L’effarante « Nardine-Mord-Râ-no »…
C’est incroyable ce qu’on peut se permettre quand on
est atteint de « blonditude-aiguë » !
Et tous d’embrayer durant toute la semaine dernière
dans un psychodrame hallucinant de bêtises incommensurables.
Qu’on se le dise les « races », ça n’existe
pas.
C’est juste une façon commode de faire des raccourcis obscènes
derrière lesquels on met tout et n’importe quoi : Une véritable auberge
espagnole !
Et ils s’y entendent pour rajouter la confusion à
l’abject.
Historiquement, on parlait à tort de
« race », alors qu’il ne s’agit que de typologies physiques qui distinguent
les êtres humains au seul premier regard.
Juste le premier, parce qu’au second et aux suivants,
ils ont tous inventé Dieu et savent même en rire à la différence, semble-t-il,
de toutes les autres espèces vivant sur la planète, du virus en passant par le
végétal, le vertébré et le mollusque.
De mon temps, on parlait de « typologie
indo-européenne ». Désormais on parle jusque dans les fiches de police de
« type caucasien » pour différencier l’apparence de « l’Europoïde »
des trois autres typologies humanoïdes existantes (pour des raisons de
taxinomie, la science du classement) : Les types australoïde, négroïde et
mongoloïde.
Et qu’on compte bien, derrière ces quatre groupes, il
y a quantité de « sous-typologies » pour nous dire toute la richesse
de l’espèce humaine.
Pour commencer par le groupe « caucasoïde », visé
par la tirade de la « blondasse », il convient de préciser qu’il est
celui qui a été le plus étudié, et pourtant, la correspondance type/peuple avec
ce groupe semble très floue, surtout sur le continent européen.
C’est dire l’immense diversité dont les « raccourcis »
peuvent faire fi, sauf à démontrer l’immense ignorance de leur propagateur.
Et l’on distingue assez aisément :
Le type nordique : Norvégiens, Suédois, Danois,
Suédois de Finlande et Finnois de l'ouest, Polonais du nord (Cachoubes),
Allemands du nord, Néerlandais, Flamands, Français des littoraux septentrionaux
(Picards, Normands, Bretons), Anglo-saxons, Gallois, Écossais, Irlandais,
Féroïens, Islandais.
Ce type est également représenté aux États-Unis, au
Canada, en Afrique du sud, en Australie et en Nouvelle-Zélande (peuplement
anglo-saxon prédominant), mais aussi chez les Kabyles d'Algérie (probablement
dû à un mélange avec les Vandales après l'invasion arabe).
Le type dalo-falique, présent en Europe de l'ouest
jusqu'aux îles Canaries (Guanches) semble représenter un type plus « archaïque ».
La seule chose à peu près sûre est que le type nordique descend de l'Homme de
Cro-Magnon (au sens strict du terme), qui peuplait l'Europe de l'ouest de la
Scandinavie au Maroc bien avant l'arrivée des « Aryens ».
Le type est-baltique est représenté par les Polonais,
Russes, Biélorusses, Ukrainiens, Prussiens, Finnois, Baltes (avec une forte
influence nordique), les populations finno-ougriennes de l'Oural (sauf
Khantys-Mansis).
Le type alpin regroupe les « Gaulois » du
centre et de l'est, Wallons, Suisses, Italiens du nord, Allemands du sud,
Autrichiens, Tchèques, Slovaques, Hongrois, quelques Polonais et quelques Ukrainiens
(Ruthènes).
Ce type possède un rameau isolé à l'extrême-nord de la
Scandinavie : Les Lapons, qui semblent avoir subi également une influence
mongoloïde, plus ou moins marquée suivant les individus.
Et un rameau isolé au Maghreb : Les Berbères
maghrébins (avec une influence négroïde peu visible).
On peut également décrire le type sudète, présent en
Bohême, Pologne de l'ouest et en Saxe. Il serait plus acceptable de le
considérer comme un sous-type.
