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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 1 octobre 2024

« Poux-tine » est-il encore crédible ?

Armes invincibles et propagande
 
Depuis le temps que l’Ukraine devrait être réduite au statut de simple province de la Russie impérialiste par la force des armes, on peut se poser la question de la réalité des technologies russes autour de ses « armes invincibles » présentées comme l’atout majeur devant lequel le monde entier devait s’incliner avec respect.
Même « Lave-Roof » persiste à la tribune de l’ONU à menacer tout son monde, enfin… surtout les occidentaux, des conséquences d’une tentative de « suicide de l’Otan » depuis que la doctrine nucléaire russe aura été modifiée…
J’y reviendrai peut-être, même si rien n’a vraiment changé en la matière sous le soleil commun : Le premier qui use de la munition nucléaire, même à des fins tactiques, dès lors qu’il le fait savoir, se retrouve au ban de l’humanité.
Parce que c’est la porte ouverte à l’escalade en rompant l’équilibre de la terreur…
Et le gars est voué à disparaître : C’est devenu une arme de terroriste extrémiste, pas une munition d’État.
 
Bien conscient de cette incontournable réalité, l’empereur « Pal-Poux-tine » aura donc eu l’occasion d’inventer la notion « d’armes invincible » en substitution, des munitions tellement supérieures à tout ce qui existe jusque-là, qu’il reste vain de s’y opposer.
Et la guerre en Ukraine a mis en scène et sur son devant ces technologies, dont la seule Russie revendique la maîtrise intégrale !
J’en rigole, car, à l’analyse des faits, ce sont des armes en réalité encore balbutiantes et dont les usages précis restent à définir.
 
En effet, à la fin du mois d’août, l’armée ukrainienne a dévoilé des statistiques fort intéressantes : Selon le compte-rendu disponible en ligne, les militaires de Kiev ont en effet présenté un bilan précis de l’efficacité de leur défense anti-aérienne (qui n’est pas aussi décisive que le « dôme de fer » des israéliens). Avec des chiffres parfois très bons, comme ce taux d’interception des missiles Kinjal, de 25 % pour 111 tirs, ou encore ces trois interceptions du missile Zircon.
Ce type de missiles, présentés comme hypersoniques, avaient pourtant été décrits en mars 2018, bien avant le début de « l’opération spéciale militaire » en Ukraine, comme « invincibles » par le maître du Kremlin.
Invincibles et irrésistibles, tu parles d’une blague…
S’il y croyait vraiment, il sera tombé de son tabouret (et quelques promoteurs de ce type de solution se retrouvent probablement dans des goulags de rééducation…).
En tout cas, leur emploi n’aura eu aucun impact décisif sur les combats…
Au contraire, d’ailleurs : Les Ukrainiens vont toujours plus chercher plus loin leurs envahisseurs, jusqu’à se rendre à proximité de Koursk…
 
Comme leur nom l’indique, les armes hypersoniques renvoient plus précisément aux vecteurs capables d’évoluer à la vitesse hypersonique, soit plus de Mach 5, c’est-à-dire environ 6.000 km/h. En comparaison, le seuil supersonique démarre à Mach 1, soit 1.225 km/h.
Mais une deuxième dimension est toutefois cruciale à prendre en compte : Ces armes, que ce soit des missiles propulsés par un superstatoréacteur ou des planeurs lancés par une fusée, elles doivent en effet être manœuvrables, notamment à basse altitude, pour être utiles. Or, comme nous le signalons dans un de mes derniers romans, plus ça va vite, moins ça manœuvre court !
Ce n’est pas comme un drone subsonique qui va à l’allure d’un jouet mais qui frappe avec une redoutable précision : Ils ont eu tout faux, les « stratèges russes » (jusqu’à devoir emprunter du matériel iranien…)
Car justement, ce qui rend en plus bien plus compliquée leur détection et leur interception, c’est la manœuvrabilité plutôt que la vélocité.
C’est en cela qu’ils se distinguent des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) mis au point à la fin des années 1950, des engins volant déjà à des vitesses hypersoniques.
 
