On s’inquiétait pour les
« climato-septiques »…
Existent-ils encore ?
Ont-ils été décimés par les effets de la pensée unique ?
Par un « coup de chaud sur le neurone » ?
Sont-ils tous morts, exécutés par le plus grand nombre ?
Sont-ils devenus « espèces en voie de disparition », couverts de
honte, tels qu’ils se sont cachés dans des îlots lointains menacés de
submersion définitive due à la hausse du niveau des océans et donc au
« Global warning » ?
En bonne logique, puisqu’il n’y a plus de « débattant », le débat
aurait dû se déplacer sur un autre terrain…
Enfin quoi, SVP, on en est bientôt au 21ème sommet qui est
juridiquement (c’est un accord international piloté par l’ONU) incontournable pour
avoir posé comme principe qu’il y a un réchauffement global dû aux activités
humaines et la prolifération des émissions de gaz carbonique : Ça ne se
discute donc même plus !
Au moins en droit positif.
Et au moins depuis plus de 20 ans…
Et alors quid des mesures à prendre ?
Faut-il vraiment 21 sommets mondiaux – peut-être plus – pour se mettre
d’accord, alors que tout le monde est déjà officiellement ... d’accord ?
Et puis pourquoi donc encore ces arguties de potaches-boutonneux qu’on
nous ressert toujours ?
Y’aurait-il anguille sous roche à asséner, sur tous les tons et les
octaves, ces nouvelles lapalissades des temps modernes ?
Genre, « François III », en « amiral de pédalo à la fraise
des bois », aussi surnommé « gras-nul-laid » qui explique
doctement dans une interview à la presse écrite la semaine dernière, que les
experts du GIEC lui ont « apporté des
cartes et des images de la planète montrant les effets du réchauffement
climatique : la montée des eaux, la disparition des espèces, l’engloutissement
des îles, la destruction des montagnes… Tout ceci n’attendra pas la fin du
siècle, mais peut arriver dans trente à quarante ans. »
Là, il faut saluer très fort à la fois lesdits experts du GIEC qui
possèdent des cartes et des images montrant ce qui se passera dans 40 ans,
alors que la météo du lendemain persiste à se gourer une fois sur quatre à 24
heures de prévision, tout autant que l’immense crédulité du patron de nos
forces armées qui avalerait n’importe quel photomontage comme d’une réalité
scientifique.
Mais ça lui permet d’affirmer, dans le même entretien que : « Ce n’est pas une prévision incertaine, c’est
une vision incontestable de notre avenir. »
Fort vous dis-je, madame Irma !
Fallait-il donc en rajouter auprès d’un pré-convaincu, SVP ?
Et il embraye : « Bien plus que
la qualité de notre vie, ce qui est en cause, c’est la vie. (…) À ceux qui
pensent que ces rendez-vous coûtent cher, je réponds que sauver la planète n’a
pas de prix. »
On verra ce qu’en dira la Cour des Comptes…
Peut-être recommandera-t-elle d’investir dans la recherche d’un vaccin
contre la konnerie, je ne sais pas.
Notez qu’il peut aussi faire rire par sa propre fatuité sans même avoir à
y toucher, notamment à l’occasion de ce moment de gloire future : « C’est à Paris qu’est née la Révolution
française, elle a changé le destin du monde. Faisons en sorte que, dans deux
cents ans, on puisse dire : “C’est à Paris qu’il y a eu la révolution
climatique.” »
Mais si !
Il y croit alors que tout le monde était soi-disant convaincu…
Et puis il y ait allé aussi quant à ses propres prophéties : « L’Afrique sera frappée de désertification,
parce que des lacs comme le lac Tchad s’assécheront, des guerres surviendront
et provoqueront des déplacements de population. ».
Et il finit par : « C’est en étant à
la hauteur de l’enjeu climatique que l’on favorisera l’emploi et l’activité.
»
Mais oui, bon sang, mais c’est « bien sûr » !
