Les choses eussent-elles été différentes ?
Car il y ceux qui rejettent l’évolution, malgré toute
l’évidence scientifique, et pensent qu’il n’est pas possible d’expliquer le
processus sans l’existence d’un « maître concepteur et de celui qui a tout
dirigé ».
Ce sont les « créationnistes » (qui globalement s’en tiennent, pour les plus « éclairés », à la Genèse biblique et rien d’autre).
On pourrait rétorquer que s’il y avait eu aussi un plan au début, franchement, il n’aurait pas été aussi génial.
Peut mieux faire…
(Je sais pour resouffrir des suites de ma chute de l’année dernière avec les températures qui baissent – malgré le réchauffement climatique – à en réveiller les douleurs de mon nerf sciatique martyrisé… quelle konnerie d’avoir mis de nerfs à cet endroit-là !)
L’évolution biologique est un fait, même si ceux qui
la nient s’y opposent. Cette théorie est étayée par de nombreuses preuves
scientifiques.
Par exemple, alors que James Usher, l’archevêque d’Irlande, celui qui a tenté de quantifier les événements bibliques, avait déclaré que le début de la création remonte à 4004 avant Jésus-Christ, ce qui est un peu court puisque des preuves géologiques suggèrent que l’âge de la Terre est d’environ 4,5 milliards d’années.
Et l’univers probablement plus de 13,5 milliards d’années…
L’existence de fossiles d’animaux anciens, estimés à des millions d’années avant notre ère, confirme également ces découvertes géologiques.
Bien entendu, certains enseignements religieux ont
également essayé de trouver une explication surnaturelle à l’existence de ces
fossiles, par exemple en disant que Dieu a créé des fossiles pour tester notre
foi : C’est tellement logique… ou que les dinosaures ont disparu parce qu’ils
ne rentraient pas dans l’arche de Noé (une évidence…), ou bien qu’ils vécussent
également aux côtés des humains avant la Grande Tempête de l’âge de Noé.
C’est comme assumer que le Christ n’était jamais qu’un sorcier et que Mahomet a scindé en deux la Lune… mais que ce n’était pas de la magie (ni blanche ni noire).
Aucun fossile d’humain ou de dinosaure n’ont jamais été découvert dans une couche géologique commune pour prouver cet argument (en revanche, pour le reste, ils sont des millions à croire de telles assertions), et tout cela n’a pas non plus réussi à convaincre les personnes rebelles contre la théorie de « l’évolution » et pourtant, dans les œuvres religieuses, de nombreuses images d’humains primitifs coexistant avec des dinosaures peuvent encore être vues !
Il existe également une école de pensée qui pense que
l’existence de Dieu peut être expliquée parallèlement au processus d’«
évolution », car cette même évolution doit également être réalisée selon « un
dessein préétabli » et un « dessein intelligent ». Et je veux bien l’admettre…
Mais en fait, ils essaient simplement d’insérer l’idée de l’existence de Dieu dans cette théorie d’une manière ou d’une autre et de l’expliquer parallèlement aux preuves de l’évolution biologique.
Ainsi, les partisans du « design intelligent » admettent que le vivant évolue, mais estiment que cette évolution nécessite un réalisateur et ne peut pas se produire par hasard.
L’une des plus belles parties de la théorie de l’évolution de Darwin-Wallace est qu’elle explique l’évolution biologique en termes de changements qui se produisent par hasard et par sélection, en fonction des conditions de la nature.
Le processus ne nécessite a priori pas d’entité en amont, de contrôleur de gestion des processus engagés ou d’une feuille de route, d’un plan, d’un dessein (encore moins d’un dessin).
En d’autres termes, les transformations qui se sont produites sur la planète au cours de milliards d’années ont provoqué l’apparition du type « humain », et si d’autres conditions prévalaient, il est probable que les humains n’existeraient pas non plus.
Et vous ne seriez pas là à lire ce billet et moâ à l’écrire.
Bref, le nombre « Pi » existerait certainement dans son infini précision, mais il n’y aurait peut-être personne sur la « belle planète bleue » pour le calculer…
L’un des arguments des partisans du « design
intelligent » pour expliquer leur point de vue est de mettre l’accent sur la
question de la « complexité irréductible ».
Ils évoquent des structures biologiques très complexes telles que l’œil humain et affirment qu’une telle structure nécessite la présence de nombreux éléments et ne peut pas avoir été formée par hasard et par l’accumulation de petits changements.
Sauf que l’œil humain n’est pas le plus performant des espèces animales alors que le principe de fonctionnement est largement partagé et que cet argument est également facilement réfutable car ce qui se passe dans l’évolution, c’est que certains éléments trouvent de nouvelles fonctions.
