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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 2 octobre 2024

On en cause, on en cause…

Mais avons-nous posé la bonne question ?
 
Et si la dette publique était indispensable pour l’économie… Car jusque-là, la dette publique est souvent perçue comme un élément incontournable des politiques économiques modernes et son niveau est fréquemment vilipendé.
Néanmoins, n’agirait-elle pas comme un relais naturel de la dette privée dans un contexte où l’épargne globale dépasse l’investissement ?
 
À première vue, la dette publique semble remplir une fonction cruciale dans une économie où l’épargne globale, tant celle des ménages que des entreprises, dépasse les besoins d’investissement et les consommations de bien consomptibles.
En effet, les entreprises, tout comme les ménages, sont souvent en position de créanciers nets. Cette situation génère un surplus d’épargne qui doit être absorbé par d’autres acteurs économiques, notamment les gouvernements, qui peuvent emprunter ces fonds pour financer des dépenses publiques.
Ce mécanisme d’évidence (ce qui est prêté aux uns et financé par les autres), en apparence, confèrerait alors à la dette publique un rôle stabilisateur : Elle permet de recycler l’excès d’épargne sous forme de dépenses publiques, stimulant ainsi l’économie et évitant une stagnation due à un manque de demande.
Cependant, cette approche fait abstraction des effets secondaires et des comportements anticipateurs des acteurs économiques.
 
Une autre explication possible du surplus d’épargne provient de ce que l’on appelle « l’équivalence ricardienne ». Selon cette théorie, les ménages et les entreprises anticipent des hausses futures de la fiscalité en réponse à l’augmentation de la dette publique.
Ils épargnent donc davantage aujourd’hui en prévision de l’augmentation future des impôts, nécessaire pour rembourser cette dette demain.
En conséquence, ce surcroît d’épargne n’est pas nécessairement un excès, mais une réponse rationnelle à la politique budgétaire actuelle trop dépensière.
Mais ce phénomène peut créer un cercle vicieux : Les entreprises épargnent « trop » par crainte d’une future hausse des impôts, ce qui limite l’investissement privé, renforce le rôle du gouvernement dans l’économie et justifie encore davantage l’endettement public.
En d’autres termes, loin d’être une solution indispensable, la dette publique pourrait en réalité être un symptôme de comportements économiques anticipatifs.
Son rôle de relais nécessaire pour soutenir la demande globale serait par conséquent partiellement un trompe-l’œil.
 
Toutefois, quelle que soit l’explication retenue pour justifier l’existence de la dette publique, il est indéniable que des niveaux trop élevés de dette posent des risques importants pour l’économie d’un pays, n’importe lequel (hors peut-être les USA dont la monnaie aura envahi le monde : On en trouve partout tellement il y en a).
Parmi les effets bien connus d’une dette publique excessive, on trouve :
— Le coût croissant du service de la dette : Lorsque la dette augmente, les paiements d’intérêts deviennent une part de plus en plus importante du budget de l’État, réduisant ainsi la marge de manœuvre pour financer d’autres priorités (régaliennes, éducation, santé, infrastructures…) ;
— Le risque de crise de confiance : Si « les marchés » perdent confiance dans la capacité d’un État à rembourser sa dette, cela peut entraîner une augmentation des taux d’intérêt, accentuant encore davantage le coût de la dette et pouvant mener à une crise budgétaire ;
— Enfin un effet d’éviction sur l’investissement privé : Une dette publique excessive peut avoir pour effet de « chasser » les investissements privés, car les fonds disponibles pour prêter aux entreprises sont absorbés par le financement de la dette publique !
 
Et c’est là probablement l’effet négatif le plus grave pour une économie qui ne peut plus se financer pour s’adapter et donc fournir du PIB-marchand solvable et durable aux acteurs économiques qui s’appauvrissent à leur tour et par ricochet jusqu’à ne plus pouvoir financer l’État (par l’impôt ou l’emprunt).
D’où l’invention de « l’argent-magique » et des taux d’intérêt négatifs : La machine à imprimer des billets va tellement vite que le « non-investissement », la non-utilisation de ces fonds créés, leur non-consommation (faute de production) en devient coûteux.
Une façon également comme une autre de maîtriser la masse monétaire émise par les banques centrales, qui doit se développer de façon harmonieuse avec la croissance (trop d’argent qui circule crée de l’inflation, pas assez engendre des goulets d’étranglement et ralentit la croissance économique).
Prêter, c’est anticiper les productions futures (la relance keynésienne). Mais si la consommation ne suit pas (effet de levier keynésien négatif), le remboursement du prêt devient aléatoire et se solde in fine par de la « destruction de valeur ».
Pour freiner le mouvement, le dépôt à ne rien en faire devient donc coûteux…
 
