De la disparition du droit international public…
Le droit international « privé », qui
concerne les personnes physiques ou morales de droit privé en est forcément
affecté, mais ce qui prime, c’est d’abord la relation entre les États autour de
la planète.
Le droit public – entre personnes (forcément « morales », immatérielles, une construction intellectuelle de juristes sur des assises historiques, contra « physique », nées de copulation sensuelles fécondes…) de droit public – existe depuis toujours à travers les alliances de circonstance entre détenteurs de la potestas, seigneurs, rois, empereurs, chefs de bande et de guerre, ou Nations et leurs populations.
Il était organisé à travers un maillage étroit de conventions internationales bilatérales, puis, de nos jours, s’est rajouté une « couche multilatérale » qui aura été jusqu’à inventer la Société des Nations qui, elle, aura été incapable de prévenir la seconde guerre mondiale alors que c’était son rôle premier.
Depuis, les horreurs de la Seconde Guerre mondiale ont
déclenché la création d’organisations internationales intermédiaires,
supranationales, générant des lois internationales pour garantir que de telles
horreurs ne se reproduisent plus.
La pièce maîtresse de ces organismes internationaux reste l’ONU et ses agences régionales et fonctionnelles, conçues pour fournir des garde-fous internationaux afin de limiter le recours à la force aveugle et destructrice.
Et, notamment aux USA, leur loi sur la sécurité nationale de 1947 a été conçue en partie pour garantir que les administrations américaines jouent un rôle actif dans la gestion, voire dans la transformation de la communauté internationale.
Il y a eu également une composante économique,
notamment le système de Bretton Woods, qui incluait la Banque mondiale pour
stimuler le développement international dans les pays les plus dévastés par la
guerre.
L’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce a été conçu pour gérer le commerce international et le Fonds monétaire international a été créé pour surveiller la balance des paiements.
Les responsables « ricains » étaient finalement au centre de toutes ces institutions, plaçant Washington au centre du monde du multilatéralisme, appuyés voire guidés par leurs cousins britanniques qui avaient déjà l’expérience d’être responsables, de gérer et d’administrer, « un empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais ».
Or, l’actuelle tendance mondiale revient à l’isolationnisme et à l’ultranationalisme.
Et ça menace toutes ces institutions post-1945.
Un empire ça ne dure pas éternellement, et les candidats à reprendre à leur profit le rôle de leader mondial sont nombreux à vouloir remplacer le calife pour devenir calife à sa place, en usant de tous les leviers à leur disposition… exploitant toutes les faiblesses du monde des anglo-saxons, y compris l’UE dont nous sommes, que nous sommes capables de laisser dans notre sillage sans les corriger…
Tel le monde « post-colonial » où les décolonisations n’auront pas toujours été très réussies, telles que bien des conflits actuels en sont les conséquences.
D’ailleurs, uniquement en raison de l’activité
internationale accrue ces dernières décennies, on peut noter que le personnel
de la Maison Blanche est passé de plusieurs dizaines de personnes sous
l’administration du président Theodore Roosevelt à plus de plusieurs milliers
aujourd’hui sous l’administration du président « Bail-dan » : C’est
dire l’évolution du monde moderne…
Cette croissance bureaucratique a été marquée par le Conseil des conseillers économiques (1946), le Conseil de sécurité nationale (1947), le Représentant spécial au commerce (1963), le Bureau de la gestion et du budget (1970) et le Bureau des sciences et des sciences de la Maison Blanche et celui de la politique technologique (1976).
La Cour suprême a ainsi fait preuve d’une déférence exceptionnelle à l’égard des pouvoirs du président dans le domaine de la sécurité nationale et la création au fil du temps de nombreuses agences fédérales, et le Congrès américain a largement accepté sans contestation le rôle des États-Unis au sein des Nations-Unies, du Plan Marshall et du Traité de l’Atlantique Nord.
