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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 27 juillet 2017

Le bal des « has-been »


Je ne sais pas lequel est le plus drôle

Mais ils sont magnifiques, pensez donc. Et ils n’ont pas fini de nous étonner.
Qu’on fasse un « petit-inventaire », juste pour en rire : « Bling-bling », le premier d’entre tous, qui s’est pris une mandale magnifique aux primaires de la « Droâte & du Centre », qui croyait pourtant à toutes ses chances, notamment depuis l’élection d’un « Républicain » (un vrai et pas un des siens… appel du pied à peine déguisé !), lui l’héritier infatué des « Boubouches », mais qui n’aura pas vu qu’il s’agit d’un clown.
Il la ferme « total », sauf qu’il « consulte » en permanence…

« Fifi-le-souteneur », lui aussi « vidé » comme un malpropre : Il la ferme, se fait tout petit et tente de décrypter ce qui lui arrivé pour une élection « dans des pantoufles » qui aura été totalement ratée.
On aura sa vision « étriquée » par la suite, vraisemblablement sous forme d’un bouquin.

« Juppette », qui se tait, « Menuet-Valse » qui tente de se raccrocher aux branches, un pied ici, un bras là.
« Marinella-tchi-tchi » qui ne sait même plus comment elle s’appelle et s’en remet « aux militants ».
Justement, les militants de « REM-même-pas-en-rêve » qui ne savent même plus pour qui ils marchent, ni encore moins vers quoi : C’est beau les effets de la « dictature douce » !

Et puis encore d’autres plus « célèbres » : « Bébé-Roux », « Mariole-de-serre-nez » et quelques autres du « Mac-Modem », priés d’aller se faire voir.
Et qui ressassent d’avoir été les cocus de l’affaire…
Naturellement le CEMA « Deux-Villes-Liées », à peine renommé, confirmé dans ses fonctions, piégé comme un bleu par « Jupiter-Mak-Rond » : Là, pour un « stratège » de formation, c’est quand même inquiétant…
Mais pas seulement.

Moi, j’ai noté encore plus drôle, que la semaine dernière, « Rachi-dada-Mimi », député européenne et maire du 7ème-Parigot-sur-plage, s’est réveillée pour déverser son fiel sur toutes ses anciennes idoles du temps où elle gardait encore les « sots » et alignait les juges comme des « petit-pois ».
Qu’elle te vous raconte ses prises de bec mémorables avec son meilleur ennemi, « Brice-Boute-feu », le psychodrame qui s’est noué autour de l’identité du père de sa fille « Zaza », allant jusqu’à sa mise sur écoute par le premier cercle « Bling-bliguesque » : « Pendant la dernière campagne présidentielle (…), je montais dans l’avion avec lui, mais je le saluais en disant : “Bonjour, le guignol”, puis je disais : “Vous ne trouvez pas que ça sent le nazi ici?” Le grand facho, il se cachait derrière son journal, les hôtesses étaient mortes de rire ! ». 

Elle dégouline de haine également sur « Haine-qu’à-Aime » : « Elle a été élevée comme la huitième merveille du monde, tout ce qu’elle fait est parfait, et tout ce qui ne va pas, c’est la faute des autres. L’armoire de mon bureau a pour moi plus d’intérêt qu’elle. ».
Là, elle se goure : Pour avoir croisé son père, élu de la très cossue commune de Sèvres, décédé depuis, il en disait que c’était une konne…
Même « Bling-bling » en prend pour son grade : « Il me tapait dans le dos comme un copain de régiment, et moi je l’appelais “Jean-Claude Dusse”. Je sais tout de Sarkozy. On est partis en vacances ensemble, je l’accompagnais dans tous ses voyages. Il disait: “On emmène Dati, c’est drôle.” ».
« En fait », résume-t-elle, « en souriant, je lui écrase la figure puis je relâche le talon, pour qu’il ait bien compris le message. »
Ambiance…
Bien de sa zone, celle-là : Mon expérience, à quelques exceptions notables près, m’a toujours confirmé… « l’ambiguïté » de cette culture qui n’est pas la mienne.

Mais la meilleure – en termes de « come-back » des « has-been », – ça reste « Tagada-à-la-fraise-des-bois ».
Dit aussi « Gras-nul-laid », « ex-capitaine-de-pédalo » en chef…
Sa nouvelle vie a commencé, et depuis, il oscille entre la Corrèze et « Paris-sur-la-plage », où il a investi plus de 300 mètres carrés de bureaux et où il prendra dès la rentrée la tête de la fondation « La Frange s’engage ».
Il paraît que l’une de ses préoccupations reste l’avenir du « P.soce » et lui aussi « consulte »… Il faudrait que je lui fasse une « bafouille » pour l’éclairer : Qu’il se rassure, l’avenir du « P.Soce » est derrière lui !
Il n’empêche à Arles il n’a pas pu ne pas se vanter et vanter son bilan à la tête de l’État.
Décoiffant.

« Dans certaines périodes l’impopularité est nécessairement au rendez-vous », et il faut espérer que « l’Histoire vous rende justice », a-t-il philosophé.
« Moi je crois que pour tout président, même celui qui a fait quatorze ans de mandat, (…), je suis sûr que quand il est parti il avait quand même de la frustration. L’idée que l'on aurait pu faire davantage, oui, l’idée que les résultats auraient pu apparaître plus tôt, sans doute. Finalement sur un septennat c’était possible ».
Il a oublié, dans « autisme-personnel », que « Mythe-errant » en a fait deux et globalement entrecoupés des deux premières cohabitations de l’Histoire…
Pas vraiment une réussite.
Plus tôt dans la journée, l’ex-chef de l’État avait plus directement loué son bilan devant la presse : « Le temps de la récolte arrive, on le voit bien. J’avais encore sous les yeux des statistiques sur les créations d’emplois au cours du premier semestre, je laisse une situation qui, je crois, peut être utile à mon successeur ».
Magnifique de trisomie-appliquée, non ?

Les déficits jamais réduits, même quand il a pu dire qu’ils étaient résorbés, l’écrasement fiscal du « bon peuple des gauloisiens », les décès de dizaines de milliers d’entreprise, la destruction achevée du tissu industriel, l’endettement record et « l’insincérité » des comptes publiques pointés par la Cour des comptes, c’est quoi au juste ?
Punaise de gourgandine, moi je me permettrais de seulement oser présenter des comptes faux, même à la marge, des budgets bancales, je m’en prendrai plein la gueule, devant mes mandants, devant mes commissaires aux comptes, devant mes censeurs, devant les juridictions devant lesquelles on me trainerait pour « tromperie », « abus de confiance » et je ne sais quelle autre turpitude lourdement sanctionnée pénalement en passant par la case prison et « grosse-amende »…
On ne doit décidément pas vivre sur la même planète !

Il aurait mieux fait de s’en tenir à son « devoir de réserve » et à sa décision rapportée « qu’il ne souhaitait pas se prononcer sur le bilan de son quinquennat tout de suite ». Deux mois et demi après avoir quitté l'Élysée, volte-face, le kon !
Ça le démangeait…
Et encore le très classique : « Depuis que je suis sorti de l’Élysée, j’ai voulu à travers une fondation susciter des vocations pour l’engagement, pour l’initiative, et faire qu’un certain nombre de projets qui peuvent avoir des difficultés à émerger mais qui ont des impacts sociaux, culturels, puissent être soutenus financièrement, humainement ».
Il devrait aller faire un tour chez « Miels » et sa plateforme « F »…
Notez que « Mak-Rond » y a déjà laissé « sa marque » comme les chiens pissent sur les réverbères en y laissant son célèbre « gens de rien »… 

« Vous me demandez ce que peut faire un ancien président… C’est aussi, à l’échelle internationale, continuer à porter son expérience, (et) notamment sur les questions dont j’ai eu la charge – je pense au Moyen-Orient (la belle réussite d’une guerre civile qui n’en finit pas, de la porte ouverte aux Russes), à l’Afrique et ses mouvements terroristes, pas moins de trois maintenant…), je pense à l’Irak en ce moment –, justement permettre des solutions qui (pourront aider à) rassembler, (à) installer une paix durable ».
Ouille-ouille, les pôvres !
Mais qu’il se casse et envoie « Bé-hache-elle » comme « Bling-bling » a pu le faire en Libye après s’y être essayé en Géorgie…
Lui, on ne l’a pas beaucoup entendu sur l’Ukraine, le Donbass, l’Afghanistan, chez les « Pak-paks », sur la Corée, la mer de Chine et j’en passe…

D’autres préfèrent s’en amuser, finalement : « C’est un ancien président de la République qui n’aurait pas oublié ses réflexes de premier secrétaire. Il est toujours attentif et vigilant à ce qui se passe ».
Et lui d’ajouter : « Les pages on en écrit toujours, d’abord je vais écrire un livre, si vous parlez de pages, voilà les pages que je vais remplir », a-t-il répondu à celui qui lui demandait s’il avait « tourné la page Élyséenne ».
De toute façon, de son point de vue, il « n’a pas tourné la page de l’idée de la social-démocratie à la » Gaulosienne.
Je vais vous dire, je ne savais même pas que ça existait comme d’une référence…
Même internationale.
Il est « normal » (lui !) qu’il « ne ferme pas la page », même si la question du passage de relai à une « nouvelle génération » se pose légitimement.
Oui c’est ça : Quand on s’est pris pour un cador et qu’on n’a même pas été capable d’assurer le service-minimum, qu’on a oublié tous ses « ennemis-qui-ne-votent-pas » jusqu’à en prendre un « dégé-adjoint » auprès de soi et qui réussit le « grand-schlem » sans prévenir, qu’on a même pas eu le courage d’y mettre de l’ordre en se représentant – tellement le bilan est nul sur tous les plans – laissant ainsi exploser le « P.Soce » dont on a été le secrétaire général durant 10 années à travers des primaires mortifères, à mon sens, on ne la ramène pas.
Ou alors, c’est juste pour me faire rire.
Mais je n’en demande pas tant non plus.

C’est finalement assez fantastique d’être un « has-been » (il faudra que j’essaye un jour) : On peut se permettre n’importe quoi, sans une once de bon sens. Pointer ses faiblesses et faire l’inventaire de ses échecs, c’est avouer son incompétence-crasse.
Je ne sais pas comment ça fonctionne un cerveau de « mégalo » : Mes échecs – parce que j’en ai eus – je ne les dis pas. Je mets en valeur seulement mes « brillantes » réussites : Ça tient déjà pas mal de temps la densité et l’intérêt d’une conversation et en plus, c’est flatteur.
Bé, pas eux…
Triste époque.

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