Selon la loi de « l’effet-contagion », quand une courbe
s’inverse ou se tasse, elle en entraine une autre : Baisse des températures =
Baisse du chômage !
Vous avez dit qu’il a fait l’Enâ en son jeune âge, c’est ça ?
Pour justifier la disparition des climato-sceptiques, qui semblent
décidément manquer à beaucoup de monde, « Fafa-l’empoisonneur » n’y
ait pas allé non plus par 4 chemins : « Les savants du GIEC sont d’accord sur leur analyse de l’avenir, sur la
probabilité d’une augmentation de 4, 5, 6° si nous ne faisons rien ou pas assez
vite ».
Très juste : Si des savants partagent leur propre analyse à eux-mêmes,
ça évite des débats contradictoires par trop chronophages.
Mais il ne s’arrête pas là et enfonce le clou pour montrer définitivement
la haute valeur scientifique des dits savants : « Ils ont obtenu, pour leurs travaux, non pas le Prix Nobel de Physique
ou de Chimie, mais, à juste titre, le Prix Nobel de la Paix ! ».
Admirable, non ?
Belle démonstration de compétences scientifiques, s’il en est…
« L’adjectif qui définit le mieux
cette négociation est celui de « vital ». Ce qui se pose, en définitive, à
travers ces discussions, c’est la question de la vie dans tous les sens du
terme ».
Pris dans sa lancée, plus rien ne peut l’arrêter et c’est l’inévitable
emballement : « Si nous n’agissons pas
contre le dérèglement climatique, les conséquences de ce phénomène seront
ravageuses : sécheresse, famines, inondations, migrations massives, à la fin,
c’est la guerre ou la paix. Ce ne sont pas des centaines de milliers, mais
potentiellement des dizaines de millions de personnes qui seraient concernées
par les mouvements migratoires ».
Ah la migration ! Une préoccupation majeure à la mode depuis quelques
semaines…
Y’en a même qui agite de spectre de l’envahissement, voire la disparition
de la « race-blanche ».
Qu’on en revient à l’idée – reprise par un ministre en exercice – de
supprimer le mot dans le dictionnaire et tous les textes juridiques de nos lois
et constitution : Il n’y aura bientôt plus de races, mais … des
« couleurs d’épiderme » !
Comme dit l’autre, « que
voulez-vous, » la « Gauloisie-multiculturelle », « ce n’est pas non plus un pays de
noirs ! »
Avouez qu’il y a de quoi se fendre la pipe !
Surtout pour moi, Corsu dans le sang depuis au moins deux millénaires, qui
prend facilement le soleil : « Negru »
en été là, mais pas sous le maillot de bain !
Je peux même encore montrer, aux dames exclusivement, à peu près jusqu’à
Noël !
Pour reprendre les doctes dires de ces messieurs : « Élévation du niveau de la mer, augmentation
du nombre de catastrophes naturelles, menaces sur la production alimentaire…
Les effets désastreux du réchauffement climatique touchent déjà aujourd’hui
plus de 200 millions de personnes… Si on laisse le changement climatique
franchir la barre des 3/4°C, ce seront des centaines de millions de personnes
qui seront condamnées à se déplacer avec des impacts sur la santé notamment.
»
Comme en dit un commentateur, le seul point rassurant dans la course aux
records migratoires, c’est qu’ils se heurteront rapidement aux limites
physiques de la population humaine…
Un mot également sur la performance des cyclistes « d’Alternatiba » dont
on a pu me faire part : Au fil de 187 étapes estivales d’une couverture
particulièrement large et bienveillante de la presse locale, seize « furieux
de la pédale » ont donc couvert 5.637 km à partir de Bayonne pour
contribuer à la prise de conscience du bon peuple et « sauver le climat ».
Où on apprend qu’il s’agissait
d’une « vélorution » accomplie pour
la plus grande gloire du climat, « un
mode d’action dont les adeptes urbains se servent souvent pour réclamer davantage
de mesures en leur faveur ».