Il est relativement récent, et pourrait correspondre
avec l'invasion indo-européenne, ou bien, à celle d’une population
finno-ougrienne parallèle aux Indo-européens.
Le type dinarique, regroupe les « Yougoslaves »,
Albanais, certains Grecs de l'ouest, Roumains des Carpates, Tyroliens,
Bavarois.
Dans les Alpes, il se fond avec le type alpin pour
constituer le type alpino-dinarique, considéré comme tantôt alpin, tantôt
dinarique (Savoyards, Suisses, Autrichiens, Italiens du nord, voir même
Bourguignons, Lorrains, Champenois et Alsaciens).
On le retrouve également en Ukraine, et pourrait avoir
joué un rôle dans la propagation des langues indo-européennes.
Le type méditerranéen possède plusieurs sous-types sur
le pourtour de la Méditerranée.
– Le sous-type ibéro-insulaire dit aussi « type
latin(o) », on le retrouve chez les Espagnols, les Portugais, les Français
du sud (Occitans, sauf Gascons), les Italiens, les Corses, les Sardes, les
Siciliens, les habitants des îles Baléares, les Arabes maghrébins (surtout
Marocains et Tunisiens), les Libyens, les Égyptiens, les Arabes soudanais, les
Juifs sépharades, les Grecs, les Bulgares, les Roumains, les Turcs de l'ouest…
Il est également présent en moins grand nombre en
Crimée ainsi qu'au nord du Caucase, voire dans les îles Britanniques. Il s'est
également répandu en Amérique latine (avec influences amérindiennes et
négroïde).
– Le sous-type « atlanto-méditerranéen » : Il
s'agit des Basques, des Gascons et des Catalans.
– Le sous-type saharien : Il s'agit des Touaregs, des
Maures et des Tibbous (à influence négroïde), les peuples nomades du Sahara.
– Le sous-type sud-oriental dit aussi « type
sémite ». Ce type est représenté par les Mésopotamiens (Irakiens et
Koweïtis), les Syriens, les Libanais (plus exactement les Phéniciens), les
Hébreux, les Arabes et les Indiens musulmans.
Le type anatolien est apparenté de près au type
dinarique (complexe dinaro-arménoïde). Ce type est présent de Turquie en Inde
(Turcs, Kurdes, Arméniens, Géorgiens, Azéris, certains nord-caucasiens dont les
Tchétchènes et les Adyguéens, Iraniens, Afghans non-turcs, Pakistanais du sud
et Indiens de l'ouest).
On retrouve un rameau isolé de ce type au Yémen, avec
une possible influence vedda.
Le type touranien que sont les peuples des steppes,
Kazakhs, Ouzbeks, Turkmènes, Afghans turcs, Tadjiks, Kirghizes, Ouïghours,
Turcs de Russie (Tatars, Bachkirs), certains Turcs, voire même certains
Hongrois. Ce type, qui rassemble, sauf les Hongrois et les Tadjiks, des
populations de langue turque, semble nettement être d'origine mongoloïde (les
Turcs de Sibérie semblent avoir conservé le type turc originaire).
Le type indo-afghane est apparenté de près au type
méditerranéen et proche du type nordique, et est présent chez les Pachtounes,
les Pakistanais du nord, les Indiens dits « Aryens » (Sikhs, Hindis)
et les Todas de langue dravidienne.
Le type Aïnou représenté par l'unique peuple des
Aïnous (nord du Japon, Hokkaidô, Sakhaline et Îles Kouriles) est
mystérieusement resté caucasoïde dans un environnement plus propice aux types
mongoloïdes (Japonais, Coréens,…).
Il semble être l'unique survivant d'un type caucasoïde
qui peuplait la Sibérie avant la « mongolisation ».
Les caractères archaïsants des Aïnous ont poussé
certains à les apparenter aux Aborigènes d'Australie (type murrayen), mais
certains les disent descendants d'Asiatiques du sud-est (Austronésiens, Polynésiens,
Malgaches…), voire même les ancêtres des Amérindiens…
Autrement dit, parler de la seule couleur de la peau
pour désigner une chose qui n’existe pas, avouez que c’est particulièrement
risible !
