De Luigi !
Bé oui, et pourquoi pas ?
D’autant qu’il a fait l’effort de me les raconter en « Francilien-natif » !
Sarah raconte à son mari Samuel :
« Mon
amour, cette nuit j'ai rêvé que tu m'avais donné 500 €. »
Et Samuel répond avec bonté :
« Ça va, tu
peux les garder… »
Une vieille femme juive prend un taxi.
Sur une route de campagne, le taxi a un accident et se
retourne.
Les secours arrivent très vite.
Les pompiers sont sur les lieux de l'accident, et
entendent les cris de la vieille femme :
« – Ahhhaaah !
– Ne
vous inquiétez pas madame, nous sommes là !
– Ahhhaaah !
– Ne
vous inquiétez pas madame, nous allons bientôt vous dégager.
– Ahhhaaah !
– Est-ce
que ça va ?
– Ahhhaaah,
ahhhaaah.... arrêtez le compteur ! »
Cela se passe en Allemagne, durant les années marquant
le début du nazisme.
Un jeune homme juif rencontre dans un café un ami qui
lit le journal antisémite « Der Sturmer ».
« – Mais
comment, tu lis cette horreur ?
– Bien
sûr ! Quand je lis de la presse juive, il n’y a que des mauvaises nouvelles,
des persécutions, de l’antisémitisme partout… alors que dans ce journal, il est
écrit que nous sommes les maîtres du monde et contrôlons tout, c’est quand même
plus réconfortant ! »
Quelle est la différence entre un mariage juif
orthodoxe et un mariage juif libéral ?
Dans un mariage juif orthodoxe, la mère de la mariée
est enceinte, alors que dans un mariage juif libéral, c'est la mariée qui est
enceinte.
David rencontre son ami Maurice :
« – Je me
suis fait voler ma carte bleue la semaine dernière.
– As-tu
porté plainte à la police ?
– Tu es
fou ! Le voleur dépense moitié moins que ma femme. »
Mr Bensoussan vient voir le rabbin :
« – Comme
c'est triste, vous vous rendez compte, c'est une veuve, avec trois enfants en
bas-âge, elle doit deux mille euros de loyer, et si elle ne paie pas d'ici
vendredi, le propriétaire la mettra dehors.
– C'est
terrible, pauvre femme », dit le rabbin.
« – Je vais
faire un appel à la synagogue pour elle, mais en attendant, prenez-donc déjà
cents euros de ma part.
– Merci
pour elle, monsieur le rabbin. Vous êtes vraiment généreux.
– Monsieur
Bensoussan, dites-moi, êtes-vous de la famille de cette dame ?
– Oh
non !
– Alors
comment se fait-il que vous vous préoccupiez d'elle ?
– Je
suis le propriétaire de son appartement. »
Une maman juive ne sait plus communiquer avec son fils
et leurs rapports sont devenus très tendus, à tel point que d'un commun accord,
ils décident d'aller consulter un psychiatre.
Après quelques séances de psychanalyse avec les deux
protagonistes, le psychiatre dit à la mère juive :
« – Je vois
ce qui se passe entre vous, votre fils a le complexe d’œdipe.
– Un
complexe ? Ce n'est pas grave ! L'importance c'est qu'il aime sa mère. »
Le téléphone sonne dans le cabinet d'avocats. On
répond :
« – Bonjour,
cabinet Lévy, Lévy, Lévy and Lévy.
– Bonjour,
pourrais-je avoir M° Lévy s'il vous plaît ?
– Désolé,
mais M° Lévy plaide à l'heure qu'il est.
– Alors
pourrais-je avoir M° Lévy ?
– M°
Lévy est en voyage actuellement.
– Puis-je
alors parler à M° Lévy ?
– Il ne
sera pas au bureau avant 15 heures.
– Bon.
Alors passez-moi M° Lévy.
– M° Lévy
à l'appareil ! »
Deux mères juives se rencontrent après s'être perdues
de vue pendant plusieurs années.
« – On m'a
dit que ton fils s'est marié… Mazel Tov !
