De
Luigi, toujours !
Fin (provisoire ?) de la série due à Luigi…
Dans un restaurant juif à Venise, un client s'étonne de constater que le
serveur chinois parle yiddish.
Il demande au patron comment il a pu trouver une telle perle.
Le patron lui répond :
« Écoute, cela restera entre
nous. Ce Chinois est en stage depuis deux ans chez moi, et il croit qu'il est
en train d'apprendre l'italien ! »
Trois mamans juives sont assises sur un banc dans un
square en tricotant, et pour une fois, elles sont silencieuses.
Au bout d'un moment, la première pousse un soupir…
Après un moment la deuxième pousse un GROS soupir…
« Ah NON ! »
s'écrie la troisième. « On avait dit
qu'on ne parlerait pas des enfants ! »
Monsieur Cohen fait visiter son appartement en vue de la vendre :
« Vous voyez ici le salon ».
Et il embrasse la mézouza.
« Ici, vous avez la cuisine ».
Il pose la main sur la mézouza.
« Ici, la chambre ».
Il touche la mézouza.
Et ainsi de suite pour tout l'appartement.
Chaque fois qu'il entre dans une pièce, il touche ostensiblement la
mézouza.
À la fin de la visite, le visiteur est très intéressé :
« Mr Cohen, j'achète votre
maison, mais à une condition… je veux garder votre système d'alarme. »
Madame Goldstein raconte à tous les amis de la famille :
« Nous venons d'adopter un
chien qui est extrêmement intelligent. Pourquoi ne pas venir nous rendre visite
après shabbat ? Vous pourrez l'entendre jouer du piano ! »
Après shabbat, dans le salon des Goldstein, les invités sont émerveillés
lorsqu'ils peuvent voir et surtout entendre le brave Médor interpréter Chopin
sans fausse note.
À tel point que madame Goldberg, un peu jalouse, avoue à son hôte :
« – Dis-donc Rébecca, tu dois
être drôlement fière d'avoir un chien si doué !
– Oy ! Pas tant que
ça », répond madame
Goldstein. « C’est mon mari qui lui a
appris le solfège. Moi, je voulais qu'il fasse médecine. »
Un juif pratiquant se demande si c'est autorisé de faire son devoir
conjugal le shabbat ; est-ce considéré comme un jeu (permis), ou un travail
(interdit) ?
Comme son voisin de palier est un prêtre catholique, il va lui demander ce
qu'il en pense.
Le prêtre réfléchit quelques instants, consulte plusieurs ouvrages aussi
volumineux que poussiéreux et finit par lui répondre :
« Mon fils, tout ce que j'ai
trouvé concorde à laisser penser que l'œuvre de chair étant un devoir, il est
donc assimilé à un travail. J'ai bien peur que vous ne puissiez donc le
pratiquer durant le shabbat. »
Un peu refroidi, l'homme se dit in
petto :
« Pufff… Qu'est-ce que je suis
bête d'être allé poser cette question à un prêtre catholique. Qu'est-ce qu'il
connaît sur le mariage après tout ? »
Il décide donc d'aller demander à un pasteur protestant ce qu'il en pense.
Après tout, le pasteur est marié, et en sait certainement plus qu'un
prêtre voué au célibat. Celui-ci lui donne son avis :
« Malgré quelques références
contradictoires, je crains que les relations conjugales relèvent du travail,
les rendant par la même incompatibles avec le shabbat. »
Contrarié, il décide de faire ce qu'il aurait dû faire depuis le début,
interroger un rabbin.
Après tout, c'est lui, le spécialiste du shabbat.
Il prend donc son courage à deux mains, traverse la moitié de la ville, et
pose sa question.
Le rabbin lui répond immédiatement :
« Ne t'inquiète pas, il n'y a
aucun doute, le devoir conjugal est un jeu et pas un travail. »
Notre homme, soulagé, est tout de même curieux de la raison qui donne une
telle certitude au rabbin.
« – Mais Rabbi, pourquoi êtes-vous
sûr que c'est un jeu et non un travail, alors que beaucoup d'autres soutiennent
le contraire ?
– Si c'était un travail,
ma femme demanderait à la bonne de s'en occuper… »
Deux juifs se rencontrent :
« – Tu as
une belle montre.
– C'est mon père qui me l'a vendue avant de mourir… »
C'est une femme juive qui, ayant dépassé la trentaine,
prie :
« Seigneur,
je ne t'ai jamais rien demandé pour moi-même. Tu le sais bien et ce n'est pas
maintenant que je vais commencer.
Mais je
t'en supplie, accorde un gendre à ma mère. »
À la plage.
« – Moshé !
La mer monte !
– Achète … »
En Auvergne, une juive s'approche d'un paroissien
d'une église, et le salue poliment en lui disant :
« Chalom ! »
Et lui, vexé, il lui répond :
« Chale
femme ! »
Un touriste américain demande à un israélien de
Jérusalem :
« Où est
donc cet endroit, vous savez, celui où on va pour pleurer, et où on écrit ses
désirs sur un petit bout de papier ? »
L'israélien répond :
« Vous
voulez parler du percepteur ? C'est par là ! »
« Docteur ! »
s'exclame Mme Levy en entrant dans le cabinet de consultations de son médecin, « j'espère que je suis malade, parce que je
n'aimerais pas me sentir aussi mal si je suis en bonne santé ! »
Mr Goldstein veut absolument être admis dans un club
très sélect mais très antisémite. Il va même jusqu'à changer son nom.