D’autant que nous venons de dire qu’il y a trois
autres groupes, tout autant riches de diversités typologiques :
Le groupe australoïde est un groupe très ancien,
représenté en Inde où il est en extinction et en Australie.
On y trouve le type vedda : Les Veddas de Ceylan
(population aborigène, avant l'arrivée des populations de langues dravidiennes
et indo-européennes sur l'île).
Le type vedda est également représenté sur le
sous-continent indien, à travers les Kouroumbas, les Kaders, les Paniyans (sud),
les Bhils et les Gondis (nord).
Ces peuples représentent les premiers habitants du
sous-continent indien, désormais partiellement assimilés.
On les rencontrerait également dans la péninsule
malaise, au Cambodge et dans le sud de la péninsule arabique (Yémen).
Dans ce dernier cas, ils apparaissent sous forme
d'influence, métissés avec des anatoliens et des méditerranéens.
Il constitue le fond aborigène de l'Asie du sud.
Le type australien : Aborigènes d'Australie (sauf la
Tasmanie), originaires du sud-est de l'Asie (apparentés donc aux premiers
habitants de l'Inde).
Malgré son isolement, ce type semble avoir influencé
les Kanak de Nouvelle-Calédonie. Elle est composée de deux types ou sous-types
: Le type carpentarien répandu sur la majeure partie de l'île et le type
murrayen, vers le sud, que certains apparentent aux Aïnous du Japon.
Le groupe négroïde est présent quant à lui en
Afrique sub-saharienne, en Inde, en Asie du sud-est, en Océanie ainsi qu'en
Amérique.
On y retrouve le type mélano-africaine présent sur la
majeure partie de l'Afrique sub-saharienne, du Sénégal à l'Afrique du Sud, et
même sur l'île de Madagascar. Elle est composée de cinq sous-types :
– Le sous-type soudanais qui traverse le Sénégal, le
Mali, le Niger, le Tchad et atteint le Soudan. Il est composé des peuples dits
« de la brousse » qui vivent à la limite sud du Sahara (prairies et
savanes) : Ce sont les Wolofs, les Malinkés, les Bambaras, les Haoussas et les
Saras (ces derniers sont connus pour être « plus noirs que noirs »).
– Le sous-type guinéen qui s'étend de la Guinée au Cameroun,
de manière parallèle au sous-type soudanais, et est représenté par les Kissis,
les Tomas, les Yorubas, les Assinis, les Achantis,…
C'est à ces deux sous-types qu'appartiennent les
Afro-américains. En effet, ce sont ces régions d'Afrique précédemment citées
qui ont été les principaux lieux où les négriers capturaient des esclaves.
Désormais, l'influence négroïde en Amérique est
doublement présente : Sous forme métissée (le « melting-pot » cher
aux Américains), surtout en Amérique centrale et au Brésil, ou sous forme « pure »
(attention à l'emploi de ce terme), comme aux États-Unis où les différentes
communautés sont encore nettement distinctes et dans les Antilles (même
gauloises, vous savez, ce pays de palots de l’épiderme qui est le mien et que j’aime
tant…).
– Le sous-type congolais présent dans la forêt
tropicale, autour du fleuve Congo (Gabon-Congo-RDC) représentée par les Tékés,
les Loubas, les Kongos,… plus généralement, les Bantous de l'ouest.
– Le sous-type nilotique présent aux sources du Nil
Blanc, du Soudan du Sud au lac Victoria. Ce sont les Dinkas, les Nuers, les
Shillouks…
– Le sous-type sud-africain (ou zambézien) répandu en
Afrique du sud-est, du Kenya à l'Afrique du sud, sur la côte de l'Océan indien,
ainsi que sur l'île de Madagascar.
Ce sont les Swahilis, les Zoulous, les Basoutos, les
Bostwanas,… plus généralement, les Bantous de l'est.
