De
Luigi, encore !
Vous avez aimé le post de la semaine
dernière ?
Personne ne m’a encore fait procès pour humour
« sectaire » ?
J’attends, parce que Luigi, le pote de ma « secret-taire »
vénitienne est feuj !
Que ça risque de faire jurisprudence, en l’occurrence, quelle que soit la
décision…
Passons, je vous en remets une couche cette semaine !
Un juif religieux marche dans la rue, tout en méditant sur un passage
biblique.
Il perd l'équilibre en trébuchant sur un caillou, se rattrape juste à
temps, et se cogne la tête sur un poteau.
Il bénît alors le ciel pour ce caillou qui l'a évité de se blesser.
Il reprend ses prières et percute un autre poteau, au moment où il allait
heurter une femme enceinte.
Il bénît alors le ciel pour ce poteau qui l'a évité de blesser cette femme
enceinte.
Un peu plus tard, toujours absorbé par ses recueillements, il reçoit une
défécation d'oiseau sur le front.
Il lève à nouveau les yeux vers le ciel, et remercie le Maître du monde de
n'avoir pas donné des ailes… aux vaches
et aux chevaux.
Un curé demande au rabbin de faire un don pour la construction de sa
nouvelle église.
Ce dernier lui répond qu'il est impossible d'y participer, mais se dit
prêt à accorder une donation pour la destruction de la vieille église.
Deux mendiants sont assis à la sortie d’une église.
L'un deux a une croix, et l'autre une étoile de David.
Après la messe, les fidèles ne donnent qu'à celui qui porte une croix.
Alors arrive le prêtre, qui s'adresse au mendiant portant l'étoile de
David :
« J'observe, cher monsieur, que
votre assiette est vide. Vous feriez mieux de porter une croix représentant
notre seigneur. »
Le mendiant juif s'adresse à son collègue :
« Yaacov, tu as entendu ce que
le curé vient nous dire ? Il a la prétention de nous apprendre notre
métier… »
C'est un père Noël juif qui entre et qui dit :
« Bonjour les enfants,
qu'est-ce que je vous vends ? »
Trois rabbins passent devant une église et voient un écriteau.
« – Incroyable ! Vous avez vu,
ils offrent 1.000 euros pour une conversion au christianisme.
– Incroyable en effet,
moi je pense que c'est impossible.
– Eh bien moi », dit le troisième, « j'en aurai le cœur net ».
Et il entre dans l'église.
Au bout d'une bonne heure, il ressort et les deux autres l'interrogent :
« Alors, c'est vrai cette
histoire de 1.000 euros ? »
L'autre s'emporte :
« C'est quand même incroyable,
ça ! Vous les juifs, vous ne pensez vraiment qu'à l'argent ! »
« Nos ancêtres, en sortant d'Égypte
ont marchés 40 ans dans le désert, et pourquoi, pour arriver dans ce tout petit
pays…
Mais pourquoi donc, n'ont-ils
pas marché encore 10 ans de plus ?
On serait tous à Miami
aujourd’hui ! »
Ruth annonce à son père qu'elle a enfin rencontré l'homme avec qui, elle
souhaite fonder une famille.
« Est-il juif, au moins ? »
demande le père.
« Non, mais il est prêt à se
convertir. »
Le père rencontre le jeune homme, qui se met à fréquenter les rabbins, et
les collels (instituts talmudiques).
Puis il se rend en Israël et se convertit auprès d'un rabbin orthodoxe.
De retour en France, Ruth lui demande de fixer une date pour leur mariage.
« Tu n'y penses pas ! Tu ne me
crois tout de même pas capable de me marier avec une jeune fille qui, il n'y a
pas longtemps, était prête à épouser un goy ! »
Yaacov regarde son acte de mariage silencieusement, de manière très
attentive, depuis deux heures.
Son épouse, Sarah qui est assise près de lui, anxieuse, lui demande :
« – Chéri, que regardes-tu
ainsi ?
– Je cherche la date
d'expiration ! »
Un mendiant juif interpelle un jeune homme, qui vient de lui donner 1 €.
« – Il y a deux ans, vous
m’avez donné 10 €, et l’an dernier 5 €.
– Il y a deux ans, mon
ami, j’étais célibataire »,
répond l’homme.
« – Et l’an dernier, je me suis
marié, et cette année j’ai eu un enfant.
– Quoi ? Vous vous servez
de mon argent pour faire vivre votre famille ? »
Un vieux juif est admis dans un hôpital catholique pour y subir une
opération. Une bonne sœur lui demande qui paiera, et le vieil homme répond :
« – La seule parente que j'ai
est ma sœur, mais c'est une vieille-fille qui s'est convertie au catholicisme
et qui est devenue nonne.
– Une minute, je vous
prie », répond la bonne sœur
vexée, « il faut juste que vous
sachiez que nous ne sommes pas des vieilles filles, mais que nous sommes
mariées à Notre-Seigneur Jésus-Christ.
– Bien ! Alors dans
ce cas, envoyez la note à mon beau-frère ! »
« – Oy, oy, oy ! Quel malheur,
madame Benhamou ! Mon fils vient de divorcer.
–
Oy, oy, oy ! Madame Benchétrit ! Mon fils aussi, il n'a pas eu de
chance.
Il a raté par deux fois,
son mariage : La première fois, sa femme est partie, et la deuxième fois, elle
… est restée. »
Isaac s'approche d'un kiosque et voit un écriteau sur des cacahuètes
« Interdit aux juifs ».
