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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 30 octobre 2024

Suppression de la CVAE

Mon « commissaire politique » vieillit…
 
Vous ne le connaissez pas, mais j’ai dû bosser avec lui, main dans la main, à redresser une « boutique » pas à moâ mais à des « patrons communs » qui n’étaient rien d’autres que des « kamarades-staliniens »…
Et vous pensez bien que, moâ issu des « clubs tibéristes-RPR » vieille-formule de la kapitale (pas encore olympique) qui avait réussi à envoyer le « Chi » à l’Hôtel-de-ville eu nez et à la barbe de « Giskard-A-la-Barre » qui ramait pour son poulain (« Michou-Dors-Nano »), on n’allait pas me laisser la bride sur cou à gérer une des pépites du parti sans un coach éduqué aux meilleurs ékoles marxistes-léninistes de l’époque.
Le deal était simple : Je le tenais au courant de mes initiatives avant de les mettre en place, il « bouclait » avec son comité central, je recevais le feu vert et j’y allais sans broncher.
À charge pour lui de m’éviter la plupart des pièges de langage et procéduraux de la « culture d’entreprise »…
Et ça a assez bien fonctionné, hors quelques couacs et une dizaine de grèves générales…
 
Très fort le bonhomme pour « casser » ces grèves, avec sa « dialectique appliquée » en marche : On aura pu avancer, sauver « la boutique » et ses emplois (plus les fonds du parti engagé dans cette galère) et nous sommes devenus amis.
On aura refait à nous deux le CNR de 1945, lui le feuj, stalinien, toubib-psychiatre et moâ le juriste gaulliste, papiste-corse, que je ne vous raconte pas…
Depuis cette époque, on se tient au courant de nos petits-malheurs de santé.
Et dernièrement on « notait » les « profils » du trombinoscope politique actuel.
En fait, on le remettait à jour, tellement il aura été bouleversé par les dernières élections législatives…
Mais à cette occasion, j’ai une fois de plus confirmé que décidément, un coco-stalinien, ça ne connaissait rien à l’économie d’entreprise…
 
Lui s’insurgeait, comme sa clique, de ce que l’État, le contribuable probablement, faisait des « cadeaux » aux entreprises, sans rien en retour, aucune exigence, pas le plus petit objectif à respecter, et que ça allait engraisser les actionnaires qui se goinfraient de dividendes superlatifs…
Et j’en suis bien d’accord, mais pas pour les mêmes raisons. Une entreprise n’a pas besoin du pognon de l’État (du contribuable) pour survivre : Soit elle est pérenne sur son marché solvable, elle survit et fait vivre les familles qui y bossent ainsi que celle de ses fournisseurs en fournissant ses clients, soit elle n’y parvient pas et elle doit mourir et disparaître parce qu’elle pique du pognon (et des marchés) à sa concurrence directe et indirecte qui est solvable et pérenne (ainsi que les familles qui en vivent), en la mettant en danger de mort.
Vouloir mettre l’État et donc le contribuable au milieu en « arbitre » de ce qui doit être ou ne pas être, avec le pognon piqué au contribuable, qu’il soit le client, le fournisseur, le salarié ou le contrôleur de gestion, des impôts et contributions directes et indirectes, dans tous les cas probablement l’électeur, est une ineptie, une pitrerie indicible : Il n’est pas compétent pour savoir de quoi sera fait son bonheur de demain.
Déjà, celui d’aujourd’hui, il se trompe souvent, alors celui de demain, ne l’envisageons même pas…
Et pourtant, c’est exactement ce qui se passe dans la vie courante.
 