Le type éthiopien qui a pour foyer la corne de
l'Afrique (Érythrée-Éthiopie-Djibouti-Somalie) : Gallas, Amharas, Somalis,
Afars, mais est répandu également au Soudan, au niveau de la deuxième cataracte
du Nil (Nubiens), au Kenya (Massaïs, Nandis, Souks) et même en Afrique de
l'ouest (Peuls, peuple apparenté linguistiquement au Wolofs mélano-africains).
Ce type semble avoir subi une influence de la type
méditerranéenne, du fait de certains caractères qui se rapprochent des
caractères caucasoïdes, mais également avec une influence khoisane.
Le type négrille : Il s'agit des Pygmées africains,
répandus dans la forêt tropicale. Ils semblent plus proches des
mélano-africains que des khoisans.
Le type khoisan que ce sont les peuples primitifs de
l'extrême sud-est de l'Afrique : Les Boschimans (ou Sans) et les Hottentots (ou
Khois).
Ces peuples se révèlent être les premiers à s'être
séparés des autres types négroïdes.
Le type mélano-indien présent en Inde, est représenté
par trois sous-types de populations : Les Moundas, au nord-est du
sous-continent, de langue austro-asiatique comme le vietnamiens, des
populations de langues dravidiennes (Tamouls, Kannadas,…), et les Cinghalais,
Maldiviens et Bengalis de langue indo-européenne.
L'appartenance de ce type au groupe négroïde est
contestée : Il possède des caractères qui peuvent l'apparenter au groupe
caucasoïde (plus précisément au complexe méditerranéen).
Génétiquement, les Dravidiens sont d’ailleurs plutôt caucasoïdes.
Ils représentent donc la deuxième souche de population
du sous-continent, juste après les Veddas et avant les Indo-européens.
Le type négrito : Les Négritos, ou Pygmées asiatiques,
représentent une population presque disparue de l'archipel des Philippines
(Luçon), de la péninsule de Malacca et des îles Andaman (golfe du Bengale).
Il est présent en Australie.
Le type mélanésien constitué d’habitants de l'archipel
de Mélanésie (Néo-guinéens, Papous, Fidjiens, Kanak, Salomonais, Vanuatais)
ainsi que les Tasmaniens.
Les mélanésiens semblent avoir une origine asiatique
commune avec les négritos.
Le groupe mongoloïde est le groupe le plus répandu sur
Terre : Asie, Océanie et Amérique. Il semble relativement récent et lié de plus
près au groupe caucasoïde. D'ailleurs, certains peuples caucasoïdes sont
linguistiquement reliés à d'autres peuples mongoloïdes (Indo-Européens avec,
entre autres, Altaïques, Basque avec Chinois).
Et on distinguera là encore plusieurs « types » :
Le type sibérien, qui a subi une forte influence
caucasoïde est réparti sur la Sibérie en deux foyers : Un premier foyer,
occidental, au nord de l'Oural (Khantys, Mansis qui sont apparentés aux
Hongrois !) et un second, oriental, dans la péninsule du Kamtchatka
(Tchouktches, Koriaks, Youkaguirs).
Le type nord-mongol (ou toungoïde) est apparemment le type
qui a supplanté les Sibériens (ou tout simplement assimilé une grande partie de
ces derniers).
Il est représenté par les Mongols, les Toungouses
(peuple reparti en Sibérie, dont font partie les Mandchous), les Nivkhes ou
Guiliaks (peuple de l'île de Sakhaline, au nord du Japon, et également non loin
du port russe de Vladivostok), les Bouriates (« Mongols de Russie »),
les peuples turcs de Sibérie (Yakoutes, Touvains), les Kalmouks (peuple
d'origine mongole fixé sur la côte nord-occidentale de la mer Caspienne), les
Samoyèdes (peuple ouralien débordant ici et là sur l'Europe) et les Kètes de
l'Iénisseï (peuple quasiment disparu).
Le type centro-mongol (ou sinide). Il regroupe les
peuples chinois (Hans,…), la majorité des Tibétains, certains Birmans et les
Coréens et apparait dans la constitution typologique des Japonais.