Ainsi que dans diverses autres organisations internationales et arrangements de sécurité…
Quant à l’UE, d’un simple traité commercial, une sorte d’union douanière à 6, précédé par celui de l’acier et du charbon, de l’échec de la défense commune, elle est devenue une administration tentaculaire de 27 Nations, dont certaines se posent encore la question de savoir ce qu’elles font là, dotée d’une commission, d’un Parlement et même d’une monnaie commune gérée par une banque centrale dédiée…
Néanmoins, il existe encore trop de moteurs de chaos
au sein de la communauté internationale qui laissent présager une violence
accrue bien au-delà des frontières des protagonistes immédiats.
Deux ans et demi de guerre entre la Russie et l’Ukraine, des « cousins slaves » et orthodoxes, menacent d’engloutir l’Europe centrale et orientale dans un conflit encore plus grave.
La Cour pénale internationale a même émis un mandat d’arrêt contre le président russe « Vlad-Poux-tine » pour violation de la charte unanimement acceptée de la protection de l’enfance, mais cela n’a manifestement pas limité ses voyages dans les pays membres de la CPI et encore moins amélioré ses tactiques terroristes dans sa guerre.
Une année de guerre au Moyen-Orient entre Israël et le
« Ramasse », puis désormais le « Èze-Beau-là », menace d’un
conflit régional plus vaste qui pourrait impliquer deux acteurs majeurs non-arabes,
les États-Unis et l’Iran.
Une fois de plus, la CPI envisage de lancer des mandats d’arrêt contre le « Premier sinistre israélien », « Benne-jasmin-Net-à-Yahoo » et son « sinistre de la Défense », mais la campagne génocidaire menée par Israël à Gaza ou le déplacement forcé de civils palestiniens en Cisjordanie n’ont pas cessé.
Vous me direz, c’était pareil en Yougoslavie… Mais là on sait que la CPI aura su avoir le dernier mot.
L’utilisation par Israël d’armes fournies par les États-Unis est certainement incompatible avec le droit international et met en évidence la complicité « ricaine » dans la guerre de « Net-à-Yahoo » : Probablement les effets du vote « feuj » aux USA.
En « Gauloisie-olympique », on n’a pas les mêmes : Historiquement le vote « feuj » était chez nous, un vote de « gôche », « soce » quand ce n’était pas « coco ». « Mes-Luches » aura inversé la tendance et le vote « feuj » devient « pro-nazillon » d’extrême-droâte : Décidément, en voilà qui sont promptes à retourner leur veste !
Et jusqu’à présent, seule la Grande-Bretagne a
démontré sa volonté de limiter la fourniture de certaines armes à Israël.
De Gaulle l’aura fait bien avant, au moment de la guerre des 6 jours qui aura dégénéré avec l’affaire des vedettes de Cherbourg.
Depuis on est un peu fâché avec Israël, qui aura volé les plans du Mirage III (20 wagons de dossier d’archives, plan et détails des machines à fabriquer les pièces, détournés pour fabriquer le Kfir qui aura assez peu servi) : Un État voyou, qui se croit tout permis, probablement au nom d’une histoire tourmentée, violente jusqu’à la barbarie la plus atroce, validée à l’origine par l’ONU, rien de plus…
Mais qui persiste à violer les résolutions de la même organisation de droit international avec constance…
Sans retour de bâton apparent, au moins jusque-là…
Mais y’en a qui finiront bien par en avoir marre, tôt ou tard.
Pendant ce temps, l’Occident ne prête aucune attention
à la catastrophe mondiale qu’est le Soudan, le troisième plus grand pays d’Afrique,
où des millions de personnes ont été déplacées, des dizaines de milliers de
personnes ont été massacrées, et il pourrait bientôt y avoir une famine qui
rivaliserait avec celle qui a enveloppé l’Éthiopie au début années 1980.
Comme en Russie/Ukraine et Israël/Gaza, la guerre civile au Soudan sera un moteur du chaos bien au-delà de ses frontières.