La plupart des lois et règlements mis en place par le « législateur dans sa très grande sagesse » et les pouvoirs publics dans l’exercice de leur potestas consiste justement, pour des tas de raisons qui vont de l’opportunisme électoral des plus douteux, à la défense des intérêts supérieurs de la Nation et de sa souveraineté, à inventer « des règles » qui répondent à des intérêts sectoriels parfois inattendus.
Ainsi, pour défendre la banane antillaise, les lobbies à Bruxelles ont réussi à imposer des normes de forme de banane qui excluent de la mise sur le marché tout un tas de variétés qui n’a pas la longueur, le poids et la texture, la couleur de celles qu’on nous sert sur les marchés…
On appelle ça les « droits de douane qualitatifs » : Tu n’as pas le label, tu es interdit…
Ce n’est même plus une question de coût des droits à payer, c’est qu’on n’en veut pas !
La barrière des normes…
 
Et ce n’est pas seulement valable pour ce qu’on met dans la bouche (banane, tomate, médicaments, bidoche, céréales) mais pour pratiquement tout : Tu n’as pas le CAP de coiffeur, tu ne peux pas ouvrir une boutique de « visagiste »… si tu dois couper des tifs.
On a eu le même souci avec les Uber et les taxis : Sans plaque ni licence, tu ne peux pas marauder sur les boulevards prendre des auto-stoppeurs. Pire, tu ne peux pas stationner : Il te faut rouler.
Les Uber roulent, même ceux qui iront chercher ta pizza chez « McDo »…
 
Bref, il en va de même pour les « niches fiscales » qui hérissent le poil de mon « commissaire politique » : La loi t’accorde un avantage. C’est toujours sous condition de réunir un certain nombre de critère et de te soumettre à telle ou telle condition.
Et en général ça poursuit un objectif qui est inatteignable par la puissance publique sans lever un impôt nouveau : Tu veux des logements nouveaux ? Tu inventes un « Pinel nouveau » (un Méhaignerie, un Duflot, un ce que tu veux) et, par exemple, tu plafonnes les loyers à en tirer moyennant un allègement d’impôt sur les loyers…
Ça marche très fort depuis des années et permet à toute l’industrie du bâtiment, des promoteurs aux ingénieurs financiers en passant par les corps d’état de second œuvre de fournir un peu de boulot sur les chantiers au sous-prolétaire qui ne sait rien faire d’autre que de pousser des brouettes de sacs de sable et de gravier…
Du moment qu’on trouve assez de couillons qui espèrent une plus-value conséquente dans quelques décennies, ça permet en plus de vider de temps en temps les camps de squatters…
 
Mais passons, je ne vais pas refaire l’éducation économique de mon « commissaire politique » : Il est trop imprégné de ses stéréotypes dépassés des années soixante et il est trop âgé pour parvenir à réformer son neurone.
Je laisse dire : Je n’ai plus de temps à perdre.
 
En revanche, ça donne parfois des délires comme la discussion de l’actuelle loi de finances pour 2025 sur laquelle nous avons jacassé un moment…
Ainsi, j’hésite à m’insurger ou à éclater de rire, quand j’apprends qu’un des articles de ce projet de loi prévoit de reporter de trois ans la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE).
Une mesure censée rapporter 1,1 milliard d’euros de recette à l’État.
Quand on ne fait dire que des konneries à des chiffres…
 
Mais, le plus drôle, c’est que c’est un amendement du président de la commission des Finances « Riton-Cocktail » (LFI, mais un mek que j’apprécie), soutenu par l’ensemble du Nouveau Front populaire (cet oxymore moderne de la politique-populiste), qui est allé au-delà de ce simple report.
Il prévoit ainsi un rétablissement graduel de la CVAE, dans un premier temps pour les entreprises ayant un chiffre d’affaires supérieur à un milliard d’euros.
Blam ! Tous les hypers « milliardaires » (en CA) vont y passer, mais pas les « hyper-crevards » : Tu parles d’une concurrence déloyale que ça va créer !
 
Pour le sieur susnommé, la suppression progressive de la CVAE est un « cadeau fiscal qui grève le budget de l’État » sans « aucune justification économique » et qui « profite essentiellement aux grandes entreprises ».
Et hop, revoilà la rhétorique marxiste-léniniste-stalinienne de mon « kamarade-commissaire-politique » qui refait son apparition !
En « Gauloisie-olympique », on déteste tout ce qui est grand et qui dépasse… « par le haut ». Probablement une résurgence du père Guillotin.
 