Dans la grande famille des protéines, par exemple, beaucoup ont également de multiples fonctions indépendantes. Dans l’exemple des yeux également, il y a aujourd’hui des animaux qui ont encore une structure oculaire plus similaire à celle de nos ancêtres.
Toutefois, il me semble que le meilleur argument
contre le « design intelligent » réside dans toutes les preuves qui montrent
que même s’il existait un grand architecte, il apparaitrait qu’il « n’est pas
si intelligent » que ça.
En effet, des études biologiques ont clairement montré que soit tout est arrivé par accident, soit que la personne qui dirigeait tout cela n’a pas effectué correctement son travail.
Je veux dire que non seulement, chacun connaît au moins un « cas-soce » qui semble être totalement « raté », que ses géniteurs auraient pu s’abstenir ce jour-là, et que si c’est ça l’image du créateur, tu deviens agnostique dans la minute.
Par ailleurs, les scientifiques signalent que l’évolution
biologique, c’est comme reconstruire une maison déjà construite : Vous ne
pouvez pas démolir et reconstruire la maison construite, mais vous pouvez en
manipuler certaines parties, agrandir une porte ou ajouter une autre pièce.
C’est ça l’évolution biologique…
Or, ces « réformes » progressives finiraient par se chevaucher, tout comme les églises construites sur plusieurs siècles dans lesquelles différents styles architecturaux coexistent voire se superposent.
Dans l’univers, même dans le corps des organismes, il
y a aussi des choses qui ont été utiles pendant un certain temps, mais qui ont
dû s’adapter progressivement aux changements. Sinon, soit elles deviennent un
problème pour le corps tout entier, soit elles disparaissent progressivement
et, dans certains cas, provoquent également l’extinction d’une espèce.
Par exemple, des maladies comme la lombalgie, les hernies discales et les hémorroïdes existent parce que nous avons été quadrupèdes pendant des millions d’années et que de nombreuses parties du corps ne se sont toujours pas adaptées à la marche humaine sur deux jambes !
Un autre exemple est que de nombreux enfants meurent
des suites d’une suffocation parce que leur tube digestif partage l’espace avec
leurs voies respiratoires, alors qu’il aurait été si facile de séparer les deux
espaces.
Également, le fait de placer la sortie contractile à côté des voies génitales provoque parfois de graves infections dans tout le corps.
Quel architecte aurait pensé à installer les chiottes à côté de la salle des fêtes ?
Et ce n’est pas seulement en anatomie que l’on peut trouver de tels défauts dans la conception corporelle : Dans le corps humain, de nombreux troubles biochimiques peuvent parfois être surmontés seulement grâce au génie génétique.
Ainsi, si nous voulons croire en un « ingénieur-concepteur
supérieur », nous accepterons au moins qu’il doit également être « compétents »
pour faire un tel travail.
Or, la meilleure preuve de « l'évolution » se trouve dans la structure de l’ADN : Tous les organismes vivants ont le même code génétique ce qui a permis de réussir dans la science du génie génétique, car les gènes d’un organisme peuvent agir dans un autre organisme et, grâce à cela, nous pouvons produire de l’insuline humaine dans des bactéries !
Maintenant, la question est la suivante : Si un « être
supérieur », un « grand architecte », ou un « horloger du
tout » créait des organismes à partir de « rien », ne serait-il pas plus
raisonnable de donner à chacun de ces organismes un code génétique différent ?
Car, comme le dit même la Bible, cela aurait empêché le transfert de gènes entre espèces et aurait montré que tous les organismes ont été créés indépendamment.
Mais hélas, même pas : Les quatre clefs de l’ADN (et leur ARN correspondant) sont les mêmes pour tous les vivants.
Et ce qu’il y de remarquable, c’est que 4 c’est suffisant : Même si avec « 0 » et « 1 » on fait même mieux pour coder des machines qui se revendiquent de l’intelligence artificielle.
Trois couleurs primaires sont suffisantes pour reproduire toutes les nuances de l’univers et il faut 7 notes, plus les dièses et les bémols, pour inventer toutes les symphonies du monde…
Oui mais…
Qui a inventé l’adénine, la thymine, la guanine et la cytosine qui forment les gènes de l’univers vivant, demanderont les derniers « créationnistes » ?
C’est bien le signe de la présence d’un « grand architecte ».
Peut-être…
Mais le nombre « Pi » existait-il avant l’intervention dudit « créateur du tout » ou a-t-il été contraint de l’inventer (sans se tromper) pour assurer la cohésion de l’univers du plus petit au plus grand ?
