J’avais voté pour elle avant de m’enfuir !
Il s’agit de « Haine-cas-Aime » (NKM pour
les non-francophones pour qui mes jeux de mots ne passent pas forcément),
l’ex-ministre écololo de « Bling-bling » (vous savez le « Kaas-toi Pôv’-kon », un bon
professeur des « bonnes manières », lui) en remplacement de
« Bord-l’eau », sur la fin du quinquennat.
On l’avait vu « faire campagne », clope au
bec, à tailler une bavette avec un « sans-dent-franchouillard » (SDF)
sur un trottoir improbable pour mieux s’imprégner des effluves du XIVème
arrondissement où elle se présentait.
Un vrai gag, comme si elle n’y croyait pas vraiment
après s’être fait copieusement insulter dans le quartier Saint-Lazare à
l’occasion de la mort violente d’un « skinhead de gôche », Vincent,
dans une rixe de sauvageons des « no-go-zones ».
La greffe n’avait pas pris, notamment parce que les
barons de droâte parigote, toujours aussi kons à défendre leurs prébendes, lui
avaient plutôt savonné la planche.
Il faut dire qu’elle a su y faire à se couper de tous
ses soutiens locaux…
Passons : C’était son choix !
Et stupéfait, j’ai découvert que la semaine dernière –
bé oui la presse gauloise arrive toujours avec retard au fond de la lagune –
qu’elle m’avait insulté en déclarant que « les climato-sceptiques sont des « konnards » ! »
J’adore, eh, « blondasse-sur-échasses »,
crois-moi, j’adore !
Et dire que j’étais volontaire pour aller
« coller ses affiches »…
D’abord, il faudrait qu’elle sache que si je suis
sceptique, c’est que je ne suis pas convaincu par les arguties des « réchauffistes ».
Car non, il n’y a pas vraiment plus de cyclones
aujourd’hui que par le passé.
Non, la banquise n’est pas à la veille de disparaître
totalement. Et encore, comme elle flotte déjà sur les flots-bleus, elle n’ira
pas en augmenter le volume.
Non, depuis quinze ou vingt ans la Terre ne se
réchauffe plus comme ils avaient prévu.
Non, nous ne sommes pas menacés par le Déluge – mais bien
plus par l’urbanisation outrancière de nos paysages – et ceux qui voudraient
mentionner les Maldives sont invités à prévenir d’urgence tous ces idiots
d’investisseurs qui ont financé la construction d’aéroports internationaux sur
plusieurs de ces îles dont le point culminant est de l’ordre du mètre…
Et également de prévoir de cotiser en urgence pour
rehausser les digues néerlandaises et sauver Rembrandt !
Et si tel est le cas, alors que comme les
« marxistes » ils sont détenteurs de
« vérités-scientifiques », c’est qu’ils sont vraiment très mauvais
pédagogues.
Pas assez pour moi en tout cas.
Alors qu’on peut attendre de
« communicants » qu’ils soient au moins clairs dans leurs propos et
adeptes des démonstrations simples, précises et irréfutables…
Ce qui est loin d’être le cas, me semble-t-il.
En bref, la faute du « konnard », c’est
d’avoir des « sachants » encore plus kons que lui et rien d’autre.
Qu’elle se mette bien ça dans le crâne, parce que dans
la vie, c’est comme ça et pas autrement !
Sauf à ne décidément rien connaître de la vie des
« gens-d’en-bas », naturellement.
C’est à croire qu’on a à faire à une nouvelle
religion : Entre « Le Monde » qui s’était illustré en ouvrant
ses colonnes à un « historien » selon qui le « dérèglement » climatique fera
bientôt émerger un nouvel Hitler dont, en quelque sorte, les climato-sceptiques
seraient les SS – moi je veux bien, mais c’est plutôt des rangs des
« réchauffistes » qu’ils se comportent de la sorte –, et
« Gras-nul-laid » qui avait des photos « de dans 40 ans »,
plus « vraies que vraies » et prétendait encore à la tribune des
Nations-Unies que le « dérèglement climatique » causait des tremblements
de terre – un sacré scoop qui devrait épater plus d’un géologue – on se demande
pourquoi tant de haine si tout est si simple ?
Là, trop c’est trop.
D’autant que dans l’escouade qui va débarquer au
Bourget dans quelques semaines (une cible parfaite pour « djihadistes »,
là où les autorités nous disent qu’ils vont certainement frapper de nouveau,
mais sans savoir ni où ni quand…), y’en a même qui plaident pour que les
« migniards » aillent en priorité aux pays
« sous-développés » au nom de l’éthique et de la morale, puisque
« le nord » a pillé leurs ressources naturelles depuis des siècles et
qu’il s’agirait du « juste retour des choses ».