Il n’empêche, certains seuils devraient alerter les « décideurs », toutes choses égales par ailleurs :
— Tout d’abord, le ratio de la dette publique au PIB : Un ratio (absurde) supérieur à 60 % est souvent considéré comme un seuil préoccupant. Cela signifie que la dette publique représente plus de la moitié de la production économique annuelle d’un pays.
C’est absurde dans la mesure où c’est juste une « norme » inventée du temps de « Mythe-errant » parce que c’était le budget présenté à ce moment-là.
La preuve : Au Japon, le ratio est de 200 %, deux années de production, presque 4 fois plus.
Et la Chine de « Xi-Ping-pong » (et bientôt ses voisins coréens) emprunte le même chemin… et pour des raisons semblables : Une « transition démographique » qui engendre une dépopulation (sans guerre…).
 
— Le ratio des intérêts de la dette sur les recettes publiques : Si ce ratio dépasse 10 %, cela indique que plus de 10 % des recettes fiscales sont consacrées au paiement des intérêts de la dette, limitant ainsi la capacité d’investissement de l’État.
Ce qui est également un faux critère : On est parfaitement capable d’emprunter pour rembourser un emprunt ancien.
C’est très exactement ce qu’avait annoncé de façon déguisée « Bling-bling » à l’occasion de son « Grand-emprunt »[1].
(Pour le plaisir d’une époque révolue : "Ce n'est pas un plan de relance" (lemonde.fr))
Et puis les banquiers savent faire du « revolving » depuis une éternité, déjà durant l’Ancien régime, du moment qu’ils retrouvent leur pognon et ne sont pas obligés de constater leurs pertes (se rappeler que la « crise des subprimes » a été déclenchée le jour où le commissaire aux comptes d’un banquier aura exigé de passer une provision pour dépréciation de quelques créances immobilières dont on ne savait pas qu’elles étaient leur valeur réelle…).
Bon, ne vous avisez pas d’en faire autant : Ça s’appelle de la cavalerie et c’est strictement interdit pour un particulier ou une entreprise…
 
— Le rapport entre la croissance des dépenses publiques et la croissance économique : Là c’est significatif, car si les dépenses publiques augmentent plus rapidement que la croissance du PIB sur plusieurs années, cela peut signaler un risque de déséquilibre budgétaire et une accumulation insoutenable de la dette.
Peut seulement, parce que ça ne gêne nullement les économies « socialistes » de « nationaliser » l’économie.
D’ailleurs, chez nous, on ne nationalise que ce qui perd de l’argent : Sécurité sociale (qui au départ n’est jamais qu’une entreprise d’assurance), les régimes de retraite (également une assurance), l’assurance chômage, mais aussi des industries, EDF, ELF, ADP, la SNCF, la RATP, Air-Inter, la SNCM (un temps seulement, comme Air-France obligée d’avaler tout cru UTA du pote à « Mythe-errant » quand les comptes devenaient négatifs), etc, etc, jusqu’aux autoroutes, qui sont finalement « concédées », mais à tarifs fixés par décret.
Et quand l’État ne nationalise pas, il subventionne : Le cinéma et la culture d’une façon générale, mais ça va jusqu’à travers des associations dans tous les domaines, de l’archéologie à la petite-enfance en passant par la voiture électrique et les éoliennes…
 