Petite scène touchante : Le blocage intempestif d’automobilistes, au nom
du climat, action dont on imagine toute les conséquences positives sur
l’entreprise de rééducation du peuple motorisé ainsi pris en otage dans les
embouteillages…
Yann Arthus-Bertrand a sans doute raison : L’hélicoptère, c’est quand même
plus pratique.
Je vous passe les détails et initiatives de « Ségololo » et de
« Nagea-Va-l’eau-Belle-qu’à-sème » qui ne savent plus quoi inventer
pour finir de convaincre les plus incrédules parmi vos
« chères-têtes-blondes » jusque dans les ékoles…
Personnellement, je ne demande qu’à croire, comme un croyant qui croit au
dogme officiel dont on lui bourre le crâne.
Mais excusez-moi, si cette « croyance » se fonde sur des faits
scientifiquement prouvés et démontrés, un peu comme le carré de l’hypoténuse
(qui est égal à la somme du carré des deux côtés d’un triangle-rectangle dans
le fameux théorème de Pythagore), pourquoi donc cette frénésie déclarative qui
se voudrait aussi démonstrative ?
En fait, plus ils en rajoutent, plus j’ai le sentiment d’être pris pour un
kouillon de première-classe.
Et au fil du temps, mon scepticisme s’épaissit diablement.
Pas le vôtre ?
Mon scepticisme s'accroit aussi! Je ne sais pas pourquoi mais je "sens" que ça cache une arnaque ...
RépondreSupprimerElle est complexe, l'arnaque.
SupprimerMais on commence seulement à la décrypter et parfois, ça fait froid dans le dos !
J'y reviendrai un jour quand on aura plus d'éléments à se mettre sous la macula...
Merci d'être passé : Bien à vous !
I-Cube
Ni les « réchauffistes », ni les « climato-sceptiques », n’ont le courage de présenter les ruptures technologiques en cours qui permettront d’avoir de l’énergie illimitée, à bon marché et non-polluante d’ici 20 ans !...
RépondreSupprimerLes principales mutations technologiques sont disponibles sur le web :
1/ les centrales nucléaires au thorium dont les prototypes chinois, norvégien et de Bill Gates fonctionneront d’ici cinq ans :
http://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/environnement-thematique_191/les-reacteurs-nucleaires-au-thorium-quels-avantages-article_83534/
2/ La fusion froide type « E-cat » caractérisée par une réaction nucléaire froide (1.400 ° C) entre le lithium et l’hydrogène avec pour catalyseur du nickel :
http://ecat.com/ecat-technology
3 / Le projet de Loockeed Martin d’un réacteur à fusion nucléaire qui tiendrait dans un semi-remorque (exit les tokamaks et ITER !…) :
http://www.industrie-techno.com/mini-reacteur-a-fusion-nucleaire-le-projet-de-lockheed-martin-est-il-serieux.33580
4/ Les moteurs surunitaire du type Minato :
http://euroclippers.typepad.fr/exopolitique/2010/12/le-moteur-sur-unitaire-minato.html
Rien qu’avec les réacteurs au thorium, dont un réacteur a très bien fonctionné aux USA, il y a 50 ans, et cela pendant plusieurs années, on a les moyens de brûler les déchets de nos centrales actuelles et on aura, de plus, de l’énergie pour l’humanité pour plusieurs siècles !…
Ce type de réacteur, de criticité 0,97 à 0,98, est connu mais il a l’inconvénient de ne pas créer de plutonium pour nos « militareux »…
Alors la situation actuelle qui consiste à utiliser le pétrole et le gaz pour les productions énergétiques va connaître un fantastique bouleversement d’ici cinq ans.
Ce sera la fin de la filière nucléaire actuelle, la fin de l’ère du pétrole qui sera utilisé uniquement pour la pétrochimie (10% de la production), la fin du gaz, la fin du charbon et de toutes les industries qui tournent autour : recherche, extraction, transport, transformation, distribution.
Et on aura une époque de destruction-reconstruction très forte et très rapide.
