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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 8 octobre 2024

Grève en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » !

Ce n’est pas une blague…
 
Quand ils font grève, les Corsi, une vraie grève, c’est-à-dire qu’ils sont sur le lieu de travail, qu’ils occupent éventuellement, et qu’ils ne foutent rien, pas comme d’habitude car là ils le disent et ont même des revendications à faire valoir (pour reprendre le travail, c’est-à-dire qu’ils occupent le lieu de travail, n’en foutent pas beaucoup plus, mais ils sont payés), ils obtiennent ce qu’ils veulent !
Impressionnant !!!
 
C’était la semaine dernière et chacun aura pu remarquer que, même sans majorité gouvernementale au pouvoir, soutenu par une absence de majorité à l’Assemblé de Nationale, en quelque jours, les élus territoriaux ont pu récupérer la gestion menacée des ports et aéroports, dont on ne sait quel « technocrates » voulait les soulager.
Et « Gillou-Si-Méo-Nie », le patron du CTC s’est exclamé : « C’est une grande victoire pour la Corse ! »
Tu parles…
J’en rigole encore : Le racket des touristes de passage, à travers les habilitations, agréments et concessions, va pouvoir persister tranquillement…
 
Ainsi, un accord aura pu être trouvé vendredi dernier dans la journée avec le gouvernement vis à vis de la gestion des ports et aéroports de l’île après le 31 décembre prochain, permettant de facto de lever les blocages en cours depuis 24 heures, que le président de l’Exécutif s’en est félicité pour renforcer l’affirmation de la maitrise de ces infrastructures stratégiques par la puissance publique îlienne : Elle entre désormais dans le paysage juridique comme d’un « principe intangible ».
 
Je vous raconte, parce que c’est l’épilogue de 24 heures d’une situation inédite : Le 4 au soir, après de « longues négociations » avec le gouvernement, le président de l’Exécutif, a indiqué qu’un accord a pu être trouvé dans la journée.
À l’occasion d’une réunion avec l’intersyndicale en fin de journée, le président de l’Exécutif a également indiqué avoir reçu des garanties suffisantes de « Paris-Olympique » quant au modèle qui sera choisi pour la gestion des plateformes portuaires et aéroportuaires de l’île après le 1er janvier prochain, via un courrier de « Cathy-Vaurien », « sinistre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation en charge de la Corsica-Bella-Tchi-tchi », et de « Fanfan-Dur-au-vrai », « sinistre délégué aux transports et autres divagations ».
 
« C’est une grande victoire pour la Corse pour deux raisons », s’est-il réjoui : « D’abord parce que le nouveau gouvernement a acté le principe de la maitrise par les institutions publiques de la Corse des infrastructures portuaires et aéroportuaires, ce qui est un enjeu essentiel. C’est désormais officiel : les grands groupes n’auront jamais la maitrise de nos ports et de nos aéroports !
Par ailleurs, le principe d’un syndicat mixte ouvert, y compris un projet de concession à la CCI des exploitations fait partie de ce sur quoi nous avons travaillé ».
Le président de l’Exécutif a également indiqué avoir travaillé sur le rattachement des chambres consulaires (Chambre Régionale des Métiers et de l’Artisanat et Chambre de Commerce et d’Industrie) à la Collectivité de Corse, option prévue par la loi Pacte de 2019 : « Le principe qui a été consacré par la loi Pacte est bien celui du rattachement de la CCI à la CTC.
Mais comme pour mettre en œuvre le rattachement il faut une loi, et donc une majorité à l’Assemblée nationale, dans le cas où cette majorité ne serait pas trouvée dans les mois à venir nous avons l’option du Syndicat Mixte Ouvert avec régie ascendante pour la gestion des ports et aéroports de l’île. »
Une astuce astucieuse pour continuer sans en demander l’autorisation au législateur…
« C’est une option de jonction et qui donne toutes garanties en termes de principe et d’efficacité », a-t-il tenté d’expliquer en assurant : « Dans les deux cas nous avons la garantie que les emplois seront préservés, que l’efficacité sera renforcée et que la Corse aura la maitrise de ses infrastructures.
Cela nous amène la garantie qu’à partir du 1er janvier 2025, les choses vont pouvoir continuer normalement ! »
Magnifique… Ça aurait pu être mieux, mais non… !
« Et ce d’autant mieux que le gouvernement s’est également engagé pour le cas où des difficultés à la marge surviendraient à prolonger les concessions prévues pour arriver à expiration le 31 décembre prochain, ce qui est une garantie en termes de délais ».
Petite révolution syndicale en Île-de-beauté pour que rien ne change !
Ou comment faire durer le provisoire…
 