Fin prêt, il présente sa candidature.
« – Bonjour,
je voudrais faire une demande d'admission dans votre grande institution.
– Certainement, monsieur, » répond
l'employé en s’emparant d'un formulaire.
« – Puis-je
vous demander votre nom ?
– Philippe de la Closerie.
– Très bien, monsieur de la Closerie, et puis-je vous
demander quelle est votre profession ?
– J'ai une affaire d'import-export.
– Excellent, monsieur, et puis-je vous demander votre
adresse ?
– 110, rue Saint-Dominique, à Paris 7ème.
– Très bien, monsieur. Excusez-moi, mais je suis obligé
pour le règlement de vous poser une dernière question, j'espère vous ne le
prendrez pas mal : Quelle est votre religion ?
– Ma religion ? Oh, je suis goy… »
Un prêtre, un pasteur et un rabbin débattent de cette
importante question de bioéthique : à quel moment peut-on considérer que la vie
commence ?
« La vie
commence dès la conception », répond le prêtre.
« La vie
commence quand le fœtus est viable », répond le pasteur.
« La vie
commence quand l'enfant est parti de chez ses parents, si possible avec ses
diplômes, » répond le rabbin.
David Bensoussan, agent publicitaire, rentre
précipitamment chez lui, dans sa grande maison de Neuilly.
Il fonce vers ses toiles de maitres et efface les
signatures.
À la place de Renoir, il écrit Hanna Bensoussan. À la
place de Modigliani, il écrit Hanna
Bensoussan…
Son fils qui le regarde stupéfait, lui demande :
« – Mais
papa, tu es fou. Qu'est-ce que tu fais ?
– Je ne suis pas fou, j'ai un contrôle fiscal surprise,
je mets tout au nom de ta grand-mère. »
Une revenue :
Un Juif religieux se rend en Alaska pour affaire.
En se promenant pour visiter le pays, il se rend compte qu’un ours blanc
le suit.
Il prend peur, et fuit en courant.
Fatigué, voyant un banc dans une allée, il s'assoit pour se reposer.
Par la même occasion, il sort son livre de prière et implore Dieu de le
sauver de cette situation, et d’écarter cet ours de sa vue.
Un instant plus tard, il voit l'ours blanc s'asseoir à côté de lui, mettre
une Kippa sur la tête, et commencer aussi à s'adresser à Dieu.
Étonné, le religieux lui demande :
« Mais pourquoi pris tu donc ? »
Et l'ours rétorque :
« Je remercie Dieu de m'avoir
envoyé de la viande casher. »
(Dans l’originale, y’avait pas de référence à la viande casher et l’ours
était brun…)
Une autre revenue :
La petite Sarah, dix-sept ans, pleure.
Son père apprend qu'elle est enceinte, et lui demande :
« – Qui est donc celui qui t'as
fait ça ?
– C'est Elie Epstein, le
milliardaire. »
Le père décide alors de le trouver.
Elie Epstein est en conseil d'administration, au 52ème étage de
son propre gratte-ciel.
Voyant arriver le père de Sarah, il suspend le conseil, fait sortir tout
le monde et dit au père :
« – Je sais pourquoi vous êtes
venu. Écoutez, on va s'arranger. J'offre 10 millions de dollars à la petite, 1
million de dollars à toi et à sa mère, plus une rente viagère de 500.000 dollars par an au petit qui
va naître.
– OK », répond le père. « Mais si elle fait une fausse couche, vous
lui donnez une deuxième chance ? »
(Dans l’originale, si mes souvenirs sont bons, le gars n’est pas
milliardaire mais gérant d’une chaîne de coiffeur : Il offre des magasins
à toute la famille…)
Sans rancune : Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Comment ça "fin (provisoire?)"? Il y a intérêt à ce que ne soit que le tout début! Non mais ...
RépondreSupprimerEncore! Encore! Encore!
J'ose espérer que vous n'allez tout de même pas rester insensible à une telle exigence populaire exprimée avec une telle force de conviction!
Je verrais : Ces trois posts, ce sont déjà plusieurs mois de collecte : On me raconte une blague, je la couche sur le papier et je la reprends par la suite...
SupprimerEt puis je ne voudrais pas tomber dans l'humour sectaire et antisémite (ni antisioniste et il y a plein de feujs antisionistes...) ce qui, depuis ce konnard de "Dieu-a-donné", est devenu un délit dans votre pays, d'autant que je ne suis ni l'un ni l'autre !
Luigi étant feuj, je ne prenais pas trop de risque.
Mais bon, il en a des plus "radicales" que je m'empêche de mettre en ligne, par respect d'autrui.
Bref, on verra, mais je retiens votre exigence populaire "exprimée avec une telle force de conviction" !
Bien à vous !
Et bon week-end : Demain on revient avec un arrêt de cassation rigolo comme tout sur le harcèlement sexuel !
J'aime bien ces histoires-là aussi !
I-Cube