Et
diverses…
Photographe : Yakapa bougé
Porte d’entrée : Nakasoné
Homme marié : Téfoutu
Homme trompé : Tekoku
Homme divorcé : Tanana Takité
Homme enragé : Yétisoké
Homme enragé noir : Yékomfou
Minijupe : Ytatouvu
Préliminaires : Tâ-katâté
Moto en panne : Yamamoto Kadérapé
Marteau : Garatédua
Reins : Oraduku
Femme enceinte : Ymanéké
Femme pas enceinte : Takarataké
Odeur nauséabonde : Kikiapété
Soixante-neuf : Kisuski
Déshabille-toi : Takatoutoté
Pudding : Mokaraté
Pigeon : Ytchidsu
Humoriste : Nostidfou
Se prendre pour un autre : Karaoké
Dentiste : Yotékari
Danseur : Yétitounu
Voleur : Yamamonè
La suite, à suivre…
Deux femmes, mariées depuis une
vingtaine d’années, discutent de leurs maris :
« – Le mien, il est toujours en voyage, je dois le voir un mois par
année.
–
Hum, je vois, ce n’est pas toujours facile…
– En
effet, mais je dois dire qu’un mois, ça passe quand même assez vite. »
Conseil d’un père à son fils qui se
marie pour une troisième fois :
« Bon, écoute, ne va pas lui raconter tous les coups bas que tes deux
premières femmes t’ont donné. Inutile de lui donner des idées. »
Jean-Marc et Jean-Paul sont à la brasserie
depuis midi.
Il est 17 heures et ils sont givrés.
Soudain, Jean-Marc remarque les chaussures de Jean-Paul… et il hurle de
rire !
« – Bon Dieu ! Tu as en une
marron et l’autre noire. Ça doit être rare. Tu as acheté ça où ?
– Pas si rare, j’ai une
autre paire à la maison. »
« Je suis fière de mon fils »
dit une maman à sa voisine.
« – Ah ouiiiii ? Pourrrrrqouaaa
?
– Ça t’en bouche un coin,
hein ! Il travaille à Air-France.
– Wow ! Il vole ?
– Ben oui, un outil par
ici, un outil par là… »
« On a le droit de dire du mal
des femmes, ou des hommes, mais on n’a pas le droit de dire du mal d’une femme,
ou d’un homme. »
Jean-Paul déprime complètement et se dit que sa vie ne vaut plus rien.
Jean-Marc arrive et lui lance :
« – Allez… Tu as bien quelque
chose de positif dans ta vie ?
– Oui. Mon test HIV ! »
C’est la période des examens à la fac.
Une étudiante, talons aiguilles et chandail moulant, entre dans le bureau
du prof et ferme la porte.
Elle s’élance à ses pieds…
« Monsieur, je suis prête à
tout pour avoir mon examen ! »
Elle enroule ses bras autour des jambes de l’homme, colle sa tête sur sa cuisse
et le regarde droit dans les yeux, l’œil chaud, la bouche humide.
« – Je vous le dis. Je dois
réussir. Je veux réussir.
– Vous avez dit tout ?
– Oui.
– Vraiment ?
– Ah oui…
– Que diriez-vous
d’étudier ? »
Tous les matins, Jean-François, mange un œuf à la coque. Il en attrape même le teint jaunâtre.
Son père décide d’aller voir le toubib du village avec son fils et lui
explique la situation !
Le toubib dit à Jean-François : « Tu
dois absolument arrêter de manger des œufs mon garçon, c’est très
mauvais pour ton foie ! »
Le lendemain matin, au petit déjeuner :
« – Alors fiston, tu veux quoi ?
– Un œuf, Papa, s’il te plaît !
– Non pas question, tu
mangeras de la confiture ! »
Jean-François, furibard, quitte la table et file à l’école.
Le surlendemain même chose !
Le père réfléchit sur ce problème, et trouve la solution !
Il descend un peu plus tôt, perce un petit trou avec une aiguille dans l’œuf, le gobe, et remet l’œuf vide, dans le coquetier.
Jean-François, tout content de voir son œuf, prend sa petite cuillère, tape sur la coquille et rien !
Vide !
Le père :
« – Qu’est-ce que tu veux manger
Jean-François ?
– De la confiture ! »
Le lendemain même topos, il prend sa petite cuillère, tape, rien, vide !
Surlendemain : Toujours, rien, vide !
Alors Jean-François, se dirige dans la basse-cour, saisi le coq par son
cou, et lui dit :
« Toi si je t’attrape encore à
baiser, avec des préservatifs ça va être ta fête ! »
Jean-Paul est désespéré. Son meilleur copain, Jean-Marc, trouve tous les trucs pour ne pas lui rembourser les 12.000
€ qu’il lui doit.
Dans l’espoir de l’amadouer, il lui envoi par la poste sa photo avec sa
femme, et leurs trois enfants, avec en légende :
« Voici pourquoi j’ai tant
besoin de cet argent. Je dois m’occuper d’eux ».
Par le retour du courrier, il reçoit une photo de son Jean-Marc, couché
sur le sable, avec sa nouvelle blonde, Contraception, avec en légende :
« Voici pourquoi je ne peux pas
te rembourser ».
Une petite fille, très méééééééchante, dit à la petite fille très laide…
« – Tu sais ce qui t’arrivera
quand tu seras grande ?
– Non.
– Rien. »
Une femme discute avec le curé.
Elle vient de perdre son mari.
« – 750 € pour la messe ? Mais
c’est cher. Je ne veux pas payer ça.
– Bon, on peut enlever la
chanteuse.
– Parfait. Et encore ?
– On peut enlever
l’orgue.
– Parfait.
– On peut enlever un rang
de lampions.
– Un rang…?
– Oui, j’avais prévu cinq
rangs de lampions, et …
– Enlevez-moi tout ça !!!!
– Mais ça va être triste.
– Triste vous dites ? Il
n’y a rien d’amusant là-dedans, il ne m’a rien laissé ! Ça c’est triste ! »
Une vieille dame vient de mourir.
Sa fille, une religieuse, a beaucoup de peine, et elle prie le Seigneur…
« Seigneur, ma mère était si
bonne, faites que la vie revienne dans cette chambre… »
Aussitôt, la peau de l’ours qui servait de tapis au pied du lit se
réveille… et l’ours mange la religieuse et sa mère.
Morale de l’histoire : Méfiez-vous des miracles !
Un pompier, en entrant à la maison, dit à sa femme…
« – Tu sais, à la caserne, on a
un système efficace.
À la première sirène, on
s’équipe ; à la deuxième sirène, on se laisse glisser le long du mat ; à la
troisième, faut qu’on soit prêt à partir dans les camions.
– OK ! Désormais, on
va faire pareil à la maison… Quand je dis “première sirène”, tu te déshabilles
; quand je dis “deuxième sirène”, tu sautes dans le lit ; et quand je dis “troisième
sirène”, on s’y met pour la nuit… »
Le soir suivant, le pompier rentre de la caserne et hurle :
« Première sirène ! »
Sa femme se déshabille en vitesse.
« Deuxième sirène ! »
Sa femme plonge sous les couvertures.
« Troisième sirène ! »
Ils commencent à faire l’amour.
Après deux minutes d’activité, sa femme hurle :
« – Quatrième sirène !
– C’est quoi la quatrième
sirène ?
– Rajoute du tuyau, t’es
trop loin du feu ! »
Jean-Marc se confesse au curé.
« – Mon Père, pardonnez-moi
parce que j’ai pêché. J’ai presque eu une relation avec une femme en dehors du
mariage, presque…
– Qu’est-ce que vous
entendez par « presque » ?
– Ben, on s’est
déshabillé, puis on s’est frotté l’un contre l’autre, et puis je me suis
ressaisi et j’ai tout arrêté.
– Écoutez mon fils, pour
moi, se frotter nu l’un contre l’autre, c’est la même chose que d’aller
jusqu’au bout de l’acte et « de le mettre dedans ». Alors je vais vous dire une
bonne chose ; vous direz 5 « Je vous salue Marie » et vous mettrez 20 € dans le
tronc des pauvres ! »
Jean-Marc quitte le confessionnal et s’en va un peu plus loin pour prier
et se repentir.