Et je pose la question différemment : L’inventeur de l’Univers, ce créateur de tout, s’il n’avait pas créé sa création (étoiles et galaxies inclues, tout comme les quantas et les plus petites particules existantes), est-ce que le nombre « Pi » existerait même seulement en théorie (sans aucune utilité pratique en l’occurrence) ?
Mais oui, « Pi » et bien d’autres constantes et relations mathématiques ou seulement géométriques existeraient, même sans support, au moins théoriquement et sans la présence d’un « architecte » qui n’a fait qu’avec ce dont il disposait.
Autrement dit, la science n’invente rien : Elle ne
fait qu’étudier ce qu’il reste à découvrir, à dévoiler, à faire connaître… de tout
ce qui existe déjà préalablement !
Immense tâche, d’ailleurs fort drôle à rapporter dans ces colonnes…
Et globalement, ça n’a rien à voir avec une « création divine » : Si « Dieu ne joue pas aux dés » (selon l’expression d’Einstein, mais qui critiquait là seulement la théorie de l’incertitude de son collègue Heisenberg), le domaine de la croyance exclut celui de la science… et réciproquement : Ils doivent persister à s’ignorer mutuellement et les vaches seront bien gardées !
En bref, bien entendu que si j’avais eu à créer tout
le monde du vivant (et même l’inanimé), je m’y serai probablement pris
autrement, comme tout le monde.
Il n’y aurait par exemple plus de souffrance aucune, ni d’angoisse, ni de peur, ni de maladie ou de dysfonctionnement.
Mais je ne suis pas Dieu (et aucun d’entre vous non plus…).
Pour mémoire (n’en déplaise à «
Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON
RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC
LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Ce sont les « créationnistes » (qui globalement s’en tiennent, pour les plus « éclairés », à la Genèse biblique et rien d’autre).
On pourrait rétorquer que s’il y avait eu aussi un plan au début, franchement, il n’aurait pas été aussi génial.
Peut mieux faire…
(Je sais pour resouffrir des suites de ma chute de l’année dernière avec les températures qui baissent – malgré le réchauffement climatique – à en réveiller les douleurs de mon nerf sciatique martyrisé… quelle konnerie d’avoir mis de nerfs à cet endroit-là !)
Par exemple, alors que James Usher, l’archevêque d’Irlande, celui qui a tenté de quantifier les événements bibliques, avait déclaré que le début de la création remonte à 4004 avant Jésus-Christ, ce qui est un peu court puisque des preuves géologiques suggèrent que l’âge de la Terre est d’environ 4,5 milliards d’années.
Et l’univers probablement plus de 13,5 milliards d’années…
L’existence de fossiles d’animaux anciens, estimés à des millions d’années avant notre ère, confirme également ces découvertes géologiques.
C’est comme assumer que le Christ n’était jamais qu’un sorcier et que Mahomet a scindé en deux la Lune… mais que ce n’était pas de la magie (ni blanche ni noire).
Aucun fossile d’humain ou de dinosaure n’ont jamais été découvert dans une couche géologique commune pour prouver cet argument (en revanche, pour le reste, ils sont des millions à croire de telles assertions), et tout cela n’a pas non plus réussi à convaincre les personnes rebelles contre la théorie de « l’évolution » et pourtant, dans les œuvres religieuses, de nombreuses images d’humains primitifs coexistant avec des dinosaures peuvent encore être vues !
Mais en fait, ils essaient simplement d’insérer l’idée de l’existence de Dieu dans cette théorie d’une manière ou d’une autre et de l’expliquer parallèlement aux preuves de l’évolution biologique.
Ainsi, les partisans du « design intelligent » admettent que le vivant évolue, mais estiment que cette évolution nécessite un réalisateur et ne peut pas se produire par hasard.
L’une des plus belles parties de la théorie de l’évolution de Darwin-Wallace est qu’elle explique l’évolution biologique en termes de changements qui se produisent par hasard et par sélection, en fonction des conditions de la nature.
Le processus ne nécessite a priori pas d’entité en amont, de contrôleur de gestion des processus engagés ou d’une feuille de route, d’un plan, d’un dessein (encore moins d’un dessin).
En d’autres termes, les transformations qui se sont produites sur la planète au cours de milliards d’années ont provoqué l’apparition du type « humain », et si d’autres conditions prévalaient, il est probable que les humains n’existeraient pas non plus.
Et vous ne seriez pas là à lire ce billet et moâ à l’écrire.
Bref, le nombre « Pi » existerait certainement dans son infini précision, mais il n’y aurait peut-être personne sur la « belle planète bleue » pour le calculer…
Ils évoquent des structures biologiques très complexes telles que l’œil humain et affirment qu’une telle structure nécessite la présence de nombreux éléments et ne peut pas avoir été formée par hasard et par l’accumulation de petits changements.