Le type sud-mongol est représenté par les Chinois du
sud (Chinois de nationalité uniquement), la majorité des Birmans, les Thaïs,
les Laos, les Cambodgiens (Khmers) et les Vietnamiens, ainsi que quelques
Tibétains et les Japonais (avec une influence centro-mongole et une légère
composante caucasoïde).
C'est également le type auquel appartiennent les
aborigènes de Formose (Taiwan).
Le type indonésien est majoritairement insulaire
(Indonésiens, Malais, Philippins), présent en Indochine uniquement à travers
les peuples que les Vietnamiens appellent « Moïs » (sud de l'Annam). Il
est également présent dans la composante typologique des Malgaches.
En Malaisie, en Indonésie et aux Philippines, on en
distingue deux types : Le type proto-malais aux centres des îles et le type
deutéro-malais sur les côtes.
Le type polynésien est lié de près à la type indonésienne,
et peut-être du type amérindien. Il est représenté à la fois par les
Polynésiens (Tahitiens, Hawaïens, Maoris de Nouvelle-Zélande, Rapanuis de l'île
de Pâques) et les Micronésiens.
Le type eskimo est représentée par les Eskimos (Inuits
de l'Alaska et du Canada, Groenlandais, Eskimosses de Russie) et les Aléoutes.
Il est lié tantôt aux autres types asiatiques (surtout
nord-mongol), tantôt aux Amérindiens. Quoiqu'il en soit, on sait qu'ils
viennent de Sibérie et ont atteint le Grand Nord-américain par le détroit de
Béring.
Le type amérindien est très divers et se compose de
plusieurs sous-types souvent différents les unes des autres.
Comme les Eskimos, les Amérindiens sont arrivés de
Sibérie (du Caucase même, pour certains peuples) par le détroit de Béring. On
retrouve d'ailleurs des types proches de ceux des Amérindiens en Extrême-Orient
sibérien :
– Le sous-type nord-pacifique s'étend de l'Alaska à la
Californie et est représentée majoritairement par les Haidas, les Tlingits, les
Apaches, les Navajos…
– Le sous-type nord-atlantique regroupe les autres
tribus amérindiennes d'Amérique du nord (Algonquins, Cheyennes, Iroquois,
Sioux,…). Ce type possède des traits (surtout chez les hommes) qui rappellent
des traits caucasoïdes…
– Le sous-type sud-pacifique regroupe les Comanches
ainsi que les peuples descendants des grandes civilisations précolombiennes :
Aztèques, Mayas, Quechuas-Aymaras (descendants des Incas), Araucans (Chili).
– Le sous-type pampéen situé au sud de l'Argentine et
du Chili, il regroupe les peuples dits Patagons (Téhuelches) et participe à la
formation des Gauchos (métis caucasoïdes méditerranéens – amérindiens pampéens).
– Le sous-type sud-atlantique regroupe les tribus
vivant dans la forêt amazonienne et les Antilles : Jivaros (Équateur), Galibis,
Roucouyennes, Émérillons (Guyane), Caraïbes.
– Le sous-type paléo-amérindien est localisé à la
Terre-de-Feu et est un type aux caractères archaïques. Il est représenté par
les Yahgans, les Alakaloufs, mais aussi chez les Botocudos (Brésil) et les
Sirionos (Bolivie).
C’était juste un petit aperçu de l’abysse d’ignorance
de la titulaire d’un DESS de communication, et c'est son métier, qu’a été « Nardine la
blondasse »…
Il n’y a pas à en dire plus sinon qu’à cette occasion,
elle nous promet de « dézinguer » « Bling-bling ».
Notez qu’il fait ça assez bien tout seul.
Et que « Fifi-le-déchu » ce serait offusqué
d’une cabale éhontée contre elle…
À mon sens, il drague l’extrême « droâte » à
la veille des régionales.