Puis il va vers le tronc des pauvres, sort un billet, et s’apprête à
partir lorsque le curé l’interpelle :
« – Hé je vous ai vu ! Vous n’avez pas mis votre billet dans le tronc des pauvres !
– Mais Mon Père, j’ai frotté le billet contre la boite, et vous venez de me dire que c’est comme si je l’avais mis dedans… »
Le policier interroge la secrétaire de direction :
« – Avez-vous une idée sur les motifs qui auraient pu pousser votre patron à se jeter par la fenêtre ?
– Non, je ne sais pas », répond-elle en sanglotant.
« – Il était tellement gentil avec moi. Il y a deux mois, il m’a offert un vison ; le mois dernier, un rubis rouge et, hier encore, un solitaire absolument magnifique. Tenez, regardez, je l’ai au doigt !
– Quand lui avez-vous parlé la dernière fois ?
– Tout à l’heure. Il m’a demandé ce qui me ferait plaisir pour que je lui accorde mes faveurs.
– Que lui avez-vous répondu ?
– Que je demandais 100 € d’augmentation aux autres employés. »
Le fils d’un rabbin vient d’obtenir son permis de conduire.
Il est âgé de 18 ans.
Et il demande à son père s’il peut utiliser l’auto familiale.
« Je vais passer un marché avec toi. Tu obtiens ton bac, tu viens m’aider à la synagogue une fois par semaine, tu coupes tes cheveux plus courts, et tu auras le droit d’utiliser la voiture. »
Deux mois plus tard, le fils a obtenu son bac et il revient voir son père qui lui dit :
« – Je suis vraiment fier de toi. Tu as eu ton bac, tu es venu m’aider à exercer le culte, mais tu ne t’es pas encore coupé les cheveux !
– Tu sais papa, j’ai beaucoup réfléchi à ça, et je me suis dit que Samson avait des longs cheveux, Moïse avait des longs cheveux, Noé avait des longs cheveux. Alors…
– Oui, mais ils ne roulaient pas en voiture. Tu as le choix. »
« Quel est le comble de l’avarice ?
Refuser de partager une opinion. »
Bon week-end à toutes et tous !
I3
« – Hé je vous ai vu ! Vous n’avez pas mis votre billet dans le tronc des pauvres !
– Mais Mon Père, j’ai frotté le billet contre la boite, et vous venez de me dire que c’est comme si je l’avais mis dedans… »
Le policier interroge la secrétaire de direction :
« – Avez-vous une idée sur les motifs qui auraient pu pousser votre patron à se jeter par la fenêtre ?
– Non, je ne sais pas », répond-elle en sanglotant.
« – Il était tellement gentil avec moi. Il y a deux mois, il m’a offert un vison ; le mois dernier, un rubis rouge et, hier encore, un solitaire absolument magnifique. Tenez, regardez, je l’ai au doigt !
– Quand lui avez-vous parlé la dernière fois ?
– Tout à l’heure. Il m’a demandé ce qui me ferait plaisir pour que je lui accorde mes faveurs.
– Que lui avez-vous répondu ?
– Que je demandais 100 € d’augmentation aux autres employés. »
Le fils d’un rabbin vient d’obtenir son permis de conduire.
Il est âgé de 18 ans.
Et il demande à son père s’il peut utiliser l’auto familiale.
« Je vais passer un marché avec toi. Tu obtiens ton bac, tu viens m’aider à la synagogue une fois par semaine, tu coupes tes cheveux plus courts, et tu auras le droit d’utiliser la voiture. »
Deux mois plus tard, le fils a obtenu son bac et il revient voir son père qui lui dit :
« – Je suis vraiment fier de toi. Tu as eu ton bac, tu es venu m’aider à exercer le culte, mais tu ne t’es pas encore coupé les cheveux !
– Tu sais papa, j’ai beaucoup réfléchi à ça, et je me suis dit que Samson avait des longs cheveux, Moïse avait des longs cheveux, Noé avait des longs cheveux. Alors…
– Oui, mais ils ne roulaient pas en voiture. Tu as le choix. »
« Quel est le comble de l’avarice ?
Refuser de partager une opinion. »
Bon week-end à toutes et tous !
I3
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire