Comment ont-ils fait au juste ?
Quoi ? J’ai appris que les Lusitaniens
cherchent à tout prix à retenir leurs « d’jeuns » après avoir été un
des cancres de la zone Euro qu’il fallait fuir si on voulait avoir un avenir ?
Je trouve ça fabuleux…
Leur banque, celle de l’Esprit Saint, fait
faillite. Ils se relèvent difficilement d’une dictature profonde et prolongée,
d’avoir perdu leur empire assis sur les deux rives de l’Atlantique, juste pour
devoir se contenter de quelques poussières au milieu de rien en direction du
Nouveau Monde.
Ils se qualifient tout juste pour l’euro alors qu’ils ont été bâtir des murs sur tous les chantiers d’Europe (et leurs femmes de devenir concierges jusqu’à « Paris-Olympique ») et que pour se repeupler, ils ont inventé un paradis fiscal pour retraité, alors que la taxe d’habitation est plus chère au soleil qu’à l’ombre…
Et ils en sont à faire des efforts pour accueillir les « d’jeuns » européens ui trouve que « Poux-tine » est un voisin dangereux…
Fabuleux vous dis-je !
Quel retournement de l’Histoire…
Et pourtant, ils ne sont pas « olympiques », eux.
Pareil, chez quelques autres des « cochons »
– PIGS en british officiel –, je rajoute un autre « G » de la « Gauloisie-olympique »
pour faire « PIGGS » avec les Portos de Lisboa, les Ritaux de Rome,
les Hellènes d’Athènes (et autres dépendances) et le « S », des
Hispaniques, on avait là « les pays du Sud », le « club Med »
qui étaient les enfants pourris, longtemps considérés comme les plus instables
économiquement.
Or, ces fameux les pays d’Europe du Sud renversent actuellement la tendance, affichant aujourd’hui des performances budgétaires à faire pâlir les deux locomotives de l’UE que sont la « Teutonnie » et mon pays, la « Gauloisie-olympique » qui va devenir la championne olympique de la dette publique à force d’entrainement et après tant d’année d’effort et d’errements politiques et budgétaires.
Parce que bon, on est tous drogués par nos dirigeants qui pensent que pour se faire élire, il faut claquer du pognon qui n’est à personne, même pas à eux, ni même aux citoyens locaux…
L’argent magique, c’est miraculeux…
Vous connaissez la fable : « Les pays du
sud ayant chanté tout l’été se trouvèrent fort dépourvus quand la bise fut
venue. » Il faut se rappeler qu’il y a une quinzaine d’années, les cigales
grecque, espagnole et portugaise étaient au bord de la faillite.
Aujourd’hui, Athènes, Madrid et Lisbonne ont pris leur revanche et tirent désormais la croissance européenne, quand les pays d’Europe du Nord, celle des huguenots, sont à la traîne.
Il faut dire qu’ils vivaient sur des rentes de situation énergétique qui auront disparu entre-temps.
Comment en est-on arrivés à un tel retournement de situation ?
À l’heure où la « Gauloisie-olympique » est aux prises avec un dérapage inédit de son déficit public (qui devrait atteindre près de 6 % de son PIB en 2024, deux fois le plafond des critères de Maastricht), les regards se tournent sur les performances économiques spectaculaires de ces trois pays autrefois qualifiés avec mépris de « pays du Club Med ».
Il en reste deux : La « Ritalie » et la « Gauloisie-olympique », et à eux cinq vous avez compris
pourquoi il y a 5 anneaux eu drapeaux olympique…
(C’était de l’humour, déplacé, hors sujet :
Je raye…)
Selon les dernières données d’Eurostat, l’Hispanie
a enregistré une croissance du PIB de 2,7 % en 2023, l’Hellénie 2 % et le la
Lusitanie 2,5 %, quand la moyenne européenne se limite à 0,4 % !
La « Teutonnie » de la « Deutsche Qualität », longtemps considérée comme le moteur de l’Europe le plus sûr, envié de tous, un modèle de « qualité »… a vu son PIB reculer de 0,3 % et celui de la « Gauloisie-olympique » n’a augmenté que de 0,9 %.
Grâce aux JO probablement, Merci infiniment à Sainte « Sœur-âne »…
D’après le Fonds monétaire international, cette dynamique devrait se poursuivre en 2024, quoique de façon plus modérée, avec 1,7 % attendus au Portugal, 2,2 % en Grèce et 2,7 % en Espagne, contre 0,8 % dans l’ensemble de la zone euro.