Une période qu’aucun dirigeant ne veut voir, et c’est bien là le plus grave.
Les compagnies pétrolières, l’industrie nucléaire, ne veulent surtout pas d’une remise en cause de la situation.
Et mes investissements ?…
Et le cours de l’action…
Il est très curieux de voir les discours anxiogènes de nos dirigeants.
Est-il vraiment nécessaire d’inquiéter les citoyens pour obtenir puis garder le pouvoir ?...
C’est à croire que oui !...
Des grands pervers, de grands malades mentaux…
Bien à vous !...
Notez qu'au mieux, ils se font "promener" par les fameux lobbies qui protègent leurs investissements, leurs actionnaires, les fonds de pension des retraités américains, les dividendes à verser, et l'activité des "non-chômeurs".
SupprimerCe qui fait beaucoup de monde !
Mais ça n'est pas très glorieux pour nos dirigeants.
Au pire, les mêmes sont des complices actifs des premiers : On pouvait le supposer avec la paire de "Bou-bouche" à Washington...
Pour la "clipe à Pinton", voire "Haut-bas-Mât", c'est moins sûr.
Mais derrière "l'impasse énergétique" qu'ils nous servent, on peut aussi imaginer "un plan" bien plus vaste de domination du monde : Mais on entre dans l'aspect "complotiste" de cette déraison manifeste !
Par exemple, Minato fait tourner des milliers de ses moteurs au Japon depuis des décennies et absolument aucun laboratoire de recherche n'a cherché à savoir, à expliquer, comment et pourquoi il marche, faute de crédit et de volonté politique.
Là encore, c'est absolument incroyable et pourtant... !!!
S'il n'y a pas "anguille sous roche", moi je suis pape !
La seule hypothèse crédible c'est l'E-cat/LENr et sinon il y aurait le Thorium...
SupprimerQuand aux lobbies, après avoir navigué dans les données je suis convaincu que le complex militaro industriel, les industriels et agences nucléaires, le capitalisme industriel et financiers, ont timidement aidé la fusion froide à passer l'hivers et sont en train de s'y jeter corps et âme.
Les nuisibles qui ont bloqué la réalité, ont manipulé les masses, sont un carterins de médiocres expérimentateurs et de physiciens de fauteuils, exploités par le gange des éditeurs scientifiques et des journalistes, avec le soutien de la recherche gavées d'argent public comme le green ou Iter.
parmis les truc visibles je vous laisse apprécier
http://fortune.com/2015/09/27/ceo-cherokee-investment-partners-low-energy-nuclear-reaction/
https://woodfordfunds.com/focus-on-long-term/#comment-6294
http://www.lenr-forum.com/forum/index.php/Thread/1843-Brillouin-Energy-Selected-as-one-of-the-AlwaysOn-Global-100-Companies-to-Watch/
http://www.iscmns.org/work11/index.htm
http://lenr-canr.org/acrobat/Lautzenhiscoldfusion.pdf
http://lenr-canr.org/wordpress/?page_id=463
http://www.lenr-forum.com/forum/index.php/Attachment/386-IEEE-brief-DeChiaro-9-2015-pdf/
La fusion froide m'a rendu libéral libertaire...
Vive UberPop, Hernando De Soto, AirBnb... (pas les dents SVP)
Comme pour les subprimes, l'étatisme m'a (presque) tuer!
#jesuisunconnard
@ Alain : Faut savoir rester calme !
SupprimerLa fusion froide, c'est la pierre philosophale des physiciens : Transmuter un minéral, avec dégagement d'énergie, à partir d'un tripatouillage chimie (ou électrique) et avoir un bilan positif => transformer du plomb en or, la "pierre philosophale" des alchimistes d'antan.
Je ne suis pas bien sûr que ça puisse fonctionner.
Il en est de même du moteur Minato : Il se sert en fait de l'énergie des magnétons inclus dans les aimants hyperpuissants au néodyme.
