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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 11 octobre 2024

Scène de la vie quotidienne

Jean-Marc, au lit avec Germaine…
 
Elle : « Hummm… Chéri… chéri, je n’ai pas de culotte ! »
Lui : « Et alors, tu crois que je vais me lever en pleine nuit pour t’en acheter une ? »
 
La même secoue Jean-Marc au milieu de la nuit :
« Réveille-toi ! J’ai oublié de te donner ton somnifère ce soir ! »
 
Dans la journée, Jean-Marc chez son garagiste qui rend son verdict sur la panne de sa voiture :
« — C’est bien simple, votre voiture a besoin d’une nouvelle pipe d’admission…
Ne vous déranger pas si ce n’est que ça : Ma femme saura faire ! »
 
Jean-Paul, au matin avec Jean-Marc, en train de maugréer devant son « café-rhum » matinal au comptoir du bar :
« Je n’aurais pas besoins d’apprendre à gérer ma colère comme me le demande le psy si les gens apprenaient à gérer leur stupidité ! » 
 
« — Tu savais qu’on ne dit pas « Véro fait l’amour en silence ».
On dit quoi alors ?
Véronique sans son… »
 
Devinette kon :
« — Devines combien de bonbons j’ai dans la main !
Drôle de défi… Et je gagne quoi si je devine ?
Bah… Si tu trouves, je te donne un bonbon et je garde l’autre pour moi ! »
 
Dumè, à l’antenne médicale de la « Com-com » de Balagne :
« — Dumè, tu ne devrais pas boire autant !
Eh ayo, et pourquoi ça, tiens donc, Fanfan ?
Parce que l’alcool tue 30.000 français tous les ans !
Eh ayo ! Je m’en fous : Je suis 100 % Corse ! »
 
Le même de retour à la maison :
« Je suis allé aux alcooliques anonymes…
Anonyme, anonyme, mon œil oui !
Je connaissais tout le monde ! »
 
La question de Jean-Paul :
« Faut-il nettoyer les cimetières avec du déterre-gens ? »
 
Réflexion de Jean-Marc à Jean-Paul, chacun attablé devant leur première bière méridienne :
« — Tu sais, je reste scotché !
Par quoi ?
L’être humain est le produit de 3,8 milliards d’année d’évolution…
Et alors ?
C’est quand même fascinant, tout ce temps, pour être aussi con ! »
 
« — Sais-tu qu’on est entouré de cordonniers ?
Ah bon !!! Il y en a autant que ça ?
Tous ceux qui se mêlent de tout ! »
 
Germaine et Marie-Chantal, au salon de thé :
« — J’ai envie d’un jus de fruit un peu acide…
Tu veux des citrons ?
Oui, des jaunes Lemon !
Ensuite Presley ! »
 
Pendant ce temps, Jean-Marc à Jean-Paul attablés devant une autre bière :
« Tu sais, je crois que si les cons étaient fluorescents…
C’est la terre qui éclairerait le soleil ! »
 
Germaine : « Tu me payes 2.000 euros pour me faire poser un anneau autour de mon estomac, et alors je maigrirai ! »
Jean-Marc aura acheté un cadenas à 5 euros pour le poser sur le frigo…
 
Germaine à Marie-Chantal :
« Mon fils m’a dit que je devais faire quelque chose pour le climat !
Maintenant il va à l’école à pied… »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, devant une première bière vespérale :
« — Ma femme est colère contre moi !
Ah ? Pourquoi elle t’a encore surpris avec une de tes maîtresses ?
Non même pas !
Elle dit que j’ai gâché son anniversaire…
Ah bon…
C’est même pas vrai : Je n’étais pas là ! »
 
Jean-Paul, un peu plus tard, se plaint à Jean-Marc :
« — Tu ne sais pas !
Quoi donc ?
Avec mon ampoule au pied, je n’ose même plus prendre une douche…
Ah bon ? Et pourquoi ?
J’ai peur de mourir comme Claude François… »
 
Jean-Marc, de retour de vacances, à Jean-Paul :
« — C’est un truc génial !
Quoi ?
Cet été, on a acheté un coffre de toit pour la voiture…
Ah oui ?
C’est vraiment pratique ce truc : On n’entend beaucoup moins les enfants ! »
 
Les mêmes devant une énième bière avant de rentrer chez eux :
« — Tu sais, c’est absolument génial ! J’étais septique, mais grâce aux pierres énergétiques, j’ai pu chasser tous les esprits négatifs !
Ah oui…
Faut juste bien viser la gueule ! »
 
« — Tu sais quoi ?
Non !
Je viens juste de me tromper trois fois de chemin…
Quelle idée !
Oh mais je l’ai fait exprès…
Ah…
C’est juste pour que le GPS comprenne qui c’est qui conduit ! »
 
« Tu as raison : Dans ce monde incertain, on n’épluchure de rien… »
 
« Moâ, ce matin, j’ai encore pu transformer de l’eau en café !
Mais je reste humble… »
 
Dicton de pochetron :
« Embrasser une femme sur le front, c’est de la protection.
L’embrasser dans le cou, c’est du désir !
Sur la bouche, c’est passionnel…
Devant son mari, c’est du courage ! »
 
Sur le chemin du retour, les chopes de bière enfin vides :
« Tu sais Jean-Marc, ce matin j’ai fait un café tellement fort, que le moustique qui m’a piqué fait encore de la tachycardie et parle espagnol ! »
 