L’arrivée de ce genre d’armes donne déjà le tournis aux militaires. Les auteurs de science-fiction de la « Red team » du ministère des Armées « Gauloisien-olympique » ont ainsi planché dans l’un de leurs récents scénarios prospectifs sur les conséquences de leur prolifération. « Ces engins, capables d’atteindre des vitesses vertigineuses, redéfinissent les règles du combat, ils constituent une épée de Damoclès permanente », signalent-ils.
Résultat, pour mieux se défendre, les États investissent dans de coûteuses forteresses, sacrifiant au passage leur mobilité.
 
Nous n’en sommes pas encore là. Aux États-Unis, tout avait commencé avec le programme Dyna-Soar. Lancé en 1957, il a abouti à la mise au point du X-20, un planeur hypersonique. On imagine alors confier à l’aéronef aux airs de navette spatiale des missions de reconnaissance ou de bombardement.
Six ans plus tard, le programme est abandonné.
Des recherches similaires pour mettre au point des missiles nucléaires hypersoniques tombent également à l’eau : Il est bien plus simple et efficace de s’appuyer sur des missiles balistiques.
 
Outre-Atlantique, l’intérêt pour ces armes renaît toutefois au début des années 2000. L’administration « Bou-bouche » cherche à mettre au point une arme pour frapper depuis les États-Unis des cibles éloignées, et ce même si l’oncle Sam n’a pas de présence militaire à proximité.
Cela pouvait être par exemple un camp terroriste en Afghanistan.
Vingt ans plus tard, ces longues et couteuses recherches sont en train d’aboutir, engloutissant au passage des crédits largement conséquents : Le Pentagone a ainsi demandé au Congrès et pour la seule année 2025 6,9 milliards de dollars (environ 6,2 milliards d’euros).
 
Mais même à ce prix-là, il y a eu un coup de rabot sur les ambitions initiales. Le « Dark Eagle », cette arme testée avec succès en juin 2024, a finalement une portée plus faible que prévu.
Construite par Lockheed Martin et Northrop Grumman, elle doit pouvoir toucher sa cible jusqu’à environ un horizon de 2.775 kilomètres, tout en étant manœuvrant pour compliquer sa détection et son interception.
D’ailleurs, les États-Unis ne sont alors pas les seuls à s’intéresser aux armes hypersoniques. Lors de la guerre froide, les Soviétiques font également leurs propres recherches, mais leur objectif est différent. Moscou veut alors mettre au point un missile de dissuasion chargé de percer le bouclier antimissile américain.
Une arme dont l’intérêt stratégique n’est pas si évident que ça.
En cas de guerre nucléaire, il pourrait être plus simple et moins coûteux de faire une attaque par saturation avec des missiles balistiques… mais bon, à chacun ses lubies.
 
Ces travaux poursuivis par la Fédération de Russie ont finalement débouché en 2018 avec l’Avangard. Ce planeur combiné à un lanceur est capable d’emporter une charge nucléaire. Il est censé voler à environ 32.000 km/h (Mach 27) et être d’une grande manœuvrabilité.
Mais problème, sur le papier, c’est une chose, alors qu’en réalité « on ne connaît pas ses caractéristiques exactes ».
La Russie aurait d’ailleurs un intérêt tout trouvé à gonfler les performances de son planeur. Car le terme hypersonique est devenu synonyme de prouesse technologique !
Puisqu’il faut pouvoir surmonter le « mur de la chaleur » et rester manœuvrant à pareille allure, là où la température au point d’arrêt d’un mobile circulant dans l’atmosphère évolue avec la puissance 4 du nombre de Mach.
Mach 27 à la puissance 4, c’est 531.441 fois les 20 degrés standards de l’atmosphère en basse altitude…
Les capsules Apollo (et les vaisseaux orbitaux d’une façon générale), ne supportent de telles températures qu’avec des revêtements spéciaux qui se dégradent très vite, et seulement pendant quelques minutes…
 
