La
preuve
Jean-Marc lit le journal et dit à son épouse :
« – Savais-tu que les femmes
utilisent 30.000 mots par jour et les hommes 15.000 ?
– C’est facile à
expliquer, il faut toujours répéter deux fois la même chose aux hommes. »
Jean-Marc se retourne vers elle et dit :
« Quoi ? »
Jean-Marc dit à son épouse :
« – Comment le bon Dieu a-t-il
pu te faire aussi belle et aussi stupide à la fois ?
– Laisse-moi t’expliquer
: Dieu m’a faite belle pour t’attirer. Et il m’a faite assez stupide pour que
je te garde. »
« – Pourquoi les hommes penchent-il
la tête quand ils réfléchissent ?
– Pour que ses deux
neurones entrent en contact. »
« – Pourquoi les hommes ont-ils
la conscience tranquille ?
– Parce qu’ils ne l’ont
jamais utilisée. »
« – Pourquoi les hommes
aiment-ils autant les voitures et les motos ?
– Celles-là au moins, ils
peuvent les manipuler. »
« – Pourquoi un si grand nombre
de femmes conduisent mal ?
– Parce que les moniteurs
sont des hommes… »
« – Quelle est la différence
entre un homme et une tasse de café ?
– Aucune, les deux tapent
sur les nerfs. »
« – Quelle est la différence
entre un homme et un chat ?
– Aucune, tous deux sont
paresseux et ont peur de l’aspirateur. »
« – Comment appelle-t-on un
homme intelligent, sensible et beau ?
– Un homosexuel. »
« – Quel est le point commun
entre les nuages et les hommes ?
– Quand ils s’en vont, on
peut espérer une belle journée. »
« – Quel est le point commun
entre les hommes qui fréquentent les bars pour célibataires ?
– Ils sont tous mariés. »
« – Quelle est la différence
entre un homme, une cravate et une ceinture ?
– La ceinture serre la
taille, la cravate serre le cou, l’homme sert à rien. »
« – Quelle est la différence
entre le cerveau d’un homme et une olive ?
– La couleur. »
« – Que doit faire une femme
quand son mari court en zigzag dans le jardin ?
– Continuer à tirer. »
« – Pourquoi les hommes ont-ils
les jambes arquées ?
– Les choses sans
importance sont toujours mises entre parenthèses… »
Jean-Paul est ramené chez lui par Jean-Marc,
son compagnon de beuverie.
Le gars arrive à la porte de sa maison, mais il éprouve les pires
difficultés avec la serrure.
« T’es sûr que c’est ici que tu
habites ? » lui demande Jean-Marc qui semble un peu plus lucide.
« – Bien sûr…
– Vas-y, prends la clé et
ouvre parce que moi j’y arrive pas, je te le prouverai que j’habite ici ! »
Une fois à l’intérieur, Jean-Paul indique à son pote :
« Tu vois ce piano, là, c’est à
moi ; et tu vois cette télé là-bas, c’est à moi aussi ! »
Puis il invite Jean-Marc à le suivre.
Il ouvre la porte d’une pièce et il dit :
« – Tiens tu vois, là, c’est ma
chambre. Tu vois ce lit, c’est mon lit. Tu vois la femme couchée dans ce lit,
c’est ma femme. Et tu vois le gars couché à côté d’elle ?
– Ouais », fait Jean-Marc d’un air soupçonneux.
« Ben c’est moi ! »
« 12,50 € + 12,50 € font combien » demande le prof ?
Jean-Marc lève immédiatement la main.
« – Oui Jean-Marc ?
– Une caisse de 24 chez l'épicier. Je le sais car mon grand frère et mon père me donnent toujours ça
pour aller chercher leur bière… »
« – Ici », dit la
maîtresse de maison à sa nouvelle bonne, « nous avons l’habitude de manger les restes.
– Bien madame, je vais
vous garder les restes. »
Deux copines d’université se rencontrent quelques années plus tard.
« – Hein ? Quoi ? Toi ? Qui était
athée, tu me dis que tu t’es convertie à la religion ? Pas possible…
– J’te jure, mon mari m’a
fait découvrir l’Enfer. »
Jean-Marc et une fille se fréquentent depuis
quatre mois.
Un vendredi soir, ils se retrouvent dans un bar après le boulot.
Après quelques verres ils décident de s’attabler dans un petit resto.
Après, ils passent la nuit chez lui.
Sa version à elle :
« Il était d’une humeur bizarre
quand je l’ai rejoint au bar. J’ai cru un moment que c’était parce que j’étais
un peu en retard mais il n’a rien dit à ce sujet.
Notre conversation était
lente et peu motivée donc j’ai pensé qu’un resto serait plus sympa pour pouvoir
discuter plus intimement. Au resto, il était toujours distant. J’ai essayé de
le divertir, de le faire rire mais ça n’a fait aucune différence. Je lui ai
demandé si le problème venait de moi mais il a répondu que non.
