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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 27 juin 2019

Vous avez aimé McDo-Trompe ?

Vous allez apprécier son clone « Bojo »
 
Franchement, plus je vieillis, plus je n’ai qu’une hâte, c’est de me tirer de chez les anglo-saxons-londoniens.
On dit que le peuple est source de toutes les sagesses, mais il doit y avoir des exceptions pour confirmer la règle. Et dans la loterie cosmologique, c’est tombé chez les britanniques…
Pas qu’eux, notez bien : Les « ricains » ne sont pas mal non plus pour avoir élu un « twistoman » déjanté qui ne viole même pas les femmes dans les cabines d’essayage (pas assez à son goût…), est en passe de mettre le feu à la planète, se fout comme de l’hiver 40 d’un marché de 600 millions d’âmes européennes, déclare la guerre commerciale à deux autres comptant chacun plus d’un milliard d’humains (Inde et Chine), est près à s’enquiller 80 millions d’Iraniens mais renonce en raison du décès probable de 150 d’entre eux…
Les russes ne sont pas mal non plus crachant sur les évidences qu’ils parviennent à nier sans même en rire.
Mais chez eux, c’est une seconde nature : La Russie a beau être éternelle, finalement le régime est seulement « tout neuf » et patauge dans ses contradictions populistes…
 
Bé à London, ils ont le clone de « Trompe » qui a la même fièvre des délires : Le favori dans la course à la succession de « Théière-mai », un enragé du « Brexit-dur », arrondit enfin les angles, alors même que sa campagne se durcit.
Il a notamment assuré que s’il s'installait au 10 Downing Street d’ici fin juillet, son gouvernement n’imposerait en aucun cas « de contrôles ni de frontières dures en Irlande du Nord ».
On rigole, non ?
Comme si une « border » n’était jamais contrôlée que d’un côté…
Complétement déjanté, lui aussi (et il n’en rit même pas…)
 
Jusque-là discret pour avoir claqué la porte à sa « co-pine » du moment, after-eight que ses voisins ont cru à un attentat en plein match de coupe de foot, il a quand même accordé une interview à la BBC, reconnaissant lundi soir avoir besoin de « la coopération » de l’Union européenne pour amortir les chocs en cas de sortie sans accord.
Ah oui ?
Non mais, je rêve : Il patauge grave dans ses contradictions et personne ne l’arrête pour démence inopinée.
Et comment fait-il, lui qui commençait sa « négociation » avec l’UE par dire qu’il ne paierait pas la facture du « Brexit » sans avoir des assurances de « deal » ultérieur, là où l’UE s’en tient au « d’abord tu payes, ensuite on discute. » ?
Et c’est sans garanties « pièces et main-d’œuvre »…
 
Pas de retour « des contrôles ni de frontières dures en Irlande du Nord ».
C’est justement le point le plus épineux du Brexit sur lequel tout le monde s’est cassé les dents depuis trois ans sans même avoir anticipé le problème durant la campagne du référendum : Un point qui n’a jamais été évoqué.
Déclaration valable, même si, le 31 octobre – date-butoir du Brexit –, le Royaume-Uni quittait l’UE sans accord, comme a plusieurs fois mis en garde « Beau-Rice-John-sonne ».
Il a peur pour lui et son pays ou il croit pouvoir faire trembler les 27 ?
Un coup à perdre Gibraltar, que j’en dis…
Et le soutien des Irlandais du Nord, voire peut-être même de l’Écosse toute entière… à une date ultérieure.
« Bien sûr, cela ne dépend pas juste de nous », a-t-il quand même reconnu. « Cela dépend de l’autre côté aussi. Il y a bien sûr un élément très important : celui de la réciprocité et de la coopération. »
Mal barré…
 
Il a également évoqué « une période de transition », une clause que prévoyait déjà l’accord conclu entre « Théière-mai » et Bruxelles en novembre dernier mais qu’il juge « mort » après que le Parlement britannique l’ait rejeté par trois fois.
« Mais on va avoir besoin d’une sorte d’accord, et c’est bien ce que je vise, pour obtenir une période de transition », a également dit l’ancien maire de Londres et ex-sinistre des affaires étrangères de l’UK.
Et pour ce faire, il faut « préparer sérieusement et avec détermination » une sortie sans accord ou sur les termes de l’Organisation mondiale du commerce pour prouver « le sérieux » du Royaume-Uni aux Européens.
À mon sens, il faudra surtout convaincre Bruxelles de rouvrir les négociations… qui sont définitivement closes.
S’il échoue, « Bojo » a promis que le Royaume-Uni quitterait l’UE le 31 octobre, même sans accord.
Ça va être court.
La nouvelle équipe de l’UE ne prend les commandes que plus tard…
 
Il a par ailleurs évité de répondre à la journaliste qui l’interviewait au sujet de la récente scène de ménage avec sa compagne Carrie Symonds : « J’en ai fait une de mes règles (de conduite) depuis beaucoup, beaucoup d'années (…) : je ne parle pas de choses qui impliquent ma famille, les gens que j’aime », a-t-il dit, jugeant « injuste » de « les traîner » dans ses affaires politiques.
Dont acte : Il n’aime pas son pays, puisqu’il en cause !
Lundi, l’actuel sinistre britannique des Affaires étrangères, « Jéré-Mi-Chasse », l’aura pressé de ne pas fuir les questions. Pas celles sur sa vie privée, mais bien sur le Brexit.
Les deux rivaux, engagés dans la course à la succession pour Downing Street, ont été invités par SkyNews à un débat télévisé mardi.
Mais « Bojo » a décliné.
En son absence, l’émission a finalement été annulée : A-t-il eu peur ?
Le « débat auquel Boris a été invité aura lieu (mardi) soir sur SkyNews. J'y serai. Alors ne sois pas un lâche, Boris, sois un homme et montre à la nation comment tu es capable de répondre à l’examen minutieux qu’implique la fonction la plus difficile du pays », avait déclaré plus tôt son adversaire de la dernière ligne droite dans le « Times ».
Les militants des Torries, qui auront la dernière main, sauront qui choisir.
Pas besoin d’en avoir entre les jambes pour gouverner le pays : « Tate-chair » et « Théière-mai » en étaient bien dépourvues…
 