En revanche, dans ce tohubohu qu’a toujours été la « droâte
la plus kon du monde », pour une fois, « Jupette » dont on
parlait encore hier, remonte dans mon estime : Il regrette « la sottise qui inspire la caricature d’une
France de type blanche et insulte du même coup les Français de Guadeloupe, les
Français de Martinique, les Français de Guyane, la belle société multiraciale
de la Réunion ».
Il estime que « la patrie française ne se définit pas par la couleur de la peau mais
par le partage du bien commun que constituent les valeurs de la République, la
déclaration des droits de l’homme et du citoyen, l’égalité entre les femmes et
les hommes, le respect de la laïcité. »
« Certes
notre pays a des racines chrétiennes, ce qui ne veut pas dire qu’elles soient
exclusives ! J’ai été élevé dans la religion catholique et j’y demeure attaché.
C'est
pourquoi j’ai retenu des Évangiles, des Pères de l’Église, de l’enseignement
des papes que les valeurs chrétiennes, c’est l’amour du prochain, l’accueil de
l’étranger, le respect de l’autre, l’attention porté au plus petit, au plus
faible, au plus pauvre ».
Fermez le ban : Rien à rajouter !
Sauf à dire qu'il en oublie mes potes polynésiens.
Une remarquable description des variétés humaines sur notre planète !...
RépondreSupprimerDe quoi renvoyer à ses études « L’effarante « Nardine-Mord-Râ-no »… », effectivement…
Et ça veut nous diriger…
Et puis, il y a un truc que j’aimerais connaître, mais que je ne connaîtrai jamais !...
Ce sont les types d’espèces pensantes voyageant dans l’espace que l’on peut rencontrer dans notre environnement galactique proche (disons 5.000 années-lumière).
Parce que si l’espèce humaine a réussi à être aussi variée en seulement 30.000 ans, comment a bien pu évoluer la vie sur des planètes bien différentes de la Terre, avec des soleils bien différents du nôtre ?...
Cela doit être un vrai « zoo galactique », assez effrayant pour nous, en fait…
Notez, "Ami-râle", que sur Terre, il ne s'agit que d'une seule et même espèce parmi des centaines de milliers d'autres (pas toutes en voie d'extinction, mais dont énormément ont déjà disparu...)
SupprimerIl y en a au moins autant sur des planètes réputées habitables et un peu moins sur celle qui sont réputées "non-habitables".
Parce que bon, nous, on "compte" en ADN, mais qui vous dit qu'il n'y a pas d'autres "codes" du vivant ?
Enfin, des espèces assez intelligentes pour avoir découvert le feu et voyager dans l'espace, il y en a heureusement beaucoup moins !
Notez que nous mêmes ne sommes pas catégorisés comme étant capables de voyager dans l'espace : tout juste capables de faire un saut de puce sur notre satellite naturel (et encore) : C'est dire !
Car vous le savez depuis cet été, pour voyager dans l'espace, il faut aussi être capable de voyager à rebours sur la flèche du temps. Sans cette technologie-là, la visite d'exo-mondes est réservée uniquement aux robots.
D'ailleurs, vous en voyez parfois quelques-uns passer sous votre nez...
Mais pas seulement !
Bon, bon, je vais quand même essayer d'obtenir une énumération, même approximative, rien que pour vous faire plaisir.
Mais je ne vous garantis rien, n'est-ce pas !
Bien à vous !
I-Cube
Alors là, ce serait génial !....
RépondreSupprimerSurtout qu'on risque de les rencontrer un jour ou l'autre.
Enfin, s'ils veulent bien... et ça c'est moins sûr !...
Disons qu'ils ont plutôt tendance à nous fuir : Ils nous considère comme bien trop dangereux, dans l'immédiat, toujours prêts à faire péter la planète entière pour un oui ou pour un non !
SupprimerC'est stressant pour des civilisations pacifiées !
Bien à vous !
I-Cube
Et une espèce encore plus dangereuse si elle réussit à faire des voyages interstellaires, et temporels, sans avoir réussi à dominer ses fortes tendances belliqueuses…
SupprimerBien à vous !...
Haddock
Quand elle aura atteint ce niveau-là, il sera toujours temps de lui apprendre "les bonnes manières" intergalactique.
Supprimer"Ami-râle", nous serons tous les deux morts à ce moment-là...
A moins que ce soit toute l'humanité elle-même, étouffée par les GES !
lol
Et ce n’est pas pour demain !...
SupprimerNous n’avons pas l’ombre d’une théorie scientifique qui permettrait d’envisager le voyage temporel et galactique à des vitesses supra-luminiques.
On sera morts, et depuis longtemps !...
Parce que je ne vois pas cela avant un certain nombre de siècles et même de millénaires…
Quant à l’humanité, elle aura peut-être eu le temps de s’autodétruire…
Plus par des armes atomiques et biotechnologiques que par les GES !...
Bien à vous !...
« L’Ami-râle »
Tout de suite pessimiste : Il y a encore un géo-croiseur qui se pointe pour Halloween, et vous, vous nous causez de déferlantes nucléaires...
RépondreSupprimerMais non, j'ai confiance dans l'avenir.
Et dans le progrès, malgré tous les "déclinistes" de la planète.
Quant au voyage "instantané", ce n'est pas compliqué à rechercher quant on s'apercevra que le temps est une dimension de l'espace aussi "relative" que les 3 autres.
Ah, on sait déjà ?
Bé vous voyez, on est sur la bonne trajectoire puisque on a déjà atteint la première marche.
Imaginez donc des vitesses nulles.
En valeur absolue (bon d'accord, on ne sait pas ce que c'est non plus...)
Si l'écoulement du temps se ralentit quand on approche les vitesses de la lumière, jusqu'à ne plus exister comme pour le photon (et autres) qui s'en transforme en une onde pour absorber l'énergie supplémentaire, qu'advient-il des vitesses nulles : Il se dilate à l'infini selon le même processus, non ?
On a encore plein de choses à découvrir, n'est-ce pas !
Bonne soirée à vous !
I-Cube
Pessimiste ?...
RépondreSupprimerNon, juste conscient des risques.
Il y a des géo-croiseurs qui peuvent percuter la planète, tout comme des comètes.
La dernière collision avec une comète date de 15.000 ans et a percuté l’Amérique du Nord, semble-t-il.
Un incident cosmique qui est relaté dans les couches de sédiments de l’Atlantique Nord, dans les dépôts nord-américains, par la soudaine disparition de la civilisation des Clovis et des très grands mammifères, par les lagunes de la côte de Caroline du Nord qui auraient été formées par l’impact d’icebergs projetés en orbite par la collision, etc….
Et qui peut se reproduire !...
Aussi, il faudra peut-être penser à protéger notre planète de ces cataclysmes cosmiques.
Une occasion de créer un projet mondial.
J’ai bien compris que le temps est une dimension comme les autres, avec une multitude de possibilités que nous pouvons à peine envisager.
Le temps qui se dilate à l'infini lorsque la vitesse est nulle?...
A l’inverse de sa contraction lorsqu’un vaisseau approche la vitesse de la lumière.
Mais qu’est-ce qu’une vitesse nulle en valeur absolue ?...
Par rapport à quoi ?...
Par rapport à quel référentiel ?...
Dans notre Univers visible, dans notre vie de tous les jours, le temps est uniforme et pas modifiable.
Peut-être faut-il sortir de notre univers pour aller dans un autre ?...
Un autre univers immobile ou rien ne bouge et où on peut jouer sur le temps ?...
Vers le passé et pas vers le futur ?...
Y-a-t-il un "référentiel des univers" sur lequel les autres glissent ?...
Une sorte de "point zéro" du cosmos ?...
En pleine science-fiction là !...
Il doit bien y avoir une explication vu la multitude d’observations de vaisseaux qui manifestement ne sont pas de chez nous et la multitude des espèces observées, toutes plus ou moins éloignées de l’espèce humaine…
Bonne soirée à vous !...
