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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 26 avril 2018

Le sionisme international dans tous ces états.

N’y a-t-il que des « coïncidences troublantes » ?

Alors que de nouvelles manifestations se sont terminées tragiquement à Gaza, alors que « Jupiter » est parti se précipiter dans les bras de « McDo-Trompe », alors que les missiles gauloisiens auraient fait « long-feu » signant ainsi sa « non-capacité-militareuse », que le Parlement du même pays adopte une loi sur la migration, et tant d’autres, la Knesset (Parlement de l’État hébreu) aura été la proie à un débat de chiffres sur la pérennité de l’État juif.
Je me suis dit : « Tiens, on va avoir une offensive sioniste »…
Que ça n’a pas loupé !
Curieuses coïncidences, tout de même…

Je vous résume : Alors qu’on attendait le rejeton royal en UK après s’être « murgés » pour les 92 ans de la queen Elisabeth, et à l’aube de fêter le mois prochain le 70ème anniversaire de son indépendance, Israël reste hanté par ce que l’un de ses illustres « néo-historiens », Benny Morris, qualifie d’« angoisse existentielle ». La piqûre de rappel est venue d’un haut gradé de l’administration civile, une composante de l’armée israélienne qui régit les Territoires palestiniens. Le 26 mars, lors d’une audition devant la commission de la défense et des affaires étrangères de la Knesset, le colonel Uri Mendes a semé le trouble en annonçant que 5 millions de Palestiniens vivent actuellement entre la bande de Gaza et la Cisjordanie. Additionnée au 1,8 million d’Arabes israéliens (bé oui, il y en a…), cette population dépasse les 6,5 millions de Juifs recensés sur le territoire qui s’étend entre la Méditerranée et le Jourdain…
Marrant, non ?

« Si ces chiffres sont corrects, ils sont troublants », a rétorqué le président de la commission, Avi ­Dichter, ancien patron des services de sécurité intérieure (Shabak). Et pourtant ils ne traduisent aucune nouvelle dynamique démographique… Juste une conséquence logique.
À l'intérieur des frontières de 1967, Israël est un pays où les Juifs sont largement majoritaires sur les Arabes.
Seulement, problème : La donne se complique avec la Cisjordanie, aux deux tiers sous contrôle militaire israélien, où vivent près de 3 millions de Palestiniens. En cas de maintien du statu quo actuel, autrement dit sans que la solution de deux États distincts puisse voir le jour, les Juifs deviendraient minoritaires à moyen terme dans le pays octroyé par l’ONU.
« Si nous ne renonçons pas à nos rêves illusoires d’annexion, nous allons perdre notre pays », s’alarme l'ancienne ministre Tzipi Livni, à la tête d’une coalition centriste.
Le « grand-remplacement », vous connaissez ?
Le député Ahmed Tibi, issu de la Liste arabe unifiée, n’a pas manqué l’occasion d’agiter l’épouvantail : « Soit la vision d’un Premier ministre arabe dirigeant Israël est proche de se réaliser, soit nous nous dirigeons vers un régime d’apartheid. Il est urgent de mettre fin à l’occupation et de remettre en selle la solution à deux États. »
C’est-y-pas-beau ?

Opposée à tout nouveau partage de la terre, la droite nationaliste israélienne conteste évidemment la validité même des chiffres présentés à la Knesset. Elle accuse l’armée de s’appuyer sur le Bureau central palestinien des statistiques, les autorités israéliennes n’ayant pas conduit de recensement en Cisjordanie et à Gaza depuis 1996 : « Ces données incluent des centaines de milliers de jeunes partis étudier dans la région. Les Palestiniens font aussi gonfler les chiffres en comptabilisant les naissances à l'étranger », affirme ainsi Yoram Ettinger, un ancien diplomate proche du mouvement des colons, pour qui la bombe à retardement démographique s’apparente à un mythe.
Bref,  elle « botte-en-touche » en attendant « des jours meilleurs » : L’autisme, quand ça rend « trisomique »…
Reste à savoir si « le mythe » est « errant » ou non…

Dans les faits, reconnaissent les experts, le gouvernement israélien a toujours cherché à éluder le problème, dont la dimension politique est majeure. Artisan des accords d’Oslo (1993) qui devaient ouvrir la voie à la création d’un État palestinien, Yossi Beilin considère que son pays ne peut plus se voiler la face : « Nos dirigeants doivent prendre une décision historique qu’ils n'ont cessé de repousser ou de prendre à la légère. Israël est loin d’être un État d’apartheid à ce jour. Mais s’il choisit de faire régner une minorité juive sur une majorité arabe, il n’aura pas d’autres choix que de recourir à des méthodes de ségrégation. Cela mettrait fin à l’idéal sioniste. »
Ah les feujs et le sionisme… Un grand roman !

