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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 5 janvier 2018

Les premières de l’année nouvelle

Blagues d’hiver

Un jour où il fait un temps de chien, une poule dit à un canard :
« – Il fait un froid de canard.
– Oui, j’en ai la chair de poule ! »

Le médecin pénètre dans la chambre et aperçoit le nouvel infirmier qui secoue violemment un moribond.
« – Vous êtes fou ! Qu’est-ce que vous faites ?
– Excusez-moi, mais j’ai oublié de secouer la bouteille avant de lui donner son sirop. »

Le téléphone sonne à l’animalerie.
« – Bonjour madame, que puis-je faire pour vous ?
– Pourriez-vous m’envoyer 25.000 sauterelles-dévoreuses pour demain matin SVP ?
– Ma p’tite madame, y avez-vous pensé, qu’allez-vous faire de 25.000 sauterelles ?
– Je déménage demain après-midi et il est indiqué dans mon bail que je dois laisser le logement dans le même état que je l’ai trouvé. »

Jean-Charles, un courtisan de la cour du Prince Albert II de Conac est obsédé par un fantasme, celui de fourrer son nez dans la voluptueuse poitrine de la soeur-aînée du prince régnant, Moraline de Conac.
Mais il savait que la sanction serait la mort.
Un jour, il révèle son désir secret à son collègue Jean-Gabriel, le médecin du prince.
Celui lui dit :
« Je peux arranger ça, mais ça va te coûter 1.000 pièces d’or. »
Jean-Charles, le courtisan, accepte.
Quelques jours plus tard, Jean-Gabriel, pendant que la princesse prend un bain, pénètre dans la chambre de cette dernière, et dépose de la poudre à gratter dans son soutien-gorge. Peu après s’être habillée, cette dernière est prise d’une démangeaison folle.
Après avoir été convoqué par le Prince sérénissime, Jean-Gabriel déclare qu’il connaît les symptômes, et que seule une salive spéciale, appliquée pendant 4 heures, peut guérir ce type de démangeaison.
Et de lui préciser que les tests montrent que seul Jean-Charles le courtisan possède une telle salive.
Le Prince convoque Jean-Charles.
Et celui-ci s’attaque à sa tâche, et pendant quatre heures, il caresse passionnément les seins de la Princesse Moraline. Le rêve de sa vie. L’apothéose !
Satisfait, il retourne dans ses appartements. Le lendemain, Jean-Gabriel vient le voir pour se faire payer. Jean-Charles, le courtisan, refuse de le payer.
« Tu sais bien, je n’ai pas d’argent. Et puis, jamais tu ne pourras raconter ça. On te pendra. »
Le jour suivant Jean-Gabriel mit une dose massive de poil à gratter dans le caleçon du Prince-Albert.
Bien entendu, le Prince-sérénissime convoqua Jean-Charles, le courtisan…
Morale de cette histoire : Mieux vaut payer ses dettes.

Les blagues sexistes du moment :

« – Quelle est la différence entre le cerveau d’un homme et une olive ?
– La couleur… »

« – Comment savoir si votre mari est mort ?
– Vous avez accès à la télécommande. »

« – Quelle est la différence entre une balle de golf et le point G ?
– Un homme passera deux heures à chercher sa balle de golf. »

« – Pourquoi les femmes ne clignent-elles pas des yeux pendant les préliminaires ?
– Elles n’en ont pas le temps ! »

« – Quelle est la différence entre un homme et un cochon ? »
– Les cochons ne se conduisent pas comme des hommes quand ils sont bourrés. »

« – Quelle est la différence entre un homme et E.T. ?
– E.T., lui, téléphone maison quand il est en retard. »

« – Qu’il y a-t-il de commun entre un homme et une série-télé ?
– Dès que ça devient intéressant, il faut attendre la suite. »

« – Pourquoi une psychanalyse dure moins longtemps pour un homme ?
– Pas besoin de régresser en enfance, c’est déjà fait. »

« – Comment fait-on asseoir un homme ?
– On met la télécommande entre ses pieds. »

« – Comment rendre un homme heureux au lit ?
– Mettre la télé dans la chambre. »

