Qui a la plus grosse ?

Le grotesque n’a jamais effrayé « McDo-Trompe »…
 
Normal, alors qu’il n’était encore que candidat à la Maison Blanche sans y avoir jamais pénétré autrement que comme visiteur (avant sa première élection), il affirmait déjà sans aucune décence « prendre les femmes par la chatte »…
La sienne, la troisième (oui parce qu’il fait partie de ces « alpha-plus » qui n’ont rien compris dès la première fois), venait d’accoucher alors que « Diesel orageux » lui astiquait le jonc avec ferveur et compétence…
Une fille épatante, qui aura été grassement payée pour fermer son clapet, mais qu’il ne fallait pas chatouiller sur les entournures pour ensuite en faire un bouquin afin de se défendre d’être condamnée pour parjure dans une affaire de faux comptes de campagne électoral du sieur « Trompe ».
Le jury populaire l’a déjà condamné, mais la peine est encore en délibéré devant tribunal de New-York » et attendra bien le résultat des élections de la semaine prochaine…
 
D’ailleurs, il est temps que les « ricains » glissent leur bulletin dans les urnes, parce que là, les candidats en sont au stade des insultes.
Si encore il n’y avait que ça : « Trompe » aura acheté un « McDo » pour travailler à y servir des frites en drive, histoire de se faire filmer en train de travailler à la sueur de son front… démentant par la même occasion que sa concurrente ait pu en faire autant dans ses jeunes années d’étudiante…
Chacun connaît mon opinion : « Trompe », c’est une « erreur historique ».
Une formule que je retiens d’un de mes potes de lycée qui était tombé sur la question, à l’oral, de la « Révolution d’Octobre »… C’est ce qu’il avait répondu à son examinateur (forcément un béat de la crèche nourri aux sciences du progrès social et de la lutte historique des classes, puisque c’est scientifique…) alors que mon pote avait raison : Elle s’est passée en novembre…
Mais il a dû redoubler sa terminale et a fini responsable de la sécurité informatique de sites gouvernementaux… sensibles.
 
« Trompe » est un populiste qui, comme d’autres, a surfé sur la rage contenue des « gilets-jaunes » et autres « bonnets-rouges » sis jusqu’aux USA.
Ils sont nombreux à avoir compris l’intérêt du web 2.0 et ils sont quelques-uns à avoir su l’exploiter.
En commençant par les « Brexiters » et « Cambridge-Analytica », « Poux-tine » et ses trolls, puis les « ritaux » avec leur mouvement « 5 étoiles », mais aussi l’AfD teuton, un moment les Polaks, même les « Hellènes », le Magyars et chez nous désormais les « Mes-Luches » et leurs sbires (qui se sont rendus compte que l’écolologie, ça ne payait plus pour être récupérée par tout le monde).
 
Le principe consiste à se mettre à l’écoute des rancœurs du « bas-peuple » qui s’exprime sur les blogs et surtout sur tous les réseaux sociaux : C’est la magie des touches « like » et le micro-business des « influenceurs ».
Plus tu as de « like », plus tu attires les analystes (qui sont des robots et ne savent faire que des additions) sur tes contenus.
Et ainsi, plus le thème sera reproduit à l’infini pour « fédérer » le mécontentement qu’il aura généré.
Pourquoi croyez-vous que « Trompe » aura été viré de « Twister » et que « Élan-Must » s’est fait un devoir de racheter la plateforme (avec l’aide de banquiers de l’État profond, y compris « Gauloisiens-olympiques ») et d’y réintroduire « Trompe » alors que ce dernier patauge avec son propre réseau social à vouloir réinventer l’eau tiède ?
 
On a compris : Les réseaux, c’est le confessionnal mondial où on déverse toutes les perversités, ses frustrations voire ses fantasmes.
C’est aussi mieux que de devenir terroriste pour les quelques-uns de tous ceux qui n’ont pas accès à ces déversoirs-là.
Et c’est un outil fabuleux pour appuyer sur les bons arguments au moment fatidique des « choix démocratiques ».
Sauf que si ça permet « d’influencer » ces choix au bon moment en reprenant les thèmes favoris des « like », d’une part ça ne marche pas tout le temps (cf. La Moldavie, cf. l’échec du « Air-haine » au seuil du palais Bourbon, voir celui de « Mes-luches » qui s’est fait plus gros que la grenouille, contre-nature, par exemple).
 
D’autre part, ce n’est pas avec ça qu’on peut gouverner un pays utilement : Cf. « Georgina-Mélodie » en « Ritalie », l’héritière des populistes ritaux et autre feu « Berlu-la-quéquette-sauvage-en-liberté » (ex-patron d’un puissant groupe de médias [à l’ancienne] et ses propres difficultés malgré ses propres renoncements).
Et tant d’autres qui s’essayent à paralyser jusque chez nous le fonctionnement de nos institutions en martelant « Barre-niée », actuellement…
Ils n’ont pas compris que celui-là est installé pour un moment, que personne ne peut rien contre lui qui n’a rien demandé, surtout pas à venir s’enquiller des malotrus à l’âge où on aspire à s’occuper de passer une retraite paisiblement et bien méritée…
Ils vont devoir le garder, quitte à avaler tout rond des couleuvres, parce que le seul recours derrière, c’est l’article 16 et le grand retour de « Jupiter », qui ne dit rien et attend que ça lui tombe dans le bec tout rôti !
 
Gouverner, c’est faire. Bien gouverner, c’est faire le moins d’erreur possible. Or, rien de plausible n’est proposé par tous ceux qui n’ont que leur colère, leur haine, et leur rage à offrir…
 
Bref, vous l’avez compris, « McDo-Trompe », ce n’est pas ma tasse de thé. De toute façon, et ça transpire déjà dans mon avant dernier roman (Menaces de chaos), j’ai toujours parié sur « Carambar-Harissa » depuis qu’elle a été élue vice-présidente sur le ticket de « Bail-Dan ».
Lui, je ne le porte pas dans mon cœur, mais il a su s’entourer. Elle, c’est une femme tellement dure qu’elle doit en être invivable : Si je la prendrais probablement en stop un jour de pluie pour la dépanner, je n’irai pas jusqu’à partager une table avec elle…
Mais elle fera une bonne présidente pour mes potes « ricains ».
J’imaginais qu’elle serait arrivée à ce poste si « Bail-Dan » voulait bien remettre son âme à son Créateur, mais ce n’est pas comme ça que ça va se passer : La destinée en aura décidé autrement.
Et elle va se retrouver investie du vote populaire, du vote des délégués, avec une chambre des représentants à sa main mais un sénat tenu par les républicains.
 
C’est très probablement comme ça que ça va se passer : Tous mes « indicateurs avancés » tendent à le démontrer (mais comme ils se sont déjà plantés à plusieurs reprises…), on attendra le 6 novembre.
Autre preuve, « McDo-Trompe », si tôt sorti de son « McDo », il en arrive à jouer avec sa bite !!!
Oh, ce sont des clins d’œil qui n’offensent pas les pudibonds de la côte-Est ou les mormons, mais il n’a plus que ça comme argument pour séduire un électorat dont même les sondeurs ne savent plus pronostiquer les intentions de vote !
Quelle époque, décidément…
  
C’était un nouvel épisode surréaliste, le week-end dernier, où « McDo-Trompe » aura rendu hommage au champion de golf Arnold Palmer en révélant que « quand Palmer a pris sa douche avec les autres pros, ils sont sortis de là en disant « Oh mon Dieu, c’est incroyable » ».
Manifestement pour « Trompe », la taille de la sienne et de celle des autres, compte plus que toute autre chose, alors même que lors de la primaire de 2016, il avait déjà « garanti » aux électeurs républicains, qu’il était parfaitement doté en la matière.
Les propos d’un obsédé, d’un détraqué, rien de plus…
Il nous l’aura également montré quand il aura été confronté à « Kim-tout-fou », le Nord-coréen qu’il devait écraser en deux interjections, parce qu’il en avait une plus grosse que l’autre…
 
Or, dans son livre publié en 2018, « L’orageuse-diesel » décrivait pourtant « le membre » présidentiel comme « inhabituel (avec) une grosse tête… comme un champignon (et) plus petit que la moyenne ».
Elle avait affirmé que « ça » ressemblait à un champignon.
À moins de deux semaines du scrutin plus qu’incertain pour la plus puissante démocratie du monde, un ancien président, à nouveau candidat, commence un discours dans l’État le plus déterminant en s’enthousiasmant pour la taille d’un pénis (qui n’est même pas le sien) !
Où va-t-on au juste ?
 
Plus récemment, c’est son prédécesseur, « Baraque-Haut-Bas-Mât », qui s’est moqué de la taille de son pénis d’un geste de la main lors de la convention démocrate.
C’est tout de même bien « Trompe » qui aura évoqué avec enthousiasme la verge proéminente de cet ancien golfeur originaire de cette petite ville de l’Ouest au moment où il tenait réunion électorale sur un terrain d’aviation de la Pennsylvanie qui portait justement son nom… Est-ce parce qu’il ne peut plus jouer au golf pour se détendre comme il en a l’habitude, depuis qu’un homme armé a réussi à s’introduire sur le parcours de l’une de ses propriétés en Floride ?
Il aura commencé son discours en parlant pendant douze minutes de Palmer, de son talent de golfeur à la fin des années 50.
Hors sujet pour le futur des USA et la place de l’Union dans le monde.
 
Plus tard, après avoir assisté à un match de football entre les New-York Jets et les Pittsburgh Steelers, « Trompe » aura posté une image générée par IA en tenue de l’équipe de Pennsylvanie : Les biceps, les pectoraux, les veines, l’entrejambe, tout est gonflé, et surtout l’idée de poster cette image-là.
L’image de la « virilité sauvage » contre celle de la douce féminité de « Harissa »… quelle porte jusque sur son visage et son sourire…
 
Tout cela peut prêter à rire.
Mais derrière ces références glissées ici ou là, il y a bien un thème récurrent de la campagne de « McDo-Trompe » : Même pas sa virilité, mais sa simple « masculinité ». C’est justement ce qui est « liké » sur les réseaux…
Et c’est même l’une des clés de lecture de cette campagne : Si l’on se fie aux sondages, jamais une élection à la Maison Blanche n’a autant divisé les hommes et les femmes. Dans le dernier sondage Siena College pour le New-York Times, « Harissa » a 16 points d’avance chez les femmes, et « Trompe » 13 points de plus chez les hommes.
Or, la décision de la Cour Suprême sur l’avortement il y a deux ans entraîne une sur-mobilisation des femmes pour les démocrates. Les efforts de « McDo-Trompe » pour parler aux hommes et attirer vers lui les jeunes hommes, notamment issus des minorités ethniques, portent leurs fruits.
Face au parti démocrate qui a choisi pour la seconde fois une femme pour l’affronter, « McDo » s’adresse aux hommes déroutés par la révolution #MeToo.
 
La mise en scène de sa masculinité, dans l’esprit de Trump qui ne remet pas en cause les stéréotypes, est essentielle pour projeter une image de force, de protection, de domination, et pour rassurer une Amérique conservatrice.
Cette élection « sera un référendum sur la masculinité en Amérique », et peut-être l’avènement d’un « néo-patriarcat » : « La solution, pour les néopatriarches, est de revenir au passé. Les hommes doivent redécouvrir la vision de la masculinité à la John Wayne, en faisant des marqueurs traditionnels du genre masculin des aspects déterminants de leur identité. »
« Carambar-Harissa » et son équipe ont bien entendu repéré cet écueil. Elle a ainsi participé il y a deux semaines à la célèbre émission de radio – parfois crue – d’Howard Stern, dont tous les auditeurs réguliers connaissent la taille du pénis.
Elle s’aventure donc au cœur de la « manosphère » pour rassurer une partie des hommes inquiets d’élire pour la première fois un président sans pénis.
D’ailleurs, elle aura évité la difficulté dans laquelle « Il-a-Riz-Pine-tonne » s’était plantée en affirmant qu’elle serait la première femme à accéder à la Maison Blanche et en présentant ça comme une chance…
« Harissa » est femme, issue d’une minorité ethnique, démocrate et… radieuse !
Elle aurait même la préférence de « Poux-tine »… Tout pour plaire, quoi, lui qui s’imagine probablement « des trucs » pour faire plier Washington.
 
Et effectivement, si « Poux-tine » et ses trolls, arrêtaient de relayer « Must » et les siens, « McDo-Trompe » n’aurait aucune chance d’être le vainqueur de cette compétition…  
Et s’il gagne, c’est l’assurance d’avoir des « alpa-plus » pendant 4 ans qui vont façonner le monde comme ils l’entendent pour en tirer le plus grand profit au détriment d’une très grosse, la plus grosse, partie de l’humanité… et générer des clones qui devront leur succéder.
Est-ce le choix des « maîtres du monde » ?
Personnellement, je n’y songe même pas, mais « certains » en sont déjà certains au moins depuis l’année dernière.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)