Réplique gauloisienne : Il faut réagir et ça a été fait le week-end dernier à travers un manifeste, rédigé par Philippe Val et que publie « Le Parisien-Aujourd’hui en France Dimanche », qui, pour bien appuyer sur le réservoir de l’antisémitisme « pro-sioniste » réunit plus de 250 signataires. Et parmi eux, trois anciens Premiers ministres, des élus, des intellectuels, des artistes…
Une fois de plus.

Quinze intellectuels prennent la plume pour dénoncer le poison de l’antisémitisme. Il est prétendu que depuis la mort de Sarah Halimi, Parisienne de 65 ans défenestrée après avoir été rouée de coups le 4 avril 2017 (la justice a mis plus de dix mois à reconnaître la circonstance aggravante de l’antisémitisme), le 23 mars, moins d’un an plus tard, dans le même arrondissement, au cœur de la capitale, l’assassinat de Mireille Knoll, 85 ans, ravivant l’émotion et l’indignation nées de l’affaire Halimi sont la démonstration de l’horreur « antisémite » qui fait honte à mon pays (celui que j’aime tant et me le rend si mal…)
Deux odieux assassinats qui pourtant n’enlèvent rien aux centaines de martyrs des attentats islamiste et aux dizaines de milliers d’actes « christianophobes » que je collecte depuis deux ans pour vous…
« Padamalgame », n’est-ce pas…
Et pourtant : « L’antisémitisme n’est pas l’affaire des Juifs, c’est l’affaire de tous. Les Français, dont on a mesuré la maturité démocratique après chaque attentat islamiste, vivent un paradoxe tragique. Leur pays est devenu le théâtre d’un antisémitisme meurtrier. Cette terreur se répand, provoquant à la fois la condamnation populaire et un silence médiatique que la récente marche blanche a contribué à rompre.
Lorsqu’un Premier ministre à la tribune de l’Assemblée nationale déclare, sous les applaudissements de tout le pays, que la France sans les Juifs, ce n’est plus la France, il ne s’agit pas d’une belle phrase consolatrice mais d’un avertissement solennel : notre histoire européenne, et singulièrement française, pour des raisons géographiques, religieuses, philosophiques, juridiques, est profondément liée à des cultures diverses parmi lesquelles la pensée juive est déterminante. Dans notre histoire récente, onze Juifs viennent d’être assassinés – et certains torturés – parce que Juifs, par des islamistes radicaux. »
Ils auraient trouille d’être nés « gauloisiens », mes feujs.
Ou on leur fait croire qu’ils doivent avoir la trouille d’être « feujs »…

Et d’en rajouter une couche : « Les Français juifs ont 25 fois plus de risques d’être agressés que leurs concitoyens musulmans. 10 % des citoyens juifs d’Ile-de-France – c’est-à-dire environ 50 000 personnes – ont récemment été contraints de déménager parce qu’ils n’étaient plus en sécurité dans certaines cités et parce que leurs enfants ne pouvaient plus fréquenter l’école de la République. Il s’agit d’une épuration ethnique à bas bruit au pays d’Émile Zola et de Clemenceau. »
Morceau de bravoure repris en chœur par la « presse-aux-ordres »…
La radicalisation islamiste – et l’antisémitisme qu’il véhicule – serait considérée exclusivement par une partie des élites « gauloisienne » comme l’expression d’une révolte sociale, alors que le même phénomène s’observe dans des sociétés aussi différentes que le Danemark, l’Afghanistan, le Mali ou l’Allemagne…
Au vieil antisémitisme de l’extrême droite, s’ajouterait l’antisémitisme d’une partie de la gauche radicale qui a trouvé dans l’antisionisme l’alibi pour transformer les bourreaux des Juifs en victimes de la société. Parce que la bassesse électorale calculerait que le vote musulman est dix fois supérieur au vote juif.
J’admire ce « pasdamalgame » là, figurez-vous.