« – Pourquoi tant de femmes simulent-elles l’orgasme ?
– Parce que tant d’hommes simulent les préliminaires… »

« – Qu’est-ce qui fait plus plaisir à un homme qu’un délire sexuel ?
– Des copains qui le croiraient. »

« – Comment guérir un homme de son obsession sexuelle ?
– L’épouser. »

« – Quel écart y a-t-il entre une femme mariée et une maîtresse ?
– 20 kilos !
– Quel écart y a-t-il entre un homme marié et un amant ?
– 20 minutes. »

« – Comment les hommes trient-ils leurs habits ?
– « Sales » et « Sales mais mettables ». »

« – Combien d’hommes faut-il pour changer un rouleau de papier-Q ?
– Pour changer quoi ? »

« Un homme, c’est comme un magnétoscope : Avance, recule, avance, recule, stop, eject. »

« – Pourquoi Dieu a-t-il créé les femmes belles et stupides ?
– Belles pour que les hommes puissent les aimer, et stupides pour qu’elles puissent aimer les hommes.
Ainsi va l’espèce qui assure sa pérennité. »

Jean-Marc achète une croisière.
En cours de route le bateau coule.
Jean-Marc bouscule tout le monde et se glisse dans un canot de sauvetage.
Un marin l’interpelle :
« – Hé, il reste des femmes à bord…
– Et alors, hein ? Tu crois que c’est l’moment de leur faire l’amour ? »

Jean-Philippe s’approche du policier…
« – Mon mon monsieur, l’agent ! Pour pourpourriez mememe dire où est lé-lélécole pour les bé bé bé bégayeux ?
– Pourquoi aller à l’école, vous bégayez très bien. »

De Jean-Marc à Jean-Paul :
« – Quelle est la différence entre une femme et la maladie ?
– La maladie, elle, elle évolue. »

Le médecin rentre dans une chambre où il y a deux fous.
Le premier est assis au pied du lit et tient un volant imaginaire en émettant toute la gamme de sons d’un camion de pompier.
Sur l’autre lit, l’autre fou, s’agite à toute vitesse sous les draps.
« Que fais-tu ? » demande le médecin
« C’est moi qui ai donné l’alarme, et je baise sa femme pendant qu’il est sur la route. »

Jean-Marc dit à sa femme :
« – Mon amour, ta tarte me rappelle celles que faisait ma mère.
– Oh ! Je suis contente. Ta mère est une si bonne cuisinière !
– Oui, mais il y a une chose qu’elle a toujours ratée : Ce sont les tartes… »

Deux vieux potes, Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Mon cousin Jean-Albert II me fait chier royalement !
– Comment ça ?
– Il colle à la maison depuis deux mois alors qu’il devait passer une semaine. Ça faisait 14 ans que je ne l’avais pas vu.
– Et puis ?
– Ben, il fume mon tabac, prend ma voiture, vide mon frigo, bois ma bière et saute ma femme. Je les ai pris avant-hier.
– Ouais…
– Ouais certain ! Quand je l’ai pris, j’ai dit à Germaine de choisir entre lui ou moi. Elle m’a répondu : « Je pars avec Albert ».
Immédiatement, il s’est levé, en colère, pour s’écrier : « Jamais ! ».
Maudit ingrat ! »

Les revenues du moment :

Jean-Marc entre dans un bar et demande au barman :
« Un verre avant la bagarre. »
Le garçon le sert.
« Un autre verre avant la bagarre, s’il vous plait. »
Le garçon le ressert.
Au cinquième verre, le barman demande :
« – Non mais peux-tu me dire de quelle bagarre il s’agit ?
– Ben… de celle qui se déclenchera quand je te dirai que je n’ai pas une tune pour te payer. »

Une jeune secrétaire est en train de faire des photocopies au bureau lorsqu’un de ses collègues de travail lui dit :
« Hmmm, tes cheveux sentent drôlement bon ! »
Aussitôt, la secrétaire va voir son chef (mon boss-à-moi ») et se plaint auprès de lui d’avoir été victime de harcèlement sexuel.
«  Comment ça, un harcèlement sexuel ?
– Il m’a dit que mes cheveux sentaient drôlement bon… » répond la jeune fille
« – Et alors », s’étonne mon « boss-à-moi », « j’aurais plutôt pensé que c’était le genre de compliment qui vous aurait fait plaisir !
– Mais patron », reprend la jeune fille, « c’est un nain… »