Mais comme ils se trompent aussi souvent que les météorologues… ceux qui ne se sont pas reconvertis en climatologues,parce
que ceux-là ne savent pas se tromper…, c’est bien connu.
(C’était de l’humour hors sujet : Je
raye !)
Les « économistes » (ceux qui ne se
trompent pas en vous donnant la météo de la veille) vous expliquent par
conséquent qu’il faut prendre en compte plusieurs facteurs (Comme quoi, la
Poste, c’est une affaire de référence)(Même cause, même effet : Je
raye !) pour comprendre ces performances inespérées : C’est que des
modèles économiques fondés sur le tourisme les rend plus résistants aux chocs
conjoncturels… (Ils en disaient exactement l’inverse quand le tourisme ne marchait
pas bien, préférant les hauts-fourneaux de la Ruhr, que c’est du solide…« Deutsche
Qualität » oblige), les effets d’un plan de relance européen post-pandémie
(du « Conard-virus ») – le «NextGenerationEU» – dont ils sont les
premiers bénéficiaires en échange de réformes structurelles qui les y aura aidé
(pas question d’envisager de ne jamais plus y revenir passer ses vacances au
Soleil), et enfin un assainissement colossal de leurs comptes publics !
La vraie clé qu’on ose à peine évoquer chez nous…
Tu penses, 60 milliards (cf. post d’hier), c’est un verre d’eau dans une bassine…
Touchés par la crise des dettes souveraines
au début des années 2010, la Grèce, le Portugal et l’Espagne – mais aussi
l’Italie, l’Irlande ou encore Chypre – ont été soumis dès 2011 à des cures
d’austérité sévères imposées par l’Union européenne (UE) pour rassurer les
investisseurs, empêcher la faillite, et surtout éviter que la crise ne s’étende
à toute l’Europe.
Conséquemment, ces pays n’ont pas eu d’autre choix que d’assainir leurs finances publiques et d’entreprendre d’importantes réformes structurelles, notamment sur leur marché du travail, pour améliorer leur attractivité économique.
Bref, ils se sont mis à bosser pour payer l’ardoise laissée par leur dirigeants et leur seniors, et en sont à envisager 6 jours de boulot après avoir tapé dans les effectifs et laisser « sur le carreau » bien des familles…
Au Portugal, le gouvernement d’António Costa
a mis un point d’honneur à restaurer la discipline budgétaire, à l’appui d’une
forte croissance de l’activité et d’une hausse des recettes fiscales (+ 9 % en
2023)
Y’a pas de secret : Quand tu taxes, les gens se mettent à bosser pour payer, ce qui fait des assiettes supplémentaires et engendre un cercle vertueux.
D’autant que dans le même temps, les dépenses publiques ont progressé de 5,2 %. « Cette performance est le résultat d’une croissance économique plus forte que prévu », avec « davantage d’emplois et de hausses salariales », a réagi leur ministère des Finances dans un communiqué en mars dernier.
Selon ses prévisions, la Lusitanie devrait poursuivre dans cet élan en 2024 et dégager un nouvel excédent, de l’ordre de 0,2 % du PIB.
Le rêve (de « Barre-niée »)…
Parallèlement, la dette publique est tombée sous le seuil de 100 % du PIB pour la première fois depuis 2010.
Bé oui, plus de PIB, c’est un dénominateur plus gros qui réduit le ratio pour un même numérateur.
Bon d’accord, pour savoir ça, il faut au moins aller à l’ékole jusqu’au CE2…
Lisbonne a aujourd’hui retrouvé sa
crédibilité financière et les trois principales agences chargées d’évaluer la
capacité des États à rembourser leur dette, évaluent les finances du Portugal
au niveau A, qui correspond à une bonne solvabilité.
De son côté, la Grèce a été reclassée en octobre 2023 en catégorie « investissement » par l’agence Standard & Poor’s (pas encore : « Culbute » assurée à échéance) pour souligner le « bilan impressionnant » du pays.
L’Espagne quant à elle s’est vue récompensée en mars 2024 par l’agence Moody’s avec une note « positive » contre « stable » auparavant.
« Cette modification s’appuie sur un modèle de croissance de l’Espagne plus équilibré, qui pourrait entraîner une croissance supérieure et moins volatile que ce que prévoyait Moody’s à ce stade », expliquait l’agence dans un communiqué.