Mais il convient qu’un « travail de mise en forme opérationnelle » reste à faire. Même si le président de l’Exécutif se félicite ainsi que la mobilisation des agents de la CCI ait pu permettre d’obtenir l’affirmation de la maitrise par la puissance publique corse des infrastructures portuaires et aéroportuaires. « C’est un principe qui est désormais intangible et une victoire pour le peuple corse », a-t-il insisté.
Ou comment récupérer une victoire syndicale qui ne concerne que quelques centaines du « peuple corsu »…
 
Par ailleurs, il a confié avoir profité de ces échanges avec le gouvernement pour aborder « les problèmes portuaires, aéroportuaires et des services publics maritimes et aériens dans leur globalité ».
« J’ai indiqué à la ministre que reste à régler avant le débat budgétaire de l’Assemblée nationale la question de la ré-indexation de la dotation de continuité territoriale. J’ai rendez-vous avec elle la semaine prochaine », a-t-il annoncé.
Vous n’aviez pas compris ?
Globalement l’enjeu c’était de savoir qui paye quoi au petit-personnel, corse, en grève…
 
Bref, en moins de 24 heures de blocage, le mouvement social qui paralysait les ports et aéroports de Corse aura pris fin.
Une grève qui immobilisait depuis jeudi après-midi l’ensemble des ports et aéroports de Corse aura été levée.
« Le président Simeoni (le patron-employeur) a trouvé un accord avec la ministre, nous levons tous les blocages », a confirmé le représentant du Syndicat des Travailleurs Corses (STC), à la sortie d’une réunion avec les préfets de Corse et de Haute-Corse ainsi que l'intersyndicale STC-CGT-CFE-CGC.
 
Les deux préfectures ont confirmé cette décision, mettant ainsi fin à une situation qui paralysait, l’horreur, les liaisons maritimes et aériennes de l’île : Depuis jeudi soir, des milliers de passagers se retrouvaient bloqués, incapables de rejoindre ou de quitter la Corse.
L’horreur vous dis-je !
Déjà je me voyais dans l’obligation d’affréter des barges de débarquement à fond plat pour atterrir sur les plages et faire circuler le courrier et les billets de banque.
Qu’on se voyait tous à revivre les séances de pénurie de tout à réinventer le troc et les lettres de changes endossables de l’époque des « opérations île morte » pour pouvoir survivre… sans carburant ni rien d’autre !
 
Sur le réseau social « Xxxl » (anciennement « Twister »), « Gillou » a salué l’accord obtenu : « Les infrastructures portuaires et aéroportuaires de l’île resteront sous maîtrise publique des institutions corses. Une grande victoire sociale, économique et politique pour le peuple corse ! »
Autrement dit, main-basse sur lesdites infrastructures, comme précédemment : C’est que l’affaire doit être juteuse…
Dans un communiqué conjoint, les deux « sinistres » concernés par ce dossier ont souligné que « le dialogue conduit sous le précédent gouvernement a permis de faire naître des solutions pour garantir la qualité et la sécurisation juridique des liaisons entre l’île et le continent à tout moment de l’année ».
Bref, un peu de pommade pour faire briller « Gaby-le-magnifique » (et ses sbires).
 
Ils ont rappelé que des mécanismes légaux, notamment l’article 46 de la loi Pacte, permettront d’assurer une continuité du service public dans le respect des droits des salariés et des infrastructures corses.
Tout va bien : On pourra consentir des concessions aux mafias locales pour avoir la paix armée, sans « nuit bleue », et ce en toute légalité et sans « observateurs » continentaux !
 