Décidément, on préfère la médiocrité des « petits-besogneux » qui ne survivent que parce qu’ils reçoivent ainsi quelques coups de pouce indirects de notre technocratie… quand ce ne sont pas des subventions indues parce qu’ils ne sont pas capables de faire autre chose que de pousser des brouettes de sable ou de gravier…
Petits-coups de pouce qui interdisent aux pharmaciens de posséder plus de deux établissements (et encore…), aux experts en comptabilités de tenir les comptes des « besogneux » tant qu’ils ne sont pas certifiés expert-comptable, au boulanger de pétrir de la farine tant qu’il n’a pas son CAP boulangerie…
 
C’est assez drôle, parce que ce dernier peut faire des crêpes sur les marchés, les trottoirs et les quais de métros, même dans des conditions d’hygiène déplorables !
Et que finalement, les « fraudeurs » sont plus nombreux à être « petits » alors que les grandes entreprises ne font pas faillite tous les soirs comme s’il leur fallait échapper aux poursuites de la puissance publique…
Et puis quand elles sont mal gérées comme la SNCF, EDF, Atos et tant d’autres, on se précipite pour leur filer du pognon indu piqué sur le dos des povs’ gens qui ne demandent jamais rien mais sont indéfiniment solvables à bosser comme des ânes…
Passons : À force de réglementer et taxer étroitement, on en vient à favoriser un modèle bancal de sociétés libérales-économiques, totalement dérégulées, qui font n’importe quoi (tellement l’irresponsabilité pousse à l’incompétence), exactement l’inverse de ce que le même dogme des staliniens imposerait de faire…
 
L’actuel « sinistre du Budget », « L’or-rend-Sein-Matin » a lui estimé qu’il ne fallait pas « casser l’ambition de la suppression définitive de la CVAE », et « envoyer ce signal de retour en arrière ». Même si la nécessité de redresser les comptes publics justifie « une nouvelle trajectoire plus patiente ».
Là, on sent vraiment bien l’inconfort du propos du mek assis le kul entre deux chaises, les roubignoles pendantes dans le vide sans coquille de protection qui s’attend au pire…
 
L’amendement a été retenu par 118 voix contre 115, avec des voix du « Air-haine ». Encore un paradoxe : Parce qu’à votre avis, qui paye la CVAE ?
Lecture des « imbéciles-fiscaux » (comme mon « commissaire-politique ») : Exclusivement des « grandes entreprises » !
Dukon : Uniquement les clients des grandes-entreprises !
Encore un qui confond le redevable officiel et le financeur effectif…
Et comme en plus, ce n’est pas déductible « en aval » comme la TVA, même le « client-petite-entreprise » paye, quitte à forcément refacturer sans le savoir à son client final qui lui… est le seul à voter !
J’adore…
 
« La gauche vient d’augmenter de 10 milliards les impôts de production alors que nous avons déjà des records de faillite ! Il faut que les Français voient le SABOTAGE du budget par les macronistes et la droite dont les rangs sont VIDES pour donner la victoire aux Insoumis ».
On en arrive au point où un député « d’Ensemble pour la République » (EPR, Ex-Renaissance, ex-« En Marche® ») aura invité le groupe présidé par « Marinella-tchi-tchi » à tenir une « réunion de groupe » pour résoudre ses supposées contradictions internes, entre soutien aux entreprises et augmentation de la fiscalité.
 