Germaine passe une annonce dans le journal local :
« JF, cherche relation angoissante et déprimante pour maigrir d’ici l’été prochain. »
 
Discussion de Jean-Paul avec une dame rencontrée dans un bar…
Elle : « Alors comme ça, t’habitais dans la Mayenne… »
Lui : « Euh oui… environ 15 centimètres ! »
 
Marie-Chantal à Germaine :
« — Bé tu vois, moi quand je suis bien bourrée, je suis capable de dire « je t’aime » à un mec !
Même à un inconnu ?
Évidemment !
Ah ouais, ça te fait cet effet-là, l’alcool ?
L’alcool ? Nan, quand je suis bien bourrée j’t’ai dit ! »
 
C’est l’histoire de Germaine qui se réveille un matin en disant qu’elle a fait un rêve extraordinaire !
« On était en train de faire l’amour et à côté de nous, il y avait en grand black qui agitait un éventail et j’ai pris un pied pas possible ! »
Jean-Marc se met en quête d’un black pas trop moche et propose 100 euros à celui qu’il rencontre rapidement pour venir ventiler Germaine avec un éventail.
Et ils se mettent à l’ouvrage pour concrétiser le fantasme de Germaine.
Le gars agite son éventail dans la chambre à coucher pendant que Jean-Marc butine sensuellement son épouse.
Mais ça ne fait aucun effet…
Alors elle propose à son mari d’échanger les places et Jean-Marc se met à ventiler pendant que le black défonce les parties charnues de Germaine.
Et là, miracle : Celle-ci, dans l’instant suivant, hurle son plaisir en éprouvant un orgasme foudroyant…
Alors Jean-Marc tapote sur l’épaule du black et lui dit : « Eh ducon, t’as vu comment il faut ventiler ? »
 
Ça me fait penser à une histoire authentique :
Une petite annonce paraît dans un journal « ricain ».
Elle est ainsi libellée :
« Jeune noire cherche compagnon.
Origine ethnique indifférente.
Je suis belle, j’adore m’amuser, je raffole des grandes promenades dans les bois, en 4 x 4, de chasse, de camping, de sorties, de pêche, de soirées où je suis confortablement allongée auprès du feu.
Je serais à ta porte tous les soirs quand tu rentreras du travail, ne portant sur moi que ce que la nature m’a donné.
Embrasse-moi et je suis à toi ! »
Suit un numéro de téléphone où appeler « Daisy ».
Plus de 15.000 mecs ont appelé et ont découvert que Daisy était une femelle labrador adorable de 8 semaine en attente d’adoption à la SPA…
 
Germaine vient charitablement soigner Marie-Chantal à domicile.
Cette dernière lui demande :
« — Comment ça se passe sans moi, au bureau ?
Oh tu sais, tout le monde y met un peu du sien pour te remplacer…
Marie-Christine fait le café, Marie-Estelle lit tes magazines et Marie-Françoise couche avec le patron ! »
 
À un arrêt du bus, Germaine s’adresse à un gars qui la fixe depuis un moment :
« — Excusez-moi, pourriez-vous m’enlever un truc que j’ai sur les seins ?
Oh oui ! Bien sûr ! » fait-il enthousiaste.
« — C’est quoi ?
Tes yeux, connard ! »
 
C’est l’histoire de la petite Marie-Matilde qui rentre de l’école et dit avoir eu sa première leçon sur les bébés…
La maman, très intéressée lui demande alors :
« Comment cette leçon s’est passée ? »
Et la fillette répond :
« — Jean-Pierre a dit que son papa l’avait acheté à l’orphelinat…
Marie-Aline a dit que ses parents l’avaient achetée à l’étranger…
Marie-Agnès, elle, elle a été achetée à un laboratoire…
Jean-Jérôme a dit que ses papas ont payé le ventre d’une dame…
Et toi, qu’est-ce que tu as dit ?
Rien ! Je n’ai pas osé dire que mon papa et ma maman sont tellement pauvres…
Qu’ils ont dû me faire eux-mêmes ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, le lendemain :
« Parler tout seul, jusque-là ça ne me gênait pas vraiment…
Le problème, c’est que maintenant je commence à me répondre… »
 
Question pour un week-end :
« Pourquoi les explications expliquées par l’expliquant, n’expliquent pas expliquativement les explications des explicateurs ? »
 
À propos, quand vous achetez 10 kilos de patates et qu’on vous demande si vous préférez des grosses ou des petites, si vous répondez des petites, est-ce que vous croyez réellement que ce sera moins lourd à porter ?
 
Jean-Marc s’inquiète : « Le chat dort sur notre lit… »
Germaine a la solution à tout : « Il ne faut pas le déranger : Je te prépare le canapé ! »
 
Une revenue pour en finir ?
C’est Jean-Marc qui drague dans un bar en attendant Jean-Paul et il s’adresse à une jolie dame qui le regarde avec insistance :
« — Vous me souriez, là…
On se connaît ?
Oui ! Je crois que vous êtes le père d’un de mes enfants… »
Là, Jean-Marc est gêné, embarrassé… Il ne se souvient pas de cette jolie fille…
« — Ah oui… bien sûr…
Vous ne seriez pas, comment dire… la stripteaseuse que j’ai baisée un soir sur un billard alors que j’embrassais votre amie ?
Virginie c’est ça ?
Non pas du tout… Je suis Marie-Élisabeth, la nouvelle institutrice de votre fils… »
 
Bon début de week-end (ce soir) à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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