Bref, nous vivons, sans nous en rendre compte (personne ne le criera sur les toits), dans un pays à économie dirigée (alors que la « gôche-démoniaque » – qui ne le criera surtout pas elle non plus – veut nous faire croire qu’on vit dans un pays « ultra-libéral-avancé » et ouvert aux requins), pour environ 56 % (plus la sous-traitance), mieux que chez les soviétiques-communistes (qui arrivaient péniblement à 45/50 %). Et du coup, de ces trois points de vue précédents, la dette « Gauloisienne-olympique » est jugée préoccupante, notamment du point de vue de l’équité générationnelle.
Les jeunes sont obligés d’épargner (via des cotisations, fiscales et sociales obligatoires) pour se constituer un avenir meilleur décidé par leurs aînés…
C’est une pyramide de Ponzi (Madoff, vous vous souvenez… les derniers arrivés remboursent les premiers souscripteurs) qui ne dit pas son nom parce que c’est interdit, sauf s’il s’agit d’un mécanisme de tontine, qui lui est réglementé par le Code civil…
 
Du coup, la dette publique est souvent perçue sous un angle négatif, associée à des risques de surendettement, de crise budgétaire et de charges d’intérêts élevées. Pourtant, il ne faut pas oublier que la dette publique, lorsqu’elle est gérée de manière prudente, peut jouer un rôle clé dans le bon fonctionnement de l’économie d’un pays. Et qu’une dette publique trop faible – ou son absence – peut également comporter des risques et priver un État d’un levier important pour gérer l’économie.
Ce n’est d’ailleurs pas nécessairement un signe de bonne santé économique (sauf à Monaco).
Car une dette publique trop faible limite les possibilités de financement de projets régaliens, d’infrastructure, d’éducation, de recherche ou de santé.
Ces investissements sont pourtant parfois essentiels pour le développement économique à long terme (sauf à Monaco qui fait des excédents rien qu’avec les recettes du casino de la Société des Bains de Mer où sont interdits de jouer les monégasques, d’ailleurs…).
Sans dette, l’État peut être contraint de financer ces projets uniquement via des recettes fiscales, ce qui peut entraîner une forte augmentation des impôts ou une diminution des investissements, freinant ainsi par contre-coup la croissance et l’aisance des acteurs économiques (entreprises et citoyens).
 
La dette publique permet donc aux gouvernements de répondre rapidement en cas de crise économique, comme une récession, une pandémie, ou une catastrophe naturelle. Sans la possibilité de s’endetter, un pays serait contraint de réduire ses dépenses ou d’augmenter ses impôts en pleine crise, aggravant alors la situation financière de tout le monde au mauvais moment.
La dette publique sert donc de levier pour soutenir la demande globale et éviter des effets récessifs trop sévères.
 
Une dette publique trop faible peut également engendrer des déséquilibres sur les marchés financiers : Les obligations d’État jouent un rôle crucial en tant qu’actifs sûrs, offrant aux investisseurs une source de stabilité (garantie par la potestas qui décide de lever l’impôt) dans un environnement financier souvent volatile. Ainsi, la « Gauloisie-olympique » a fait le choix de maintenir un niveau de dette publique élevé, ce qui lui permet d’émettre régulièrement des obligations d’État et de rémunérer les livrets A sans se ruiner tout en captant cette « épargne populaire » pour financer des logements HLM (et plus récemment la guerre en Ukraine…).
D’autant que cette politique assure une liquidité sur le marché et permet aux investisseurs de se tourner vers ces actifs sûrs en période d’incertitude.
 
À l’appui de cette théorie, on peut citer (et d’autres l’ont fait) le contre-exemple des cas de l’Équateur et du Paraguay, pays où le niveau de la dette publique est compris entre seulement 30 et 40 % du PIB. L’émission d’obligations y est plus irrégulière, et les investisseurs ne trouvent pas suffisamment d’actifs sûrs pour diversifier leurs portefeuilles. Du coup, quand ils le peuvent, les épargnants épargnent hors de frontières, alimentant une fuite des capitaux délétère pour le pays.
Et cette situation mène à une volatilité accrue, car les investisseurs cherchent des alternatives, souvent dans des actifs plus risqués.
En somme, tandis qu’une dette publique excessive peut « chasser » les investissements privés et nuire à l’économie dans son ensemble, une dette trop faible peut également déséquilibrer les marchés financiers en réduisant l’offre d’actifs sûrs.
Il est donc important de trouver un équilibre approprié qui permette de soutenir la croissance économique, résorber le chômage, financer l’avenir, tout en maintenant la stabilité financière.
L’équilibre entre soutien à l’économie et viabilité à long terme est essentiel pour préserver la prospérité future.
« L’équivalence ricardienne » nous rappelle que les acteurs économiques ne sont pas passifs et qu’une dette trop élevée peut in fine nuire à l’économie.
Encore faut-il être un spécialiste de ces questions…
 
