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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 5 octobre 2019

Septembre 2019

Relevé du 9ème mois de l’année
 
1 – Vol dans une église de Penne-d’Agennais, en Lot-et-Garonne
Il s’agit du sanctuaire marial Notre-Dame-de-Peyragude, le plus important lieu de pèlerinage du département. Le vol y a été commis dimanche dernier 1er septembre.
Le fruit des ventes de bougies durant la semaine a été dérobée dans le sanctuaire de Penne-d’Agenais. D’importants pèlerinages s’y déroulent. Mais dimanche, c’est une virée malveillante qui a plutôt eu lieu à Penne-d’Agenais puisque la basilique Notre-Dame-de-Peyragude a été la cible d’un vol peu commun : Entre le début de matinée et le milieu d’après-midi, la recette correspondant à la vente des bougies durant la semaine a été dérobée. La somme s’élèverait à plusieurs centaines d’euros. Les gendarmes de Fumel mènent l’enquête.
 
Corlay : les vandales de l’église interpellés
Une « affaire » signalé en juillet dernier. Deux mineurs viennent d’être interpellés.
Le 28 juillet dernier, le forfait avait suscité la stupéfaction à l’église Saint-Sauveur de Corlay : Le tronc, recueillant les dons, avait été arraché de l’autel et laissé au sol. Un tableau avait aussi été arraché, et enfin, un extincteur à poudre avait été vidé dans l’église. Le tout sans témoin et sans effraction. Des dégradations qui avaient occasionné 5.000 € de préjudice dans l’église. Un saccage à la suite duquel deux mineurs ont finalement été identifiés, puis interpellés. Entendus par la gendarmerie, ils auraient reconnu leur implication : Ils auraient laissé le tronc sur place car n’étant parvenu à l’ouvrir pour en récupérer la monnaie. Les deux jeunes garçons seront présentés devant un juge des enfants, à Saint-Brieuc.
 
2 – Vandalisme, profanation et vol dans l’église de Saint-Christol-de-Rodières, dans le Gard
Il s’agit de l’église Saint-Christophe (district paroissial de Pont-Saint-Esprit, diocèse de Nîmes). Les méfaits ont été commis dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 septembre 2019.
La porte d’entrée de l’église du village de Saint-Christol-de-Rodières a été cassée, dans la nuit de vendredi à samedi. Dans la matinée, les gendarmes se sont rendus sur place. Un ou plusieurs individus ont pénétré dans l’édifice, ont cassé la porte du tabernacle et ont pris le ciboire à l’intérieur. Une autre porte a été brisée pour accéder à la sacristie mais il n’y avait rien à dérober. Le bâtiment de l’église étant du domaine public mais l’intérieur relève de la paroisse, plusieurs plaintes devraient être déposées. L’enquête de gendarmerie est en cours.
 
3 – Marseille : une affaire de « couteau antichrétien ? »
Attaque à Marseille au cri de « je suis musulman, aujourd’hui je vais tuer tous les chrétiens. Allah Akbar ! ».
Vers 6 h 30 du matin, un jeune homme de 17 ans s’est introduit dans l’école La Pauline, dans le IXème arrondissement de Marseille, vendredi 6 septembre. Il aurait croisé une cantinière et lui aurait asséné plusieurs coups de couteau ou de ciseaux au niveau du thorax en proférant : « Je suis musulman, aujourd’hui je vais tuer tous les chrétiens. Allah Akbar ! ». Dans sa fuite, l’assaillant a également blessé une autre employée de l’école, en lui assénant un coup de poing au visage, puis un passant dans la rue.
 
4 – Marseille : Une Croix de Mission de nouveau vandalisée !
Signalé le 9 septembre que la Croix de Mission érigée sur le terrain de l’église Saint-Patrice dans le quartier de la Croix-Rouge de Marseille (XIIIème arrondissement), a été de nouveau vandalisée. Ce pourrait être la quatrième fois en moins de cinq mois. Le précédent avait eu lieu une quinzaine de jour avant le 30 mai dernier, et signalé les deux autres vandalismes commis le 29 mai puis le 26 juin. Le crucifix est soigneusement nettoyé à chaque acte de vandalisme puis régulièrement souillé de peinture rouge ou bleue par des malfaisants.
 
5 – Incivilités dans l’église de Froncles, en Haute-Marne
L’incident se serait produit dans l’église Saint-Joseph de Froncles (paroisse Saint-Hilaire, diocèse de Langres).
« Le Journal de la Haute-Marne à la bibliothèque de Chaumont, au bas de la page trois, signale que des incivilités avaient étaient commise dans l’église de Froncles. Les faits se seraient déroulés à la fin du mois d’août. Les gendarmes auraient trouvé les coupables ».
 
