Je ne sais pas lequel est le plus drôle
Mais ils sont
magnifiques, pensez donc. Et ils n’ont pas fini de nous étonner.
Qu’on fasse un
« petit-inventaire », juste pour en rire : « Bling-bling »,
le premier d’entre tous, qui s’est pris une mandale magnifique aux primaires de
la « Droâte & du Centre », qui croyait pourtant à toutes ses
chances, notamment depuis l’élection d’un « Républicain » (un vrai et
pas un des siens… appel du pied à peine déguisé !), lui l’héritier infatué
des « Boubouches », mais qui n’aura pas vu qu’il s’agit d’un clown.
Il la ferme « total »,
sauf qu’il « consulte » en permanence…
« Fifi-le-souteneur »,
lui aussi « vidé » comme un malpropre : Il la ferme, se fait
tout petit et tente de décrypter
ce qui lui arrivé pour une élection « dans des pantoufles » qui aura
été totalement ratée.
On aura sa
vision « étriquée » par la suite, vraisemblablement sous forme d’un
bouquin.
« Juppette »,
qui se tait, « Menuet-Valse » qui tente de se raccrocher aux branches,
un pied ici, un bras là.
« Marinella-tchi-tchi »
qui ne sait même plus comment elle s’appelle et s’en remet « aux militants ».
Justement, les
militants de « REM-même-pas-en-rêve » qui ne savent même plus pour
qui ils marchent, ni encore moins vers quoi : C’est beau les effets de la « dictature
douce » !
Et puis encore
d’autres plus « célèbres » : « Bébé-Roux », « Mariole-de-serre-nez »
et quelques autres du « Mac-Modem », priés d’aller se faire voir.
Et qui ressassent
d’avoir été les cocus de l’affaire…
Naturellement
le CEMA « Deux-Villes-Liées »,
à peine renommé, confirmé dans ses fonctions, piégé comme un bleu par « Jupiter-Mak-Rond » :
Là, pour un « stratège » de formation, c’est quand même inquiétant…
Mais pas
seulement.
Moi, j’ai noté
encore plus drôle, que la semaine dernière, « Rachi-dada-Mimi »,
député européenne et maire du 7ème-Parigot-sur-plage, s’est
réveillée pour déverser son fiel sur toutes ses anciennes idoles du temps où
elle gardait encore les « sots » et alignait les juges comme des « petit-pois ».
Qu’elle te
vous raconte ses prises de bec mémorables avec son meilleur ennemi, « Brice-Boute-feu »,
le psychodrame qui s’est noué autour de l’identité du père de sa fille « Zaza »,
allant jusqu’à sa mise sur écoute par le premier cercle « Bling-bliguesque » :
« Pendant la dernière campagne
présidentielle (…), je montais dans
l’avion avec lui, mais je le saluais en disant : “Bonjour, le guignol”, puis je
disais : “Vous ne trouvez pas que ça sent le nazi ici?” Le grand facho, il se
cachait derrière son journal, les hôtesses étaient mortes de rire ! ».
Elle dégouline
de haine également sur « Haine-qu’à-Aime » : « Elle a été élevée comme la huitième
merveille du monde, tout ce qu’elle fait est parfait, et tout ce qui ne va pas,
c’est la faute des autres. L’armoire de mon bureau a pour moi plus d’intérêt
qu’elle. ».
Là, elle se
goure : Pour avoir croisé son père, élu de la très cossue commune de
Sèvres, décédé depuis, il en disait que c’était une konne…
Même « Bling-bling » en
prend pour son grade : « Il me
tapait dans le dos comme un copain de régiment, et moi je l’appelais
“Jean-Claude Dusse”. Je sais tout de Sarkozy. On est partis en vacances
ensemble, je l’accompagnais dans tous ses voyages. Il disait: “On emmène Dati,
c’est drôle.” ».
« En fait », résume-t-elle, « en souriant, je lui écrase la figure puis je
relâche le talon, pour qu’il ait bien compris le message. »
Ambiance…
Bien de sa
zone, celle-là : Mon expérience, à quelques exceptions notables près, m’a
toujours confirmé… « l’ambiguïté » de cette culture qui n’est pas la
mienne.
Mais la
meilleure – en termes de « come-back » des « has-been », –
ça reste « Tagada-à-la-fraise-des-bois ».
Dit aussi « Gras-nul-laid »,
« ex-capitaine-de-pédalo » en chef…
Sa nouvelle
vie a commencé, et depuis, il oscille entre la Corrèze et « Paris-sur-la-plage »,
où il a investi plus de 300 mètres carrés de bureaux et où il prendra dès la rentrée
la tête de la fondation « La Frange s’engage ».
Il paraît que
l’une de ses préoccupations reste l’avenir du « P.soce » et lui aussi
« consulte »… Il faudrait que je lui fasse une « bafouille » pour
l’éclairer : Qu’il se rassure, l’avenir du « P.Soce » est derrière
lui !
Il n’empêche à
Arles il n’a pas pu ne pas se vanter et vanter son bilan à la tête de l’État.
Décoiffant.
« Dans certaines périodes l’impopularité est
nécessairement au rendez-vous », et il faut espérer que « l’Histoire vous rende justice », a-t-il
philosophé.
« Moi je crois que pour tout président, même
celui qui a fait quatorze ans de mandat, (…), je suis sûr que quand il est parti il avait quand même de la
frustration. L’idée que l'on aurait pu faire davantage, oui, l’idée que les
résultats auraient pu apparaître plus tôt, sans doute. Finalement sur un
septennat c’était possible ».
Il a oublié,
dans « autisme-personnel », que « Mythe-errant » en a fait
deux et globalement entrecoupés des deux premières cohabitations de l’Histoire…
Pas vraiment
une réussite.
Plus tôt dans
la journée, l’ex-chef de l’État avait plus directement loué son bilan devant la
presse : « Le temps de la récolte
arrive, on le voit bien. J’avais encore sous les yeux des statistiques sur les
créations d’emplois au cours du premier semestre, je laisse une situation qui,
je crois, peut être utile à mon successeur ».
Magnifique de trisomie-appliquée,
non ?
Les déficits
jamais réduits, même quand il a pu dire qu’ils étaient résorbés, l’écrasement
fiscal du « bon peuple des gauloisiens », les décès de dizaines de
milliers d’entreprise, la destruction achevée du tissu industriel, l’endettement
record et « l’insincérité » des comptes publiques pointés par la Cour
des comptes, c’est quoi au juste ?
Punaise de gourgandine,
moi je me permettrais de seulement oser présenter des comptes faux, même à la marge,
des budgets bancales, je m’en prendrai plein la gueule, devant mes mandants,
devant mes commissaires aux comptes, devant mes censeurs, devant les
juridictions devant lesquelles on me trainerait pour « tromperie », « abus
de confiance » et je ne sais quelle autre turpitude lourdement sanctionnée
pénalement en passant par la case prison et « grosse-amende »…
On ne doit décidément
pas vivre sur la même planète !
Il aurait
mieux fait de s’en tenir à son « devoir de réserve » et à sa décision
rapportée « qu’il ne souhaitait pas
se prononcer sur le bilan de son quinquennat tout de suite ». Deux
mois et demi après avoir quitté l'Élysée, volte-face, le kon !
Ça le
démangeait…
Et encore le
très classique : « Depuis que je
suis sorti de l’Élysée, j’ai voulu à travers une fondation susciter des
vocations pour l’engagement, pour l’initiative, et faire qu’un certain nombre
de projets qui peuvent avoir des difficultés à émerger mais qui ont des impacts
sociaux, culturels, puissent être soutenus financièrement, humainement ».
Il devrait
aller faire un tour chez « Miels » et sa plateforme « F »…
Notez que « Mak-Rond »
y a déjà laissé « sa marque » comme les chiens pissent sur les réverbères
en y laissant son célèbre « gens de rien »…
« Vous me demandez ce que peut faire un ancien
président… C’est aussi, à l’échelle internationale, continuer à porter son
expérience, (et) notamment sur les
questions dont j’ai eu la charge – je pense au Moyen-Orient (la belle
réussite d’une guerre civile qui n’en finit pas, de la porte ouverte aux
Russes), à l’Afrique et ses
mouvements terroristes, pas moins de trois maintenant…), je pense à l’Irak en ce moment –, justement permettre des solutions
qui (pourront aider à) rassembler,
(à) installer une paix durable ».
Ouille-ouille,
les pôvres !
Mais qu’il se
casse et envoie « Bé-hache-elle » comme « Bling-bling » a
pu le faire en Libye après s’y être essayé en Géorgie…
Lui, on ne l’a
pas beaucoup entendu sur l’Ukraine, le Donbass, l’Afghanistan, chez les « Pak-paks »,
sur la Corée, la mer de Chine et j’en passe…
D’autres
préfèrent s’en amuser, finalement : « C’est un ancien président de la République qui n’aurait pas oublié ses
réflexes de premier secrétaire. Il est toujours attentif et vigilant à ce qui
se passe ».
Et lui d’ajouter :
« Les pages on en écrit toujours, d’abord
je vais écrire un livre, si vous parlez de pages, voilà les pages que je vais
remplir », a-t-il répondu à celui qui lui demandait s’il avait « tourné la page Élyséenne ».
De toute
façon, de son point de vue, il « n’a
pas tourné la page de l’idée de la social-démocratie à la »
Gaulosienne.
Je vais vous
dire, je ne savais même pas que ça existait comme d’une référence…
Même
internationale.
Il est « normal » (lui !) qu’il « ne ferme pas la page », même si la
question du passage de relai à une « nouvelle
génération » se pose légitimement.
Oui c’est ça :
Quand on s’est pris pour un cador et qu’on n’a même pas été capable d’assurer
le service-minimum, qu’on a oublié tous ses « ennemis-qui-ne-votent-pas »
jusqu’à en prendre un « dégé-adjoint » auprès de soi et qui réussit
le « grand-schlem » sans prévenir, qu’on a même pas eu le courage d’y
mettre de l’ordre en se représentant – tellement le bilan est nul sur tous les
plans – laissant ainsi exploser le « P.Soce » dont on a été le
secrétaire général durant 10 années à travers des primaires mortifères, à mon
sens, on ne la ramène pas.
Ou alors, c’est
juste pour me faire rire.
Mais je n’en
demande pas tant non plus.
C’est
finalement assez fantastique d’être un « has-been » (il faudra que j’essaye un jour) : On
peut se permettre n’importe quoi, sans une once de bon sens. Pointer ses
faiblesses et faire l’inventaire de ses échecs, c’est avouer son
incompétence-crasse.
Je ne sais pas
comment ça fonctionne un cerveau de « mégalo » : Mes échecs –
parce que j’en ai eus – je ne les dis pas. Je mets en valeur seulement mes « brillantes »
réussites : Ça tient déjà pas mal de temps la densité et l’intérêt d’une
conversation et en plus, c’est flatteur.
Bé, pas eux…
Triste époque.
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