Notamment russe
Vous allez comprendre.
Une bonne blague qui circule sur les réseaux sociaux
en ce moment du côté des rives de la Volga.
Cela se passe quelques années après la mort d’Obama.
Bien sûr, Dieu l’a invité tout de suite dans son
paradis.
Comment aurait-il pu faire autrement d’ailleurs ?
N’a-t-il pas en effet, à peine élu à la présidence des
États-Unis, reçu le prix Nobel de la paix ?
N’a-t-il pas créé la sécurité sociale ?
N’a-t-il pas réconcilié son pays avec Cuba ?
Enfin, déplorant les tueries de plus en plus
fréquentes, n’a-t-il pas tout fait pour en finir avec le 2ème amendement
de la constitution qui donne le droit à tout citoyen américain de porter des
armes ?
Bref, Obama a été un saint, c’est évident.
Maintenant, il file des jours heureux là-haut.
Mais, le bonheur quand il se prolonge, finit par
ennuyer les hommes et Obama n’échappe pas à cette loi.
Alors un jour, il décide de prendre une grande échelle
et de descendre faire un tour à New-York.
C’est décidé : Il ira dans le Bronx, sur la Webster
Avenue.
Arrivé là-bas, il choisit d’entrer dans un de ces
restaurants comme il y en a des milliers aux États-Unis.
À une table, il y a un vieux couple : L’homme et la
femme dévorent chacun un hamburger énorme.
Il va vers eux tout en commandant une bière :
« Oh !
Monsieur le Président, qu’est-ce qui vous amène ? Ça fait plaisir de vous
revoir, » dit le couple presqu’en chœur.
« – C’est
gentil de me dire cela. Bah … Je viens un peu voir ce qui se passe depuis que
je vous ai quittés. J’ai peur que les mœurs américaines soient encore plus
dégradées qu’avant et qu’il y ait de plus en plus de tueries, non ?
–
Figurez-vous, qu’ils ont tout de suite supprimé la NRA » (National
Rifle Association, association destinée à la promotion des armes à feu aux
États-Unis) lui répond la femme, « et
que tous les Américains comme en Australie, ont dû remettre leurs armes aux
autorités.
Si vous
savez comme c’est calme maintenant ! Et même la nuit.
– Et la
police, elle maltraite toujours les Noirs ?
– C’est
fini tout cela, l’égalité est enfin devenue un vrai principe démocratique »,
affirme l’homme qui est métis.
« – Et le
terrorisme islamique qui sévissait de plus en plus dans le monde quand Dieu m’a
rappelé à lui ?
– Le
quoi ? Ah oui !!! C’est du passé, cela, Monsieur le Président : Il y a belle
lurette qu’ils l’ont éradiqué, » le rassure la femme qui craignait autrefois
pour sa vie et à chaque instant.
« – Les
États-Unis sont toujours la première puissance mondiale ?
– Évidemment
! Vous n’en doutiez quand même pas ? On est toujours les premiers en économie
et on a des bases militaires sur tous les continents maintenant. Pardon de vous
dire ça, mais on est encore plus fier qu’à votre époque ! » lui
confirment ensemble, mais un peu gênés, l’homme et la femme.
Alors Obama, satisfait de sa petite virée se dit qu’il
peut repartir rassuré au paradis. Il appelle le barman :
« – Combien
je vous dois pour la bière ?
– Un rouble vingt, please ! ».
Deux amies russes discutent.
L'une dit :
« – Tu sais
quoi ? Je vais bientôt me marier.
Et en
plus, il m'a dit que j'étais belle !
– Tu ne
vas pas te marier avec un gars qui commence à te mentir… »
C'est un type qui dit à un de ces copains :
« – Je vais
divorcer.
– Ah
bon, pourquoi ?
– Tu
supporterais toi, d'être avec quelqu'un qui boit, qui fume et qui rentre à
n'importe quelle heure ?
– Non !
– Eh
bien ma femme non plus. »
Pour un Russe, la pire maladie c'est le lumbago !
Car il empêche de lever son verre…
Deux ivrognes moscovites se rencontrent dans un bar :
« – Dis-moi
Ivan, comment fais-tu pour garder une telle forme? Quel est ton secret ?
– Chaque
mois, je fais subir un choc terrible à mon organisme : J'arrête de boire pendant
une journée ! »
Un ami russe en appelle un autre au téléphone :
« – Je suis
avec deux filles, on va passer chez toi.
– Ok.
Comment sont-elles ?
– La
mienne, c'est une bombe.
– Et la
mienne ?
– Ne
t'inquiète pas, tu boiras un coup de la vodka et ça ira… Dans quelques
instants, on sonne à ta porte. »
Effectivement, on sonne, le gars ouvre, découvre la
fille et s'écrie :
« T'es fou !
Je ne pourrai jamais boire autant ! »
Un russe est assis chez lui, à la table de sa cuisine.
Il est en train de boire de la vodka.
Arrive son fils :
« – Papa,
le prix de la vodka a augmenté. Ça veut dire que tu vas moins boire ?