Surpris et prêt à exploser de colère, il reconnaît le vendeur qui est un
fidèle de sa synagogue. Il lui dit alors :
« – Tu n'as pas honte d'avoir
mis un tel écriteau après tout ce que nous avons vécu durant la guerre !
– Tais-toi, Isaac … tu as
déjà goûté à mes cacahuètes ? »
Le baron de Rothschild est accompagné à sa dernière demeure.
Devant son cercueil, un vieux juif barbu pleure à chaude larme.
« – Pourquoi pleurez-vous,
grand père ? Vous n’êtes pourtant pas de la famille !
– Bah, c'est … justement
pour ça, que je pleure. »
Un aubergiste Autrichien dit à un couple de juif :
« – Ici, nous n'acceptons pas
les juifs.
– Nous ne sommes pas
juifs, mais chrétiens.
– Si vous dites que vous
n’êtes pas juifs, dites-moi alors qui est le fils de Dieu ?
– C'est Jésus et il est
né dans une étable à Bethléem.
– Pourquoi est-il né dans
une étable ?
– À cause d'un sale type
comme vous, qui n'a pas voulu louer une chambre à des juifs. »
Un homme s'adresse au responsable de la poste de Tel Aviv :
« – Je désire déposer plainte,
car depuis plusieurs jours, je reçois des lettres de menaces.
– C'est très grave, c'est
même un délit.
Savez-vous qui peut vous
les avoir expédier ?
– Oui… elles viennent
toutes du service des impôts. »
« – Quel est le seul endroit de
France où les juifs jettent l'argent par la fenêtre ?
– Au péage de l'autoroute
de Deauville. »
Justement à Deauville, un type
rentre dans un bar et commande un gin.
Soudain 20 séfarades se retournent et lui demandent :
« Quelle taille ? »
Pour économiser l'argent du permis de conduire, Abraham apprend à conduire
à sa femme Sarah.
Dans une descente, les freins lâchent.
« – Mon Dieu, Abraham, que
dois-je faire ?
– Garde ton sang-froid,
et essaye de défoncer quelque chose qui soit bon marché… »
« – Pourquoi y a-t-il des
catholiques et des protestants en France, et pas seulement des Juifs ?
– C'est pour qu'il y ait
des gens qui achètent au détail. »
À New York, Moïse Cohen va voir le rabbin du quartier :
« – Rabbi, je voudrais faire
circoncire mon chien.
– Je suis désolé, Moïse,
mais je ne peux pas circoncire un chien.
– Je suis prêt à faire un
don de 100 dollars.
– Désolé, Moïse, mais
même pour 100 dollars, je ne peux pas circoncire ton chien.
– Allez rabbi, j'offre
10.000 dollars et vous faites la circoncision de mon doberman.
– Ah, ça change tout s'il
s'agit d'un Dobermann… »
Deux petites « classiques » pour la route :
Un émigré juif arrive en Belgique.
Il trouve que son nom ne facilite pas son intégration et demande à l'état
civil de lui donner un nom plus courant.
L'employé lui demande comment il s'appelle.
Il répond Katzman. L'employé réfléchit :
« Katz, c'est le chat. Man,
c'est l'homme. Vous allez donc vous appeler Chalom. »
Trois mères juives discutent :
La première dit :
« Mon fils, il est tellement
riche qu'il pourrait acheter la moitié de Venise »
La deuxième répond :
« Mon fils, il est tellement
riche qu'il pourrait acheter la ville de Venise toute entière. »
La dernière rétorqua alors :
« Qui vous dit que mon fils
veut vendre ? »
Et une « revenue » :
C'est le jeune Isaac qui va trouver son patron et qui lui dit :
« – Je ne peux plus travailler
chez vous. Tous vos employés sont antisémites.
– Quoi ? Qu'est-ce que
vous racontez-la ? Qu'il y en ait un ou deux, je veux bien, mais pas tous.
– Si ! Je vous dis
qu'ils sont tous antisémites.
D'ailleurs j'ai fait un
test : Je leur ai tous posé la même question, et ils ont tous fait la même
réponse. Ils sont tous antisémites, je vous dis !
– Mais c'est quoi cette
question ?
– Je leur ai demandé ce
qu'ils penseraient si on exterminait tous les juifs ou tous les coiffeurs …
– Les coiffeurs, pourquoi
les coiffeurs ?
– Ben, vous voyez, vous
aussi ! »
Dans l’originale, c’est « Bouche et Blaire » qui préparent la
troisième guerre mondiale.
Arrive Chirac à qui on explique le plan :
« – On atomise 50 millions de
russes, on massacre 200 millions d’arabes, on tue 500 millions de chinois et on
exécute un dentiste ?
– Un dentiste ? Pourquoi un
dentiste ?
– Ah tu vois Tony ! Je te l’avais
bien dit que ça ne poserait aucun problème pour les autres ! »
Vous l’avez bien mérité : Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Putain! Nom de D...! C'est pas possible. Cette fois, Luigi a fait très fort!
RépondreSupprimerEt encore, il est italien, mais fait l'effort de parler "francilien" en ma présence, se croyant bilingue-sans-accent...
SupprimerAlors quand il m'a raconté la blague de la semaine dernière ("Moché, combien di fois j'y t'y dis qu'on ne dit pas roue, mais rie" pour désigner une rue du côté du sentier), j'étais complétement plié !
Parfaitement inattendue et absolument extraordinaire !
Bon week-end à vous !
I-Cube