6 – Paris : Curieux acte de vandalisme dans l’église Saint Sulpice
Troublante « excursion » nocturne de quatre individus sur les toits de l’église Saint-Sulpice. Avec un petit acte de vandalisme à la clef. « L’église Saint-Sulpice est une des rares églises parisiennes à ne pas disposer de balustrade sur les courtines supérieures. Peu de danger cependant, car les chemins sont larges ».
L’organiste de l’église Saint-Sulpice, dans le VIème arrondissement de Paris, a appelé les policiers après avoir constaté la présence d’individus sur les toits de l’édifice, autour de 0 h 20, dans la nuit du 8 au 9 septembre. Les policiers sur place ont sécurisé les pourtours de l’église et ont tenté d’accéder au toit, en vain car ils n’ont pas eu l’autorisation de la part de l’organiste d’entrer dans certaines parties du lieu de culte. Selon l’organiste, qui a reconnu les individus sur le toit de l’église, ces personnes auraient l’habitude d’escalader les toits de Paris. Au même moment, les individus diffusaient sur quatre comptes Instagram des vidéos éphémères  les montrant sur les toits de Paris. Selon les policiers, on les y voit notamment aller sous les charpentes de Saint-Sulpice et dégrader une serrure.
 
7 – Diocèse de Fréjus-Toulon : plainte pour « prosélytisme » !
On rapporte que : « J’ai entendu sur France Bleu Provence ce matin (11 septembre) qu’une plainte avait été déposée par une enseignante parisienne pour « prosélytisme religieux » à l’encontre de prêtres du diocèse de Fréjus Toulon qui étaient venus prêcher sur la plage du Mourillon cet été ».
La congrégation des Missionnaires de la Miséricorde divine a été fondée en septembre 2015 par l’abbé Fabrice Loiseau à l’initiative de Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon. Elle ne pratique évidemment pas le « prosélytisme » mais « l’évangélisation », ce que l’Église fait depuis 2 000 ans !
En juin dernier, les Missionnaires de la Miséricorde divine avaient d’ailleurs mis en ligne un texte parfaitement explicatif sur la différence entre prosélytisme et évangélisation. Or, l’évangélisation en tant qu’annonce de la Bonne Nouvelle, ne prend pas de vacances, contrairement à cette enseignante parisienne…
Les religieux de cette congrégation ont l’usage, entre autres, depuis bien des années d’annoncer l’Évangile sur les plages du diocèse pendant la période estivale. Cela n’a pas plu à cette enseignante parisienne.
 
Pyrénées-Orientales : Les croix de sommets vandalisées, remplacées par des cairns anonymes…
On avait signalé en juillet de l’année dernière une affaire de croix sciées sur des sommets dans les Pyrénées-Orientales.
Le Figaro du 12 septembre précise que ces croix honteusement détruites ne seront pas remplacées au nom d’une laïcité qui montre, une fois encore, son vrai visage : Celui du laïcisme antichrétien… On les a remplacées par deux « cairns », des monticules de pierres anonymes.
 
8 – Profanation et vol dans l’église de Veynes, dans les Hautes-Alpes
On signale que « le tabernacle de l’église de Veynes a été profané vendredi 13 septembre 2019. Les ciboires contenant le Saint Sacrement ont été volés ».
Le 15 septembre 2019, l’abbé Jean-Pierre Herman précise : « Il s’agit en effet de l’église paroissiale du Saint Sauveur et le tabernacle se trouve dans une chapelle latérale réservée à la prière des fidèles ».
 
9 – Odieux vandalisme sur une église de L’Hôpital, en Moselle
On signale, le 15 septembre, « sur le chevet de la belle église Sainte-Barbe du quartier Bois-Richard de L’Hôpital (Moselle) des graffitis intolérables. À faire remonter aux autorités. »
 
10 – Guadeloupe : Chapelle profanée et vandalisée à Saint-François
Située sur les hauteurs de la commune de Saint-François, la chapelle de la baie Olive, dédiée à la Vierge Marie, est le point d’arrivée du chemin de Croix du Vendredi saint qui part du quartier Sainte-Marthe de Saint-François. Ce lieu très fréquenté, a été profané et vandalisé dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 septembre. Des coqs égorgés ont été trouvés aux pieds de statues, des objets ont été cassés et jetés au sol.
 