Pendant ce temps-là, nos Mozart et Beethoven de la finance n’ont pas cessé de se faire dégrader pour « fausses notes prolongées et répétitives »…
Dans le détail, le déficit grec est tombé de
9,8 % du PIB en 2020 à 1,6 % en 2023 (contre 3,5 % dans l’UE), celui de
l’Espagne est passé de 10,1 % à 3,6 % sur la même période, et le Portugal a
même dégagé un excédent (si si, ça existe) de 1,2 % en 2023, après avoir
affiché un déficit de 5,8 % en 2020.
Depuis 2019, la Grèce peut de nouveau emprunter sur les marchés financiers à des niveaux de taux d’intérêt proches de ceux de ses partenaires européens.
Aujourd’hui, les investisseurs se pressent dans ces pays, notamment dans les énergies renouvelables et les nouvelles technologies, à l’exemple d’Amazon qui a annoncé en mai dernier 15 milliards d’euros d’investissement en Aragon, dans le Nord-Est de l’Espagne.
Tandis qu’à « Paris-olympique » on emprunte aujourd’hui à des taux plus élevés qu’à Madrid, signe de la perte de crédibilité financière de mon pays à « moâ-même ».
Bon c’est aussi une question de calendrier : Le « flottant » qui se promène entre les frontières, il a besoin de rapporter au moins un peu plutôt que de coûter à ne rien faire.
Alors quand il y a une opportunité, il y trouve refuge. Ensuite il sera liquidé quand il y aura une autre opportunité plus intéressante.
D’autant que tout n’est toutefois pas tout
rose au Sud de l’Europe, et il est difficile de prévoir si cette situation sera
durable ou non.
Par exemple en « Hellénie », ils ont eu « Tsitsi-prasse », leur « Mes-Luches-Chavez » local à eux.
« Tsitsi » n’est pas resté longtemps au pouvoir, malgré une majorité parlementaire et un référendum populaire triomphal, mais le salaire annuel moyen est toujours 25 % inférieur à celui de 2008 !
Merci « Chavez » : Les russes de « Poux-tine » finiront par être les seuls à assurer les fins de mois…
J’imagine la tronche de « Cricri-la-Garde-Meurt-mais-ne-se-rend-pas » lorsque ce sera le oligarques popovs qui souscrivront à nos émissions de dettes « souveraines » !
Finalement, le soleil, c’est bien car ça permet de buller quand il y n’y a plus de sous dans la poche. Et un quart de la population est exposé au risque de pauvreté en Hellénie.
La Grèce et l’Espagne restent d’ailleurs confrontées à un taux de chômage supérieur à 10 %, contre une moyenne européenne de 5,9 %.
Nous, on fait dans l’intermédiaire, 7,3 %, pas encore bien décidé…, hésitant, quoi…
Mais comme les JO sont un marqueur des futurs pays défaillants, ou en tout cas à « große probleme », on est désormais sur la liste après Sotchi, Londres, Athènes, Barcelone et Cie…
Surtout, les niveaux d’endettement public restent
importants et menacent l’avenir du pays : La dette publique grecque, si elle se
dégonfle à un rythme rarement observé (l’inflation n’y est pas pour rien),
reste encore la plus élevée de l’UE, tournant autour des 160 % du PIB au
premier semestre 2024 (contre 206 % tout de même en 2020).
L’agence de notation financière Standard & Poor’s prévoit toutefois que la dette devrait tomber aux alentours de 140 % du PIB (niveau où se trouve la « Ritalie » aujourd'hui) dès 2025, avec un taux d’emprunt à 10 ans à 3,5 % contre 13 % durant la crise financière.
Une catastrophe pour les banquiers qui savent pertinemment que la BCE rachètera leurs titres de créance le moment venu…
Parce que hein, c’est assez simple quand on est plusieurs à agiter le « risque systémique » d’effondrement…
Pendant ce temps-là, chez nous, on ravaude,
on l’a vu hier et on se veut résolument optimiste : Si ça ne fonctionne
pas, c’est soit « Mes-Luches » (le cauchemar de tout banquier bien
né) ou « Marinella-tchi-tchi » et son « mignon », « J’ordonne-le-Bordel-là »,
le cauchemar de tous les démocrates…
Mais il serait souhaitable que l’on prenne un peu de graine sur ce qu’ont fait nos voisins (ceux du « club Med »), pas pour plaire à « Olaf-tout-Schuss », ni aux pays des huguenots et autres hérétiques du Nord de l’Europe, mais uniquement pour que la potion à boire ne soit pas trop amère.