Je te demande un : Les pays dits « du
sud » ne contribueraient qu’à hauteur de 4 % dans le réchauffement global,
c’est sûr que pour la planète, si tel est l’enjeu, il y a priorité !
Je ne suis pas sûr que les « konnards » soient tous là où il est dit.
Enfin, passons : Je reste un grand tolérant.
Ce n’est de toute façon pas comme ça que je changerai
d’opinion sur la question.
Car il ne s’agit que d’opinion, rappelle-je, notamment
compte tenu des « prédictions » issues de modélisations
« scientifiques », qui ne veulent décidément pas se réaliser…
Pourtant, un contributeur, je ne sais plus lequel,
mais bardé d’honorabilités diverses en rajoute en annonçant que les grandes
villes de Floride seront inhabitables sous peu, submergées de
« flots-bleus », à l’instar de la Nouvelle-Orléans qui ne pourra pas
être sauvée…
Et de nous promettre une carte mondiale des zones
englouties d’ici un mois.
Pensez donc la faribole qui fait bien rire les
hollandais (ceux des Pays-Bas) avec leurs polders et jusque sur la place
Saint-Marc, où je prends mon café matinal, qui sait ce que c’est que d’être
submergé plusieurs fois par décennie.
Sont-ce pour autant des « exilés
climatiques », vous demande-je un peu ?
Globalement, tout ça me rappelle furieusement
l’affaire du « trou d’ozone », à une époque où nous n'étions pas très nombreux à renifler une arnaque en bonne et due forme.
Dans les années 80, les climatologues (sans doute les
mêmes) s’étaient inquiétés du « déficit » d’ozone dans la
stratosphère, notamment au-dessus des deux pôles.
L’ozone absorbe les UV qu’on nous disait « mortels »
pour le vivant…
Plus exactement, les UV provoquent des réactions
chimiques en cassant les molécules de gaz d’oxygène en haute altitude, qui se
recombinent ensuite en ozone (O2 + UV = O3 protecteur).
Grand accusé : Les émissions de CFC (chlorofluorocarbures),
gaz industriels ininflammables, facilement compressibles, non solubles, dont on
envoyait plus de 500.000 tonnes/an dans l’atmosphère en 1999.
On allait tous crever grillé comme des sardines si
« le trou » s’étendait sur toute la planète à persister à user des
CFC dans nos frigos et autres diffuseurs de parfum.
À cette vérité « scientifique
incontournable » s'ajoutait un autre effet : Les CFC présents dans la
stratosphère en 1997 étaient ceux qui ont été produits entre 1977 et 1982
(environ 5 fois moins), ce qui ne représente que 40 % de ce qui a été produit
jusqu'à ce jour.
Les 60 % restants sont encore en train de se mélanger à
l’atmosphère et de monter en altitude.
Du fait de ce retard, les effets des CFC produits ces
dernières années se feront encore sentir dans 60 ans.
Et les mêmes « scientifiques » ont amené
« les politiques » a signé le protocole de Montréal en septembre 1987,
puis révisé à Londres, Copenhague, Montréal et Pékin jusqu'en 1999, préconisant
une diminution des émissions de 50 % en dix ans. Pas leur disparition, non,
seulement une réduction.
Sa ratification universelle (196 pays) a été atteinte
en 2009, ce qui constitue un évènement puisque c’est le premier traité
environnemental international à atteindre ce statut.
L'Union européenne a même proposé en 1989 une
interdiction totale de l'utilisation des CFC, qui fut approuvée par les
Etats-Unis.
L'Union Européenne s'est ensuite dotée d'outils
juridiques, dont le règlement européen (1005/2009) visant à transposer le
Protocole de Montréal en droit européen, tout en fixant des objectifs plus
ambitieux de réduction ou d'interdiction de certains gaz détruisant la couche
d'ozone.
Depuis, miraculeusement, alors que les effets positifs
de ces mesures n’auraient dû apparaître qu’au milieu du premier siècle du
troisième millénaire, pas avant, le « trou » s’est considérablement
réduit et reprend spontanément ses cycles saisonniers naturels !
Ce qui n’a pas empêché les délégués de 190 pays réunis
à Montréal le 12 septembre 2007 de saluer, 20 ans après la signature du protocole,
la réussite du projet qui se concrétise par un arrêt total de la production des
chlorofluorocarbures en 2010 et une estimation optimiste de la communauté
scientifique : La couche d'ozone aurait dû normalement retrouver son état de 1980 entre
2055 et 2065…
Elle y est déjà malgré les produits de substitution
inventés depuis.