Alors, la revendication par Moscou d’un leadership sur ce sujet, suivie de la Chine, de la Corée du nord ou de l’Iran (ces deux dernières nations étant naturellement à la pointe des technologies métallurgiques et sidérurgiques du moment, comme chacun l’imagine), est également à mettre en regard des difficultés américaines à finaliser leurs propres armes (dont les industriels et chercheurs restent des nains métallurgiques et sidérurgiques, comme chacun le sait bien)…
« Pouvoir affirmer que l’on est en avance, c’est très vendeur. Mais au Congrès américain, il y a le même genre de discours sur l’avance de pays hostiles, pour réclamer ainsi davantage de crédits. »
C’est la foire aux faux-nez et, à force, la Russie aura toujours été le meilleur allié des industriels « ricains » de la défense qui avaient obtenu assez de subventions, il y a à peine une génération de ça, pour avoir une telle avance technologique avec la « guerre des étoiles » du Président « Riz-Gagne » que le « mur de Berlin » est tombé tout seul, sans tirer un seul coup de feu, pour cause d’une course aux armements époustouflante…
 
En clair, au-delà des difficultés technologiques, la bataille autour des armes hypersoniques a aussi des airs de guerre de propagande. L’avance russe est d’ailleurs à relativiser.
Au-delà de l’Avangard, le Kinjal, tiré par la Russie contre l’Ukraine, n’est pas considéré comme une arme hypersonique par les spécialistes. C’est d’abord un « missile aéro-balistique ». Soit un missile tiré d’un avion qui adopte après le tir une trajectoire balistique ou quasi-balistique.
L’intérêt de ce genre de missile est donc à largement relativiser.
Certes, le Kinjal, tiré à faible portée de l’ennemi comme la Russie le fait, permet des opérations à bref préavis sur des cibles fugaces.
Mais d’un autre côté la technologie retenue limite les gains de vitesse et de portée. Et contrairement à ce qu’affirmait « Poux-tine », si l’on en croit les statistiques ukrainiennes, il ne s’agit pas d’une arme invulnérable ni même vraiment manœuvrante.
 
Autant de réserves qui pourraient disparaître avec l’arrivée des « vrais » missiles hypersoniques sur les théâtres d’opérations.
Mais à quel prix ? L’achat de 300 vecteurs tels que ceux développés en ce moment aux États-Unis est estimé par le Congrès à 44 millions de dollars par missile !
Faisant de ces engins des armes de luxe réservées aux cibles militaires les mieux défendues et qui en valent la peine, à l’heure où la guerre en Ukraine rappelle le grand intérêt des armes low-cost et des munitions rustiques qui sont apparues avec le conflit récent du Haut-Karabagh.
Après tout, c’était la première guerre de drone… et ils étaient turcs fournis à l’Azerbaïdjan !
Combien de drones « cheapest », et de cibles potentielles, pour 44 millions de dollars ?
 
Quand on sait que « Poux-tine » envoie environ 1.000 de ses citoyens en pleine force de l’âge se faire « hacher-menu » dans le hachoir ukrainien tous les jours pour des gains territoriaux se mesurant en décamètres/jour, on se dit que ni lui, ni ses généraux, ni ses scientifiques et ingénieurs n’ont rien compris de la bonne utilisation de ses technologies potentiellement onéreuses de destruction de la vie humaine et de son environnement…
Le reste étant du bluff et qu’ils n’ont vraiment plus que ça pour paraître redoutables…
De bien tristes sirs, finalement, qui n’ouvrent toujours pas les yeux sur leur défaite.
 
L’art de la guerre aura changé du tout au tout, quand le Mossad tue à Téhéran, au Liban et fait exploser d’un coup 3.000 bipeurs ciblés, on est en plein terrorisme d’État.
C’est retour à l’envoyeur : Je ne vais pas pleurer Hassan Nasrallah, même si la mort d’un homme est toujours un drame, mais il restait tout de même le responsable de l’attentat du Drakkar à Beyrouth qui tuait 58 parachutistes « Gauloisiens-olympiques » venus y faire la paix dans ce pays martyr de ses voisins…
Il en ira probablement de la même façon pour « Poux-tine » et ses sbires renforçant une « loi » issue de l’Agamemnon d’Eschyle, (ligne 1558) datée du 458 avant notre ère et repris par Jésus, selon Matthieu (26-52).
Tout bon chrétien, même chez les orthodoxes russes, sait que celui qui vit par le glaive périra par le glaive…
 
Passons : Tout cela n’est jamais que posture, qui plus est posture inutile.
Tout cela est tout de même bien dommage, même si ce n’est qu’une succession de détails…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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