D’autres l’ont fait, presque sur nos incantations : Il faudrait leur rendre hommage, d’autant mieux que ça fonctionne…
Espérons que ce sera bien géré. Moâ, je m’en
fiche, j’ai marié la dernière partie de « ma nichée », je n’ai plus
rien à espérer…
Peut-être quelques attentats contre « Poux-tine », juste pour rendre service à mes « potes popov », mais je ne suis même pas sûr qu’ils le souhaiteraient…
Alors quand est-ce qu’on va où, au juste ?
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Je trouve ça fabuleux…
Ils se qualifient tout juste pour l’euro alors qu’ils ont été bâtir des murs sur tous les chantiers d’Europe (et leurs femmes de devenir concierges jusqu’à « Paris-Olympique ») et que pour se repeupler, ils ont inventé un paradis fiscal pour retraité, alors que la taxe d’habitation est plus chère au soleil qu’à l’ombre…
Et ils en sont à faire des efforts pour accueillir les « d’jeuns » européens ui trouve que « Poux-tine » est un voisin dangereux…
Fabuleux vous dis-je !
Quel retournement de l’Histoire…
Et pourtant, ils ne sont pas « olympiques », eux.
Or, ces fameux les pays d’Europe du Sud renversent actuellement la tendance, affichant aujourd’hui des performances budgétaires à faire pâlir les deux locomotives de l’UE que sont la « Teutonnie » et mon pays, la « Gauloisie-olympique » qui va devenir la championne olympique de la dette publique à force d’entrainement et après tant d’année d’effort et d’errements politiques et budgétaires.
Parce que bon, on est tous drogués par nos dirigeants qui pensent que pour se faire élire, il faut claquer du pognon qui n’est à personne, même pas à eux, ni même aux citoyens locaux…
L’argent magique, c’est miraculeux…
Aujourd’hui, Athènes, Madrid et Lisbonne ont pris leur revanche et tirent désormais la croissance européenne, quand les pays d’Europe du Nord, celle des huguenots, sont à la traîne.
Il faut dire qu’ils vivaient sur des rentes de situation énergétique qui auront disparu entre-temps.
Comment en est-on arrivés à un tel retournement de situation ?
À l’heure où la « Gauloisie-olympique » est aux prises avec un dérapage inédit de son déficit public (qui devrait atteindre près de 6 % de son PIB en 2024, deux fois le plafond des critères de Maastricht), les regards se tournent sur les performances économiques spectaculaires de ces trois pays autrefois qualifiés avec mépris de « pays du Club Med ».
Il en reste deux : La « Ritalie » et la « Gauloisie-olympique »
La « Teutonnie » de la « Deutsche Qualität », longtemps considérée comme le moteur de l’Europe le plus sûr, envié de tous, un modèle de « qualité »… a vu son PIB reculer de 0,3 % et celui de la « Gauloisie-olympique » n’a augmenté que de 0,9 %.
Grâce aux JO probablement, Merci infiniment à Sainte « Sœur-âne »…
D’après le Fonds monétaire international, cette dynamique devrait se poursuivre en 2024, quoique de façon plus modérée, avec 1,7 % attendus au Portugal, 2,2 % en Grèce et 2,7 % en Espagne, contre 0,8 % dans l’ensemble de la zone euro.
Mais comme ils se trompent aussi souvent que les météorologues… ceux qui ne se sont pas reconvertis en climatologues,
La vraie clé qu’on ose à peine évoquer chez nous…
Tu penses, 60 milliards (cf. post d’hier), c’est un verre d’eau dans une bassine…
Conséquemment, ces pays n’ont pas eu d’autre choix que d’assainir leurs finances publiques et d’entreprendre d’importantes réformes structurelles, notamment sur leur marché du travail, pour améliorer leur attractivité économique.
Bref, ils se sont mis à bosser pour payer l’ardoise laissée par leur dirigeants et leur seniors, et en sont à envisager 6 jours de boulot après avoir tapé dans les effectifs et laisser « sur le carreau » bien des familles…
Y’a pas de secret : Quand tu taxes, les gens se mettent à bosser pour payer, ce qui fait des assiettes supplémentaires et engendre un cercle vertueux.
D’autant que dans le même temps, les dépenses publiques ont progressé de 5,2 %. « Cette performance est le résultat d’une croissance économique plus forte que prévu », avec « davantage d’emplois et de hausses salariales », a réagi leur ministère des Finances dans un communiqué en mars dernier.
Selon ses prévisions, la Lusitanie devrait poursuivre dans cet élan en 2024 et dégager un nouvel excédent, de l’ordre de 0,2 % du PIB.
Le rêve (de « Barre-niée »)…
Parallèlement, la dette publique est tombée sous le seuil de 100 % du PIB pour la première fois depuis 2010.