– Non
fiston, ça veut dire que tu vas moins bouffer. »
Un jeune russe drague une française en vacances à
Moscou et parvient à l'inviter à dîner chez lui.
Avant qu'elle n'arrive, un peu inquiet, il boit de la
vodka et passe voir un pharmacien de ses amis qui lui donne un puissant
aphrodisiaque à prendre 1 heure avant l'acte.
Le lendemain matin, son ami l'appelle pour savoir
comment les choses se sont passées :
« – Alors,
c'était comment ?
– Excellent.
J'ai joui 10 fois de suite !
– Et la
française ?
– Oh,
elle n'est pas venue… Tant pis pour elle ! »
Un dignitaire africain effectue un voyage diplomatique
en Russie.
À la fin du voyage d’affaire, l'hôte russe l'invite à
essayer une coutume russe : La roulette russe.
Ce rituel vise à mesurer le courage des personnes.
Le leader russe sort son énorme pistolet, insère une balle
dans le barillet et le fait tourner les yeux fermés.
Il ferme le barillet et pointe le canon du pistolet
sur sa tempe.
Il tire et on entend un clic, indiquant qu'il n'y
avait pas de balle dans cette chambre du barillet.
Il donne alors le revolver au dignitaire africain et
l'invite à faire de même.
Hésitant un peu, ce dernier ferme les yeux et fait
tourner le barillet.
Il place le canon sur sa tête et tire.
Clic … une autre chambre vide.
L'année suivante, c'est au tour de la Russie de
visiter le pays africain.
À la fin du voyage d'affaire, l'hôte africain dit :
« L'an
dernier, vous m'avez passablement impressionné avec votre coutume que vous
appelez la roulette russe. Toute l'année, j'ai réfléchi à nos coutumes
africaines pour voir laquelle pouvait constituer une épreuve de courage. J'ai dû
faire une adaptation que je vous propose. »
Il sort par une porte et il revient tout souriant
après plusieurs minutes.
Il dit : « À
votre tour. »
L'Africain escorte le Russe dans une chambre où se trouvent
six magnifiques jeunes femmes nues.
L'Africain dit : « Tu dois choisir l'une de ces femmes afin qu'elle pratique sur toi une
fellation ».
Le Russe, complètement abasourdi dit : « Un test comme celui-ci ne nécessite pas
tellement de courage ? »
L'Africain répond calmement : « L'une de ces femmes est cannibale ».
On demande à un homme sur le point d'être fusillé pour
menées contre-révolutionnaires s'il a une dernière volonté.
« Oui »,
répond le condamné. « Je voudrais
prendre ma carte du parti. »
Décontenancés, ses bourreaux lui demandent la raison
de cette étrange requête.
« C'est
simple » leur explique-t-il. « Si je suis communiste au moment où vous me fusillez, cela fera toujours
un salaud de moins sur terre. »
Au cours d'une conférence sur la prostitution en
Russie, la question se pose de savoir à quelle administration doit revenir
l'organisation de la lutte contre ce fléau.
Certains suggèrent le Ministère de la Santé, d'autres
le Commissariat à l'éducation. Enfin, un délégué a une idée lumineuse :
« Pourquoi
ne pas en charger le Commissariat au Commerce ? La prostitution est sûre de
disparaître en un rien de temps. N'est-ce pas ce qui est arrivé au pain, au
thé, au beurre, au sucre,…? »
Les visiteurs de l'enfer posent souvent cette question
au guide :
« –
Pourquoi Trotski est-il dans la merde jusqu'au cou et Lénine seulement jusqu'à
la poitrine ? Lénine n'a pourtant pas tué moins !
– Lénine
est debout sur les épaules de Staline, » répond imperturbablement le guide.
Un clochard accoste une femme corpulente :
« – Citoyenne,
ça fait cinq jours que je n'ai pas bouffé !
– Oh,
comme je suis jalouse. Si je pouvais avoir votre volonté !… »
Et puis, dans le même genre, une petite « revenue-adaptée » :
Un pauvre moscovite s'approche d'un nouveau riche au
volant de sa Mercedes 600 arrêtée à un feu rouge.
« – La
charité s'il vous plaît. Je n'ai pas mangé depuis 3 jours.
– Mais
il faut vous forcer, mon vieux ! »
(Il se vend plus de Mercedes 600 en Russie que dans
toute l'Europe Occidentale)
Dans l’originale c’était « Karla-Bling-bling »
qui était accostée de la sorte, malgré sa garde rapprochée de son corps à
elle-même, au moment de sortir de chez Cartier…
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Génial!
RépondreSupprimerLaquelle en particulier ?
SupprimerSur le communisme, et sur Obama.
SupprimerCelle d'Obama n'est pas mal, effectivement, mais j'avoue que celle sur la prostitution est excellente également !
SupprimerLes autres restent assez classiques, finalement : Or l'aspect "cannibale", je les avais déjà entendues ou lues pour la plupart...
Bien à toi, Vlad !