Je ne vis plus « au pays »,mais j’y passe entre les mailles du filet qui tente de me « choper » quand les grèves des transports ne compliquent pas la tâche de mes « pourchasseurs ». Mais si je me souviens bien (vous pouvez me contredire : Je n’y étais pas), à la marche blanche pour Mireille Knoll, il y avait des imams conscients que l’antisémitisme musulman est « la plus grande menace qui pèse sur l’islam du XXIème siècle et sur le monde de paix et de liberté dans lequel ils ont choisi de vivre. »
Ils sont, pour la plupart, sous protection policière, ce qui en dit long sur la terreur que font régner les islamistes sur les musulmans de « Gauloisie-des-lumières »…

« En conséquence, nous demandons que les versets du Coran appelant au meurtre et au châtiment des juifs, des chrétiens et des incroyants soient frappés d’obsolescence par les autorités théologiques, comme le furent les incohérences de la Bible et l’antisémite catholique aboli par Vatican II, afin qu’aucun croyant ne puisse s’appuyer sur un texte sacré pour commettre un crime. »
Demander à des musulmans de réécrire le Coran, ils y vont un peu fort (on va y revenir).
« Nous attendons de l’islam de France qu’il ouvre la voie. Nous demandons que la lutte contre cette faillite démocratique qu’est l’antisémitisme devienne cause nationale avant qu’il ne soit trop tard. Avant que la France ne soit plus la France. »
Admettons…
« Nous demandons que la lutte contre cette faillite démocratique qu’est l’antisémitisme devienne cause nationale avant qu’il ne soit trop tard. Avant que la France ne soit plus la France », lit-on dans ce texte.
« Dans notre histoire récente, onze Juifs viennent d’être assassinés – et certains torturés – parce que Juifs par des islamistes radicaux », écrivent-ils, en référence à l’assassinat d’Ilan Halimi en 2006, à la tuerie dans une école juive de Toulouse en 2012, à l’attaque de l’Hyper Cacher en 2015, à la mort par défenestration à Paris de Sarah Halimi en 2017 et, récemment, au meurtre d’une octogénaire dans la capitale, Mireille Knoll.
Que les imams apportent une interprétation différente des textes sacrés pour ne pas inscrire dans le marbre des mots qui appellent…

Évidemment, si le texte de l’ancien directeur de Charlie Hebdo, dénonce une cette « épuration ethnique à bas bruit » (que je n’ai pas bien perçue) réécrire  le Coran, c’est faire preuve d’une « ignorance-crade », puisqu’il a été écrit directement par le Prophète… le dernier … connu !
« Il faut remettre les pendules à l’heure et revoir l’exégèse du Coran, car il s’agit d’une interprétation qui date de IXème siècle, explique Mohamed Guerroumi, musulman pratiquant et militant du dialogue interreligieux à Nantes, qui a paraphé ce texte.
« La sourate 9 est très violente, les juifs ou mécréants étant considérés comme des ennemis des musulmans. C’est ce qu’on enseigne en ce moment aux jeunes musulmans en France. » Une vision différente de celle de Tareq Oubrou, grand imam de Bordeaux, qui, lui, n’a pas signé le texte : « Le fait de généraliser l’idée que le Coran appelle au meurtre, c’est de la folie », note-t-il.
« Il y a beaucoup de choses dans le Coran qui ne sont pas applicables aujourd'hui car elles sont liées au contexte de l’époque. On ne peut être antisémite quand on est musulman : deux tiers des prophètes de l’islam sont des juifs », assure-t-il.
Pour Kamel Kabtane, recteur de la grande mosquée de Lyon : « C’est le terrorisme qui est à combattre », rappelle-t-il. « L’islam est une religion de paix. Ceux qui tuent d’autres personnes au nom de l'islam sont des voyous, des jeunes paumés de banlieue qui ne connaissent rien du Coran. »
Personnellement, j’aurai dit des assassins…

« C’est l’islam radical qui est visé dans ce manifeste, ce ne sont pas les musulmans, qui ont plutôt intérêt à s’associer à cette démarche », souligne le président du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) pour mieux enfoncer le clou. « Les musulmans éclairés de notre pays doivent remettre les choses en ordre et ne pas prendre de façon littérale les textes sacrés mais les contextualiser. »
Le « feuj » qui donne des leçons œcuméniques à des mahométans, je te le vous jure, on aura décidément tout vu…
Qu’évidemment, ce n’est pas ça (et je m’indigne dans mon coin me demandant même comment on peut toujours faire prendre des vessies pour des lanternes dans mon pays, celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…) : 2 crimes antisémites sur les 825 par an qui sont commis, les Corsi, avec 11 homicides (forcément « anti corses » par nature) en 2017, personne n’en appelle pour autant à l’exil vers Israël (ou ailleurs…).
Vous l’aurez peut-être compris : Si la « doxa » n’en appelle pas à l’insécurité de « nos feujs », ils n’iront pas s’exiler en Israël.
Et pourtant, ce pays-là va disparaître sous la marée musulmane en une génération à venir, sauf… à devenir la nouvelle patrie de l’apartheid !
Fantastique, n’est-ce pas ?

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