– Oy Oy
Oy, ne me parle pas de ce malheur ! C'est une véritable catastrophe. Son épouse
ne fait rien de sa journée. Elle fait la grasse matinée et mon fils lui apporte
les croissants au lit.
Elle ne
cuisine pas, ne lave pas le linge, ne repasse pas, ne débarrasse même pas la
table.
Elle se
prélasse à longueur de journée !
– Oh ma
pauvre ! Et ta fille, s'est-elle enfin mariée ?
– Ah ma
fille, au moins elle, elle est bien tombée. Son mari est a-do-rable !
Il lui
apporte le petit déjeuner au lit, fait la cuisine à sa place, s'occupe des
lessives et du repassage.
Elle
peut se reposer et s'occuper d'elle-même ! »
Au cours d'une réception un Rabbin se retrouve aux
côtés d'un évêque.
Pour plaisanter, l'évêque dit au rabbin :
« – Alors
dites-moi, quand allez-vous céder à la tentation et goûter au porc ?
– À votre
mariage, Monseigneur, à votre mariage… »
Rebecca, onze ans, rentre de l’école :
« – Maman !
Maman ! La maîtresse veut que demain, nous venions en costume traditionnel
!
– Oh,
chéri, tu entends ça ! La petite, elle n'a pas encore douze ans, qu’elle a déjà
besoin d’un manteau de fourrure ! »
Deux retraités juifs s’apprêtent à se coucher.
« – Yosselé,
as-tu fermé la porte ?
– Oui
Freda.
– As-tu
verrouillé la serrure anglaise ?
– Oui
Freda.
– Et la
serrure belge ?
– Oui
Freda.
– Et la
barre ?
– Oui
Freda.
– Et la
chaîne ?
– Oui
Freda.
– As-tu
mis la chaise pour bloquer le tout ?
– Oh,
j’ai oublié.
– Eh
bien bravo ! Entrez les voleurs, entrez et emportez tout ! »
Un juif propose des pantalons à la vente le jour du shabbat
:
« Regardez
ces superbes pantalons, ils sont à vous à moitié prix ! »
Un passant lui dit :
« – Honte à
vous ! Vous osez faire des affaires le shabbat ?
– Je
vous propose un pantalon à moitié prix et vous appelez ça des affaires ? »
Un couple ashkénaze d'un certain âge se promène dans
Paris, lorsqu'un jeune homme perdu demande :
« S'il vous
plait, où se trouve la rue des rosiers ? »
Le monsieur explique :
« – Tout
droite, c'est pas la primière roue, c'est pas la duzième roue, c'est la
trousième roue à droite.
– Merci
monsieur ! »
Sa femme lui donne un coup avec son sac à main, et lui
dit :
« Ma
coumbien du fois ju tu dis, on dit pas la roue, on dit la rie ! »
Moché raconte à son ami que le pauvre Itsrak est
désormais obligé de subvenir au besoin de deux femmes.
« – Pourquoi,
est-il bigame ?
– Non,
son fils vient de se marier… »
Un rabbin interrompt son discours à la synagogue et
s'adresse aux fidèles :
« Que vous
regardiez vos montres pendant que je parle, passe encore, mais que vous les
portiez à vos oreilles pour vérifier qu'elles ne se sont pas arrêtées, ça
m'irrite… »
Un curé interroge un rabbin :
« – Pourquoi,
vous les juifs, vous hâtez-vous de marier vos filles dès qu'elles sont en âge
de se marier ?
– Parce
qu'il y a bien longtemps, une de nos filles, Marie, qu'on a tardé à marier,
nous a causé bien des soucis… »
Et puis une « revenue-déformée » pour la
bonne bouche :
Yacov est tout content ce matin, et son ami Shimon lui
demande la raison de sa joie.
« – Je
viens de faire assurer mon magasin contre l'incendie et contre la grêle.
– Contre
l'incendie, je comprends, mais comment feras tu pour faire tomber la grêle ? »
Elle m’a fait penser à cette Corse :
« – Ô Dumé !
J’ai appris pour l’attentat… Tu étais bien assuré, au moins ?
– Chut !
L’attentat, c’est demain ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
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