Un mouvement social finalement déclenché bêtement, se rappelle-t-on, en réaction aux propos du secrétaire général aux affaires corses, « Alex-Pas-trou » (un « pont » même pas ni « X » ni « énârque »), Secrétaire général pour les affaires de Corse, mettant en cause la légalité du futur dispositif de gestion des infrastructures portuaires et aéroportuaires par la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Corse.
En réalité, derrière ce conflit d’apparence technique entre l’État et la collectivité de Corse figure une autre difficulté financière : « Gilou » réclamait 50 millions d’euros supplémentaires à l’État pour compenser l’inflation non prise en compte dans la somme allouée par l’État pour assurer la continuité territoriale entre l’île et le continent.
Hein, tu te réclame Corse autonome, mais l’idée ça reste tout de même de te faire payer par la « puissance colonisatrice » des « pinzuti »…
Et « Alex » va devoir trouver une nouvelle affectation !
 
En réponse, les syndicats avaient réagi en lançant une grève immédiate, bloquant les six ports et quatre aéroports de l'île : Touche pas au grisbi !
En attendant, les dispositifs d’accueil sont demeurés en place pour les passagers en attente tout le week-end.
« Des milliers » de passagers, sans pédalo ni palme, restaient en attente de départ ou d’arrivée, et les deux préfectures ont décidé de maintenir les dispositifs d’accueil pour les voyageurs affectés par cette situation.
 
Les passagers se trouvant encore sur l’île et en attente d’embarquement, tant à l’aéroport d’Ajaccio qu’au port, pouvaient ainsi se rendre au gymnase « U Palatinu », situé Route du Stiletto à Ajaccio, qui a ouvert ses portes à partir de 17 h 00.
Pour faciliter l’accès à cet endroit, trois bus, mis à disposition par la Communauté d’Agglomération du Pays Ajaccien, assureront des rotations depuis le port et l’aéroport d’Ajaccio à partir de 17 h 30.
En Haute-Corse, le gymnase de l’Île-Rousse, situé route de Calvi, est également ouvert pour accueillir les voyageurs n’ayant pas de solution d’hébergement.
La Croix-Rouge était présente sur place en collaboration avec la municipalité de Isola-Rossa et la Communauté de Communes Lisula-Balagne, où une douzaine de personnes sont déjà installées.
De plus, le gymnase du Fango à Bastia (3 avenue Jean Zuccarelli) reste opérationnel pour les personnes nécessitant un accueil, avec jusqu’à 250 personnes hébergées et prises en charge par les services de la municipalité et de la Communauté d’Agglomération de Bastia.
 
Sauf que, catastrophe, en raison de ces blocages surprises des ports et des aéroports de Corse, la 8ème journée de Ligue 2 connaissait des modifications, avec le report des rencontres AC Ajaccio – FC Martigues et Pau FC – SC Bastia, indiquait la Ligue de Football Professionnel (LFP)
Qui aura confirmé que les matchs impliquant les clubs corses, prévus pour la 8ème journée de Ligue 2 BKT, étaient reportés en raison des perturbations causées par la grève en cours en Corse.
Le match AC Ajaccio – FC Martigues, initialement prévu le vendredi à 20 h 00, a été repoussé au samedi 5 octobre à 14 h 00.
De plus, la rencontre Pau FC – SC Bastia, prévue le même jour, est reportée à une date ultérieure, qui sera fixée par la Commission des Compétitions.
 
Voilà qui est bien qui finit bien : Aucune violence, pas d’échange de « nom d’oiseau », sans arme ni haine, quand un corse s’arrête de travailler à l’appel de son employeur, ça fait du bruit jusqu’à « Paris-olympique ».
Ils ne doivent pas trop savoir ce que c’est dans les ministères parigots (olympiques).
Je trouve ça tellement drôle dans ce monde en furie, que j’ai pensé que ça méritait bien un petit post… que voici !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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