Mais ceux-ci finissent sans doute par s'épuiser et il faut les changer ou les recharger, je ne sais pas encore.
De tout façon, tant qu'on aura pas compris ce qu'est un "magnéton" (une sorte de particule à la fois négative et positive en même temps et polarisé en plus), on ne comprendra pas tout ce qu'on peut en tirer.
Et il est probable, quand ce sera fait, qu'on découvre que l'ensemble du cycle de fabrication de ces aimants fasse finalement un bilan énergétique négatif.
Il est à noter également que la "fusion chaude", on ne sait pas maîtriser. Mais on sait comment ça marche pour en connaître tous les paramètres depuis des décennies.
Ce qui ne veut pas dire qu'Iter fonctionnera en continue un jour : Déjà, les ingénieurs sur place ne savent pas comment seront remplacées certaines des pièces usées ou défaillantes, c'est dire !
A moins de tout démonter.
Et vue les énergies dégagées, il est probable que ça s'usera vite...
A suivre ->...
... suite :
SupprimerLa "Z-machine" pourrait aussi servir à allumer une machine à fusion chaude. Un sorte de moteur diesel ayant pour carburant du deutérium et du tritérium, vu le niveau de pression déjà obtenu.
Ca reste compatible avec les équations nucléaires.
Je l'évoque dans plusieurs romans, notamment dans "Au nom du père I & II" (le tome II repassant par bouts actuellement tous les dimanches) et un peu dans "Parcours Olympiques".
Tu trouveras tout ça dans les sommaires, colonne de gauche du site.
Reste le réacteur au thorium (ou autre à sels fondus) : On était en avance avec Superphénix en "Gauloisie-atomique", mais il a fallu que "Vois-née", l'infirmière-ministre de l'écolologie d'une époque révolue nous fasse replonger dans l'ère de la superstition pour prendre un retard phénoménal.
Depuis, les "héritiers", notamment Areva, merdent un maximum avec des technologies antédiluviennes poussées à leurs limites.
Pas un cadeau !
J'ai interrogé des potes-ingénieurs de la boutique pour savoir où on en était avec "les sels fondus".
Réaction : On bride, ce n'est pas à l'ordre du jour, faut aller voir en Inde ou en Chine, pour ça !
Parce que figure-toi que j'ai un problème dans l'écriture de mes "romans d'été" : On en est au "Nivelle 003", qui doit trouver une source d'énergie primaire pour satelliser un "gros-n'avion" d'un seul bloc en usant de plasma dans une tuyère.
Le premier volume ("Opération Juliette-Siéra") fait apparaître le "001" qui teste des céramiques réfractaires aux bords d'attaque des partis chaudes.
Le cinquième ("Mains invisibles II") teste une protection contre les hautes températures à base de thermopiles a effet électrostatique pour le "Nivelle 002".
Et je ne sais pas encore quelle technologie choisir pour le "003", prévu pour l'opus de l'été prochain...
Peut-être qu'il faudra que je repousse l'apparition de ce prototype-là pour plus tard.
Alors tu comprends que je reste sur les dents et ne vois pas encore d'espoir ni dans l'E-cat, ni dans la fusion froide, ni même dans la "Z-Machine".
Quant à trimbaler un réacteur nucléaire miniature, même au plutonium, d'abord on risque de ne pas avoir la puissance instantanée nécessaire, à moins de disposer d'une palanquée de condensateurs hyperpuissants pour cramer des plasmas dans une tuyère d'avion, ce qui alourdirait, de plus, le bidule à faire voler, et puis ensuite je ne vois pas cela politiquement viable !
Une au thorium, ça me paraît plus aisé, surtout si elle est "miniature".
Donc, si tu veux bien, tu me tiens au courant, ça me ferait bien plaisir avec tout le boulot que j'ai par ailleurs sur le dos.
Mais sans t'obliger, bien sûr !
Parce que ça m'aiderait bien, et au-delà de tout l'intérêt pour l'humanité toute entière !
Merci pour tes précisions quand même !
I-Cube