se transforme en une pizza chaude et un pack de six bières
! »
Le gars, Gérard De Bellesjambes, faisait tout un plat avec son nom.
Il s’identifiait toujours comme « G De Bellesjambes ».
Suite à un accident, on doit lui amputer les deux jambes.
« Comment lui annoncer cela se
demande le docteur » ?
Soudain, il pense à un préposé à l’entretien qu’il connaît bien.
« – Peux-tu me rendre un
service…
– Mais oui. Pas de
problème, docteur. »
Le préposé désigné volontaire entre alors dans la chambre de Gérard.
Ce dernier lui tend la main en disant…
« – Bonjour, mon nom est G De
Bellesjambes.
– Ouui, bonjour !
moi c’est Yvon Tessier »
répond-t-il en lui serrant la main.
Trois touristes blancs sont faits prisonniers par une tribu de cannibales.
Le chef vient dans la hutte où ils sont détenus et dit :
« Chacun votre tour, vous serez
amenés devant les gens du village. Vous aurez le choix entre la « Pango-pango »
ou la mort pour avoir violé notre temple sacré. Toi, dit-il au premier,
suis-moi. »
En arrivant au centre du village, le chef lui dit :
« – Alors, quel est ton choix ?
– Je prendrai la « Pango-pango » ! »
Alors, un cri monte des gens et ils saisissent le gars, lui enlèvent ses
pantalons et le sodomisent chacun à son tour.
Le gars est ensuite ramené dans la hutte.
« Qu’est-ce qu’ils t’ont fait ?
C’est quoi, la « Pango-pango » ? »
Le gars, plus mort que vif, essaie de répondre :
« Euh, mal, très mal au cul, mais
au moins, je vis… »
Le chef entre et désigne le second :
« Toi, suis-moi ! »
Rendus au centre du village il dit au gars :
« – Quel est ton choix ? La « Pango-pango »
ou la mort ?
– La « Pango-pango » !
Mieux vaut ça que mourir. »
Même scénario, tous le sodomisent.
Le chef va chercher le troisième, l’emmène au centre du village et lui
pose la question :
« – Alors, ton choix à toi ? La
Pango-pango ou la mort ?
– J’ai vu mes 2 copains,
ils souffrent à mort, ne parlent plus, je vais prendre la mort. Je ne veux pas
souffrir comme eux ».
Alors le chef dit aux autres :
« Vous avez entendu son choix ?
Il en sera fait selon tes désirs. »
Et alors ils se mettent tous à crier bien fort :
« Ce sera la mort, PAR LA
« PANGO-PANGO » ! »
Jean-Marc entre à la pharmacie avec son fils âgé
de huit ans.
Ils passent devant l’étal des condoms…
« – Papa, c’est quoi des
condoms ?
– Les hommes utilisent
des condoms pour avoir une liaison sexuelle protégée…
– Ah bon… J’ai entendu
parler de ça par le professeur. Mais pourquoi il y en a trois dans un paquet ?
– Ça c’est pour les ados.
Un pour le vendredi, un autre pour le samedi et un troisième pour le dimanche
après-midi.
– Cool. Mais pourquoi il
y en a six dans les paquets, en haut, à gauche ?
– Ça c’est pour les gars
dans la vingtaine… Deux pour le vendredi, deux pour le samedi et deux pour le
dimanche.
– Hum. Mais pourquoi un
paquet avec douze ?
– Ça c’est pour les
hommes mariés… Un pour janvier, un pour février, un pour mars… »
(Oui, je sais, c’est une « revenue »,
mais largement modifiée, convenez-en.)
Et on termine par une « variante » d’une autre « revenue » :
Un médecin dit à une patiente :
« Écoutez, chère madame, il va
falloir que je vous prenne la température ! »
La patiente lui répond :
« – D’accord mais je suis très
sensible !
– Si vous voulez, le
thermomètre, je vous le mets dans la bouche ?
– Ah non ! Pas dans la
bouche !
– Peut-être que je
pourrais vous le mettre sous le bras ?
– Ah non ! Pas sous le
bras, ça va me chatouiller !
– Bon, écoutez ! Je vais
vous le mettre dans le nombril !
– Dans le nombril, je
veux bien ! Mais on éteint la lumière parce que je suis très timide ! »
Le toubib éteint la lumière et elle lui dit :
« Mais, docteur… ce n’est pas
le nombril, là ! »
Et le médecin de répondre :
« C’est pas grave, c’est pas le
thermomètre ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
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