Haddock
Justement, je pose la question : Qu'est-ce qu'une "vitesse nulle" ?
SupprimerChez nous, on ne peut pas l'observer.
D'un autre côté, l'univers tel qu'on l'observe paraît en expansion, alors même que celle-ci a pour l'essentiel été le fait des premières secondes au moment de "l'inflation primordiale", la seule explication logique.
Dites donc, on vient d'identifier une galaxie qui se serait formée moins de 500 millions d'années après le big bang.
Ce qu'on n'imaginait absolument impossible.
Qu'est-ce qui va arriver quand on va en découvrir une autre plus vieille que l'univers lui-même ?
D'ailleurs, comment expliquer des objets passant devant d'autres par rapport à nous, qui sont plus vieux que ceux qui sont derrière ?
Bref, on est encore très loin d'avoir tout compris et ce n'est pas de la science-fiction...
Quant à nos visiteurs, y'a quand même un problème manifeste : Quel intérêt représentons-nous, enfin notre système solaire et tout le reste, pour eux ?
Souvenez-vous que quand l'homme découvre un nouveau continent, avec quelques chevaux et trois caravelles, c'est pour le soumettre et le piller dans le même mouvement...
Pas pour faire du tourisme ni des études scientifiques.
Bref, les mystères restent opaques à notre entendement.
Bien à vous !
I-Cube
Il sera assez difficile de découvrir une galaxie plus vieille que l’Univers car celui-ci était opaque pendant 300.000 ans si j’ai bon souvenir, et il est théoriquement impossible de dépasser cet "horizon sombre".
RépondreSupprimerPlus de red-shift possible !...
Je n’ai pas encore lu d’articles sur des objets plus vieux devant d’autres plus récents.
Cela semble même impossible puisque l’éloignement est calculé avec le Redshift.
Mais si ça arrive ce sera un choc pour les astronomes…
Par contre, 500 millions d’années d’ancienneté cela veut dire que la vie pensante, et qui voyage dans notre galaxie, s’est développée combien de temps après ?...
Notre galaxie est âgée de 11 à 12 milliards d’années et la vie est déjà ancienne de combien de milliards d’années ?...
On est encore très loin d’avoir tout compris !...
On est même comme des enfants qui découvrent le monde…
On peut supposer que les civilisations galactiques ont dû résoudre tous leurs problèmes vitaux et n’ont tout simplement pas besoin de conquérir des planètes pour obtenir des richesses.
Alors est-ce qu’apporter quelque chose aux civilisations primitives pour les aider à se développer serait une raison pour des voyages galactiques ?...
C’est la théorie des lettres ummites, mais c’est un canular comme vous le savez…
Alors, il y a encore tout à découvrir…
Bien à vous !...
Haddock
Je sais tout ça.
SupprimerPour les objets les plus vieux devant des plus jeunes, j'ai repéré ça parmi les énigmes que recense JPP, dan un de ses bouquins...
Il y a plein d'autres choses à y découvrir.
Et il en déduit que le modèle standard reste très incomplet.
Moi, que l'univers est plat et que son âge est indéterminable...
Si ça se trouve, il a toujours existé, n'a jamais eu de commencement et aura probablement pas de fin.
Mais bon, ce n'est pas l'opinion dominante.
Quant à l'idée de civilisations qui essaiment, je préfère la théorie de celles qui viennent exploiter les ressources locales : Regardez mes "Kameulfs" qui viennent piqué nos thons rouges parce qu'ils sont incapables d'en élever chez eux...
Normalement, vu de ce qu'on connaît de se genre d'attitude, ça se termine par l'élimination de toute opposition, en vaste génocide.
Or, on ne l'a pas encore vu, sauf à se dire qu'on est encore capable de se le faire tout seul comme des grands, sans intervention aliène...
Quant à imaginer que des civilisations extraterrestres aient pu résoudre "tous les problèmes", je préfère en rire : Il n'y aurait plus de "progrès" à attendre de la vie !
Et elle deviendrait inutile...
Bien à vous.