Les pays frontaliers du Soudan sont déjà fragiles, notamment le Tchad, l’Égypte, l’Éthiopie et la Libye.
En plus, il existe une contrebande d’armes dans toute la région et il est très probable que le Soudan – comme la Libye – soit divisé à termes en deux parties géographiques.
À cela s’ajoute le risque lié aux participants extérieurs – tels que la Russie, les Émirats arabes unis, l’Égypte et l’Iran – qui profite du chaos pour jeter de l’huile sur le feu et qui fournissent les Forces armées soudanaises (SAF) ou les Forces de soutien rapide (RSF).
La CPI rassemble actuellement des preuves des crimes et atrocités commis par les SAF et les RSF.
À l’exception du pacte Kellogg-Briand de 1928, qui a
renoncé à la guerre comme instrument de politique nationale, il n’existe donc aucune
loi internationale qui réglemente – et encore moins prévient – la guerre !
Et les organisations chargées de pacifier les querelles
régionales se font tirer dessus, que ce soient les casques bleus ou la Croix-Rouge…
Le génocide et la torture sont interdits par divers protocoles, mais cela n’a pas empêché ni « Poux-tine », ni « Net-à-Yahoo » ou l’administration « Bou-bouche » de mener une guerre mondiale contre le terrorisme, de pratiquer à l’occasion la torture sur des populations civiles réputées terroristes et les uns où les autres de se servir du cheptel de « humanoïde » comme de « bouclier-humain ».
Ou tout simplement pour fournir de la chair fraîche à
leur BMC…
Les armes atomiques contre Hiroshima et Nagasaki en 1945 étaient des actes de terrorisme étatiques parce qu’aucune des deux villes n’était une cible stratégique et que l’objectif général était de forcer la communauté civile japonaise à faire pression sur ses dirigeants pour qu’ils se rendent aux États-Unis, ce qui constitue la définition même du terrorisme.
Les atrocités américaines au Vietnam auraient dû
donner lieu à un débat sérieux sur la nécessité de différencier les cibles
militaires et civiles, mais il n’y a eu aucun débat international, ni même
interne, sur l’importance d’accepter des règles de guerre humaines.
Pendant ce temps, des dizaines de milliers de civils, forcément innocents, je ne crois pas à l’innocence des civils, mais bien plus à leur « non-engagement » de combattant, leur neutralité de fait pour être désarmé en bon esclave de leurs maîtres, sont tués, massacrés, étripés en Ukraine et à Gaza, et plus de 150.000 civils sont victimes de barbarie au Soudan.
Deux décennies de guerre « ricaine » en Irak
et en Afghanistan ont entraîné un grand nombre de morts civiles.
Le ministère de la Défense a même déployé des efforts considérables pour contrôler et supprimer les informations sur le coût humain de la guerre : Il invitait les journalistes « ricains » à « s’intégrer » aux unités militaires, mais leur demandait de soumettre leurs articles à l’armée pour examen avant publication afin de coopter les journalistes intégrés et de rendre plus difficile l’établissement de reportages indépendants et objectifs.
Il a effacé les images des journalistes sur les morts civiles en Afghanistan.
Et il a refusé de divulguer des statistiques sur les victimes civiles. « Nous ne comptons pas les cadavres », aura déclaré un jour le général Tommy Franks.
Mais on peut compter les « body-bag » livrés aux unités…
Les États-Unis consacrent trop d’attention et de
ressources à la possibilité d’un dialogue bilatéral avec des adversaires
potentiels qui pourrait atténuer les horreurs internationales qui existent
actuellement.
Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a déclaré qu’il n’y avait « aucun obstacle » aux négociations nucléaires avec les États-Unis, même pas ses essais nucléaires ratés : Il n’y a eu aucune réponse de la part de l’administration « Bail-dan ».