11, 12, 13, 14, 15 & 16 – Bourgogne-Franche-Comté : Augmentation des vols dans les églises
Le service communication de la gendarmerie Bourgogne-Franche-Comté informe qu’une recrudescence des vols d’objets liés au culte, dans les églises des départements de la région Bourgogne, a été constatée durant le 1er semestre 2019. « Bien souvent perpétrés sans effraction, ces vols ont été commis majoritairement lorsque les lieux de culte sont ouverts au public, comme par exemple à Digoin et Tournus en Saône-et-Loire, Meursault et Fley en Côte-d’Or, Corbigny dans la Nièvre ou Noyers et Vincelottes dans l’Yonne », informe la gendarmerie.
Afin de parer à d’éventuels nouveaux vols, les différents responsables des lieux de culte en Bourgogne vont recevoir une information de la gendarmerie afin de les inciter à rester vigilants.
Tournus, on savait déjà…
 
 
17 – Préseau : Statue volée dans une chapelle, dans le Nord
La modeste chapelle dans laquelle elle se trouvait jusqu’au 20 septembre, est située en périphérie de Préseau sur la route menant à Marly. Des pèlerinages mariaux y sont organisés et la statue est processionnée notamment le 15 août, en la fête de l’Assomption.
 
La chapelle Notre-Dame du Bon-Voyage demeurait un sanctuaire. Les services techniques de Préseau, affairés à arroser les plantes bordant cet édifice perché sur le point le plus haut du village, en direction de Marly, ont ainsi constaté que la lourde porte de métal donnant sur l’autel était ouverte. Et que la statue de Notre-Dame avait tout bonnement disparu.
 
Incendie de l’église de Mercier : un suspect interpellé
L’individu âgé de 49 ans n’est pas un résidant de Mercier, selon les informations communiquées par Vincent Lanctôt, chargé des communications de la ville.
 
18 – Reims : une église évangélique cambriolée
L’affaire remonte au 13 août dernier…
Le mercredi 13 août vers 23 h 30, deux jeunes de dix-sept et vingt ans ont été arrêtés à Reims par une patrouille de la brigade anti-criminalité. Ils venaient de cambrioler les locaux de l’Église évangélique tzigane, « Ville et Lumière », de la ville. Avertis par des riverains ayant signalé des individus suspects rodant près de voitures, les policiers ont procédé à un contrôle. Dans le sac à dos d’un des suspects se trouvaient notamment des boîtes métalliques contenant de l’argent, un ordinateur et des chèques au nom de la Mission évangélique des Tziganes de France. Les forces de l’ordre ont ensuite pu constater l’effraction d’un volet roulant et de la salle de culte de l’Église évangélique tzigane de Reims, proche du lieu de l’arrestation. Les deux voleurs ont été présentés le 16 août au palais de justice.
 
19 – Tahiti : Cimetière vandalisé à Papeete
Une vingtaine de tombes du carré militaire du cimetière de l’Uranie à Papeete (Tahiti), ont été vandalisées, selon une information diffusée par la chaîne de télévision publique Polynésie 1. Il s’agit de sépultures de soldats, notamment de la Légion étrangère, servant au Centre d’expérimentation du Pacifique (CEP) démantelé à la fin des années 1990. Une ou des croix ont été vandalisées.
 
20 – Marseille : le crucifix de l’église de la Croix-Rouge vandalisé pour la 5ème fois
Le 26 septembre des employés municipaux étaient de nouveau intervenus pour nettoyer les souillures de peinture rouge apposées sur le Christ de la Croix de Mission de l’église de la Croix-Rouge. C’est la cinquième fois, en quatre mois, que cette Croix est vandalisée de la sorte
 
Hérault : Le profanateur des cimetières de Sète condamné
L’affaire avait été découverte en mars dernier à Sète et l’homme interpellé dans la foulée. Le suspect, âgé de 59 ans, a été jugé lundi 23 septembre par le tribunal correctionnel de Montpellier (prévu en avril le procès avait été repoussé) et condamné à un an de prison dont huit mois avec sursis. L’homme, passionné d’ésotérisme, n’était pas présent à l’audience. Lors de son interpellation, il avait expliqué qu’il effaçait les yeux des défunts sur les plaques des tombes car « il ne supportait pas leurs regards ». Une centaine de tombes ont été visées mais seules une vingtaine de victimes ont porté plainte…
 
21 – Église paroissiale Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse (diocèse de Carcassonne et Narbonne) : Des actes ont été constatés au début de cette semaine – sans doute le 23 septembre – dans l’église paroissiale Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse (diocèse de Carcassonne et Narbonne).
Avaient été déjà signalés, en février de l’année dernière, des « incivilités » à répétition dans cette église…
En début de semaine, la responsable en charge de l’ouverture de l’église le matin et de sa fermeture du soir a été surprise de voir ce soir-là les bougies des candélabres renversés allumés et en fin de combustion contre des boiseries.
 
Petite baisse de régime (toutes relatives) bienvenue des actes de christianophobie en ce 9ème mois de l’année.
Encore sont-ils bénins, mais comme le dernier, ils auraient pu être plus catastrophiques…
 
Bonne continuation à toutes et à tous !
 
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