Il faut dire que les industriels se sont goinfrés un
maximum en remplaçant tous les CFC par les hydrochlorofluorocarbures.
Qui d’ailleurs ne sont pas une solution pérenne
puisqu’ils devront être éliminés eux aussi d’ici 2020 pour les pays
industrialisés et 2040 pour les pays en voie de développement…
Mais pour l’heure, les dividendes produits par la
première mesure d’interdiction et la fabrication des hydrochlorofluorocarbures n’ont
pas encore réussi à financer l'industrialisation du prochain gaz à utiliser.
Notez, on a encore le temps et il est sans doute prêt,
mais il faut amortir les équipements industriels et maximiser les profits
générés de la génération précédente.
Et, hélas, je commence à supputer qu’il en va tout
autant pour le CO2, qui n’est pas le gaz « à effet de
serre » le plus puissant (200 fois moins que le pet des vaches au
méthane) : On se bat tous les jours en Syrie pour « la
route du gaz qatari », ce n’est sûrement pas pour fermer les
usines … à gaz avant qu’elles n’aient été rendues plus que rentables !
Tant que les lobbies pétroliers sont aux commandes de
l’économie mondiale, appuyés par ceux du « complexe militaro-industriel »,
les « réchauffistes » ne sont même pas crédibles.
Et pourtant, ils y mettent une telle vigueur, une
telle hargne que ça en devient pathétique.
Et le lobby des « nucléaires » n’a pas
encore de solution fiable de 4ème génération plus-plus à proposer :
Alors oui, le terrain de jeu est ouvert à ceux qui pillent la planète de ses
terres-rares nécessaires aux énergies éoliennes et solaires.
Ce n’est qu’une fois les dividendes engrangés qu’on
passera à autre chose, sous la poussée des « réchauffistes » et
autres « écolologistes » toujours plus virulents.
Il n’empêche, la société de développement de l’E-Cat
dirigée par le professeur Rossi, vient d’annoncer la mise sur le marché d’un
générateur à vapeur domestique au nickel pour février prochain (2016), à …
1.000 dollars pièce !
Hors taxes et hors droits de douane…
Alors donc, qui va être le plus « kon que
kon », même s’il ne s’agit que d’une annonce « de com’ » ?
Parce qu’il y a d’autres projets en préparation qui
finiront bien par émerger.
Et on va faire quoi des forêts d’éoliennes et de
champs photovoltaïques archi-subventionnés, dans 10 ans ?
On remboursera le kontribuable des subventions payées
avec leurs impôts ?
Où il faudra encore en payer d’autres pour la
récupération des matières premières irremplaçables ?
Alors bon, être un « konnard » aujourd’hui
ou une « konnasse » doublée d’une cocue demain, franchement, il y a des
attitudes et propos qui restent indignes.
Et je saurai m’en souvenir.
Que j’en viens à me demander si la
« blonditude » n’est pas une marque de fabrique de la « konnasserie ».
Après tout, on a eu « Mord-rat-no »
et encore, dans le même temps, « Marinella-tchi-tchi » qui s’est
permis une sortie invraisemblable à Strasbourg : Très fière d’elle, elle
ne s’est même pas rendue compte qu’elle offrait l’occasion à « Flanby à la
fraise des bois » de lui faire une leçon de politique-aigüe sur la
distinction entre « souveraineté » et « souverainisme ».
Il y a des notions, comme ça, qui restent assez
inaccessibles aux « pétoncles-blondes », comme la distinction entre
« patriotisme » et « nationalisme », par exemple.
Je n’y peux rien, je constate.
Notons aussi que le Koweït vient de signer pour une seconde tranche de son usine, posée à la frontière de l'Arabie Saoudite, de liquéfaction de son gaz et d'un quasi-doublement de sa raffinerie de son pétrole...
RépondreSupprimerUne filière qui ne veut décidément pas mourir.
Au moins tout autant que celle du charbon américain dans les Appalaches...
Bonjour l'avenir des "réchauffistes" !
Je partage globalement votre point de vue : je suis un climato-sceptique! L'objet de cette camapgne, c'est de nous habituer à restreindre notre niveau de vie. Rien d'autre!
RépondreSupprimerEt à profiter de l'occasion pour vous taxer encore un peu plus.
SupprimerA ce rythme-là et avec ces poncifs et démarches-là, ils finiront par nous arracher le "peau des dents" !
M'en fous : Je suis déjà en exil !
Mais je ne vous envie pas, croyez-moi !