La Chine souhaite que les États-Unis relâchent leurs pressions sur Pékin afin de stabiliser les relations bilatérales et d’entamer des discussions sur les questions nucléaires : À l’heure actuelle, le président en exercice (et son administration profonde) est le premier président américain à éviter de se rendre en Chine depuis plus de 50 ans.
« Poux-tine » cherche des moyens de rouvrir le dialogue avec les États-Unis, mais « Bail-dan » estime qu’il n’a rien à dire au président russe.
Il faut dire que c’est « Poux-tine » qui aura refusé de ne pas entrer en guerre après le désastreux sommet de Genève de juin 2021 : Déjà, il n’avait rien à dire sauf à vouloir imposer ses diktats inacceptables, lui qui occupait déjà un pays, la Crimée, dont son pays avait reconnu préalablement son rattachement à Kiev…
L’administration « Bail-Dan » s’attribue le
mérite d’avoir construit un système d’alliance en Asie contre la Chine, de
reconstruire l’alliance en Europe contre la Russie et de s’être efforcée
d’isoler l’Iran au Moyen-Orient et dans le golfe Persique. Effectivement des
partenariats impressionnants ont été formés avec le Japon, la Corée du Sud et
les Philippines dans la région Asie-Pacifique.
L’OTAN s’est étendue jusqu’à ses limites géographiques en Europe de l’Ouest et de l’Est et des efforts sont déployés pour encourager les nations arabes d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient à isoler l’Iran.
Mais peut-être qu’il est temps pour la présidence boiteuse, « fin de règne » de « Bail-dan », de se reposer sur ses lauriers internationaux et de trouver des moyens d’engager trois adversaires clés (la Russie, la Chine et l’Iran), sans même évoquer « Kim-Tout-fou » afin de réduire le niveau de risque international et de gérer les indicateurs politiques de relations plus stables.
Force est de reconnaître que les sanctions paralysantes n’ont pas réussi à limiter le programme nucléaire de la Corée du Nord, ni même de l’Iran qui vient d’en faire trembler la terre au milieu d’un désert, mais peut-être faudrait-il donner l’occasion de recourir à des incitations diplomatiques.
La formation de quasi-alliances pourrait facilement
devenir une prophétie auto-réalisatrice qui ferait plus de mal que de bien à la
scène internationale.
Et on peut aussi rêver d’un monde de tolérance réciproque, avec ou sans les « ricains », avec ou sans les organisations internationales mises en place et réduites jusque-là à l’impuissance.
Le troisième millénaire aura pris un virage qui ressemble à s’y méprendre à un dérapage incontrôlé depuis le 11 septembre 2001 : C’est l’ère du terrorisme asymétrique, où quelques tribus de « barbus » se croient investis de la puissance divine pour raser l’humanité incroyante de la surface de la planète.
Quelle misère…
Si encore quelques-uns pouvaient témoigner que le paradis aux 70 vierges n’existe pas, mais ce n’est même pas possible…
Et ça devrait d’ailleurs être le premier indice de cette vertigineuse aberration religieuse.
Et puis de vous à moâ, 70 vierges… mais qu’est-ce qu’on ne va pas inventer pour tordre le neurone du croyant ?
Déjà, une seule, même si elle n’est plus pucelle depuis des années, c’est plutôt l’enfer…
Alors 70.
Passons : Je ne suis guère enthousiaste de voir
la faillite de ce que nos aînés nous aurons légué et je ne suis guère optimiste
sur ce que je léguerai à « ma propre nichée ».
Mais je n’ai pas vraiment pu faire mieux avec ce que j’avais à disposition…
Il y a un « nouveau monde » à construire, le « monde d’après ». Les plans ne sont pas encore arrêtés, il n’y a pas de consensus même sur le nom de son architecte et concepteur et nous ne sommes pas sûrs qu’il y ait les financements adéquates.
Mais il faudra le faire.