Je note simplement pour ma part, que quand on analyse la progression de l’endettement général (public, entreprises et particuliers) et l’accumulation de patrimoine net (déduction faite des dettes) des entreprises et des particuliers (hors l’État et ses démembrements), il y a une forte convergence de croissance de l’un et de l’autre de ces éléments depuis des décennies…  à quelques à-coups près (les changements de politiques économiques).
Autrement dit, les missions régaliennes (et les autres) de la puissance publique seraient finalement assez bien proportionnées quant à leur financement (Endettement/recettes fiscales & sociales). 
 
Or, il semble que des « spécialistes », il y en a peu, ou de moins en moins, ou qu’ils sont aveugles… Je dirai « autiste » ou « trisomique » (ou les deux) depuis quelques années vu les derniers « dérapages ».
Ainsi, expliquez-moi, comment il se fait qu’on nous affirme que le déficit risque de dépasser les 6 % du PIB alors que jusque-là on annonçait qu’il serait contenu à 5,1 % ?
C’est hallucinant d’être incapable de connaître précisément l’état de nos finances publiques.
Avec l’armée de zélés fonctionnaires, et d’ultra-compétents hauts fonctionnaires, qui émargent aux effectifs du budget et des finances, avec un État qui suit nos propres finances individuelles au jour le jour et nous sanctionne pour un retard ou une inexactitude dans nos déclarations même quand ce n’est pas volontaire, il est incompréhensible qu’on ne parvienne pas à suivre nos propres dépenses publiques.
 
Bien sûr, il y a deux explications au fait qu'on nous annonce 5,1 % pour nous dire quelques semaines plus tard que ce sera « probablement », on n’est même pas sûrs, 6 %.
L’incompétence cachée tout d’abord, ou bien la volonté de dissimuler la réalité de la situation, vis-à-vis de l’Europe, et vis-à-vis des « Gauloisiens-olympiques », ceux qui vont encore voter.
Dans les deux cas, quelle que soit l’explication, c’est toutefois impardonnable.
Car il y a deux sujets : Le fait qu’on soit incapable de suivre et de prévoir notre déficit. Et finalement le déficit lui-même.
Le nouveau gouvernement débarque et, en quelques jours, il « découvre » que la situation de nos finances est beaucoup plus grave que prévu.
Comment « découvre »-t-on en quelques jours la gravité de notre situation, alors que pendant des mois auparavant personne ne s’en était aperçu ?
 
Il y a quelques mois encore, notre « Mozart de finance », romancier à ses heures de loisir, « Pruneau-le-Mère » nous expliquait que nous étions en bonne voie. Il expliquait à Bruxelles que nous étions confiants sur le fait d’atteindre les 3 % de déficit dans 3 ans. Et nous voilà à un niveau probable (on n’en sait rien) proche des 6 %. Peut-être plus même.
6 %, un chiffre colossal par rapport à l’objectif affiché (qui reste « politique »).
Car en soi, ce n’est pas vraiment colossal si on oublie les critères Maastricht (et puis on est en guerre, aux portes de l’UE et hier contre le « conard-virus »).
En revanche il l’est si on le rapporte à notre croissance.
Si on faisait 6 % de déficit, mais qu’on générait une forte croissance du même embonpoint, on aurait au moins une excuse. Si la croissance était supérieure, ça serait même gagnant !
Mais si on fait 6 % de déficit, et qu’on accouche d’une croissance qui sera autour de 1 % grâce aux JO de « Paris-olympique », c’est qu’on a jeté 5 % d’argent par les fenêtres sans aucun effet sur l’économie.
Ni sur le bonheur de vivre dans ce pays-là…
Là, c’est aberrant, hallucinant, révoltant même, et finalement déprimant.
 
Suis-je assez riche pour jeter l’argent par les fenêtres ?
J’en doute…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Prononcé le 14 décembre 2009 - Conférence de presse de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République, | vie-publique.fr

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