Près d’un supermarché, Jean-Marc quitte sa place de parking.
Un peu trop pressé, il fait une grosse éraflure sur la portière d’une voiture avec son pare-chocs.
Voyant qu’une autre personne avait vu les faits, Jean-Marc descend de sa voiture et dit :
« Je vais lui laisser un mot sur son pare-brise. Comme ça il pourra me contacter pour l’assurance ! »
Ainsi, la note, placée sur le pare-brise, disait :
« Cher automobiliste, en sortant de ma place de parking, j’ai malencontreusement éraflé votre portière. Comme j’ai été vu par quelqu’un, je lui ai dit que je vous laisserai un petit mot.
Il devait penser que ce serait pour vous laisser mon nom et mon numéro de téléphone. Il se trompait.
Bonne journée quand même…  »

Jean-Marc entre dans la chambre de son gamin.
« – Hum. Je dois te parler d’une chose… Hum… En fait je veux te parler de… bien… des oiseaux et des abeilles.
– Ah non ! Pas question. J’ai mon voyage de classe de neige. Je veux m’en aller », crie le garçonnet qui pleure de rage.
« – Ben voyons fils, qu’est-ce qui se passe ?
– Qu’est-ce qui se passe… Qu’est-ce qui se passe ? Je suis tanné. Je ne veux pas savoir. À cinq ans je ne croyais plus au Père Noël ni à la petite souris des dents et maintenant tu n’en viens à me dire que les grands ne baisent pas ! »

Jean-Marc est sur son lit de mort.
Il regarda sa femme et sa bouche, si fragile, s’entrouvrit :
« – Germaine, ma chérie, je t’aime.
– Reposes-toi, ne perds pas tes forces à essayer de parler.
– Germaine », dit-il avec sa voix fatiguée, « je dois me confesser.
– Mais tu n’as rien à te confesser », répondit sa femme, « tout est correct ! Essaie de dormir.
– Non ! Non ! Je dois mourir en paix », lui répondit Jean-Marc. « Et pour ce faire, je dois te l’avouer que…
J’ai couché avec ta sœur, ta meilleure amie, sa meilleure amie… Et avec ta mère !
– Je sais », répond Germaine. « Maintenant reposes-toi et laisses le poison faire effet… »

De Jean-Marc pour votre week-end, Mesdames :

« Souvenez-vous, Mesdames une épaisseur de poussière protège le Bois en dessous. »

Autre conseil du même :
« Une maison deviens une demeure quand vous pouvez écrire « je t’aime » sur les meubles. »

Explications de son épouse, Germaine :
« Je dépensais au moins 8 heures chaque fin de semaine pour m’assurer que tout était parfait « au cas ou on auraient de la visite ». Finalement un jour jai réalisé que personne ne venait nous voir. Ils étaient tous partis profiter de la vie et s’amuser ! Maintenant, quand le monde nous rend visite, je n’ai pas à expliquer la condition de ma maison. »

Autre précepte ménager de femme d’intérieur accomplie :
« Époussetez votre intérieur si vous êtes obligé de le faire…
Mais n’est-ce pas mieux de faire une peinture ou écrire une lettre, faire un gâteau ou des biscuits et lécher la cuillère ou planter des semences ?
Pesez donc la différence entre vos désirs et vos besoins.
Mais il ne reste plus beaucoup de temps pour nager dans des rivières, escalader des montagnes, écouter de la musique, lire des livres, chérir les amitiés et vivre pleinement sa vie.
Époussetez seulement votre intérieur que si vous êtes obligées de le faire !
Mais profitez du monde extérieur, le soleil dans les yeux, le vent dans les cheveux, une mince couverture de neige, une ondée rafraîchissante.
Ce jour ne reviendra jamais.
Époussetez si vous êtes obligées, mais souvenez-vous, la vieillesse va vous rattraper brutalement…
Surtout souvenez-vous qu’en partant et vous devrez partir vous allez faire encore plus de poussière ! »

Bon week-end à toutes et tous !

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