Dans le taxi qui nous
ramenait chez lui, je lui ai dit que je l’aimais et il a simplement mis son
bras autour de moi. Je ne sais pas ce que ça veut dire car il ne m’a pas dit
qu’il m’aimait en retour.
Quand nous sommes arrivés
chez lui je me suis même demandé s’il n’allait pas me plaquer. J’ai essayé de
lui demander et il a allumé la télé.
Un peu réticente quand
même, je lui ai dit que j’allais me coucher. Après 10 minutes il m’a rejoint et
nous avons fait l’amour. Il semblait toujours distrait, à tel point que je ne voulais
qu’une chose : Rentrer chez moi.
Je ne sais plus vraiment
ce qu’il pense. Je me demande s’il a rencontré quelqu’un d’autre … »
Sa version à lui :
« Journée de merde au boulot,
mais au moins j’ai tiré un coup à la maison. »
« – Je n’ai presque plus de
cheveux » dit Jean-Marc à
son barbier, « et j’ai à peine 40
ans. Qu’est-ce que vous me conseillez ?
– Dans votre cas… hum …
des prières ou de la magie. »
« Mon mari est extraordinaire »
dit une jeune femme à sa copine qu’elle n’a pas revu depuis quelques mois.
Elles se sont mariées le même jour.
« – Il ne me laisse même pas
faire la cuisine.
– Incroyable ! Mais tu
pourrais insister pour qu’il te laisse faire un peu. Non ?
– Mais oui, j’ai essayé.
Hier encore, je lui ai offert de faire bouillir un bon petit steak, et il a
refusé… »
« Une nuit d’amour, ça dure un
quart d’heure. »
« Nous nous tenons toujours la
main : Tu comprends Jean-Marc, si je
la lâche, elle fait du shopping. »
Jean-Marc est très souvent victime d’une
érection vigoureuse et quasi permanente.
Il se décide enfin à consulter un spécialiste.
Par pudeur, il choisit un médecin femme (il ne veut pas être vu par un
homme) et par discrétion, il la choisit (le médecin femme) à l’autre extrémité
de la ville.
Une fois dans le cabinet, il explique son cas et demande :
« – Docteur que pouvez-vous
pour moi ?
– Il faut que j’étudie la
question, revenez demain vers 16 h 00. »
Le lendemain, à 16 h 00 il est de retour.
« – Alors docteur qu’avez-vous
à me proposer ?
– Écoutez. J’en ai
discuté avec ma sœur, on vous propose 2.000 € par mois logé, nourri et blanchi. »
« Mon grille-pain n’a que deux
positions : Trop grillé, pas assez grillé ».
« C’est quand même étonnant de
voir comment l’argent aide à supporter la pauvreté. »
« On doit avoir une confiance
absolue dans la médecine… quand on n’est pas malade. »
« – Alors » dit Jean-Marc à Jean-Paul, « tu as déménagé ?
– Non !
– Mais pourtant, dans le
journal, il y avait le mot VENDU, en rouge, sur la photo de ta maison.
– C’est exact. Mais quand
j’ai lu la description de la maison, j’ai sauté sur l’occasion, car c’est ce
que je cherchais depuis des années. Une aubaine. »
« Après 60 ans, lorsque tu n’as
mal nulle part, c’est que tu es mort. »
La maman demande au fils de Jean-Marc ce qu’il a appris au catéchisme.
« – Monsieur le curé nous a
raconté comment le général Moïse avait conduit l’armée israélienne à travers
l’Égypte jusqu’à la Terre Promise : Comme les Israéliens arrivaient au bord de
la Mer Rouge, Moïse a arrêté la colonne et a vu les tanks et les Jeeps
Égyptiennes juste derrière eux.
Alors il a pris son
talkie-walkie et a appelé la marine israélienne pour qu’elle construise un pont
flottant sur le bras de la Mer Rouge.
Une fois le pont
construit, le général Moïse donna l’ordre à son armée de rouler sur le pont, et
une fois que tout le monde fut de l’autre côté, il regarda les Égyptiens
emprunter le pont eux aussi, puis, lorsqu’ils furent à mi-parcours, il prit son
talkie-walkie et demanda à l’armée de l’air israélienne de bombarder le ponton…
Et les Égyptiens sont tous morts noyés.
– Allons, allons mon
chéri ! Pourquoi est-ce que tu ne dis pas comment monsieur le curé a dit
que l’histoire s’était réellement passée ?
– Ben, moi je veux bien,
mais tu ne me croirais pas… »
Un extra-terrestre Ummo entre dans un casino et il est saisi d’effroi
devant les machines à sous.
« Comment de si jolies filles
peuvent vivre dans un endroit pareil ! »
« La vie ne cesse pas d’être
drôle quand quelqu’un meurt, et elle ne cesse pas d’être sérieuse quand
quelqu’un rit. »
Bon week-end à toutes et tous !
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