« Débattre de la vie privée de Boris de m’intéresse pas », avait précisé son dernier adversaire : « Mais je veux l’interroger sur la façon dont il peut ‘‘garantir’’ que nous quitterons l’UE le 31 octobre si le Parlement vote contre un ‘‘no deal’’. »
Ce qu’il a déjà fait…
L’attaque s’inscrivait dans le droit fil de la stratégie de campagne de cet ancien entrepreneur de 52 ans, « sinistre » depuis 2010, qui joue la carte du candidat « sérieux », face à un « Bojo », 55 ans, traînant derrière lui une longue liste de gaffes, pire que « Trompe » (qui lui a une stratégie…)
 
Effectivement l’ancien maire de Londres est bien parti pour succéder à « Théière-mai ». Preuve que l’opportunisme paie parfois en politique.
Il en disait il y a encore peu que : « J’ai autant de chances de devenir Premier ministre que de me réincarner en olive ou d’être décapité par un frisbee ».
Et pourtant, le quinqua aux airs débraillés ne pense qu’à ça.
Plus intéressé par le pouvoir que par ce qu’il pourrait en faire il est prêt à toutes les bassesses pour vaincre. « Si vous votez tory, votre femme aura de plus gros seins et vous augmenterez vos chances d’avoir une BMW », promettait-il en 2001 à ses électeurs, décrochant ainsi son premier siège de député quelques jours plus tard.
Sa tignasse blonde, son sens de la provocation et ses infidélités en font le clone de « McDo-Trompe », mâtiné d’un accent « so posh » (chic) qui trahit son passage par les meilleurs établissements britanniques – Eton et Oxford.
D’ailleurs, les deux hommes s’entendent comme larrons en foire.
De vraies girouettes politiques, qui n’ont d’autres convictions que la nécessité de les aligner sur celles du peuple.
 
Quelques jours avant le « Brexit », « Bojo » avait rédigé deux lettres.
L’une en faveur du « leave » et l’autre du « remain ».
Il avait finalement choisi la première, convaincu qu’elle faciliterait son accession au sommet de l’État.
Depuis il a accéléré la cadence, se faisant même virer du cabinet de « Théière-mai ».
Un formidable opportunisme qui lui vaudra certainement la consécration le mois prochain.
 
Ceci dit, tout cela n’arrange pas les affaires des britanniques.
Ni celles des européens.
Après la tempête qui va suivre dans les relations d’Outre-Manche, forcément il va y avoir de la casse.
Et probablement des deux côtés du Channel.
C’est de toute façon l’objectif du locataire de la Maison-Blanche qui se propose de mettre en place un accord « vraiment extraordinaire » avec Londres.
C’est aussi l’objectif du propriétaire du Kremlin qui redoute à la fois les britanniques (une vieille histoire qui remonte à la Révolution Bolchévique et qui perdure depuis) et voit mal une Europe « forte » à ses portes, toujours pro-atlantiste.
Dans le temps, pour « casser » cette union européenne débutante et pro-Otan, les russes finançaient les partis-communistes en Europe de l’ouest.
Et même une internationale de la paix…
Ce qui énervait De Gaulle…
Depuis, ils financent en sous-main et portent assistance par trolls interposés aux « populistes » et autres néo-nazis à chaque élection.
 
Les temps changent : « McDo » ne veut plus de microprocesseur chinois dans son téléphone, il interdit le commerce avec l’Iran.
Je me souviens que les « ricains » ne voulaient pas partager les secrets de la bombe nucléaire avec les « Gauloisiens » ni même la technologie triomphante des fusées qui allaient jusque sur la Lune.
La « Gauloisie » a sa propre arme nucléaire et ne doit rien à personne, l’Europe sait faire des fusées, des satellites, des avions de combat et même des avions civils qui ne se plantent pas pour cause d’intelligence artificielle embarquée et mal maitrisée.
On a inventé le minitel, les moduleurs-démodulateurs, le bip-bop avant que les US aient développés les « i-truc » et internet.
Le seul échec des « Gauloisiens », c’est le « plan calcul » : Il y avait pourtant des « pépites » comme Goupil, Bull et quelques autres enterrés depuis longtemps, car gérées par des « sachants », apparatchiks névrosés de notre technostructure, capable de saborder l’aérotrain qu’ont su récupérer et améliorer les japonais.
 
Dans un monde ouvert, fermer une porte et une fenêtre s’ouvre par ailleurs.
Le repli des anglais sur eux-mêmes avec le « brexit » est une ânerie géopolitique.
Politique et économique qui aura une traduction sociale forte.
Et les fenêtres qui s’ouvrent à eux ne sont pas saines…
À « Bojo » de se démerder avec la crotte qu’il a appelé à voter juste pour satisfaire son égo personnel.
Lui et « Barrage » sont les fossoyeurs de la « Britannie-unie » : Tout le monde le sait.
Dans une autre génération, les choses changeront : Je ne serai plus là pour le voir, mais j’ai hâte de quitter le royaume-désuni dès l’automne arrivé tellement ça me déprime.
Bon courage aux jeunes-générations !

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