Bé oui, plus de PIB, c’est un dénominateur plus gros qui réduit le ratio pour un même numérateur.
Bon d’accord, pour savoir ça, il faut au moins aller à l’ékole jusqu’au CE2…
De son côté, la Grèce a été reclassée en octobre 2023 en catégorie « investissement » par l’agence Standard & Poor’s (pas encore : « Culbute » assurée à échéance) pour souligner le « bilan impressionnant » du pays.
L’Espagne quant à elle s’est vue récompensée en mars 2024 par l’agence Moody’s avec une note « positive » contre « stable » auparavant.
« Cette modification s’appuie sur un modèle de croissance de l’Espagne plus équilibré, qui pourrait entraîner une croissance supérieure et moins volatile que ce que prévoyait Moody’s à ce stade », expliquait l’agence dans un communiqué.
Pendant ce temps-là, nos Mozart et Beethoven de la finance n’ont pas cessé de se faire dégrader pour « fausses notes prolongées et répétitives »…
Depuis 2019, la Grèce peut de nouveau emprunter sur les marchés financiers à des niveaux de taux d’intérêt proches de ceux de ses partenaires européens.
Aujourd’hui, les investisseurs se pressent dans ces pays, notamment dans les énergies renouvelables et les nouvelles technologies, à l’exemple d’Amazon qui a annoncé en mai dernier 15 milliards d’euros d’investissement en Aragon, dans le Nord-Est de l’Espagne.
Tandis qu’à « Paris-olympique » on emprunte aujourd’hui à des taux plus élevés qu’à Madrid, signe de la perte de crédibilité financière de mon pays à « moâ-même ».
Bon c’est aussi une question de calendrier : Le « flottant » qui se promène entre les frontières, il a besoin de rapporter au moins un peu plutôt que de coûter à ne rien faire.
Alors quand il y a une opportunité, il y trouve refuge. Ensuite il sera liquidé quand il y aura une autre opportunité plus intéressante.
Par exemple en « Hellénie », ils ont eu « Tsitsi-prasse », leur « Mes-Luches-Chavez » local à eux.
« Tsitsi » n’est pas resté longtemps au pouvoir, malgré une majorité parlementaire et un référendum populaire triomphal, mais le salaire annuel moyen est toujours 25 % inférieur à celui de 2008 !
Merci « Chavez » : Les russes de « Poux-tine » finiront par être les seuls à assurer les fins de mois…
J’imagine la tronche de « Cricri-la-Garde-Meurt-mais-ne-se-rend-pas » lorsque ce sera le oligarques popovs qui souscrivront à nos émissions de dettes « souveraines » !
Finalement, le soleil, c’est bien car ça permet de buller quand il y n’y a plus de sous dans la poche. Et un quart de la population est exposé au risque de pauvreté en Hellénie.
La Grèce et l’Espagne restent d’ailleurs confrontées à un taux de chômage supérieur à 10 %, contre une moyenne européenne de 5,9 %.
Nous, on fait dans l’intermédiaire, 7,3 %, pas encore bien décidé…, hésitant, quoi…
Mais comme les JO sont un marqueur des futurs pays défaillants, ou en tout cas à « große probleme », on est désormais sur la liste après Sotchi, Londres, Athènes, Barcelone et Cie…
L’agence de notation financière Standard & Poor’s prévoit toutefois que la dette devrait tomber aux alentours de 140 % du PIB (niveau où se trouve la « Ritalie » aujourd'hui) dès 2025, avec un taux d’emprunt à 10 ans à 3,5 % contre 13 % durant la crise financière.
Une catastrophe pour les banquiers qui savent pertinemment que la BCE rachètera leurs titres de créance le moment venu…
Parce que hein, c’est assez simple quand on est plusieurs à agiter le « risque systémique » d’effondrement…
Mais il serait souhaitable que l’on prenne un peu de graine sur ce qu’ont fait nos voisins (ceux du « club Med »), pas pour plaire à « Olaf-tout-Schuss », ni aux pays des huguenots et autres hérétiques du Nord de l’Europe, mais uniquement pour que la potion à boire ne soit pas trop amère.
D’autres l’ont fait, presque sur nos incantations : Il faudrait leur rendre hommage, d’autant mieux que ça fonctionne…
Peut-être quelques attentats contre « Poux-tine », juste pour rendre service à mes « potes popov », mais je ne suis même pas sûr qu’ils le souhaiteraient…
Alors quand est-ce qu’on va où, au juste ?
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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