Car les députés avaient auparavant repoussé des amendements de suppression de l’article réclamant que le gouvernement respecte la promesse faite aux entreprises. Et le « Air-haine » a lui accusé les groupes en soutien du gouvernement de se livrer à une « opération de sabotage (…) du budget par leur absence ».
En effet, contre l’avis du « sinistre du Budget », les députés ont ainsi décidé aussi de rendre pérenne la contribution exceptionnelle demandée aux entreprises de fret maritime, et plafonné à 500 millions d’euros la niche fiscale dont bénéficie ce secteur.
Et après on ira râler de leur évasion sous pavillon de complaisance…
Ou encore supprimer un article prévoyant d’alourdir le malus pour les voitures essence et diesel pour mieux se vendre à « Élan-Must » et ses « ordinateurs sur roues ».
Les députés ont par ailleurs approuvé un article instaurant une taxe sur les rachats d’action : Les « soces » ont fait adopter un amendement visant à assoir la taxe sur la valeur de rachat des actions et non sur leur valeur nominale, et les Insoumis un autre étendant rétroactivement la mesure à toute l’année 2024…
Bref, du grand n’importe quoi.
Le gouvernement aura ainsi subi de nombreuses défaites sur cette partie « recettes » du budget. Notamment quand la « gôche » aura voté la hausse de la taxe sur l’électricité, combattue par ses propres troupes.
 
« Tous vos amendements s’inscrivent dans une stratégie anticapitaliste, d’inspiration marxiste ». Et de lister les buts qu’on peut leur prêter : « S’attaquer aux riches pour aller vers une société sans classe », « appropriation collective des moyens de production », « s’attaquer à l’économie de marché », pour enfin aboutir à « la dictature du prolétariat ».
Réponse du député visé : « Quel bonheur, M. Labaronne, ce que vous venez de nous dire », a souri dans la foulée le député coco-stalinien, « Nicolas-Sans-sus ».
Certains verront dans ces échanges des palabres inutiles. D’autres le retour du débat idéologique entre la gôche et la droâte que « Jupiter » avait paraît-il effacé il y a sept ans.
 
Moâ j’y vois le fruit de la manipulation des opinions et de l’électeur par les « maîtres du chaos », qui parviennent ainsi à le faire voter contre ses propres intérêts.
Premièrement, la « gôche-post-marxiste » n’est décidément pas prête à gouverner : Plus ça va, plus elle donne des signes d’incompétence-crasse en matière économique !
Ils ont vraiment des œillères devant les yeux, de la boue et du goudron dedans, qui leur font faire des « dénis de réalité » en pagaille : Des dangers publics pour le pays !
Deuxièmement : Les ingénieurs du chaos qui se heurtent aux « maîtres du monde » montrent leurs limites… Aller plus loin dans leur œuvre de destruction, c’est faire le lit des « modérés exécrés ».
Ce qui veut dire, troisièmement, que bien sûr la loi de finances ne peut passer autrement qu’à coup de 49.3 qui marquera la faillite des extrémistes qui avaient eu le vent en poupe depuis mai 2024… Mais c’est justement faire le jeu de « Jupiter » qui ne dit rien et compte les coups, comme prévu.
 
Début du retour de manivelle[1] ?
Parce que pendant ce temps-là, le monde tourne à vive allure…
À suivre !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Je précise ici que jusque-là, « le monde d’avant » était bipartisan : patricien/plébéien, montagnard/girondin, aristocrate/serf, maître/esclave, royaliste/républicain, bourgeois/prolétaire, gôche/droâte etc. Dans « le monde d’après », en une génération, celle des « milléniums », de centripète, qui rassemble au centre pour gouverner, notre monde est devenu centrifuge, celui qui additionne les extrêmes pour exister, mélangeant, mixant les anciennes divisions en broyant tout ce qui reste au centre… Notre « Jupiter » et son éphémère parti « En marche® » en est devenu une caricature !
C’est la stratégie des « Maîtres du chaos » qui espèrent ainsi détruire l’emprise des « Maîtres du monde » qu’on retrouvait en partie dans le « Monde de Davos » (et ses affiliés, Bidelberg, Trilatérale, maçonnerie, sionisme, haute finance et autres courants religieux…).

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