Même si le choix de la méthode n’est pas non plus fixé : Dans la joie ou dans la douleur…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Le droit public – entre personnes (forcément « morales », immatérielles, une construction intellectuelle de juristes sur des assises historiques, contra « physique », nées de copulation sensuelles fécondes…) de droit public – existe depuis toujours à travers les alliances de circonstance entre détenteurs de la potestas, seigneurs, rois, empereurs, chefs de bande et de guerre, ou Nations et leurs populations.
Il était organisé à travers un maillage étroit de conventions internationales bilatérales, puis, de nos jours, s’est rajouté une « couche multilatérale » qui aura été jusqu’à inventer la Société des Nations qui, elle, aura été incapable de prévenir la seconde guerre mondiale alors que c’était son rôle premier.
La pièce maîtresse de ces organismes internationaux reste l’ONU et ses agences régionales et fonctionnelles, conçues pour fournir des garde-fous internationaux afin de limiter le recours à la force aveugle et destructrice.
Et, notamment aux USA, leur loi sur la sécurité nationale de 1947 a été conçue en partie pour garantir que les administrations américaines jouent un rôle actif dans la gestion, voire dans la transformation de la communauté internationale.
L’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce a été conçu pour gérer le commerce international et le Fonds monétaire international a été créé pour surveiller la balance des paiements.
Les responsables « ricains » étaient finalement au centre de toutes ces institutions, plaçant Washington au centre du monde du multilatéralisme, appuyés voire guidés par leurs cousins britanniques qui avaient déjà l’expérience d’être responsables, de gérer et d’administrer, « un empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais ».
Or, l’actuelle tendance mondiale revient à l’isolationnisme et à l’ultranationalisme.
Et ça menace toutes ces institutions post-1945.
Un empire ça ne dure pas éternellement, et les candidats à reprendre à leur profit le rôle de leader mondial sont nombreux à vouloir remplacer le calife pour devenir calife à sa place, en usant de tous les leviers à leur disposition… exploitant toutes les faiblesses du monde des anglo-saxons, y compris l’UE dont nous sommes, que nous sommes capables de laisser dans notre sillage sans les corriger…
Tel le monde « post-colonial » où les décolonisations n’auront pas toujours été très réussies, telles que bien des conflits actuels en sont les conséquences.
Cette croissance bureaucratique a été marquée par le Conseil des conseillers économiques (1946), le Conseil de sécurité nationale (1947), le Représentant spécial au commerce (1963), le Bureau de la gestion et du budget (1970) et le Bureau des sciences et des sciences de la Maison Blanche et celui de la politique technologique (1976).
La Cour suprême a ainsi fait preuve d’une déférence exceptionnelle à l’égard des pouvoirs du président dans le domaine de la sécurité nationale et la création au fil du temps de nombreuses agences fédérales, et le Congrès américain a largement accepté sans contestation le rôle des États-Unis au sein des Nations-Unies, du Plan Marshall et du Traité de l’Atlantique Nord.
Ainsi que dans diverses autres organisations internationales et arrangements de sécurité…
Quant à l’UE, d’un simple traité commercial, une sorte d’union douanière à 6, précédé par celui de l’acier et du charbon, de l’échec de la défense commune, elle est devenue une administration tentaculaire de 27 Nations, dont certaines se posent encore la question de savoir ce qu’elles font là, dotée d’une commission, d’un Parlement et même d’une monnaie commune gérée par une banque centrale dédiée…
Deux ans et demi de guerre entre la Russie et l’Ukraine, des « cousins slaves » et orthodoxes, menacent d’engloutir l’Europe centrale et orientale dans un conflit encore plus grave.
La Cour pénale internationale a même émis un mandat d’arrêt contre le président russe « Vlad-Poux-tine » pour violation de la charte unanimement acceptée de la protection de l’enfance, mais cela n’a manifestement pas limité ses voyages dans les pays membres de la CPI et encore moins amélioré ses tactiques terroristes dans sa guerre.
Une fois de plus, la CPI envisage de lancer des mandats d’arrêt contre le « Premier sinistre israélien », « Benne-jasmin-Net-à-Yahoo » et son « sinistre de la Défense », mais la campagne génocidaire menée par Israël à Gaza ou le déplacement forcé de civils palestiniens en Cisjordanie n’ont pas cessé.
Vous me direz, c’était pareil en Yougoslavie… Mais là on sait que la CPI aura su avoir le dernier mot.
L’utilisation par Israël d’armes fournies par les États-Unis est certainement incompatible avec le droit international et met en évidence la complicité « ricaine » dans la guerre de « Net-à-Yahoo » : Probablement les effets du vote « feuj » aux USA.
En « Gauloisie-olympique », on n’a pas les mêmes : Historiquement le vote « feuj » était chez nous, un vote de « gôche », « soce » quand ce n’était pas « coco ». « Mes-Luches » aura inversé la tendance et le vote « feuj » devient « pro-nazillon » d’extrême-droâte : Décidément, en voilà qui sont promptes à retourner leur veste !
De Gaulle l’aura fait bien avant, au moment de la guerre des 6 jours qui aura dégénéré avec l’affaire des vedettes de Cherbourg.
Depuis on est un peu fâché avec Israël, qui aura volé les plans du Mirage III (20 wagons de dossier d’archives, plan et détails des machines à fabriquer les pièces, détournés pour fabriquer le Kfir qui aura assez peu servi) : Un État voyou, qui se croit tout permis, probablement au nom d’une histoire tourmentée, violente jusqu’à la barbarie la plus atroce, validée à l’origine par l’ONU, rien de plus…
Mais qui persiste à violer les résolutions de la même organisation de droit international avec constance…
Sans retour de bâton apparent, au moins jusque-là…
Mais y’en a qui finiront bien par en avoir marre, tôt ou tard.
Comme en Russie/Ukraine et Israël/Gaza, la guerre civile au Soudan sera un moteur du chaos bien au-delà de ses frontières.
Les pays frontaliers du Soudan sont déjà fragiles, notamment le Tchad, l’Égypte, l’Éthiopie et la Libye.
En plus, il existe une contrebande d’armes dans toute la région et il est très probable que le Soudan – comme la Libye – soit divisé à termes en deux parties géographiques.
À cela s’ajoute le risque lié aux participants extérieurs – tels que la Russie, les Émirats arabes unis, l’Égypte et l’Iran – qui profite du chaos pour jeter de l’huile sur le feu et qui fournissent les Forces armées soudanaises (SAF) ou les Forces de soutien rapide (RSF).
La CPI rassemble actuellement des preuves des crimes et atrocités commis par les SAF et les RSF.
Le génocide et la torture sont interdits par divers protocoles, mais cela n’a pas empêché ni « Poux-tine », ni « Net-à-Yahoo » ou l’administration « Bou-bouche » de mener une guerre mondiale contre le terrorisme, de pratiquer à l’occasion la torture sur des populations civiles réputées terroristes et les uns où les autres de se servir du cheptel de « humanoïde » comme de « bouclier-humain ».
Les armes atomiques contre Hiroshima et Nagasaki en 1945 étaient des actes de terrorisme étatiques parce qu’aucune des deux villes n’était une cible stratégique et que l’objectif général était de forcer la communauté civile japonaise à faire pression sur ses dirigeants pour qu’ils se rendent aux États-Unis, ce qui constitue la définition même du terrorisme.
Pendant ce temps, des dizaines de milliers de civils, forcément innocents, je ne crois pas à l’innocence des civils, mais bien plus à leur « non-engagement » de combattant, leur neutralité de fait pour être désarmé en bon esclave de leurs maîtres, sont tués, massacrés, étripés en Ukraine et à Gaza, et plus de 150.000 civils sont victimes de barbarie au Soudan.
Le ministère de la Défense a même déployé des efforts considérables pour contrôler et supprimer les informations sur le coût humain de la guerre : Il invitait les journalistes « ricains » à « s’intégrer » aux unités militaires, mais leur demandait de soumettre leurs articles à l’armée pour examen avant publication afin de coopter les journalistes intégrés et de rendre plus difficile l’établissement de reportages indépendants et objectifs.
Il a effacé les images des journalistes sur les morts civiles en Afghanistan.
Et il a refusé de divulguer des statistiques sur les victimes civiles. « Nous ne comptons pas les cadavres », aura déclaré un jour le général Tommy Franks.
Mais on peut compter les « body-bag » livrés aux unités…
Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a déclaré qu’il n’y avait « aucun obstacle » aux négociations nucléaires avec les États-Unis, même pas ses essais nucléaires ratés : Il n’y a eu aucune réponse de la part de l’administration « Bail-dan ».
La Chine souhaite que les États-Unis relâchent leurs pressions sur Pékin afin de stabiliser les relations bilatérales et d’entamer des discussions sur les questions nucléaires : À l’heure actuelle, le président en exercice (et son administration profonde) est le premier président américain à éviter de se rendre en Chine depuis plus de 50 ans.
« Poux-tine » cherche des moyens de rouvrir le dialogue avec les États-Unis, mais « Bail-dan » estime qu’il n’a rien à dire au président russe.
Il faut dire que c’est « Poux-tine » qui aura refusé de ne pas entrer en guerre après le désastreux sommet de Genève de juin 2021 : Déjà, il n’avait rien à dire sauf à vouloir imposer ses diktats inacceptables, lui qui occupait déjà un pays, la Crimée, dont son pays avait reconnu préalablement son rattachement à Kiev…
L’OTAN s’est étendue jusqu’à ses limites géographiques en Europe de l’Ouest et de l’Est et des efforts sont déployés pour encourager les nations arabes d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient à isoler l’Iran.
Mais peut-être qu’il est temps pour la présidence boiteuse, « fin de règne » de « Bail-dan », de se reposer sur ses lauriers internationaux et de trouver des moyens d’engager trois adversaires clés (la Russie, la Chine et l’Iran), sans même évoquer « Kim-Tout-fou » afin de réduire le niveau de risque international et de gérer les indicateurs politiques de relations plus stables.
Force est de reconnaître que les sanctions paralysantes n’ont pas réussi à limiter le programme nucléaire de la Corée du Nord, ni même de l’Iran qui vient d’en faire trembler la terre au milieu d’un désert, mais peut-être faudrait-il donner l’occasion de recourir à des incitations diplomatiques.
Et on peut aussi rêver d’un monde de tolérance réciproque, avec ou sans les « ricains », avec ou sans les organisations internationales mises en place et réduites jusque-là à l’impuissance.
Le troisième millénaire aura pris un virage qui ressemble à s’y méprendre à un dérapage incontrôlé depuis le 11 septembre 2001 : C’est l’ère du terrorisme asymétrique, où quelques tribus de « barbus » se croient investis de la puissance divine pour raser l’humanité incroyante de la surface de la planète.
Quelle misère…
Si encore quelques-uns pouvaient témoigner que le paradis aux 70 vierges n’existe pas, mais ce n’est même pas possible…
Et ça devrait d’ailleurs être le premier indice de cette vertigineuse aberration religieuse.
Et puis de vous à moâ, 70 vierges… mais qu’est-ce qu’on ne va pas inventer pour tordre le neurone du croyant ?
Déjà, une seule, même si elle n’est plus pucelle depuis des années, c’est plutôt l’enfer…
Alors 70.
Mais je n’ai pas vraiment pu faire mieux avec ce que j’avais à disposition…
Il y a un « nouveau monde » à construire, le « monde d’après ». Les plans ne sont pas encore arrêtés, il n’y a pas de consensus même sur le nom de son architecte et concepteur et nous ne sommes pas sûrs qu’il y ait les financements adéquates.
Mais il faudra le faire.
Même si le choix de la méthode n’est pas non plus fixé : Dans la joie ou dans la douleur…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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