Sauf que l’œil humain n’est pas le plus performant des espèces animales alors que le principe de fonctionnement est largement partagé et que cet argument est également facilement réfutable car ce qui se passe dans l’évolution, c’est que certains éléments trouvent de nouvelles fonctions.
Dans la grande famille des protéines, par exemple, beaucoup ont également de multiples fonctions indépendantes. Dans l’exemple des yeux également, il y a aujourd’hui des animaux qui ont encore une structure oculaire plus similaire à celle de nos ancêtres.
En effet, des études biologiques ont clairement montré que soit tout est arrivé par accident, soit que la personne qui dirigeait tout cela n’a pas effectué correctement son travail.
Je veux dire que non seulement, chacun connaît au moins un « cas-soce » qui semble être totalement « raté », que ses géniteurs auraient pu s’abstenir ce jour-là, et que si c’est ça l’image du créateur, tu deviens agnostique dans la minute.
C’est ça l’évolution biologique…
Or, ces « réformes » progressives finiraient par se chevaucher, tout comme les églises construites sur plusieurs siècles dans lesquelles différents styles architecturaux coexistent voire se superposent.
Par exemple, des maladies comme la lombalgie, les hernies discales et les hémorroïdes existent parce que nous avons été quadrupèdes pendant des millions d’années et que de nombreuses parties du corps ne se sont toujours pas adaptées à la marche humaine sur deux jambes !
Également, le fait de placer la sortie contractile à côté des voies génitales provoque parfois de graves infections dans tout le corps.
Quel architecte aurait pensé à installer les chiottes à côté de la salle des fêtes ?
Et ce n’est pas seulement en anatomie que l’on peut trouver de tels défauts dans la conception corporelle : Dans le corps humain, de nombreux troubles biochimiques peuvent parfois être surmontés seulement grâce au génie génétique.
Or, la meilleure preuve de « l'évolution » se trouve dans la structure de l’ADN : Tous les organismes vivants ont le même code génétique ce qui a permis de réussir dans la science du génie génétique, car les gènes d’un organisme peuvent agir dans un autre organisme et, grâce à cela, nous pouvons produire de l’insuline humaine dans des bactéries !
Car, comme le dit même la Bible, cela aurait empêché le transfert de gènes entre espèces et aurait montré que tous les organismes ont été créés indépendamment.
Mais hélas, même pas : Les quatre clefs de l’ADN (et leur ARN correspondant) sont les mêmes pour tous les vivants.
Et ce qu’il y de remarquable, c’est que 4 c’est suffisant : Même si avec « 0 » et « 1 » on fait même mieux pour coder des machines qui se revendiquent de l’intelligence artificielle.
Trois couleurs primaires sont suffisantes pour reproduire toutes les nuances de l’univers et il faut 7 notes, plus les dièses et les bémols, pour inventer toutes les symphonies du monde…
Qui a inventé l’adénine, la thymine, la guanine et la cytosine qui forment les gènes de l’univers vivant, demanderont les derniers « créationnistes » ?
C’est bien le signe de la présence d’un « grand architecte ».
Peut-être…
Mais le nombre « Pi » existait-il avant l’intervention dudit « créateur du tout » ou a-t-il été contraint de l’inventer (sans se tromper) pour assurer la cohésion de l’univers du plus petit au plus grand ?
Et je pose la question différemment : L’inventeur de l’Univers, ce créateur de tout, s’il n’avait pas créé sa création (étoiles et galaxies inclues, tout comme les quantas et les plus petites particules existantes), est-ce que le nombre « Pi » existerait même seulement en théorie (sans aucune utilité pratique en l’occurrence) ?
Mais oui, « Pi » et bien d’autres constantes et relations mathématiques ou seulement géométriques existeraient, même sans support, au moins théoriquement et sans la présence d’un « architecte » qui n’a fait qu’avec ce dont il disposait.
Immense tâche, d’ailleurs fort drôle à rapporter dans ces colonnes…
Et globalement, ça n’a rien à voir avec une « création divine » : Si « Dieu ne joue pas aux dés » (selon l’expression d’Einstein, mais qui critiquait là seulement la théorie de l’incertitude de son collègue Heisenberg), le domaine de la croyance exclut celui de la science… et réciproquement : Ils doivent persister à s’ignorer mutuellement et les vaches seront bien gardées !
Il n’y aurait par exemple plus de souffrance aucune, ni d’angoisse, ni de peur, ni de maladie ou de dysfonctionnement.
Mais je ne suis pas Dieu (et aucun d’entre vous non plus…).
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire